La petite chienne de Maîtresse P. 16

Informations sur Récit
Gina continue à se faire mutiler pour le plaisir de Mistress.
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Partie 16 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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-Que voilà encore une bonne réponse ma Gina, tu m'en vois toujours ravie. Alors voilà, j'ai contacté récemment un chirurgien orthopédiste, encore une fois grâce à Charles, pour en discuter. Il m'a dit que c'est une opération tout à fait faisable. Il pourrait opérer tes chevilles, afin de modifier leur positionnement. Il devra scier certains os, réajuster des tendons et mettre quelques vis pour tout remettre en place et bloquer les chevilles en position relevées. Il pourrait ainsi rendre naturel le port d'escarpins de 10 cm, comme si tu étais à plat, ce qui te permettrait de porter facilement ensuite des talons de 14 cm et même monter parfois jusqu'à 18 cm, c'est à dire la cheville quasi verticale. Avec l'entraînement tu apprendras à marcher sur tes orteils lorsque tu devras être pieds nus, c'est tout. Il m'a bien précisé que tu ne pourras plus marcher à plat, que tu seras définitivement condamnée à vivre avec des talons de 10 cm minium, mais que du point de vue strictement esthétique, le résultat est époustouflant.

Imagine comment tu serais ainsi modifiée, avec en plus une poitrine de 2 fois 1000cc qui pointe en avant et toujours posée sur des talons de minimum 14 cm en sortie. Tous les mecs que tu croiserais n'auraient qu'une envie, te sauter, tellement tu serais sexy... ça implique qu'après l'opération tu devras toujours avoir à proximité de toi une paire de chaussures avec des talons de 10 cm, car marcher à plat, comme déjà dit, deviendra impossible ou en tous cas très pénible. Voilà, encore une fois j'ai décidé de te faire subir cette modification physique, pour te rendre encore plus sexy, car c'est mon droit absolu comme tu le sais, mais ça me ferait plaisir d'avoir ton assentiment. Alors qu'en dis-tu mon toutou?

-Maîtresse, je trouve l'idée tellement excitante et encore une fois la notion que vous allez modifier irréversiblement votre objet, qui se trouvera encore un plus dégradé, mais tellement encore plus sexy, oui, bien sur que je suis partante. J'aime tellement ressentir ce plaisir de vous voir prendre le vôtre à l'idée de me détruire et de me modifier corporellement chaque fois un peu plus. J'ai très bien compris que le plaisir de la soumise c'est avant tout celui de sa Maîtresse et je ne veux pas vous décevoir.

-Parfait Gina, tu es vraiment parfaite. Prévois alors que nous allons retourner bientôt dans la clinique pour cette intervention. Mais est-ce que tu te rends compte de ce que nous avons déjà fait toi et moi depuis bientôt 6 mois que tu es là? Lorsque tu m'as rencontrés pour la première fois à Lausanne, t'imaginais-tu en être là où tu es aujourd'hui, femelle objet jusqu'au bout des ongles, belle salope percée, avec une paire de sublimes seins en silicone, hormonée et tout le reste?

-Comment pouvais-je? Maîtresse.

-Oui et je sais que tu es infiniment plus heureuse, maintenant dans ta situation.

-Oh, oui Maîtresse, infiniment, c'est le mot.

-Je suis tellement fière de toi ma Gina, que tu acceptes ainsi de te laisser modifier et partiellement détruire par ta divine Maîtresse, en acceptant que le jeune homme indolent que tu étais, se fasse reformater mentalement et reconstruire physiquement en quelque chose de tellement plus plaisant et excitant, en une magnifique sissy pute objet sexuel rendue totalement addicte au sexe vicieux. Tu es le rêve de ta Maîtresse, Gina, un rêve longtemps impossible que j'ai fantasmé durant des années et qui se réalise maintenant au delà de mes attentes les plus folles, les plus indécentes et bientôt les plus obscènes. Pour la toute première fois, elle m'embrassa délicatement, effleurant le bout de mes lèvres rouges avec les siennes. Le délicat contact me fit l'effet d'une décharge électrique et me remplit d'émotion. Allez, monte dans ta chambre maintenant mon petit toutou, ma belle chienne et va continuer à t'exercer à devenir une sublime salope, tu as tout plein de nouveau jolis dessous, encore plus sexy, à essayer. Judith a fait une razzia de dessous sexy sur Aliexpress qu'elle a placés dans une armoire. Je te convoquerai quand ma chatte aura de nouveau besoin d'un petit service.

Ainsi allait ma vie. La semaine suivante, Julien nous conduisit à la clinique où nous fûmes reçus un peu en vieilles connaissances. La clinique du Dr Schulz était parfaite, bien connue dans le milieu interlope des adeptes du bdsm très hard, à l'abri des regards. On y pratiquait des opérations très discrètes, beaucoup de réaménagements corporels imposés par des Maîtres et Maîtresses sur leurs esclaves, bien sûr peu en relation avec une certaine éthique médicale, moyennant quelques compensations financières.

-Encore une transformation? me dit l'infirmière, en esquissant un sourire un peu taquin, qui venait me chercher pour m'emmener dans ma chambre, ta Maîtresse a pris un abonnement à ce qu'il me semble.

-Oui, Maîtresse a encore des projets pour moi.

-Magnifique, quelle super Maîtresse tu as. Tu es son esclave contractuelle?

-Oui absolument, c'est ça, j'ai accepté.

-Oui, je comprends mieux maintenant, tu lui appartiens, c'est ça. En tous cas ce que l'on te prépare va te changer encore plus. Il n'y a qu'un esclave-objet qui peut accepter de telles choses.

Arrivés dans la chambre elle me demanda de me déshabiller et en profita pour admirer et triturer un peu mes seins.

-Ils sont vraiment très réussis, parfaitement positionnés, ça te donne un air de vraie belle salope, en plus si bien décorés. J'adore tes tires-tétons. Le Dr Schulz est un véritable artiste, il fait des merveilles. Tes seins en plastique sont encore plus beaux que des seins naturels, tu devrais en être fière.

-Oui, je le suis dis-je sobrement.

Elle me demanda ensuite de passer une de ces fameuses chemises d'hôpital, très ouvertes ce qui lui permit d'entrevoir ma verge, avec son inscription. Elle la prit dans ses mains, la souleva et lu l'inscription.

-Ah, oui, je vois, très jolie marque d'appartenance que t'as faite là ta Maîtresse, je comprends mieux ton comportement, il me te manque plus qu'une belle marque faite au fer rouge, dit-elle encore avec un sourire moqueur. Elle ne poussa pas plus loin l'inquisition.

A nouveau je dus prendre un puissant sédatif qui m'endormit jusqu'au lendemain matin. Lorsque j'émergeai de mon sommeil j'étais au bloc. L'anesthésiste faisait déjà son travail, j'eu à peine le temps de lui dire bonjour qu'il m'envoya dans les vaps.

Au réveil, j'avais mal aux chevilles, je sentais qu'on les avait maltraitées et que la position n'était pas normale. Je dus rester une semaine avec les chevilles bandées et immobiles, dans mon lit sans pouvoir poser les pieds. Au bout d'une semaine, l'infirmière me débanda mes chevilles, en présence de l'orthopédiste. Je découvrais qu'elles avaient une autre position, penchées en avant. Le médecin les tâta, les fit bouger en me demandant si ça me faisait mal. C'était très supportable.

-Magnifique, dit-il, exactement comme prévu. Jeune fille il y a une paire de mules avec un épais talon en liège de 10 cm au pied du lit, enfile-les stp.

Je m'exécutais, découvrant que j'étais parfaitement à l'aise avec cette hauteur, j'avais l sentiment de marcher à plat.

-Maintenant retire la droite et essaye de mettre un pied par terre.

Je retirai la mule droite et tentai de poser mon pied à plat, en me rendant compte que c'était impossible, cela tendait trop mes mollets, comme si je faisait du stretching. La seule solution était de garder le pied cambré, en m'appuyant sur mes orteils comme s'il était logé dans un escarpin.

-Parfait me dit le médecin, tu peux déjà marcher, mais sans faire trop d'efforts sur tes chevilles durant les trois prochaines semaines, surtout garde bien ta position actuelle et ne cherche plus à te mettre à plat. Tu vas désormais devoir porter ces mules ou toute autre chaussure avec un talon de 10 cm à proximité de toi si tu dois enlèver tes chaussures et donc en avoir en permanence à côté de toi. Mais je te recommande d'éviter le plus possible d'être sans chaussures. D'ici un mois tu pourras commencer à porter des talons plus hauts, jusqu'à 14 cm. Dans deux mois, ta propriétaire pourra sans autre commencer à t'entraîner à porter des escarpins de 18 cm, comme elle l'a souhaité. Je te souhaite bonne chance pour ton avenir ma belle, ravi d'avoir pu te modifier ainsi. Et il quitta la chambre.

Le lendemain Maîtresse vint me chercher avec Julien pour me ramener au manoir. Elle fut absolument ravie du résultat, qui dépassait selon elle toutes ses espérances. Elle me fit marcher et admirer ma démarche.

-Tu marches déjà comme une salope, Gina, très sexy, mais on va encore affiner tout ça à la maison. Et lorsque je te sortirai avec des cuissardes à talons de 18 cm, que tu marcheras avec une démarche ultra féline de pute, bien cambrée avec tes seins de 2kg défiant la gravité, qui t'obligeront à te mettre en arrière et les pointer encore plus en avant, que tu auras bien exercé ta démarche, tu feras un vrai malheur. Je ne te dis pas combien toutes ces opérations me coûtent, mais je suis tellement ravie des résultats sur mon petit esclave objet que je ne regrette rien, bien au contraire.

Le soir, seule dans ma chambre, il m'arrivait occasionellement de cogiter un peu. Parfois mon cerveau se mettait soudain sur le mode rationnel, avec une petite voix qui me parlait, qui me disait que j'étais complètement fou d'accepter ce que Maîtresse me faisait subir, de me laisser ainsi détruire, même modifier définitivement mon corps pour son seul plaisir et me reconditionner en petite sissy femelle esclave obéissante, de renier toute mon éducation, de me culpabiliser en me disant que c'était même peut-être trop tard avec tout ce que j'avais déjà subit d'altérations de mon corps et que je ne pourrai plus jamais avoir une vie normale, me marier, avoir des enfants. Ça me mettait en conflit intérieur, car une autre voix, bien plus forte, me confortait dans ma situation, me rappelait combien j'adorai être ainsi, que je vivais quelque chose d'unique, que Maîtresse n'avait pas seulement révélé mon désir refoulé de féminisation, mais en même temps fait ressurgir en moi mon masochisme latent, les deux allant bien sur de pair ce qui permettait à Maîtresse de me détruire et à moi d'accepter avec bonheur ce désir de destruction que me faisait vivre Maîtresse. Gavée de cialis jour après jour, cela avait comme effet de me maintenir excitée en quasi permanence. Il me suffisait de m'imaginer une scène érotique un peu salace, où on prenait par exemple du plaisir à me faire du mal, à m'humilier, à me dégrader et le feu s'allumait directement dans mon bas ventre, me faisant dresser ma bite. C'était désormais un vrai réflexe de Pavlov, exactement comme lorsqu'on salive à la vue d'un plat de nourriture. J'éprouvais alors cette espèce de fausse peur sourde, indéfinissable mêlée à un intense plaisir érotique qui vous vrille le ventre, et vous emballe le rythme cardiaque, fait monter la chaleur et produit une envie tellement addictive que j'en suis très vite arrivée à vouloir la ressentir en permanence et qui devenait une véritable drogue. La sensation était toujours si bienfaisante que je faisais tout pour la ressentir aussi longtemps que possible et ne plus pouvoir m'en passer. Je vivais ainsi en état d'excitation quasi continue, rythmé par les services sexuels prodigués à Maîtresse. Très vite c'est bien sur cette partie de moi qui faisait taire la voix de la raison et m'enjoignait au contraire à vouloir vivre la vie d'esclave sexuelle soumise, féminisée et masochiste que m'offrait Maîtresse Irina.

Il y avait désormais cinq mois que j'étais arrivée chez Maîtresse Irina, ma vie s'était incroyablement métamorphosée, de manière si totalement inattendue et à laquelle j'avais donné mon assentiment le plus entier. Ma féminisation évoluait à grands pas, j'étais en train de devenir une vraie femme, plus une « femelle » qu'une femme en fait. Le traitement hormonal faisait son effet, je me sentais de plus en plus une belle femme et de moins en moins homme. Maîtresse m'avait faite épiler dans un salon de beauté et mes poils avaient pratiquement cessé de pousser. Parfois il me fallait une petite retouche. Même ma barbe devenait fine et peu visible. Je me sentais aussi différente, plus sensible. Mon caractère avait changé, Judith m'avait tellement bien entraînée à me comporter comme une salope, à être une belle séductrice hyper sexy, dépourvue de toute pudeur et qui s'exhibait avec des attitudes de chienne en chaleur, pour allumer les mecs. Ma gestuelle était devenue très gracieuse, sans doute un peu exagérée et maniérée, comme souvent chez les transsexuelles très féminines, mais qui n'était pas pour déplaire. J'avais à disposition une armoire pleine de magnifique lingerie, exclusivement en matières synthétiques et brillantes, une autre avec des habits à l'avenant. Je m'habillai désormais en permanence comme une pute, je passais tous les matins entre 45 et 60 minutes à bien me maquiller et j'en étais ravie. J'appliquais le fonds de teint à la truelle, les yeux charbonneux, les joues colorées, un rouge à lèvre toujours très vif. Avec mes chevilles modifiées, je marchais en permanence dans des escarpins, des bottines, des bottes ou des cuissardes dotés de talons d'au moins 12 cm. On m'avait imposé une règle, je n'avais pas le droit de retirer mes chaussures, sauf pour aller au lit.

Maîtresse s'absentait plus qu'avant. Avec la Rolls, c'était toujours Julien qui conduisait en uniforme de chauffeur. Maîtresse possédait également une Porche Cayenne pour ses propres déplacements. Lorsqu'elle rentrait, c'était systématique, je l'entendais crier sur le pas de porte de variantes sur le mode :

-Gina, au travail ma chienne, ma chatte est bouillante, elle a besoin d'un orgasme, vite, ça fait trop longtemps que j'attends.

Puis elle s'allongeait sur le sofa, retroussais sa jupe ou baissait son pantalon.

-Commence par bien me lécher, mon toutou, chauffe moi le minou et abreuve toi de mes fluides. Je passais plusieurs minutes, agenouillée, ma tête entre ses cuisses, elle me tenant par ma laisse, à glisser ma langue dans son orifice, à croquer ses lèvres, à aspirer son petit bouton. Parfois elle se laissait jouir ainsi, juste par ma langue. Souvent, elle se lâchait avec son orgasme et m'envoyait un jet d'urine dans la bouche. Avec le temps elle se laissait aller, adorant ça et m'en envoyait de plus en plus, que je devais consciencieusement avaler. Ou alors elle m'interrompait pour que je vienne en elle et la trousser comme elle aimait.

Elle adorait aussi que je lui retire ses cuissardes et que je lui lèche les pieds. Souvent c'est ce qu'elle me demandait après son orgasme. Je retirai délicatement ses cuissardes, j'adorais faire ça, ensuite dérouler et retirer ses bas, en m'attardant sur sa peau si douce, puis prendre un pied odorant, le lécher consciencieusement avant de commencer à prendre les orteils en bouche et les caresser avec ma langue, en l'entendant glousser de plaisir, toujours en me tenant avec la laisse et souvent en m'abreuvant de mots crus sur ma situation du moment, esclave en train de sucer les pieds de sa divine Maîtresse.

Je passais aussi chaque jour un moment au donjon, pour parfaire mon dressage bdsm, apprendre tous les secretes et toutes les subtilités de ces activités, en tant qu'esclave, sodomisée, attachée, cravachée lorsque Maîtresse l'estimait nécessaire, placée dans des appareils de torture, humiliée, obligée de m'adonner à des jeux dégradants. Les fois où elle s'était un peu trop acharnée physiquement sur mon corps et qu'elle voyait des larmes couler, elle venait ensuite me détacher et m'emmener sur le lit en latex pour me cajoler, me serrer, me consoler et me dire que je suis une bonne fille, une parfaite esclave, m'embrasser délicatement certaines parties de mon corps, me dire encore qu'elle est très fière de moi et de ce que je suis capable d'endurer, qu'elle reconnaît adorer me punir, car ça l'excite terriblement, mais aussi qu'elle a besoin de faire ça car c'est nécessaire à mon dressage, qu'elle est obligée et qu'elle ne le fait que pour mon bien. Du reste à ce jour je n'ai encore jamais dit le safe word, le mot de sécurité, ayant toujours réussi à supporter les traitements. Maîtresse m'apprenait aussi à devenir une jouisseuse anale, en me faisant découvrir l'orgasme prostatique.

-Ce sera pour quand je t'aurais définitivement transformée et fait de toi la reine des salopes. Elle restait quand même mystérieuse avec ses petites phrases.

Je continuais aussi à poursuivre mon endoctrinement, mon formatage mental de sissy, en m'imprégant tous les jours le cerveau d'images de sissy hypno et en m'abreuvant de vidéos pornos de sissies esclaves, qui avait comme effet de me conditionner à normaliser complètement ces activités dans ma tête et à me démontrer que la vie « normale » c'était de vivre ainsi, par le sexe et pour le sexe, saturée de sperme et strictement rien d'autre. De voir toutes ces belles sissy avaler avec bonheur de telles quantités de bites et se faire littéralement arroser de sperme qu'elle avalent toujours, cela me donnait de plus en plus envie de sucer des bites, je fantasmais de me faire inonder la bouche par des litres de sperme ou d'en avoir dans ma chatte, sous la direction de Maîtresse, mais pour le moment je ne faisait qu'avaler des images et être familiarisée avec le BDSM par Maîtresse.

Malgré cette envie machinale de bites et de sperme, due à mon reconditionnement mental, encore une fois je ne me sentais absolument pas gay. Je continuais à baiser Maîtresse comme toujours, avec bonheur et sans jamais défaillir. Ce qui m'excitait le plus c'était de me sentir femelle jusqu'au bout des ongles avec l'envie viscérale de me faire violer, inséminer, humilier, abuser, utilisée comme un vrai objet sexuel, comme de la pure marchandise à baise, chaque jour, dans le seul but de voir des mecs jouir en moi et y déposer leur production. Mais on m'aurait demandé d'être en garçon et d'avoir un rapport homosexuel classique avec un autre homo, j'aurais fuit. Il me fallait cette ambiance de vice absolu, en femelle, alors là oui, tout était possible de faire sur et avec moi, y compris les choses les plus extrêmes.

Plusieurs foi, Maîtresse m'emmena faire des courses dans le même super marché que la première fois. Désormais je m'assumais beaucoup mieux, bien que le regard des autres me produisait toujours ce mélange de honte et d'excitation délicieuse qui mettait du feu dans mon ventre. Nous étions maintenant désormais, Maîtresse toujours en cuir et moi toujours habillée comme une pute. Maîtresse adorait me voir porter mes cuissardes métalliques, dorées ou argentées, avec la mini et le perfecto assortis, hyper maquillée, toujours avec une touche de vulgarité, avec mes lèvres refaites, le perfecto bien sur ouvert sur un chemisier déboutonné qui laissait pointer mes deux magnifiques globes mammaires, avec le balconnet du bustier à raz les aréoles. Nous étions ensemble, nous nous tenions par le bras et nous donnions l'impression, soit d'être mère et fille, une mère assurément indigne qui ne craignait pas de sortir avec une fille vêtue de la manière la plus indécente et réprouvante possible, soit alors un couple de gouines avec une belle cougar qui se tapait sa jolie petite jeune fille soumise et trop salope. Comme je faisais mes 18 ans, cela faisait bien sur ricaner autour de nous, « une fille si jeune avec des habits qui font aussi vugaire, ça ne se fait pas... », mais Maîtresse m'entrainait ainsi à ne plus en avoir cure et à m'assumer telle que j'étais devenue et qu'elle aimait m'exhiber.

Un mois passa, j'arrivai bientôt au sixième mois de ma « réorientation », une demi année pour être devenue une autre ; méconnaissable, femelle, salope lookée pute, le corps modifié, initiée à tant de choses que je n'imaginais pas, vivant en quasi permanence en état d'excitation sexuelle et dans une ambiance de perversité constante qui agissais sur mon mental comme une véritable drogue. Maîtresse sentait que je m'approchais du but qu'elle s'était fixé lors de notre rencontre.

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