Les plaisirs d'Anna -- 10 (surprises)

Informations sur Récit
Une suprise pour Anna et une autre pour son mari.
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Partie 10 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Depuis bientôt deux ans, c'était le calme plat dans les relations sexuelles d'Anna. En effet, après deux expériences qui ne l'avaient pas totalement satisfaite, elle avait décidé de faire une pause. Pendant la première, où elle avait joué le rôle d'une call-girl, elle s'était sentie dévalorisée. Lors de la seconde, avec un partenaire connu via un club de rencontres, elle avait craint de se mettre en danger en allant trop loin dans une relation dure. C'est ce qu'elle avait expliqué à Jules, son mari. De plus, elle lui avait dit regretter, en étant sous contraception, de ne plus ressentir le frisson du risque qui l'excitait tant. Revenir, de sa part, à de la drague avec une relation sexuelle à la clé, comme elle l'avait fait au début, n'était pas envisageable non plus pour Anna, car elle risquait encore de tomber amoureuse, comme cela s'était déjà produit, mettant gravement son couple en danger.

Pendant cette 'pause', les deux époux s'étaient sentis très frustrés. Anna n'avait plus comme seul plaisir que les caresses de son mari, donc rien de plus que le cunnilingus qu'elle lui autorisait. Même si Jules était assez adroit dans ce domaine, Anna restait cependant insatisfaite. Comme le petit sexe de son mari lui faisait vraiment peu de bien, elle lui refusait toujours la pénétration et se contentait de le masturber rapidement, quand il ne pouvait plus tenir. Jules était donc aussi frustré qu'Anna, si ce n'est plus encore. Le seul point positif pour elle avait été l'arrêt de toute contraception, lui évitant ainsi quelques désagréments liés à des effets secondaires de la pilule. Elle ne prenait d'ailleurs aucun risque, vues les relations limitées qu'elle avait avec son mari.

C'est dans un état commun de manque que se trouve le couple, ce vendredi soir. C'est aujourd'hui l'anniversaire d'Anna qui fête ses 32 ans. Jules, qui a bien senti la frustration sexuelle de son épouse, a pris sur lui d'organiser quelque chose pour elle dans ce domaine, ce soir. Il s'était dit que cela serait aussi un plus pour lui, même si son rôle se cantonne, comme il le craint, à celui d'un voyeur.

Ce matin, Jules, après avoir donné à Anna son cadeau, lui a dit :

« Ma chérie, pour ton anniversaire, tu auras également une surprise, ce soir. »

Pendant toute la journée, Anna n'a cessé de questionner son mari pour savoir de quoi il s'agit, mais Jules n'a rien voulu dire. Elle voulait savoir si ils sortaient et, dans ce cas, comment elle devait donc s'habiller. Jules n'a répondu à aucune des questions d'Anna et ce n'est qu'après le dîner que Jules lève un coin du voile en lui disant :

« Ce soir, je t'offre une longue séance de massage, qui commencera par quelque chose que tu connais. La suite te surprendra. »

Jules voit qu'Anna apprécie, mais son regard traduit une certaine inquiétude à propos de cette fameuse 'suite'. Elle le questionne encore, mais Jules répond seulement :

« Tu verras bien. C'est une surprise. »

Puis il ajoute :

« Le masseur ne va pas tarder à arriver. Tu devrais aller prendre une douche. Le début sera un massage californien, donc reste nue sous ton peignoir de bain et prévois une grande serviette. »

Quand Anna s'en va vers la salle de bain, Jules se demande si il a bien choisi. Il s'inquiète un peu, mais se dit qu'il doit avoir fait le bon choix. Il a passé beaucoup de temps pour trouver un masseur qui convienne. Jules voulait qu'il puisse plaire à Anna, physiquement, qu'il paraisse doux et qu'il n'ait pas de contrainte de temps pour cette soirée. Il s'était mis d'accord avec lui sur la suite du massage, la partie qui devrait surprendre Anna.

Anna est encore sous la douche lorsque le masseur arrive. Jules lui fait de la place, pour qu'il puisse poser au sol un grand futon. Le masseur installe également, sur la table basse, un petit système audio de bonne qualité, qui diffuse une musique indienne, très douce. Jules ne laisse allumées que les deux faibles lampes dans le séjour, pour une ambiance tamisée.

Quand Anna revient, pieds nus, couverte de son peignoir de bain, elle découvre en face d'elle, un homme d'un bonne cinquantaine d'années, assez grand et à l'allure très sportive. Dans le regard de sa femme, Jules voit qu'il a bien choisi, d'autant plus qu'elle a repéré tout de suite les yeux bleus. Jules fait immédiatement les présentations :

« Annie, voici Serge, ton masseur. »

Leurs yeux sont un instant comme accrochés, ce qui fait dire au masseur :

« Vous avez un beau regard, un peu... comment dirais-je... coquin. »

Anna n'a rien à répondre et se contente de rougir en entendant cela. C'est seulement Jules qui intervient en disant :

« Ah, vous l'avez remarqué? C'est bien vrai. »

Le masseur prend alors la serviette des mains d'Anna et l'étend sur le futon, puis il lui fait face de nouveau et prend les bords de son peignoir dans ses mains, juste sous son cou, en lui disant :

« Nous commençons par un massage californien. Je suppose que vous connaissez déjà la tenue qui convient. »

Sa phrase n'est pas terminée que, déjà, ses deux mains écartent largement le peignoir, mouvement qu'il ponctue par :

« Il n'y a pas que le regard qui soit intéressant. »

C'est de nouveau la rougeur qui envahit le visage d'Anna et elle coupe court en allant s'allonger sur la serviette, sur le ventre. Jules sais qu'elle a été sensible à ce compliment et il imagine que l'érotisme de la situation a peut-être déjà fait mouiller un peu la chatte de sa femme. En ce qui le concerne, avoir vu cette courte scène lui a déjà donné une belle érection. Son sexe est bien à l'étroit dans son pantalon.

Le masseur se déshabille alors, ne gardant sur lui qu'un boxer. Jules a vu Anna tourner furtivement la tête pour regarder l'homme qui va la masser. Elle a constaté sa parfaite musculature et a la bosse de son sous-vêtement. Anna espère qu'il n'a pas remarqué sa manœuvre. Elle ferme les yeux, attendant le contact, mais c'est à ce moment que le masseur lui dit :

« Madame... ou plutôt... Anna, je crois que votre mari voudrait assister au massage. Faites-lui donc ce plaisir. »

Anna murmure un « oui » que l'on entend à peine.

Jules vient alors placer un fauteuil à côté du futon, près des pieds de sa femme, car il a pensé qu'elle préférerait ne pas le voir pendant cette phase. Il s'y installe, dégrafant sa ceinture, car il sait qu'il va avoir besoin d'un certain 'confort' lorsqu'il va la regarder.

Anna attend un contact imminent et pourtant elle sursaute lorsqu'elle sent l'huile couler sur son dos, jusqu'à ses reins, puis les deux mains du masseur l'étaler doucement, comme une caresse.

Anna n'a pas froid, mais cette sensation lui donne un instant la chair de poule. Puis la pression des mains remontant le long de son dos transforme la sensation en chaleur. Anna sent sa force dans ses mouvements appuyés, pourtant les mains se font douces lorsqu'elles touchent son cou. Les deux pouces du masseur frôlent à peine sa nuque, ce qui la fait frissonner. Les pressions sur son dos lui font du bien et, malgré leur force, la décontractent. Les mouvements vers le bas, se terminent aussi en douceur, les deux paumes se posant doucement sur les fesses, qu'elles caressent avant de reprendre le massage appuyé vers le haut. Cette alternance de force et de douceur l'excite déjà et Anna sent son sexe se mouiller un peu plus encore.

Puis ce sont ses bras qui subissent le même traitement, enserrés fortement entre les deux mains du masseur. Là encore, leur descente se termine par une caresse au creux de la paume de sa main. A la remontée, vers la fin du mouvement, le bout des doigts vient frôler le côté d'un sein, juste sous l'aisselle.

Le masseur s'intéresse maintenant aux jambes d'Anna, qu'il couvre d'huile. Prenant fermement les chevilles, il cherche à bien écarter ses jambes, mais elle résiste. Un peu énervé, il lui dit sèchement :

« Mais, laissez-vous faire. »

Là, Anna ne résiste plus et suit le mouvement qu'il lui imprime résolument. Elle sait que, dans cette position, sa chatte est bien visible. Elle a un peu honte de la situation et, en même temps, cette exhibition l'excite. Anna pense instantanément qu'elle a bien fait de mettre cette serviette sur le futon et espère seulement que le masseur ne verra pas la petite tache qui se forme sous elle.

Il n'y a pas qu'Anna qui soit excitée. Depuis son fauteuil, son mari voit bien une bosse grossir encore dans le boxer du masseur. Jules a discrètement ouvert ma braguette et ses doigts s'y sont glissés pour caresser son sexe à travers son slip. Son érection est presque douloureuse dans cette prison de tissu.

Là encore, les deux mains du masseur pétrissent une jambe et une cuisse d'Anna. En descendant, elles s'attardent sur les pieds, caressant longuement la plante puis les doigts, un par un. Lorsqu'elles remontent, Anna s'attend à un contact au plus près des lèvres de sa chatte, mais les mains s'arrêtent un peu avant. Elle s'inquiétait de ce possible toucher, mais maintenant elle regrette qu'il ne se produise pas. Le masseur recommence avec l'autre jambe, exactement de la même façon et, là encore, Anna ressent la même déception. Cependant, elle se dit qu'elle ne devrait pas avoir ce sentiment.

C'est à ce moment que le masseur pose ses deux mains sur les cuisses d'Anna et les fait remonter ensemble sur leur face interne. La pression est forte, comme s'il cherchait à les écarter plus encore et, inconsciemment, Anna accompagne ce mouvement, qui rend sa chatte bien plus visible. En remontant, la force est moindre et les deux pouces viennent effleurer très lentement les lèvres vulvaires. Elle apprécie la caresse, tout en se disant que le masseur va forcément sentir que sa chatte est trempée. Anna rougit, mais personne ne peut voir son visage appuyé contre la serviette. Puis, la force des mains revient à la fin de leur remontée, écartant bien la raie de ses fesses. Anna sent un pouce s'arrêter un instant juste sur sa rosette et s'y presser. Elle n'a pas le temps de s'inquiéter que déjà les mains quittent cet endroit interdit.

Le masseur lui demande alors de se retourner. Anna se met sur le dos, sans hésitation, car elle sait qu'il a déjà presque tout vu d'elle et, finalement, elle prend plaisir à s'exhiber encore plus. Cette fois, il n'aura pas besoin de la forcer à écarter les jambes, car elle le fait d'elle-même. Elle n'a pu résister à l'envie de se montrer. Anna se rend compte que l'ouverture de ses cuisses est maintenant beaucoup trop importante, presque obscène, pourtant elle ne peut se résoudre à rendre sa position plus convenable. Son excitation est trop forte. Son envie d'exhibition est impossible à contrôler, alors elle reste comme ça, offerte.

Le regard d'Anna s'est fixé sur le boxer du masseur et elle voit bien la grosseur de la bosse qu'y fait son sexe. Elle remarque aussi une tache humide qui s'y étend. Anna sait que c'est elle qui en est responsable et cela l'excite. Elle tourne un instant la tête vers son mari, pour voir sa réaction. Elle a la réponse en voyant la main de Jules qui s'agite frénétiquement, à moitié glissée dans sa braguette. Leurs regards se croisent un instant et Anna voit que son mari n'a pas envie que cela en reste là.

Le masseur recouvre le torse d'Anna d'une huile qu'il étale bien sur ses seins. Ses pointes se tendent au contact des mains qui alternent pression et douceur sur sa poitrine. Il malaxe fortement les seins, puis les caresse tendrement. Il répète longuement ce même mouvement. En fait ce n'est pas le même, car, à chaque fois, la pression des mains augmente, les doigts finissant par s'enfoncer durement dans la chair, pour venir caresser ensuite plus légèrement les globes qu'ils effleurent.

Puis, c'est sur le ventre d'Anna que le masseur vient étendre l'huile. Cette fois, ses mains commencent de doux mouvements circulaires, qu'il répète longtemps. Puis le masseur se tourne et vient poser une main à plat sur le ventre d'Anna, les doigts en direction du pubis. Le mouvement vers le bas est lent et la pression est forte. Lorsqu'il sent les poils dans sa paume, le masseur replie ses doigts, tout en les serrant. Le mouvement se termine par une pression sur le haut des lèvres vulvaires d'Anna et sur son clitoris. Et il recommence, recommence... A chaque fois qu'il la touche à cet endroit, elle ne peut éviter un petit soupir de plaisir qui à la fois la gêne et la ravit.

Il abandonne alors cet endroit pour lui masser longuement les pieds. Cela devrait la décontracter, mais sa tension persiste. Lorsqu'il enduit de nouveau ses jambes, Anna sait que ses mains vont revenir vers sa chatte. Il s'intéresse maintenant bien plus à ses cuisses, largement ouvertes, qu'à ses mollets. Les mains remontent sur les faces internes et les pouces viennent frotter les lèvres de son sexe, qui dégouline sur la serviette. Les doigts se rejoignent autour du clitoris, qu'ils enserrent un court instant avant de redescendre. Anna ne retient même plus ses soupirs, se laissant aller au plaisir qui l'envahit. Ces mouvements se répètent et, à chaque fois, les pouces s'attardent un peu plus sur les lèvres vulvaires, qu'ils écartent de plus en plus. Elle sait que le masseur, dont le visage est tout près de sa chatte, doit voir un peu mieux à chaque fois l'intérieur de son vagin, tout rouge d'excitation. Cette pensée la fait mouiller follement.

Puis, c'est la déception du massage qui s'arrête, lorsque le masseur se redresse et lui dit :

« Voilà, le massage californien est terminé. »

Reconnaissante de tant de plaisir, Anna laisse échapper un :

« Merci Serge », suivi de son : « Merci Anna. »

Elle s'apprête à se relever, mais le masseur, l'arrête d'un :

« Mais ce n'est pas encore terminé. Il vous reste la surprise. C'est un massage sensuel de ma composition, un mélange de tantrique et de kamasoutra. »

Jules s'attendait à ce qu'Anna réagisse après cette annonce, mais elle n'en fait rien. Elle se recouche et le masseur se penche sur elle. Il pose ses lèvres sur la bouche d'Anna. Surprise, elle répond à son baiser, heureuse de lui faire savoir le plaisir qu'il lui a donné. Le baiser est profond, long et passionné, leurs langues se cherchant, se mêlant. Alors qu'il commence à se redresser, le masseur lui dit à l'oreille :

« Ma tenue doit être un peu différente pour la suite... »

Il se relève et retire rapidement son boxer. Anna a sous les yeux une belle pine, très dure et très tendue. Elle est fine mais assez longue. Elle fait presque deux fois la longueur de celle de son mari en érection. Elle porte un gland qui n'est pas énorme mais tout de même bien plus large que la hampe.

Jules sait qu'Anna est, comme lui, très excitée par cette situation, et il la sent prête pour la suite. Mais, c'est trop pour lui, pour sa petite bite qui est maintenant bien trop tendue dans son slip. Alors, Jules sort son sexe et ses bourses par sa braguette, avant de se rasseoir dans le fauteuil, à son poste de voyeur.

Le masseur se place à genoux entre les jambes d'Anna, qu'il écarte encore plus qu'elle ne l'aurait cru possible. Sa bouche se pose sur la chatte et aspire les lèvres intimes. Les bruits de succion sont si forts que Jules ne peut s'empêcher de se branler frénétiquement en les entendant. Le clitoris d'Anna est léché par le bout de la langue ou caressé par un doigt, que le masseur vient mouiller dans l'ouverture du vagin. Parfois, sa langue pénètre en elle, suçant la face interne de ses lèvres. Par moments, le masseur se redresse et vient échanger un baiser avec Anna. Cela excite son mari, car il s'étonne qu'elle ose partager avec lui le goût de sa chatte.

Lorsqu'il repose sa bouche sur sa vulve, Anna ne peut s'empêcher de passer sa main dans les cheveux de Serge et de presser sa tête plus fortement entre ses cuisses. Il la suce longtemps et elle ne cache plus du tout ses soupirs de plaisir. Puis, c'est son index qu'il pousse dans le vagin détrempé. Il replie son doigt pour venir toucher le point G. Anna serre sa main sur le poignet du masseur pour l'en empêcher, mais il résiste et atteint son but. Alors le plaisir monte en elle et l'orgasme la traverse contre son gré.

Le masseur lui laisse à peine le temps de reprendre ses esprits que déjà elle sent deux doigts s'enfoncer dans son vagin. La caresse est plus profonde et surtout plus brutale. Le bout des doigts frappe au fond. C'est presque douloureux, mais aussi très bon. Anna accompagne même son mouvement en poussant son ventre à la rencontre des doigts, qui appuient tout au fond. Puis ils se retirent et c'est le pouce qui pénètre. Il va bien moins loin, mais presse sur la paroi interne qui jouxte l'anus. La sensation est curieuse mais excitante. C'est alors qu'Anna sent l'index glisser sur son petit trou. Elle sent à cet endroit une pression qui lui indique une prochaine pénétration car, progressivement, inexorablement, son sphincter s'ouvre, s'écarte, pour laisser le passage à ce doigt qui veut venir dans son fondement. Lorsqu'il passe enfin, elle a l'impression qu'il rentre d'un seul coup, sans transition.

Puis, Anna le sent tourner à l'intérieur, la fouiller. Elle a l'impression qu'il ne reste plus rien d'intime en elle. Mais il arrête sa quête infernale pour venir presser la peau qui sépare son anus de son vagin. Le pouce et l'index se rejoignent dans une forte pince qui lui fait croire que ses deux orifices ne font plus qu'un. Puis ils coulissent dans chaque trou, en pinçant toujours. Anna halète et se sent encore proche d'une jouissance qu'elle refuse pourtant. Puis, contre toute attente, les doigts ressortent, ruinant un orgasme si proche, qu'elle redoutait et espérait à la fois.

La main d'Anna cherche le flanc de l'homme qui l'a encore amenée si près de la jouissance. Ses doigts suivent son côté, atteignent son ventre, pour enfin se refermer sur ce sexe inconnu. Elle le caresse doucement, comme en remerciement de ce qu'elle vient de ressentir et elle murmure :

« Serge... », comme si seule l'évocation de son prénom suffisait à lui faire comprendre le bien qu'il lui a fait.

Alors, le masseur se redresse, la fait placer à genoux sur le futon. Anna se cambre, relevant ses fesses comme pour lui montrer son souhait d'être pénétrée par son sexe, d'être prise en levrette comme une chienne en chaleur. Pourtant, il la contourne et vient se placer, à genoux, face au visage d'Anna, présentant son gros gland à le lisière de sa bouche. Alors elle commence par un petit coup de langue, juste sur le bout. Elle y efface une goutte qui perlait sur le méat. Puis, elle recommence et, cette fois, sa langue en fait le tour, suce comme s'il s'agissait d'une friandise. Son regard n'est qu'envie et gourmandise. D'où se trouve Jules, il voit les yeux d'Anna et il voit sa langue. Lorsqu'elle prend enfin le gland dans sa bouche, quand Jules voit les lèvres coulisser tout le long de cette grande pine, il ne peut que s'étonner du comportement de sa femme, alors qu'elle lui a, depuis des années, toujours refusé ce type de caresse. Aurait-elle pris goût à la fellation? Jules en ressent à la fois frustration pour le passé et espoir pour l'avenir.

Pendant qu'Anna suce la pine du masseur presque goulûment, Jules se découvre voyeur, avec sa bite sortie, mais il est toujours habillé, alors qu'Anna et le masseur sont tous les deux nus. Alors, Jules se déshabille complètement, pour se sentir vraiment partie prenante dans leurs plaisirs, et il retourne s'asseoir dans le fauteuil, pour reprendre une branlette entretenue par les images qu'ils lui offrent.

C'est à ce moment que se relève le masseur, laissant Anna interdite, dans sa position obscène, à genoux et fesses relevées.

Il vient d'aller vers sa sacoche et d'en sortir un petit sachet que Jules reconnaît instantanément comme un préservatif et qu'il lui présente avec un regard interrogateur.