Kidnapping et Soumission Tome 13

Informations sur Récit
Séances BDSM pour trois esclaves.
8.1k mots
4.8
9.7k
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Récit n'a pas de balises

Partie 13 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/01/2017
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TOME XIII

Le supplice de Lola continue

Le Maître ouvrit la porte de la chambre alors que Lola sortait doucement de son sommeil. Il tenait dans ses mains un plateau qu'il déposa au bout du lit.

« Allez salope, tu manges, tu prends une douche et traîne pas surtout, la journée sera longue. Et n'oublies pas de te maquiller outrageusement.»

Lola prit le plateau et commença à manger. Dix minutes plus tard Lola se leva et prit une douche revigorante. Lola ouvrit la porte et demanda au Maître comment elle devait s'habiller. Le Maître lui tira le bras :

« Tu es là pour divertir les cadres de Monsieur Yamamoto, donc tu n'as pas besoin d'habits, salope. »

Lola suivit le Maître. Elle reconnut la salle de réception de la veille. Les hommes qu'elle avait sucés la veille étaient attablés et prenaient leur petit-déjeuner. Lola et le Maître Shibari montèrent sur l'estrade. Un portique était installé sur la scène. Le Maître guida Lola sous le portique lui demanda de se mettre au sol sur le ventre jambes repliées sur celui-ci. Le Maître opéra alors un bondage en ligotant ses jambes et reliant les cordes sur son torse. A l'aide d'une télécommande, le Maître fit descendre deux chaînes et les relia à deux endroits différents du bondage. Lola s'éleva doucement dans les airs. Elle sentit alors sa chatte s'humidifier et son anus s'ouvrir lentement. Lorsqu'elle fut au niveau du visage du maître, celui-ci lui posa un ball-gag formé d'un anneau qui lia derrière la tête de Lola. De la salive commença alors à former un filet qui tomba lentement vers le plancher de l'estrade. Les cadres de l'entreprise japonaise regardaient Lola geindre dans ses cordes. Le maître Shibari faisait tourner de temps en temps les chaînes pour que les convives puissent voir Lola sous différents angles. Certains quittaient leur table pour prendre quelques clichés avec leur portable dernier cri.

Monsieur Yamamoto monta sur l'estrade et prit le micro :

« Mes chers collaborateurs, vous avez tiré ce matin un numéro. Celui-ci est votre ordre de passage. Lola, que vous connaissez déjà par ses talents de suceuse de queues, surtout les vôtres!!!!, sera maintenant à votre disposition. Je vous ai déposé quelques petits ustensiles pour lui prouver qui est le Maître à bord.... Messieurs! Je vous en prie! Que celui qui a tiré le numéro 1 vienne sur l'estrade et se serve. Et pas plus de 1 coup. »

Le cadre qui avait tiré le numéro 1 se leva de table et monta sur l'estrade. Monsieur Yamamoto parla discrètement à l'oreille de son collaborateur qui acquiesça d'un signe de tête. Son patron s'éclipsa pour s'assoir dans un coin de la scène et être aux premières loges pour observer Lola être soumise à ses nombreux collaborateurs.

Le cadre s'approcha de Lola qui présentait ses attraits largement ouverts, une chatte lourdement annelée et une paire de fesses qui invitaient au sexe sans limites...Il dégrafa son pantalon qui tomba à ses pieds, baissa son caleçon et enfourna son sexe tendu dans l'anus ouvert de Lola qui grommela dans son ball-gag. Le cadre limait sans vergogne le cul de Lola. Les anneaux de ses lèvres cliquetaient sous les assauts de l'homme. Il déchargea dans un râle continu et laissa ramollir son sexe avant de le sortir du fondement de Lola. Le cadre se rhabilla et prit alors la cravache qui se trouvait dans un carcan en cuir. Il leva le bras et la cravache s'abattit sur les fesses suivi d'un cri étouffé. Une trace rouge zébra les fesses de Lola qui éructait bruyamment l'air de ses poumons pour atténuer la douleur qui lui montait au cerveau, ce cerveau qui lui annonçait que chaque convive allait l'enculer et lui battre les fesses...

Le second cadre monta les marches d'escalier après avoir salué son collègue comme l'aurait fait un samouraï. Il se passa la langue sur la lèvre inférieure en voyant cette paire de fesses zébrée et cet anus luisant qui palpitait de temps à autre. Il descendit sa braguette et se positionna derrière Lola pour lui pénétrer le cul. Une fois sa sodomie terminée, le cadre prit en main un martinet à neuf brins et asséna un violent coup dans un mouvement de bas en haut atteignant la chatte de Lola qui hurla dans son bâillon. Sous la douleur son anus s'ouvrit et du sperme coula pour tomber sur le sol.

Le troisième cadre arriva alors sur l'estrade. Le ballet ne faisait que commencer.

Lorsque le dernier cadre cravacha les fesses de Lola, elle n'était plus qu'une loque qui se balançait au bout de ses deux chaînes. Un filet de sperme coulait de son cul et une énorme flaque de sperme se trouvait sur le sol de l'estrade. Le Maître Shibari descendit le corps de Lola au sol et le délia de ses cordes. Il releva le corps de la pauvre Lola et la conduisit vers sa chambre. Il enduisit les fesses de Lola d'un onguent et toutes les parties du corps qui avaient essuyées les coups de la part des cadres.

Pendant ce temps, au manoir, Maître Alexandre était au téléphone avec un homme qui souhaitaient louer Sweet Pussy et N°1.

Les deux esclaves, quant à elles, étaient sur leur traditionnelle chaise et travaillaient l'élasticité de leur cul et de leur chatte à une exception prêt. Elles n'étaient pas liées à la chaise, Momo et Adil les coachaient au rythme d'une musique africaine. Elles devaient monter et descendre sur les plugs métalliques. Les muscles de leurs bras et de leurs cuisses se contractaient lorsque leurs orifices montaient sur la longueur du plug. Depuis plusieurs jours, elles avaient une heure d'entraînement matin et soir sur cette chaise. Et on commençaient à voir saillir leurs muscles fessiers et leurs biceps. Lola aussi avait commencé cet entraînement mais il avait été interrompu par son « prêt » à l'industriel japonais.

« Bonjour Monsieur. »

« Bonjour. J'ai vu sur votre site internet vos trois gonzesses à louer. c'est combien pour une journée? Et elles font vraiment tout ce qu'elles ont dit dans l'annonce? »

« Oui Monsieur, la fille est à 2000€ la journée et elles font tout ce que vous leur demanderez, je vous le garantis à 100%. »

« Houlà , ça fait cher pour une journée!Et si je vous prends les deux, vous me faîtes un prix? »

« Bon, si vous prenez les deux en même temps, je vous les fais à 3500€ la journée. »

« Ok, je vous prends les deux alors mais vous me les amenez vous -même à la résidence. Je les voudrais demain mercredi. »

« Où habitez-vous Monsieur, j'espère que ce n'est pas trop loin. Donnez-moi votre adresse et je serai à votre porte à 09h00 mercredi. Vous les aurez jusqu'au lendemain 09h00. »

« Ce n'est qu'à une quinzaine de kilomètres de Liège dans la forêt ardennaise. Je réside à WEGIMONT, chaussée de Wégimont, vous ne pourrez pas rater ma résidence....c'est le château de Wégimont. »

« Oh, pardonnez-moi Monsieur de Wégimont. A demain. »

Maître Alexandre raccrocha et se rendit au sous-sol. Il pénétra dans le donjon souterrain que Maître Tumba avait aménagé. Il vit alors un spectacle qui le stoppa net. Momo et Adil besognaient Sweet Pussy, Mondher et Auguste s'occupaient de N°1. Les deux esclaves avaient le cul et le sexe comblés par les mandrins de bonnes dimensions. Elles étaient secouées comme des cocotiers. Les six corps étaient en sueur sous l'effort sexuel. De temps à autre, Adil fessait Sweet Pussy en entrant sa bite dans l'anus de l'esclave alors que Momo lui pinçait les tétons. Sweet Pussy jouissait de plaisir car une flaque de cyprine se trouvait au sol, elle criait aussi de douleur.

« Putain, elle coule de la chatte cette salope, elle me mouille les cuisses. »

« Hum, hum.... »

« Ca va chef! » Dit Momo tout en limant le sexe de Sweet Pussy.

« Finissez vite car elles partent en location demain pour une journée alors il faut qu'elles se préparent. »

« Ok chef. Laissez-nous encore quelques minutes pour bien les baiser et on vous les laisse. »

Les deux corps tatoués sursautaient toujours sous les assauts des quatre sexes qui entraient et sortaient des orifices de Sweet Pussy et de N°1. Maître Alexandre sortit de la pièce et en profita pour fumer un cigare, appuyé sur le mur du couloir écoutant ses deux esclaves ahaner de plaisir pendant les allers et retours des sexes dans leur trous.

Maître Alexandre entendit la jouissance des quatre blacks et les cris des deux femmes. Les corps se désaccouplèrent. Maître Alexandre vit passer ses quatre sbires devant lui se rhabillant tout en parlant d'aller boire une bière après une telle partie de baise. Sweet Pussy et N°1 passèrent la porte. Maître Alexandre stoppa leur pas.

« Contre le mur, les mains sur la tête. »

Sweet Pussy et N°1 obtempérèrent.

« Humm, pas mal ces muscles. »

Maître Alexandre pris entre ses doigts les tétons de Sweet Pussy qui essaya d'amoindrir la douleur qui lui traversait le corps en se mettant sur la pointe des pieds.

« Demain vous partez toutes les deux pour une journée chez un bourgeois en mal de sexe. Je compte sur vous pour donner le maximum et vous faîtes tout ce qu'il demande. Compris!!! »

« Oui, Maître...hiiiiiiii. » fit Sweet Pussy en crispant les traits de son visage sous la douleur.

« A genoux toutes les deux. Sucez-moi la queue. »

Sweet Pussy et N°1 s'agenouillèrent et baissèrent le pantalon de leur Maître. Elles sortirent un sexe tendu comme un arc qu'elles léchèrent avidement. Maître Alexandre était aux anges et souriait tout en tirant sur son cigare. Les deux esclaves faisaient glisser leur langue piercée sur toute la longueur de la bite. Chacun leur tour elles embouchaient le sexe de leur Maître qui les regardait le satisfaire. Elles titillaient le gland en s'embrassant ce qui ravissait leur Maître. Leurs mains expertes branlaient aussi la verge qui gonfla encore un peu plus et des salves de spermes giclèrent sur les deux langues.

« Embrassez-vous et avalez. »

Les deux esclaves s'embrassèrent et avalèrent le sperme de leur Maître. Elles commencèrent à se toucher les seins, leurs mains glissèrent vers leur chatte annelée. Sweet Pussy enfonça ses doigts dans le sexe de N°1.

« Stop. » dit Maître Alexandre qui les arrêta dans leur étreinte effrénée.

« Il faut vous reposer car demain vous aurez une grosse journée. Allez, repos et au pieu. »

Les deux esclaves se levèrent, frustrées mais résignées.

Séance particulière chez un bourgeois

A 07h00, le réveil sonna pour sortir les deux esclaves des bras de Morphée, elles se dirigèrent vers la cuisine. Un copieux petit déjeuner les attendait sur la table de la cuisine.

Elles engloutirent la nourriture et finirent en buvant un bon jus d'orange.

« Allez à la douche, je prépare vos affaires. Pas de papouilles on a de la route. »

Lorsqu'elles sortirent de la douche, leurs affaires étaient prêtes sur les chaises. Elles se séchèrent, se maquillèrent. Sweet Pussy se vêtit de sa combinaison mauve semi-transparante. Elle passa ses pieds dans la combinaison, puis le haut de son corps. Elle prit son sein gauche pour le passer dans l'ouverture pratiquée à cet effet. L'ouverture renforcée par une tube collé sous le latex était plus petite que le diamètre de son sein et Sweet Pussy dut poussersur son sein et tirer en même temps sur le latex pour faire passer son énorme sein au travers de l'ouverture de sa combinaison. Une fois les bras passés, elle prit le cordon pour tirer sur lea fermeture éclair.Elle se chaussa enfin de boots compensés à talons vertigineux, et d'une cape.

« Il n'y a pas de masque Maître? » Demanda N°1.

« Non, je désire que le client voit votre beau diadème sur le front. »

N°1 et Sweet Pussy passèrent devant leur coiffeuse et mirent la dernière touche finale à leur beauté en tirant sur le tube en latex pour tendre leur natte. Sweet Pussy avait toujours gardé la dernière coiffure que lui avait fait Maîtresse Aurore. Elle tira sur ses trente nattes une à une et prit une paire de ciseaux pour égaliser les pointes.

Maître Alexandre entra dans la chambre.

« Montrez-moi ça. »

D'un mouvement ample de ses bras, Sweet Pussy écarta les deux pans de sa cape et dévoila alors son corps moulé dans sa combinaison latex.

Les ouvertures de sa combinaison permettaient de voir les énormes seins annelés de Sweet Pussy. Sa chatte aussi étaient visibles. Maître Alexandre lui fit signe de l'index d'avancer. Et c'est dans un cliquetis d'anneaux qu'avança l'esclave les bras sur les hanches, le regard altier comme celui d'un mannequin, ce qui fit sourire Maître Alexandre et le fit applaudir.

Elles sortirent du manoir suivies par Maître Alexandre et montèrent dans le fourgon avec Momo au volant.

« Allez Momo en route pour Wégimont. »

Le fourgon démarra en direction du château de Wégimont. Trente minutes plus tard, le fourgon passa la grille du château et se stationna devant le perron. Le Maître des lieux descendit les quelques marches pour accueillir son partenaire.

Maître Alexandre descendit du fourgon et ouvrit la porte à ses esclaves. Sweet Pussy et N°1 apparurent alors aux yeux de Monsieur de Wégimont.

« Waouhh, superbe vos putes! Quelles paires de nibards et leurs piercings...Génial. »

Après les quelques formalités d'usages, Monsieur de Wégimont tendit une enveloppe à Maître Alexandre.

« Eh bien, je pense que tout est en ordre Monsieur de Wégimont. Bon amusement. Vous pouvez les utiliser comme bon vous semble mais pas de marque permanentes. A demain même heure. »

Les deux esclaves montèrent le perron et disparurent de la vue de Maître Alexandre qui monta dans le fourgon. Leur cape en latex flottait au vent. Momo démarra, le fourgon sortit de l'enceinte du château.

Sweet Pussy et N°1 pénétrèrent dans une sorte de grand salon meublé de plusieurs sofa et armoires. Au fond de la pièce se trouvait une estrade sur laquelle trônaient une croix de Saint André fixée au mur, des bancs, plusieurs chaînes descendaient du plafond et d'autres engins de torture qui ne laissaient aucun doute sur le programme de la journée de Sweet Pussy et N°1.

« Nos invités ne vont pas tarder à arriver. Vous avez à votre disposition une pièce toute équipée qui vous permettra de vous changer. Vous trouverez donc des affaires pour aguicher mes invités. Allez hop, hop, hop. Je viendrai vous chercher.» Fit Monsieur de Wégimont en tapotant les fesses des deux femmes.

Sweet Pussy et N°1 se dirigèrent vers une porte désignée de l'index par Monsieur de Wégimont, porte située au fond de la scène. Elles découvrirent une chambre équipée pour la beauté de la femme : coiffeuse, douche, dressing, trousse de maquillage, différentes perruques, mais aussi des dizaines de plugs et autres ustensiles sexuels accrochés au mur, près du lit.

Deux costumes d'écolière et deux perruques rose pendaient à une patère et deux paires de babies à semelles compensées avec de hautes chaussettes blanches indiquaient ce qu'elles devraient porter pour aguicher les invités de leur Maître du jour. Elles ôtèrent leurs capes, bottes et combinaisons pour enfiler leur costume d'écolière. Elles attendirent alors que le Maître des lieux daigne venir les chercher. Des voix sourdes venant du grand salon brisaient le silence de la chambre.

Monsieur de Wégimont ouvrit la porte et leur demanda de sortir. C'est sous un tonnerre d'applaudissement que les deux écolières firent leur entrée dans le grand salon. Des hommes et des femmes étaient affalés sur les sofas. Des serveuses versaient du champagne dans des coupes et d'autres passaient avec un plateau à la main et proposaient une coupe aux invités. Sweet Pussy et N°1 ne savaient que faire et attendaient les ordres du châtelain. Il leur intima l'ordre de le suivre et elles furent présentées par le Maître de cérémonie.

« Qui veut être le ou la première à goûter à leurs charmes? »

De nombreuses mains se levèrent mais c'est un couple tout de cuir vêtu qui eut le privilège d'être les premiers à bénéficier des faveurs des deux esclaves.

« Les heureux gagnants sont Gabriel et Natacha.

Les deux écolières descendirent de la scène et allèrent retrouver leurs premiers clients. Le couple souriait à l'approche des esclaves, ce qui rassura Sweet Pussy et N°1 mais ce rire disparut bien vite pour laisser place à deux visages menaçants...

« A genoux les deux putes, mains sur la tête, et on cambre son dos. » Dit la femme en se levant.

Natacha portait une mini-jupe en cuir, un blouson type motard avec des chaînes sur un tee-shirt noir d'un groupe de métal et des santiags avec une pointe métallique. Elle passa derrière les deux filles. Elle pouvait apercevoir la naissance de leurs fesses. Natacha passa sa botte sous la croupe de Sweet Pussy qui sentit le bout métallique toucher son anus et glisser vers les lèvres de sa chatte. Les anneaux tintèrent sur le bout métallique de la botte.

« Ohhh, tu as les lèvres annelées salope. »

« Oui Madame. »

Elle poussa du pied Sweet Pussy qui s'affala sur le sofa et montra alors complètement ses fesses. N°1 fut aussi positionnée de la même manière. Les deux croupes étaient apparentes. Le châtelain amena une énorme suitcase près du couple. Gabriel se retrouva entre les deux esclaves.

« Sucez-lui la bite. » Dit Natacha, qui se dirigeait vers la valise.

Sweet Pussy dégrafa le pantalon en cuir de l'homme et en le baissant sortit un organe déjà bien gonflé. Sweet Pussy emboucha la bite de Gabriel, N°1 la regardait avec envie et poussa Sweet Pussy pour sucer à son tour la bite de l'homme.

Pendant ce temps, la femme sortit de la valise un énorme gode ceinture qu'elle attacha autour de sa taille. Elle se saisit d'un pot de gel et lubrifia abondamment le gode. Pendant que Sweet Pussy avait la bite en bouche, la femme se positionna derrière elle pointa le gode sur l'anus qui bougait devant elle. La femme poussa son gode le tenant avec ses mains dans les entrailles de Sweet Pussy. Lorsque le gode transperça les sphincters, Sweet Pussy ouvrit grand les yeux alors qu'elle avait la bouche pleine de chair. Ses yeux se révulsèrent sous l'intromission. Natacha poussa encore pour enfoncer son gode jusqu'à la garde et posa ses mains sur les hanches de Sweet Pussy.

« On va bien vous préparer pour la suite, vous allez en bouffer de la chatte et de la bite par tous les trous. »

Natacha fit coulisser le gode dans le fondement de Sweet Pussy et commença les allers et retours. Puis elle sortit le gode sans ménagement et se positionna derrière les fesses de N°1.Le trou du cul de Sweet Pussy restait ouvert après une telle première sodomie. Du gel coulait lentement de l'anus de Sweet Pussy vers ses lèvres annelées. Natacha poussa d'une seule traite et N°1 hurla sous l'intromission. Natacha travailla des hanches pour sodomiser l'anus de N°1 et le dilater pour la suite des festivités.

Gabriel soufflait bruyamment, l'orgasme arrivant. Les langues de Sweet Pussy et de N°1 montaient et descendaient sur la tige de chair d'où gicla des salves de sperme blanchâtre qui furent de suite léchées et aspirées par les deux bouches avides de sperme. Lorsque les deux esclaves eurent finies de lécher et de nettoyer méticuleusement la bite, Natacha tira les deux nattes pour leur lever la tête. Les autres convives regardaient ce spectacle sexuel avec avidité. Gabriel se leva et deux mâles, nus, prirent place dans le divan. Natacha relacha les deux nattes et les esclaves se saisirent des bites dressées qu'elles avaient sous les yeux. Deux autres invités se désapèrent rapidement pour ne pas laisser ces deux culs sans chibre. Les mâles en rut pénétrèrent les deux esclaves sans ménagement et les pilonnèrent rapidement. Parfois une main claquait leurs fesses.

Deux paires de mains se saisirent de Sweet Pussy et N°1 pour les emmener vers la scène. Les deux esclaves furent attachées sur les bancs, les fesses bien en évidence, les bras derrière le dos, leurs gros seins bondagés par des cordes, un anneau buccal dans la bouche. Une chaise fut installée devant leur tête. Deux femmes s'installèrent sur les chaises et relèvrent leur robe du soir et présentèrent à Sweet Pussy et N°1 leur sexe à déguster. Sweet Pussy vit alors une chatte annelée aux petites lèvres et au capuchon à quelques centimètres de sa langue. Sweet Pussy tira la langue au travers de l'anneau buccal et lécha les lèvres piercées de la femme. N°1 vit aussi le sexe d'une femme s'approcher de son visage. Deux hommes arrivèrent et plantèrent leur bite dans le cul des deux esclaves. Les deux hommes changeaient parfois d'orifice pour se délecter de leur écrin d'amour. Sous les caresses buccales des deux esclaves, les femmes jouirent bruyamment. La chatte léchées par N°1 coula abondamment et la femme bloqua la tête pour qu'elle boit sa jouissance. Les deux hommes ne furent pas en reste et éjaculèrent dans le fondement qu'ils enculaient.