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Cliquez iciUn vendredi matin, Maîtresse Irina voulu encore une fois me parler.
-Voilà Gina, je crois que nous arrivons lentement au bout de ta transformation et de mes objectifs. Je crois que Michel n'existe définitivement plus, qu'il a disparu et que ma Gina, ma Gina Putana, qui porte tellement bien son patronyme l'a remplacé. Michel n'existera plus jamais, tu le sais.
-Oui Maîtresse, bien sur que je le sais.
-Ta transformation arrive au bout, tu es désormais devenue une parfaite petite femelle, comme j'en ai tellement rêvé. Tu n'es plus une travestie comme au début, mais tu es devenue une vraie transexuelle, tellement féminine que plus personne ne doute de ton genre. Même si Charles me dit que le protocole nécessite de poursuivre encore les hormones jusqu'à 10 mois, pour achever ta transformation définitivement je te trouve déjà prête pour de nouvelles découvertes. C'est le moment pour toi de plonger définitivement dans un nouveau monde qui sera fait de débauche sexuelle, en tant que sublime petite traînée, ultra sexy, chienne et salope totalement soumise et ouverte à tous les abus et que je vais te faire bientôt connaître. Jusqu'à ce jour je t'ai préservée, car je voulais que tu soies parfaitement préparée pour franchir cette ligne rouge à laquelle je te destine, qui te plongeras définitivement dans une nouvelle existence, une existence faite de perversité, de vice, de sexe, de libertinage, de dévergondage, de dégradation, de débauche, de sexe, que de sexe. Ta vie va devenir une vie de débauche sexuelle permanente, tu serviras de vide couille, de souffre-douleur, de femme-objet, de domestique pour ton plus grand plaisir et surtout pour satisfaire et combler tes envies masochistes cachées. Avec ton reformatage en sissy-slut, tu vas devenir une telle addicte de ces émotions que tu ne pourras plus jamais t'en passer. La vie normale t'apparaîtra comme fade et sans intérêt.
Elle s'interrompit un moment, je ne dis rien, accusant le coup tout en buvant ses paroles. A nouveau je ressentais cette émotion bienfaisante, cette sensation semblable à de la peur, mais qui n'en est pas, mêlée à une intense excitation, à l'écouter.
- COMMENTAIRES
Anonymeil y a plus d’un anNe vous laissez pas abattre. Le tag a sûrement ramené une communauté néfaste, mais nos commentaires et lectures assidues sont les vrais indicateurs de notre engouement.
"la sapio"
Ginaputanail y a plus d’un anAuteurGros étonnement ce matin au réveil, avec la publication de la 17ème partie. Plus de la moitié de mes histoires étaient gratifiée du logo "HOT", avec une note dépassant les 4.5, attribuée par une dizaine de lecteurs. Ce matin, oh surprise, alors que le nombre de lecteur n'a pratiquement pas changé, env 1300 pour les dernières histoires, la note moyenne tombe soudainement à 3, avec 20 à 30 lecteurs nouveaux qui jugent mon histoire mauvaise... On dirait qu'il y a comme une cabale, certains lecteurs se plaisent visiblement à détruire ce que d'autres avaient jugé initialement plaisant, voir les commentaires positifs reçus. Bien triste.
Ginaputanail y a plus d’un anAuteurBonjour chère lectrice (?) et cher lecteur , merci pour vos commentaires positifs. Je ne m'étais pas attardée sur des bijoux effectivement, j'aurais du, mais pour moi c'était quelque chose d'un peu implicite faisant partie intrinsèque de sa féminisation. Gina doit apprendre à se maquiller de manière assez "voyante", voire limite outrancier-vulgaire, pour être féminine pour elle-même et attirer les regards sur elle lorsqu'elle sort et l'habituer et lui faire assumer ce mélange de sentiments de honte et d'excitation que les regards réprobateurs provoquent immanquablement chez elle. Je lui fais aussi porter de très longs faux ongles, donc forcément teints. On peut anticiper qu'il en va de même avec les ongles des pieds, qui doivent être vernis. Quant aux bagues et autres bijoux, elle a été équipée plus tôt de "décorations corporelles". Des bijoux lourds voyants et de mauvais goût font partie de tout ce que Judith l'oblige à porter lorsqu'elle l'habille de manière à provoquer délibérément. J'aurais effectivement du plus l'évoquer.
Anonymeil y a plus d’un anBonjour Gina Putana, merci de ce beau texte, je pensais justement aux pieds de « Michel ». Met – il du rouge sur ses ongles de pieds et de mains ?
Sa Maîtresse lui offre – t – elle des bagues pour les orteils comme récompense ?
Au plaisir de vous lire !
