Kidnapping et Soumission Tome 13

BÊTA PUBLIQUE

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Sweet Pussy et N°1 avaient à peine les orifices libres que deux nouveaux mandrins vinrent les combler et deux nouvelles dames s'installèrent sur les chaises pour se faire brouter le minou. Sweet Pussy et N°1 léchèrent donc les deux nouvelles chattes. Cette fois, les deux sexes féminins avaient une toison et sentaient quelque peu la mer. Mais les esclaves furent obligées de lécher ses chattes odorantes. Les deux hommes derrière elles les enculaient violemment et les fessaient de temps à autre pour sentir l'anus se resserrer autour de leur pine.

Tous les convives se soulagèrent sur les langues ou dans les orifices des deux esclaves. Mais le Chatelain avait décidé de les laisser attachées sur les bancs. Il monta les quelques marches de la scène tenant en main une cravache main.

Sweet Pussy et N°1 commencèrent à s'agiter dans leurs liens en voyant l'objet qui allait zébrer leur peau. Le Maître des lieux passa derrière les deux esclaves et tapotait toujours la cravache dans une main. Il leva le bras et :

« Haaaaa!!!! » hurla Sweet Pussy.

Elle serra les dents et ferma les yeux pour atténuer la douleur qui lui traversait le corps. N°1 attendait avec appréhension à recevoir la cravache. Mais même avec cette appréhension, elle serra aussi les dents lorsque la cravache s'abattit sur ses fesses tatouées.

« Juste un coup pour que vous sachiez ce qui vous attend tout au long de cette journée. On va maintenant changer de calibre. Vous avez vidé les couilles de mes invités, donc vous allez maintenant faire le spectacle pendant qu'ils rechargent leurs batteries. »

Monsieur de Wégimont détacha ses deux esclaves d'un jour.

« Redressez vous et déshabillez-vous ici. »

Sweet Pussy et N°1 se retrouvèrent nues. Les invités se délectaient à la vue de ces deux corps tatoués, avec des seins proéminents, des piercings épais traversant leurs tétons et leurs seins, et leur sexe équipés de lourds anneaux faisant pendre leurs lèvres. D'un signe de la main, deux invités se dirigèrent vers la pièce située au fond de la scène. Ils revinrent quelques minutes plus tard avec les bras chargés de vêtements qu'ils déposèrent en deux tas sur la scène. Les deux esclaves virent que les vêtements étaient en latex.

Quatre femmes montèrent sur l'estrade et formèrent deux binômes s'approchant des deux tas de vêtements.

« Ces personnes vont vous habiller pour votre prochaine prestation. »

Les femmes prirent d'abord une combinaison en latex et s'avancèrent vers les deux esclaves. Sweet Pussy et N°1 levèrent la jambe droite et enfilèrent la seconde peau qu'on leur présentait. Les combinaisons avaient des ouvertures à l'endroit des seins mais ceux-ci ne passaient pas par les ouvertures, leurs fesses étaient aussi visibles. Les femmes passèrent les bras des esclaves dans les vêtements. Les quatre femmes s'approchèrent de N°1, deux d'entre elles tirèrent sur l'ouverture droite renforcée par un tube, les deux autres sur l'ouverture gauche pour les passer autour des seins. N°1 vit alors les deux ouvertures glisser sur la peau de ses seins et passer derrière ses piercings les traversant. Les deux paires de mains lachèrent la mince épaisseur de latex.

N°1 sentit alors l'ouverture comprimer ses énormes nibards et couina sous la pression du vêtement. Ses seins étaient déformés et ressemblaient à deux fruits gorgés de jus prêts à exploser. Sa chatte aussi était apparente. Les quatre femmes délaissèrent N°1 et s'occupèrent de Sweet Pussy. Ses seins furent comprimés de la même manière que N°1.

Les femmes reformèrent des binômes et prirent chacun corset et les passèrent autour de la taille des esclaves. Les femmes tirèrent violemment sur les lacets des corsets et les deux esclaves eurent le souffle coupé. Des gants et des boots vinyle vinrent compléter leur tenue. Un masque avec des boucles de ceinture fut posé sur leur tête. Celui-ci laissait la vue libre, avait aussi deux trous aux narines, une ouverture pour passer leur tresse et une ouverture au niveau de la bouche. Un collier renforcé par des baleines et un vérin fileté fut posé autour de leur cou.

Natacha leur ordonna de sassoir à même le plancher de la scène. Elles croisa les jambes de Sweet Pussy et les ligota avec un brin de corde, puis elle s'occupa de ses bras et les attacha dans le dos. N°1 se retrouva avec les membres attachées de la même façon. Natacha prit une télécommande en main. On entendit un bruit de moteur. Un palonnier descendit du plafond, palonnier équipé de chaînes avec à leur bout une manille d'escalade à ouverture automatique. Natacha prit la tresse de N°1 et fit une boucle avec celle-ci. Pour Sweet Pussy, Natacha prit toutes ses tresses en main et en fit aussi une boucle. Elle passa pour finir une manille dans chaque tresse. Natacha reprit en main la télécommande et appuya à nouveau sur celle-ci. Le palonnier s'éleva dans les airs. Lorsque celui-ci tendit les chaînes, Natacha stoppa la montée. Elle fixa à la bouche des deux esclaves un anneau buccal.

Natacha patienta quelques minutes que de la salive coule lentement de leur bouche et appuya de nouveau sur la télécommande. Le palonnier s'éleva alors et décolla les deux esclaves du sol. On entendit alors deux cris étouffés sortir de la bouche des deux esclaves. Leurs yeux étaient exorbités. Tout le poids de leur corps se faisait sentir dans leur tresse. Le palonnier continuait lentement son ascension dans les airs. Natacha stoppa son élévation alors que des femmes tenaient dans leurs bras des sybian machines équipées de plug d'un diamètre imposant.

« Positionnez-les bien au-dessous de leur chatte dans un premier temps. »

Les femmes s'exécutèrent et les sybian machines furent posées sur le sol. Le palonnier descendit lentement avec deux cris sourds. Alors que les corps des deux pauvres suppliciées descendaient lentement, une femme se positionna à côté de chaque machine pour la centrer parfaitement dans leur vagin juste assez pour que le gland du plug pénétre son écrin. L'entrée du vagin de N°1 avala aussi le plug sous la descente du palonnier. Natacha appuya sur la touche rouge de sa commande. Le corps de Sweet Pussy descendait toujours et le vagin de Sweet Pussy glissa sur le plug sous l'œil observateur de la femme.

Après quelques minutes de pose pour que la chatte de Sweet Pussy s'habitue au sexe factice, le palonnier monta alors accompagné du cri de l'esclave. Lors de la descente suivante, Natacha appuya sur la touche jaune et le plug libéra alors des impulsions électriques. Les deux esclaves criaient de plus belles au travers de leur écarteur de bouche, elles plissaient leurs yeux afin d'atténuer la douleur. Un flot ininterrompu de salive coulait de leur bouche. Natacha regardaient les deux femmes souffrir avec un sourire sadique. Les convives étaient tout aussi satisfaits de voir les deux esclaves se tordre de douleur lorsque le gode pénétrait leur chatte et que des impulsions traversaient leur corps.

Après quelques quinze minutes de supplice, Natacha appuya sur sa télécommande et le treuil stoppa ses mouvements de va et vient.

« Mettez-leur la tête en bas, attachez un poids à leur tignasse et enlevez-leur les écarteurs de bouche, je veux les entendre gueuler. » dit-elle en descendant au sol les deux corps.

Deux femmes s'occupèrent de détacher Sweet Pussy et N°1. Elles prirent chacune plusieurs brins de corde et commencèrent un bondage au niveau de leur torse. Puis elles attachèrent à nouveau leur corps au palonnier. Natacha appuya sur sa télécommande. Les deux esclaves s'élevèrent dans les airs mais cette fois la tête en bas jusqu'à ce que le poids ne touche plus terre. Sweet Pussy et N°1 avaient toujours les jambes croisées et ligotées tout en exposant leurs orifices.

Les deux femmes prirent chacune un paddle qu'elles présentèrent aux yeux des deux esclaves.

« Non pitié Madame, je vous en prie pas ça! » Dit Sweet Pussy en voyant l'engin de torture.

« Ta gueule salope. Et appelle-moi Maîtresse Sophie! »

En éructant ses mots, Maîtresse Sophie claqua le paddle sur l'intérieure de la cuisse droite de Sweet Pussy qui cria de douleur. L'autre Maîtresse visa la chatte de N°1 qui hurla longuement comme une bête. Le coup infligé fit gesticulé N°1 et le palonnier bougea. Les poids se mirent en mouvement et extirpèrent des cris de la bouche des deux esclaves. Lorsque le palonnier arrêta ses mouvements de balancement, Maîtresse Sophie abattit à son tour le paddle sur l'énorme sein droit de Sweet Pussy qui remit en mouvement le palonnier et les cris reprirent.

Le supplice des deux esclaves dura plus d'une demie heure. Les deux Maîtresses s'en donnèrent à cœur joie, le paddle claquait sur la peau des esclaves et laissait des traces rouge vif sur leurs fesses, leurs seins, leur sexe . Elles doigtèrent violemment leurs orifices, enfoncèrent des godes de plus en plus gros. Elles tirèrent sur les piercings de leurs lèvres vaginales. Sweet Pussy et N°1 reçurent de multiples coups de paddle sur leurs lèvres annelées. Elles poussaient des cris bestiaux qui auraient fait peur à un ours. Leurs seins étaient boursoufflés, rouge cramoisi, tout comme leurs fesses. Et leur chatte était monstrueuse. Du sang coulait de leurs piercings, leurs lèvres vaginales étaient énormes.

Natacha descendit le palonnier, les deux corps meurtris s'affalèrent sur les planches de la scène. Les convives applaudirent longtemps. Les deux Maîtresses firent une révérence sous ce tonnerre d'applaudissements. Monsieur De Wégimont monta sur l'estrade :

« Allez les putes, vous allez sucer une nouvelle fois tous mes invités sans exception et vous y allez à 4 pattes comme des chiennes que vous êtes!»

Sweet Pussy et N°1 se relevèrent difficilement et firent un oui de la tête. Les deux esclaves descendirent 4 quatre patte comme ordonné, les quelques marches de l'estrade puis se dirigèrent vers les invités qui attendaient. Certains avaient déjà sorti leur organe. Les hommes entretenaient leur érection et les femmes se caressaient le clitoris ou les lèvres afin d'être bien excitée. Les deux esclaves se dirigèrent vers leurs premiers clients, assis tous deux dans un canapé. Une main saisit la bite bien tendue tandis que la langue lécha avidement le membre.

Cette langue piercée qui glissait sur le chibre de l'homme ne faisait qu'augmenter le désir de celui-ci. Pendant que Sweet Pussy suçait langoureusement la bite du Maître, les invités avaient une vue imprenable sur les fesses rougies par la correction reçue il y a peu. Sweet Pussy écartait ses cuisses car ses lèvres vaginales gonflées lui faisaient mal. Une Maîtresse caressa ses fesses et ses seins, ce qui ne fit que relancer la douleur comme si des aiguilles lui traversaient le corps. Ses yeux se révulsaient sous ce contact.

Il ne fallut que quelques minutes pour que ce membre tapisse le palais de Sweet Pussy de sa semence gluante. Sweet Pussy sentit les salves sortir du méat et se déposer lentement comme de la lave sur sa langue. Elle ouvrit la bouche et montra au Maître qu'elle avait toujours en bouche le produit de sa jouissance.

« Avale, petite chienne! » Dit le Maître.

N°1 suçait aussi les invités l'un après l'autre et avalait le sperme que les chibres lui fournissaient. Parfois l'un des invités l'enculait. La sodomie qu'elle subissait la faisait hurler suite à la sévère correction de ses fesses mais son tourmenteur n'en avait cure et lui enfonçait son membre tendu aussi loinqu'il pouvait dans ses entrailles. Lorsque tous les invités furent repus, le châtelain emmena Sweet Pusy et N°1 dans leur chambre. Il ferma la porte à clé en sortant. Les deux esclaves vécurent une nuit difficile, les draps leurs rappelèrent que leurs fesses et leurs seins étaient tuméfiés.

Le lendemain à 09h00, le fourgon de Maître Alexandre était au pied du perron. Les deux esclaves sortirent du château vêtues de leur cape. Elles descendirent lentement les marches du perron. Monsieur de Wégimont ferma la porte aussi vite qu'il l'avait ouverte, ce qui intrigua Maître Alexandre. Celui-ci ouvrit la porte latérale du fourgon. N°1 s'apprêtait à monter dans le véhicule mais Maître Alexandre la stoppa dans son élan.

« Qu'y a-t-il N°1? »

« Rien Maître. »

« Ouvre ta cape. »

N°1 obéit à son Maître et d'un geste de ses bras ouvrit les pans de sa cape pour montrer son corps meurtri. Ses énormes seins portaient des marques allant du rouge cramoisi au bleu violacé. Ses tétons étaient énormes suite aux coups de paddle.

« Sweet Pussy, ouvre ta cape. »

Sweet Pussy obtempéra et montra aussi ses seins encore tuméfiés et pivota sur elle-même pour offrir ses fesses rouges aux yeux de son Maître. Maître Alexandre souffla et se couvrit les yeux .

« Montez, on s'occupera de cela au manoir. »

De son côté, Lola commençait son troisième jour de location par une balade en voiture. Lola ne portait en tout et pour tout qu'une perruque rose sur le crâne. Le cortège de véhicule se gara le long d'un mur alors que celui de Lola entra par le portail. Le Maître Shibari fit descendre Lola et l'emmena de suite dans la bâtisse. En franchissant la porte, Lola vit un banc équipé d'anneaux au milieu d'une pièce dont le sol était couvert de paille. Le Maître Shibari attacha Lola sur le ventre de façon à ce que ses orifices soient dégagés. Lola n'attendit que quelques minutes avant que tous les invités de Monsieur Yamamoto pénétrent dans l'étable et se mettent en demi-cercle autour de l'attraction. Tous regardaient le corps tatoué de Lola et les énormes seins qui pendaient de part et d'autres de la planche sur laquelle reposait le torse de Lola. Ses lèvres annelées pendaient et son trou bistre s'ouvrait et se refermait légèrement suivant le rythme de la respiration de Lola.

On entendit alors quelques aboiements venant de la cour. Lola comprit alors pourquoi elle était attachée et se débattit en criant qu'on la libère de ses liens. Monsieur Yamamoto fit un signe en direction du Maître SHibari. Celui-ci se dirigea vers l'établi et prit une cravache qu'il donna à l'industriel asiatique. Ce dernier se positionna derrière Lola qui criait toujours de la relâcher. Il ascéna alors un coup violent qui zébra les fesses offertes. Lola hurla, contracta ses fesses sous la douleur et se tut immédiatement pour éviter un autre coup. L'homme tenant le chien en laisse entra dans l'étable.

« Assis César. » Dit l'homme.

« Bonjour Monsieur De Kerk. Tout est prêt pour notre attraction? »

« Oui Monsieur Yamamoto. J'ai tout ce que vous m'avez demandé, chien, âne, cheval, poney. Ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude des demandes ultra-perverses. Vous aurez un beau spectacle.

« Alors, on commence par le chien. »

L'homme sortit de sa poche une bombe aérosol qu'il pulvérisa sur les fesses de Lola. Elle eut un tremblement lorsque le spray toucha sa peau zébrée. Le chien sortit sa langue et lécha les trous de Lola. Il remuait la queue et se cambra sur ses pattes arrières tirant sur sa laisse. Le fermier laissa son chien poser ses pattes avant sur les épaules d'une Lola, résignée, attendant calmement l'accouplement bestial. Les invités et Monsieur Yamamoto ne bougeaient pas d'un yota, les yeux fixés sur la croupe de l'esclave. Le chien trépignait d'impatience et avait son sexe sorti de son fourreau. Le fermier dirigea le sexe de son chien vers la vulve de Lola qui fut pénétrée d'une facilité déconcertante. Le chien allait et venait dans le sexe de Lola qui le sentit le sexe gonfler dans son vagin. Soudain, le chien se fixa.

« Voyez, il est en train de remplir sa chienne. »

La remarque du fermier fit éclater de rire les spectateurs. Le chien prit peur et lâcha sa femelle. Un flot de sperme canin dégoulina de la chatte de Lola. Les invités et Monsieur Yamamoto applaudirent à l'unisson. L'homme tira sur la laisse et sortit de l'étable avec son chien. Il revint quelques minutes plus tard tenant par la bride un âne. L'homme promena son âne juste devant le visage de Lola ainsi qu'aux asiatiques.

« Voici Martin. »

« Non, pas ça pitié!!! » Eructait Lola à tue-tête.

Un coup de cravache sur sa croupe lui rappela de ne plus interrompre l'attraction de son Maître temporaire.

« Suce-le Salope et mets-le en forme. » Dit calmement Monsieur Yamamoto.

On approcha le sexe de Martin de la bouche de Lola qui suça tant bien que mal la bite surdimensionnée de l'animal. Le sexe grossissait à vue d'œil et l'âne Martin manifestait son plaisir par des coups de sabots sur le sol. Lola opérait sa fellation aussi bien qu'elle le pouvait du fait de sa position. Elle en perdit même sa perruque. L'âne éjacula et Lola prit la semence animale dans la bouche, sur le visage et sur le crâne. Le fermier tira son âne vers la sortie de l'étable.

Lola toussait et avait le visage maculé de liquide séminal qui coulait lentement vers le sol. Des bruits de sabots ferrés brisèrent le silence pesant dans l'étable.

« Je vous présente Ciel d'Azur, mon étalon dressé pour les salopes. » Dit le fermier.

Lola essaya à nouveau de se débattre. Elle savait qu'elle allait souffrir et grommelait dans son bâillon. Le fermier posa un tapis de mousse sur le dos de Lola. Il branla le sexe de son animal et couvrit le sexe du cheval d'un préservatif. L'équidé se cambra pour enjamber le corps de la pauvre esclave. Ciel d'Azur pénétra l'anus de Lola qui baragouinait dans son bâillon des mots incompréhensibles. Le cheval allait et venait dans le fondement de Lola. Les asiatiques étaient tous stupéfaits, Monsieur Yamamoto s'était placé devant Lola et regardait son visage pendant l'assaut de l'équidé. Lola fixait son Maître temporaire et fermait les yeux lorsque le sexe chevalin s'enfonçait au plus profond dans ses intestins. Le visage de Monsieur Yamamoto exprimait un rire sardonique. L'équidé s'immobilisa pour éjaculer dans sa jument factice puis se désaccoupla. Le fermier retira la capote du sexe de son cheval et la tendit à l'industriel asiatique. Lola vit alors devant ses yeux embrumés le préservatif plein de liquide séminal.

« Ouvre ta gueule salope. » Ordonna Monsieur Yamamoto.

Lola tendit le cou et ouvrit servilement la bouche. Le japonais présenta la capote et la vida dans la bouche de Lola qui avala le sperme du cheval. Lorsque le préservatif fut vide, le japonais applaudit la performance de son esclave, tous ses invités l'imitèrent. Lola, quant à elle, avait la tête baissée. Son corps n'avait plus aucune force pour maintenir ses membres. Elle était complètement vannée.

L'industriel japonais claqua des doigts et le Maître Shibari détacha Lola du banc. Il traîna son corps hors de l'étable et traversa la cour de la ferme pour le déposer devant une sorte de bassin de décantation. Monsieur Yamamoto et ses cadres sortirent pour se regrouper près de Lola.

« Allez, rampe comme une larve, espèce de roulure et avance vers la voiture. Ta journée sera finie. » Ordonna le « Maître de cérémonie ».

Lola se releva lentement sur ses bras et avança péniblement sur ses coudes en poussant avec sur ses jambes. Les mouvements des jambes et de son bassin lui extirpaient des gémissements dus aux intromissions bestiales qu'elle avait subie. Lorsqu'elle atteignit la rampe du bassin, ses coudes s'enfoncèrent légèrement dans la terre. A mesure qu'elle avançait, la terre se transforma en boue. Son corps en fut recouvert et elle eut de plus en plus de difficulté à avancer, comme si elle faisait deux pas en avant pour reculer d'un pas. Fatiguée, Lola fit une pause pour souffler. Son assistance commença à l'encourager par des applaudissements rythmés.

Mais c'était sans compter la fibre managériale de Monsieur Yamamoto qui, lui, l'encouragea d'une autre manière...

« Ahhhhh! » Fit Lola en aplatissant ses fesses dans la boue.

Monsieur Yamamoto venait de lui cravacher les fesses pour la faire avancer plus vite. Un second coup cingla la paire de globes tatoués. Lola s'affala dans la boue et son visage s'écrasa dedans. Elle se releva pour en finir avec cette dernière attraction et prit ses dernières forces pour traverser cette fange. Le Maître Shibari attendit qu'elle arrive à la voiture.