Les plaisirs d'Anna -- 10 (surprises)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Alors que c'est le moment décisif, Jules se demande si il a bien fait d'organiser ainsi cette soirée. Il sait très bien que, depuis de nombreux mois, sa femme a arrêté toute contraception. Il sait aussi qu'elle se trouve aujourd'hui juste à la limite entre deux périodes, l'une peu risquée et l'autre déjà beaucoup plus. Évidemment, la semaine suivante aurait été des plus dangereuses, puisque cela aurait été celle de son ovulation. La date d'aujourd'hui avait donc parue acceptable à Jules, même si aucune certitude n'est possible dans ce domaine.

Après cette pensée, Jules ne ressent pas le besoin de consulter sa femme et dit au masseur, dans un murmure :

« Non, elle n'aime pas du tout ça. Prenez-la à nu. »

Le masseur se place tout de suite derrière elle et pose ses mains sur les hanches d'Anna. Elle sent le bout du sexe de Serge frôler les lèvres de sa chatte. Elle sait qu'il va la pénétrer, mais c'est elle qui prend l'initiative. Sa main passe entre ses jambes pour attraper la pine qu'elle guide vers elle, bien dans l'axe de son vagin. Elle sursaute lorsque le gros gland écarte son ouverture et s'introduit en elle. Anna l'accompagne d'un petit « ah » immédiatement suivi pas ces quelques mots que son excitation du moment l'a presque faite crier :

« Baise-moi, Serge, baise-moi fort ! »

A cette requête, il s'exécute immédiatement et sa longue pine s'enfonce d'un coup. Ses testicules sont plaqués contre les fesses d'Anna. Le gland presse la matrice, tout au fond. Et son mouvement commence, ample, rude, brutal et de plus en plus rapide. Sa bite bute au fond du sexe d'Anna et la secoue, la projette en avant. Elle suit le mouvement, puis, excitée par cette violence qu'elle a demandée, elle en rajoute elle-même en s'opposant à son mouvement au lieu de l'accompagner. Le choc de son gland tout au fond d'elle n'en est que plus rude.

Voyant cela, Jules se branle comme un fou et se lève, s'approchant d'elle, se plaçant face à elle. C'est à ce moment que leurs mouvements furieux s'arrêtent. Le masseur a laissé sa pine plantée tout au fond d'elle, pressant le col de l'utérus. Anna se sent proche de la jouissance. Pourtant, elle ne pourrait être complète sans la sensation du sperme en elle. Alors, Anna entame un mouvement de rotation de ses hanches, très lent. Elle masse doucement, mais avec une forte pression, le gland qui est en elle. C'est le col de son utérus qui fait ce massage. Elle sait que son baiseur ne pourra pas tenir longtemps. Cependant, le masseur ne veut pas jouir tout de suite. Il cherche à retarder l'éjaculation en se contrôlant.

Jules vient alors s'agenouiller face à sa femme. Sa petite bite tendue est toute proche de la bouche d'Anna. Il a l'espoir de profiter enfin des dons de sa femme pour la fellation. Son gland touche la bouche d'Anna, qui détourne alors la tête. Jules se positionne de nouveau et, cette fois, c'est la main de sa femme qui repousse son sexe. Jules insiste encore et, là, il reçoit d'elle une forte claque sur sa bite. Jules a une sensation d'injustice, alors qu'il vient de la voir sucer le sexe du masseur, puis il se rappelle qu'elle a souvent offert à ses amants des plaisirs qu'elle lui avait toujours refusés. Alors, Jules se réjouit qu'elle puisse suivre ses envies, comme il l'a souhaité pour elle, sa reine, et il retourne s'asseoir dans le fauteuil pour reprendre ses caresses manuelles sur sa petite bite.

A peine est-il assis qu'il voit Anna reprendre ses mouvements du bassin pour masser la pine de son partenaire. Le masseur, sentant la jouissance venir, tourne sa tête vers Jules et lui demande :

« Où voulez-vous que j'éjacule? »

« Il vaudrait peut-être mieux... », commence Jules, interrompu par la voix suppliante de sa femme :

« Jules, s'il te plaît... »

Alors, contre toute logique, Jules, en bon mari cocu obéissant, cède en disant :

« Allez-y, en elle ! »

Puis, emportée par ce risque qui l'excite, Anna ajoute :

« Oui... bien au fond ! »

En quelques secondes, elle obtient ce qu'elle souhaitait. De grosses giclées de sperme frappent le fond de son sexe, lui remplissant presque complètement le vagin, alors que deux cris de jouissance simultanés couvrent leurs halètements.

Alors que le masseur se relève lentement, comme épuisé par l'orgasme, Anna se retourne sur le dos, cuisses bien écartées, montrant sans honte sa chatte, d'où s'écoulent quelques filets blancs. Elle respire fortement, lentement, en cherchant à récupérer de ce moment de plaisir intense.

Jules ne peut résister à l'envie de venir encore vers elle, si tentante. Il cède sa place dans le fauteuil au masseur qui a bien besoin de repos. Jules vient s'agenouiller entre les cuisses d'Anna et pose sa bouche sur la vulve. Cette fois, elle ne le repousse pas. Au contraire, il sent sa main se poser délicatement dans ses cheveux pour lui montrer, s'il en était besoin, ce qu'elle attend de lui. Là, Jules est bien dans son rôle de mari cocu. Alors, il nettoie consciencieusement la chatte de sa femme avec sa langue, suçant ses lèvres intimes. Il glisse ses doigts au fond du vagin pour faire ressortir toute cette semence, qu'il aspire dans sa bouche et avale. Il n'y en a bientôt plus, mais il suce encore, trop heureux de montrer ainsi à sa femme adorée qu'il peut tout faire pour elle, sans limite, comme tout bon cocu doit le faire pour sa princesse. Enfin, il l'entend soupirer fortement. C'est ce qui lui signale qu'il doit s'éclipser et la laisser à ses pensées.

Cependant, Jules voudrait encore mieux profiter de son épouse, comme son érection en témoigne. Il sait bien qu'Anna lui refuse toute pénétration depuis bien longtemps, mais il veut tout de même tenter sa chance, aussi lui dit-il :

« Ma chérie, j'aimerais tant te prendre, comme avant... »

La réponse d'Anna le surprend et le réjouit :

« Je veux bien, cette fois, pour te remercier de ton magnifique cadeau. »

Jules est aux anges, d'autant plus qu'Anna s'est placée à genoux sur le futon, cambrée. Il va pouvoir la prendre en levrette ! Il se précipite vers elle, mais Anna l'arrête d'un :

« Non, pas comme ça ! »

D'un doigt Anna lui montre le préservatif inutilisé, posé au bord du futon. Jules s'en empare, ouvre son enveloppe et en habille son sexe, s'y reprenant à plusieurs fois, tant il tremble d'excitation. Il ne peut s'empêcher de ressentir une véritable humiliation. Son épouse vient de se faire prendre sans protection par le masseur, l'a même laissé éjaculer en elle, alors qu'elle lui impose un préservatif, à lui, son mari! Comme pour la punir, Jules enfonce d'un coup son sexe en capuchonné dans le vagin d'Anna. C'est rentré tout seul, tant la chatte de sa femme a été distendue par le sexe du masseur et bien lubrifiée par son sperme. Quand il entame son coït, Jules ne peut penser qu'à l'humiliation qu'il vient de subir. Cela devrait lui faire perdre ses moyens mais il s'aperçoit qu'être humilié par sa femme l'excite au point de rendre son sexe incroyablement dur et si sensible que sa jouissance arrive alors que ses mouvements n'ont même pas duré 30 secondes.

Après l'éjaculation, Jules débande quasi instantanément et, penaud, retourne s'asseoir dans son fauteuil. Anna, très frustrée, se retourne alors et ne peut s'empêcher de dire à son mari :

« Tu as attendu ça si longtemps pour n'en profiter que pendant quelques secondes. Tu avais déjà un tout petit zizi et maintenant, en plus, tu es devenu éjaculateur précoce ! C'est bien triste, mon pauvre petit cocu. »

Anna ponctue sa phrase par un grand sourire. Elle a d'autant plus de mal à se retenir de rire que Jules n'a même pas pensé à retirer le préservatif qui pend au bout de son petit sexe tout mou. Elle se garde bien de lui en faire la remarque, alors que le regard qu'elle échange avec le masseur montre qu'il l'a vu également. Mais Anna se sent gênée de se comporter ainsi avec Jules qui fait tout pour la rendre heureuse, aussi ajoute-t-elle rapidement :

« Mais je t'aime tout de même, mon gentil mari. »

Depuis son fauteuil, Jules s'aperçoit que Serge a déjà bien récupéré, si l'on en croit l'érection qu'il présente. Le masseur se lève alors en même temps qu'Anna et ils se retrouvent enlacés, se jetant dans un baiser interminable, comme pour se remercier l'un l'autre pour ces merveilleux instants. Les regarder donne à Jules un pincement au cœur, car ils donnent vraiment l'impression de deux amoureux passionnés. Jules en est heureux pour sa femme, mais cela lui fait mal tout de même. Il ne peut les quitter des yeux dans ces instants à la fois merveilleux et douloureux. C'est alors que Jules remarque que la main d'Anna est descendue et qu'elle a serré la pine de son amant d'un jour. Aurait-elle encore envie? Jules s'en étonne, mais il l'approuve, car il l'aime insatiable.

Anna vient de dire quelques mots à l'oreille du masseur, mais Jules n'a pas pu comprendre. Il voit alors Serge se coucher sur le dos, sur le futon. Dans cette position, sa pine tendue, bien verticale, lui fait penser à un mât de cocagne. Alors Anna vient se placer juste au-dessus. Elle s'accroupit et s'empale dessus, d'un seul coup, en laissant échapper un petit cri. C'est rentré tout seul, car le nettoyage buccal de son mari n'a pas pu vraiment assécher le vagin d'Anna. Jules voit qu'elle est encore très excitée et bien mouillée, si on en croit les bruits qu'elle fait en coulissant sur le sexe. Les mouvements d'Anna sont rapides et, là, on voit vraiment que c'est elle qui le baise. Elle se fait ainsi du bien, pendant un long moment, puis s'arrête en gardant toujours sa pine plantée en elle. Anna se penche alors vers lui pour l'embrasser encore, toujours aussi langoureusement. Dans cette position, sa cambrure est encore plus forte et son petit cul se présente comme une invite. Le masseur fait signe à Jules de s'approcher et lui dit, comme dans une confidence, et en le tutoyant comme si ils étaient de vieux copains :

« Prends-la en même temps, par derrière. Je crois qu'elle en a envie. »

Jules s'exécute sans discuter, craignant tout de même de ne pas être à la hauteur. Il y a si longtemps qu'il n'a pas eu la possibilité de la sodomiser. De plus, après son éjaculation récente, son sexe n'est pas au mieux de sa forme. Heureusement, quelques mouvements de main suffisent à lui redonner un peu de vigueur. Jules remet facilement en place le préservatif, aidé en cela par le sperme qu'il contient. Il place mon gland sur le petit trou et pousse un peu. L'anus est tout sec et lui refuse l'entrée. Jules crache entre les fesses de sa femme, pose son doigt et réussit à le faire entrer. Il le fait tourner pour bien mouiller les parois. Dans ce mouvement, il sent, à travers la fine peau, la pine tendue du partenaire de sa femme. Après ces préparatifs, il présente de nouveau son gland. L'anus résiste et sa petite bite encapuchonnée commence à se ramollir sous l'effort.

C'est en arborant une petite nouille toute molle que Jules s'approche du masseur pour lui dire, dans un chuchotement :

« Je suis désolé, d'autant plus que je sais que se faire prendre par deux hommes en même temps est un de ses fantasmes les plus forts. »

Le masseur lui répond alors bien plus distinctement :

« Passe-moi mon téléphone et déverrouille la porte. Je vais t'arranger ça ! »

Anna a tout entendu et s'inquiète par ces mots :

« Qu'est-ce que vous manigancez tous les deux? »

Cela lui vaut la réponse de Serge :

« Tu n'as pas à t'inquiéter, ma chérie, ce n'est que pour ton bien. Fais-moi confiance. »

Elle veut rétorquer, mais l'homme reprend les commandes du plaisir en se soulevant violemment sous elle, à une cadence rapide, forçant bien son sexe en elle, la frappant tout au fond. Après une longue série de coups de bite de ce genre, la faisant sauter à chaque fois, Anna sent encore le plaisir monter. Lorsque, excitée, elle se repose de nouveau sur lui, toujours empalée, elle ne pose plus de questions et ne s'intéresse pas aux quelques mots qu'il échange par téléphone dans un dialecte inconnu. Anna l'entend simplement dire à son mari :

« Bouma arrive dans cinq minutes. Il habite tout près d'ici. »

Puis ils reprennent ensemble un long coït, tout en douceur, entrecoupé de moments où les baisers passionnés remplacent les coups de sexe. Jules sait que le masseur, qui a déjà éjaculé, va faire durer le plaisir sans problème pendant l'attente.

De son côté, Jules regarde les deux amants en branlant sa petite bite, qui reprend bientôt de la vigueur dans le préservatif. Il est partagé entre l'excitation à la vue du spectacle qu'ils donnent et l'angoisse de les voir si proches, si complices, si bien ensemble. Jules se dit alors que l'arrivée d'un autre homme va peut-être changer la donne et casser ce contact trop amoureux à son goût.

Soudain, sans même qu'il y ait eu le moindre coup frappé, la porte que Jules avait laissée déverrouillée laisse passer un grand homme noir, d'une quarantaine d'années.

Anna a instantanément arrêté ses mouvements sur le sexe de Serge et elle s'est figée, les yeux fixés sur ce nouvel arrivant. On voit l'étonnement dans son regard. C'est un géant. Il doit faire pas loin de 2 mètres. Il a la silhouette d'un joueur de basket du NBA. Il est très typé, avec ses grosses lèvres, sa peau couleur d'ébène et ses cheveux frisés, mais Jules voit dans tes yeux d'Anna qu'elle le trouve très beau. Aussi surpris qu'elle, Jules n'a même pas pensé à faire les présentations et c'est l'arrivant qui prend la parole le premier :

« Allez, les amoureux, ne vous arrêtez pas pour moi. »

Anna reprend alors ses mouvements, en se soulevant plus lentement, s'enfilant sur la bite de Serge, presque par habitude, car elle ne peut quitter des yeux le noir dont elle découvre à l'instant les bras musclés. Celui-ci retire immédiatement son tee-shirt, montrant des pectoraux parfaits. Anna se dit qu'il n'y a que des muscles dans cet homme hors du commun. Il sort ses pieds nus de ses tennis délacés, puis il laisse tomber son jean sous lequel il était nu.

Là, Anna s'arrête encore de bouger, comme paralysée par la vision qui s'offre à elle. Entre les jambes de l'homme pend un sexe très gros et surtout très long. Dans cette position, alors qu'il ne bande même pas, elle voit que ce sexe fait presque la longueur de sa cuisse. Il doit faire une trentaine de centimètres. Anna ne pensait pas qu'une telle bite pouvait exister et elle se dit qu'elle doit bien faire au repos, trois fois celle de son mari en érection. Le noir s'adresse alors à elle :

« Alors, la meuf, c'est Bouma qui te fait cet effet là... »

Jules l'interrompt au milieu de sa phrase pour dire :

« Ce n'est pas 'la meuf', elle s'appelle Anna. »

Mais sa réponse arrive, cinglante :

« Je sais, mec, mais pour moi ça sera quand même 'la meuf' ! »

Bouma s'approche alors d'Anna et de Serge, et fait avec ses deux mains un signe vers le haut, montrant à Anna qu'elle doit continuer de se soulever en rythme sur la pine de son amant d'un jour. Elle reprend ses mouvements, sans conviction, comme hypnotisée par ce sexe d'ébène, qu'elle ne peut quitter des yeux. Elle coulisse sur le membre de Serge avec une incroyable facilité, tant sa chatte coule, à cette vue.

Lorsque ce nouvel arrivant est au plus près d'elle, Anna ne peut retenir sa main qui se pose sur ce sexe gigantesque. Elle le sent palpiter sous ses doigts et se durcir. Cette énorme pine se redresse progressivement, puis se tend fièrement. Elle ne s'est pratiquement pas allongée en bandant, mais elle s'est durcie et surtout bien élargie. Elle doit faire plus de 5 ou 6 centimètres de diamètre et pourtant le gros gland qu'elle porte en déborde largement. Ce dur bâton est maintenant plaqué contre le ventre et son extrémité atteint la taille de Bouma.

Anna laisse apparaître un petit sourire amusé, car elle vient de se demander comment il ferait pour cacher une telle érection en étant habillé. Puis, son sourire s'efface lorsqu'elle pense à la pénétration qu'il ne va pas manquer de vouloir. Anna se dit que c'est juste impossible et s'apprête à s'exprimer, mais Bouma se penche instantanément pour poser sa bouche sur ses lèvres, pour un baiser fougueux, auquel elle ne peut que répondre de même. Ils restent bouche contre bouche, longtemps, jusqu'à en perdre le souffle. A aucun moment Anna n'a pensé à retirer sa main de ce mandrin que ses doigts enserrent, comme si c'était un cadeau pour elle et qu'il lui appartenait maintenant.

Lorsque leur baiser cesse, Anna se relève sans laisser au masseur le temps de jouir en elle. C'est comme s'il n'était plus là et que seul ce noir comptait pour elle. Serge s'en est bien rendu compte et il cède la place à son copain, qui s'allonge sur le futon. Anna ne voit que ce sexe énorme, tendu en l'air, tenu bien vertical par une grosse main noire, qui le serre au ras de bourses tout aussi énormes.

Alors, Anna se place au-dessus de lui et commence à s'accroupir, jusqu'à ce que l'énorme gland vienne au contact des lèvres de sa chatte. Elle sait qu'elles sont bien mouillées et elle s'attend à une pénétration facile, au moins pour les premiers centimètres, mais Anna ressent une douleur qui l'arrête, les lèvres se repliant vers l'intérieur. Alors elle sent les deux mains de Bouma qui tirent sur ses lèvres et les écartent, et là le gland passe d'un coup en elle, lui arrachant un soupir de plaisir. Puis elle s'appuie un peu plus. Regarder ce membre énorme s'enfoncer progressivement en elle l'excite et sa mouille aide à la pénétration. Des gouttelettes de sueur perlent sur son front dans l'effort. Cela lui paraît à la fois facile et difficile : facile parce que son excitation croissante lubrifie bien son sexe, et difficile parce que la dilatation de son vagin semble atteindre l'extrême.

Serge et Jules se tiennent debout, tout près, leurs yeux rivés sur ce sexe qui disparaît peu à peu en elle, et leurs mains s'activent en même temps.

Anna sent maintenant le gland se presser tout au fond de sa chatte, juste sur le col de son utérus. Elle regarde la base de ce mandrin d'ébène. Il reste bien encore plus de 5 centimètres à l'extérieur. Elle se demande comment il pourrait aller plus loin encore. Cela lui paraît impossible et pourtant elle meurt d'envie de se laisser descendre plus bas, de venir écraser ces grosses bourses qui, visiblement, l'attendent. Alors, dans un cri, Anna se laisse tomber d'un coup. Une sensation de plaisir et de douleur indissociables l'envahit quand elle sent le gland forcer le col de son utérus, et elle a l'impression qu'il l'a retourné comme un gant. Sa jouissance est incontrôlable. Anna crie de plaisir sans penser que tous les voisins peuvent en profiter. Elle tremble, elle vibre comme jamais cela ne lui était arrivé. Elle vient de sentir le sperme gicler abondamment, tout au fond, dans un endroit inaccessible et elle sait que pas une seule goutte ne coulera de son vagin.

Gardant ce sexe enfoui en telle, Anna se penche sur lui, se repose sur son torse musclé, pour profiter du moment. Les mains de Bouma viennent relever un peu son visage pour l'embrasser avec une grande sensualité, pour un interminable et profond baiser. Anna se sent toute chaude, heureuse, serrée dans ses bras. Ce moment dure et elle voudrait qu'il ne s'arrête jamais. Pourtant, lorsque le baiser prend fin, Bouma tourne la tête vers son copain, Serge, et il lui fait un clin d'œil, car il sait bien pourquoi on lui a demandé de venir.

Serge s'approche alors, passe derrière Anna et vient se plaquer contre son dos. La chaleur du corps des deux hommes la chauffe autant que la certitude qu'elle va enfin profiter de ce dont elle a toujours eu envie. Elle sent d'abord une main se glisser entre ses fesses et un doigt mouillé s'introduire dans son anus, puis ressortir pour en humidifier le pourtour. Puis c'est le sexe du masseur qu'elle sent se presser sur son petit trou, qui s'ouvre d'un coup. Le gland, en passant, lui arrache un cri. Était-ce de douleur ou de volupté? Anna ne saurait dire.