Kidnapping et Soumission Tome 12

BÊTA PUBLIQUE

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N°1 et Sweet Pussy se dirigèrent vers le manège du photographe et virent alors une sorte de balancelle de jardin public sur laquelle deux jeunes filles auraient pu jouer mais en lieu et place d'une assise en forme de selle de vélo, deux plugs métalliques de bon diamètre pointaient en l'air.

N°1 prit la bouteille de gel qui se trouvait non loin du manège et enduisit les deux plugs qui allaient bientôt combler ses deux orifices. Elle lança la bouteille en direction de Sweet Pussy qui la rattrapa au vol et enduisit à son tour les deux plugs sur lesquels elle s'empalerait sous peu.

Sweet Pussy enjamba la balancelle et positionna sa chatte et son cul sur les plugs. Elle commença à onduler des hanches pour ouvrir son anus et sa fente. Les orifices de Sweet Pussy engloutirent les deux plugs et c'est dans un râle qu'elle fut calée sur la base des plugs. N°1 prit appui sur l'axe central et s'empala lentement sur ses deux plugs.

Leur photographe arriva et s'assura que les deux modèles étaient bien calés en appuyant sur leurs épaules. Elles couinèrent l'une après l'autre. L'homme apporta deux barres métalliques qu'il fit glisser dans un tube juste derrière le dos de ses modèles. Le photographe lia leurs bras dans le dos et entoura le torse des modèles afin qu'elles ne puisse plus bouger. Il prit ensuite leurs chevilles pour les attacher sous l'assise. Elles se retrouvèrent donc en hogtie en position verticale. Le photographe pris alors sur une étagère deux ball-gags et demanda alors à N°1 et Sweet Pussy d'ouvrir leur bouche. Il bloqua leurs maxillaires en position ouverte et serra une sangle au niveau du front sur la barre dorsale.

« Tire la langue s'il te plaît. » Dit le photographe en s'adressant à Sweet Pussy.

Sweet Pussy sortit la langue. L'homme desserra le piercing au milieu de son organe, l'enleva et posa un labret avec un anneau à chaque extrémité. Il prit alors deux brins de chaînes, type laisse de chien, qu'il attacha sur les deux anneaux du labret avec les fermoirs.

« Hummmm. » Fit Sweet Pussy alors que sa langue alourdie pendait devant sa lèvre.

L'homme ôta le piercing au milieu de la langue de N°1 et posa le même labret à anneaux. Il tendit les deux brins de chaîne entre la langue de Sweet Pussy et celle de N°1. Il mesura la longueur et posa deux fermoirs qu'il relia au labret de N°1. Les deux langues sortaient de leur bouche sans être tendues à l'extrême...

Il fit de même avec les barres qui traversaient leurs seins ainsi qu'aux anneaux de leurs tétons, puis s'occupa du piercing qu'elles avaient sur leur clitoris. Le photographe prenait des clichés à chaque étape de la mise en situation.

Lorsque tout fut en place, il plaça un trépied pour son appareil, deus flashs derrière lui et installa aussi un camescope.

Il démarra son shooting et mit son camescope en route. Sweet Pussy et N°1 bavaient abondamment. Le photographe fit des gros plans de leur visage et de leur organe buccal. Il prit un cliché au moment où il appuya sur sa télécommande qui déclencha des électrostimulations dans les plugs qui comblaient leurs chattes et leurs culs. Il faisait des gros plans de leur visage au moment où les plugs lançaient les ondes électrostimulantes. Le photographe appuya alors sur une télécommande et on entendit alors dans la pièce un bruit de moteur. Sweet Pussy et N°1 sentirent alors les chaînes se tendre et leur langue être tirée à l'extérieur de leur gorge. Leurs seins et leurs tétons étaient étirés en même temps. Des grognements sortaient de leur bouche largement ouverte. Le photographe fit des vidéos et prit des clichés de leurs seins étirés par les chaînes. Il les prit en photo sous tous les angles allant même sous son « manège » pour peaufiner la position des lèvres de leur sexe afin que chaque élément soit à sa place et dans une symétrie parfaite lorsqu'il le fallait.

L'industriel japonais arriva à 19h00 devant le perron du Manoir laissé vacant par la fuite de Maître Tumba. Maître Alexandre ouvrit la porte d'entrée suivie par Une Lola tenue en laisse, habillée en écolière flanquée d'une perruque rose.

« Pile à l'heure Monsieur Yamamoto. J'ai toujours apprécié la ponctualité japonaise. »

Le japonais répondit par un sourire courtois sans pour autant dire un mot à cette flatterie toute européenne.

« Lola est à vous jusqu'à samedi 18h00. » Dit Maître Alexandre en tendant la laisse à son client.

« Oui merci beaucoup, elle divertira bien mes cadres d'entreprise. Nous avions convenu que je pouvais l'utiliser comme bon me semble pendant la période de soumission. »

« Oui, mais pas de marques permanentes. »

« Mais vous m'avez permis l'utilisation des aiguilles. Elle ne sera plus utilisable pendant quelques jours après cette séance. Tenez, voilà le montant de notre accord. »

Maître Alexandre prit l'enveloppe mais ne l'ouvrit pas, lui tendit une valise et rentra dans son manoir sans un regard pour Lola.

Le riche industriel fit monter Lola dans sa limousine dernier modèle et s'éloigna. Lola regardait le paysage défiler devant ses yeux et le soleil se coucher lentement mais son esprit était ailleurs, inquiète de ce qu'elle allait subir. Après une heure de route à travers la campagne liégeoise puis la foret des Ardennes belges, la limousine pénétra dans un corps de ferme éclairé par des torches fixée aux murs. Deux hommes refermèrent les portes derrière leur passage.

Le japonais ouvrit la porte à Lola et lui tendit la main. Lola fut surprise de tant de mondanité.

« Venez ma chère, je vais vous présenter à mes convives. Vous serez leur dévouée ainsi que la mienne pendant ces 5 prochains jours. J'exige une parfaite obéissance! »

« Oui Maître. » fit Lola

On entendit dans les étables, les mugissements d'animaux de la ferme. Les deux hommes se tenaient prêt du japonais attendant les ordres. Lola remarqua les tatouages qu'ils arboraient sous leur costume bon marché. Le japonais éructa un ordre dans sa langue natale et les sbires obéirent au doigt et à l'oeil.

Ils entrèrent tous les quatre dans une salle de réception bondée de monde en costume cravate. Lola, toujours habillée comme une écolière, fut accueillie par un tonnerre d'applaudissement.

Le client conduisit Lola sur l'estrade et d'un claquement de doigt, elle comprit que le moment était venu de dévoiler ses charmes. Une musique lancinante sortit des enceintes et Lola commença à se déshabiller. Les chaussures, bas et mitaines furent les premiers apparats à être jeter à terre. Lola ondulait du corps et faisait glisser ses mains sur les courbes de son corps. Ses mains soulevèrent sa jupette et firent descendre sa culotte blanche à froufrou. Des sifflets accompagnèrent l'envol de la culotte. Puis Lola ôta langoureusement son chemisier pour offrir ses seins opulents. Des sifflets retentirent à la vue de cette paire d'énormes nibards. La jupette glissa sur les jambes de Lola qui offrit alors à la vue des japonais une paire de fesses tatouées et une chatte lourdement annelée. La perruque fut jetée à l'assistance qui prononça des ohhhh d'étonnements terminés par des applaudissements lorsque Lola devoila son crâne piercés et ses nattes accrochés à ceux-ci, nattes qui virevoltaient dans l'air.

Le chef d'entreprise fit un signe et un autre d'origine japonaise apparut. Il était tatoué façon yakusa et tenait dans ses mains des cordes.

« Voici le Maître Shibari Takeshi Horuda. Il va d'abord réalisé un léger bondage sur notre soumise de la semaine puis elle nous divertira pendant notre dîner.

Le Maître Shibari prit les bras de Lola et les positionna dans son dos pour réaliser son bondage. Il s'occupa ensuite des seins de Lola qu'il entoura de cordes et les rendit encore plus volumineux. Ils gorgèrent de sang. Les annaux de son sexe ne furent pas oubliés et le Maître Shibari s'en servit pour écarter les lèvres de la chatte de Lola et la garnir d'un plug fixé aux anneaux pour que celui-ci ne glisse pas de son vagin. Enfin il termina par l'introduction d'un plug dans le cul de Lola et fixa aussi celui-ci par une corde pour éviter qu'il ne s'échappe de son cul.

Les convives applaudirent à la fin de la leçon et s'attablèrent pour commencer leur dîner. Lola se tenait toujours au centre de l'estrade, ses seins commençaient à lui faire mal, la position de ses bras était aussi douloureuse. Elle trépignait aussi des pieds car l'envie d'uriner se fit sentir en elle.

Au bout d'une bonne dizaine de minute le Maître Shibari se positionna devant Lola, la regardant droit dans les yeux. Il prit ses tétons entre ses doigts et les pinça fortement. Le visage de Lola se crispa sous la douleur.

« Eh maintenant salope, tu vas te rendre en salle. Tu vois toutes ces tables? »

Pour toute réponse, Lola acquiesça de la tête.

« Tu passeras sous toutes les tables et tu prodigueras une bonne pipe à chaque homme. Je dis bien à chaque homme et tu avales leur sperme à tous. As-tu bien compris? »

« Oui, Maître. »

Lola, avec son bondage et les plugs qui lui comblaient ses orifices, avança doucement vers les tables. Elle s'agenouilla devant la table au centre de laquelle se trouvait une étiquette avec inscrit le N°1. Lola avança lentement et passa sous le plateau de la table. Elle vit six paires jambes. Elle en choisit une, glissa vers elle. L'homme sentant un corps se faufilait entre ses jambes, les écarta et dégrafa son pantalon. Il sortit alors son sexe de dessous la table pour que l'esclave le suce. Lola vit une main sortir une queue à demi-tendue et l'emboucha sans tarder. Lola, les bras dans le dos, devait montrer tous ses talents de suceuse pour faire jouir la première tige de chair qui se présentait à elle.

Lola montait et descendait sur la bite. Elle la sentit grossir encore un peu plus et ses lèvres expertes firent gicler la tige de chair sur sa langue dans un râle étouffé par le bruit ambiant du dîner. Lola avala le sperme de l'inconnu comme l'avait demandé le Maître Shibari. Lola recula doucement et passa devant la paire de jambes voisines. Une main ouvrit la braguette et sortit une membre volumineux tendu. Lola s'affaira sans tarder et commença sa seconde pipe.

Lola souleva la nappe de la table au bout d'une trentaine de minutes et avança, toujours agenouillée vers la table N°2, des gouttes de sperme perlaient de la commissure de ses lèvres. Lola passa de table en table pour prodiguer du plaisir aux convives. Ses genoux lui faisaient affreusement mal, ses seins étaient très douloureux et violets, elle ne sentait plus ses bras. Elle passa sous la dernière table, il ne lui restait plus que six pipes à faire. Son estomac était plein des giclées de toutes les bites pompées. Lola avait la nausée. Elle suça ces six dernières bites et sortit de dessous la table 10. Le Maître Shibari lui ordonna de venir sur scène. Lola obéit immédiatement et avança lentement, toujours à genoux vers l'estrade. Le Maître l'aida à se relever et les convives applaudirent tous cette performance.

« Maintenant tu vas te reposer, demain est un autre jour..de soumission pour toi. »

Le Maître Shibari ôta son bondage. Lola gémissait lentement lorsque le sang circula à nouveau dans ses seins et dans ses bras.

Lola fut menée dans une chambre coquette. Le Maître referma la porte à clé. Lola restait immobile pantelante et l'esprit dans le vague. Elle se sentait seule. Sweet Pussy et N°1 lui manquaient déjà...

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Bonne histoire comme toujours !

Allons - nous avoir les descriptions des jours suivants de la soumission de Lola ?

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

Dans les précédents chapitres j'avais beaucoup aimé les transformations physiques de Sweet.

Très grosse augmentation mammaire, piercings, tatouages, rasage ....

Est-ce que soumise Aurore y sera contrainte ?

Si oui merci d'y mettre beaucoup de détails.

Rudy

PS : Merci pour ce chapitre .... pas prévu.

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