Lizzy Ch. 02 - Derniers Jours de Lycée

Informations sur Récit
Bientôt les vacances, pour Lizzy et Mélodie.
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Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/10/2024
Créé 02/21/2024
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Lizzy - Chapitre 2 - Derniers jours de lycée.

Ce récit ne s'adresse pas à un public sensible. Si vous n'appréciez pas les rapports lesbiens sans aucune limite, changez de page. Le site est suffisamment fourni pour que chacun(e) d'entre nous puisse lire les histoires qui lui conviennent.

Les personnages et leurs mésaventures sont totalement imaginaires et ne retracent en rien des évènements ayant lieu dans la "vraie vie".

Codes : F/f - ado -uro - humiliation --adoration des pieds - exhibition -soumission - domination - punitions - réticence.

J'ai repris le récit des aventures et des mésaventures de Lizzy, laissant mon imagination courir au fil de mes fantasmes. Malheureusement, la relecture n'est pas mon fort et j'ai conscience que de nombreuses "coquilles" m'ont certainement échappé. Si parmi les lectrices et les lecteurs intéressés par ce texte, l'une ou l'un d'entre vous veut bien jouer le rôle de "Proof reader", je serai ravi d'échanger avec elle ou lui. Rien de mieux que la com pour faire progresser les choses.

Bonne lecture.

PP

Personnages :

Lizzy : Fille de la maison. Affligée d'un retard de croissance qui a bloqué son corps en pleine puberté, elle va bientôt fêter ses dix-huit ans.

Mélanie Grandain : Dix-huit ans depuis six mois, c'est la meilleure amie de Lizzy. Elle habite dans la propriété voisine.

Ghislaine Grandain : Mère de Mélanie.

François Grandain : Père de Mélanie

Simone de Lestrait : Maîtresse de maison et mère de Lizzy, veuve récente, très autoritaire, plutôt perverse et parfois dépassée par les évènements.

Edwige : Âgée de vingt-cinq ans, c'est la bonne de la famille.

Jean de Lestrait : Défunt époux de Simone et père de Lizzy.

Derniers jours au lycée.

Madame de Lestrait se sentait fiévreuse. Son désir sexuel s'était métamorphosé en une ivresse à la fois grisante, délicieusement vicieuse et terrifiante à la fois. La veille, ses émois sexuels s'étaient décuplés. Ses tétons étaient restés érigés en permanence et sa culotte était tellement détrempée qu'elle l'avait sentie adhérer à son sexe toute la soirée.

Sa fille avait passé tout son temps à genoux, sa culotte sur la tête, se pliant docilement à tous les ordres qu'elle recevait. Plus d'une fois, Simone avait failli glisser ses doigts dans l'entrecuisse luisant que Lizzy offrait innocemment en spectacle. Mais, que la tentation avait été forte, chaque fois qu'elle avait dû se déplacer à quatre pattes.

Elle avait saisi toutes les occasions possibles et imaginables pour la contraindre à s'exhiber, ce qui avait semblé exciter tout autant Edwige. Lorsque Simone avait constaté l'excitation de la jeune fille, masquant sa fascination derrière une contrariété de façade, la soubrette avait été révélé une nouvelle facette de sa personnalité, se prenant au jeu en ordonnant à l'adolescente d'adopter "la même position que dans la salle de bain pour se faire savonner."

Simone avait eu l'impression de vivre un rêve éveillé lorsque sa fille avait docilement appliqué son buste sur le sol, le menton appuyé contre ses doigts croisés, à plat sur le marbre. Et lorsqu'elle avait écarté ses genoux d'une bonne soixantaine de centimètres, Simone avait senti son excitation atteindre un nouveau paroxysme. Son imagination l'avait aussitôt transportée dans la salle de bains de la suite d'Edwige. L'adolescente offrant son intimité aux doigts de la soubrette dans cette position obscène l'avait presque fait orgasmer et elle avait dû faire preuve d'une volonté de fer pour ne pas jouir immédiatement.

Edwige lui avait imposé de conserver cette position "en attendant que tes parties honteuses sèchent un minimum", selon ses propres mots.

Simone entendait encore sa voix douce féliciter sa fille, lui caressant la tête en lui disant qu'elle était "un bon toutou". Bien entendu, le remède s'était révélé totalement inefficace, comme en témoignaient les petites traces de sécrétions glaireuses qui brillaient en haut des cuisses de Lizzy.

Plus tard, alors qu'elles regardaient 'Basic instinct" sur l'écran géant du salon, Simone avait exigé qu'elle reprenne le massage de ses pieds.

"Rends-toi utile, petite dévergondée. Enlève-moi mes escarpins et masse-moi les pieds. Je les ai portés toute la journée et je vais encore avoir les pieds tout gonflés. Et j'imagine qu'Edwige en aura bien besoin, elle aussi."

Elle avait alors étendu ses pieds sur la table basse, rapidement imitée par la bonne qui ne croyait pas sa bonne fortune. Lizzy avait dû s'agenouiller entre elles deux et, durant toute la durée du film, elle avait massé leurs pieds, même si elle avait consacré plus de temps à sa mère.

Plus tard, lorsqu'elle eut envoyé Lizzy dans sa chambre, Madame de Lestrait se retrouva seule avec sa bonne, dans un état d'excitation exceptionnel.

"Va m'attendre dans ma chambre, prosternée au pied de mon lit, dans la même position que ma fille, lorsque tu lui as tripoté la chatte. J'espère que tu as honte de toi et que tu as conscience du degré de dépravation qu'il faut pour abuser d'une mineure."

Un éclair de panique passa dans les yeux d'Edwige.

"Madame se trompe, je ne l'ai pas touchée. Madame a sonné la cloche juste avant. Et lorsque je suis revenue, elle était sortie de la salle de bains."

"C'est l'intention qui compte."

"Mais c'est Mademoiselle qui a exigé que je la sav..."

"Cesse de te justifier, et avoue plutôt que l'idée de la tripoter te faisait mouiller comme une cochonne."

La soubrette s'empourpra et resta silencieuse, le regard suppliant.

"Ça sera très facile à vérifier. Va m'attendre dans ma chambre dans la position en question. Et, pendant que j'y pense, prends aussi la canne avec toi. Tu n'auras qu'à la poser sur mon lit." Simone mit fin à la conversation en congédiant sa soubrette d'un geste de la main.

Celle-ci s'exécuta en baissant les yeux.

Restée seule, Simone se servit une vodka orange et s'abandonna au confort de son sofa. Elle s'efforça de reprendre le contrôle de ses émotions en sirotant son verre. Peu à peu, la fièvre qui lui empourprait les joues se calma et elle alluma une cigarette.

Écartant largement ses cuisses, elle glissa voluptueusement ses doigts dans sa culotte. L'humidité qui y régnait favorisa l'intromission des deux doigts qu'elle enfonça dans son vagin sans aucun préambule.

Incroyable, c'est la première fois que ça m'arrive. Songea-t-elle en faisant remonter ses doigts sur son clitoris pour le saisir entre le pouce et l'index et le faire rouler délicieusement entre ses doigts. Dire qu'il m'a toujours fallu plusieurs minutes, souvent plus, pour commencer à décoller.

S'enfonçant plus profondément dans le canapé, elle aspira une longue bouffée de sa cigarette et cala fermement ses talons sur le bord de la table. Ses cuisses s'écartèrent autant que leurs joints le permettaient. Une nouvelle vague de plaisir la parcourut de la tête aux pieds lorsqu'elle se songea à quel point les années de danse que Lizzy avait suivi, lui permettraient d'écarter ses genoux. L'image déclencha son orgasme et elle se cabra en pinçant furieusement son clitoris et en se mordant les lèvres pour contenir le hurlement de plaisir qui menaçait dans sa gorge.

Retirant sa main de la braise qui faiblissait lentement au cœur de son sexe, elle accompagna la décrue de son plaisir en massant langoureusement sa culotte, s'assurant de bien la faire pénétrer pour l'imprégner au maximum de ses jus.

Enfin, sa cigarette terminée et sa libido satisfaite, du moins pour le moment, elle se leva, s'accorda quelques instants pour affermir ses jambes légèrement flageolantes et s'engagea résolument dans l'escalier en direction de ses appartements.

Dans sa chambre, Lizzy s'était couchée entièrement nue. La tête dans les nuages, une multitude d'idées et d'images toutes plus pornographiques les unes que les autres défilaient dans son esprit. Les cuisses écartelées de chaque côté de son bassin, à plat sur le lit, dans la position de la grenouille, comme disait Mélodie, elle agaçait son clitoris lentement du bout de l'ongle de son index. Son autre main enserrait un de ses téton entre son pouce et son index, le comprimant suffisamment faire naître cette douleur aigue qui l'avait si souvent menée à l'extase.

Cela faisait longtemps qu'elle avait cessé le nombre d'années depuis lesquelles elle se masturbait dans son lit. Peu aventureuse, c'était le seul endroit où elle se l'était permis durant toute son enfance. Cependant, depuis qu'elle avait fêté ses seize ans, et surtout depuis que ses rapports avec Mélodie avaient si délicieusement changé, elle s'y était livrée dans tous les endroits qui lui passaient par l'esprit.

Jusqu'à présent, sa décharge, comme l'appelait Mélodie avait toujours été très intense mais relativement courte. Ce soir, elle avait le sentiment que son plaisir serait différent.

L'un des premiers secrets que Mélanie lui avait révélés, consistait à agacer son clitoris avec le bout de l'ongle de son index. La brune lui en avait fait la démonstration, consacrant ce qui lui avait semblé des heures à la gratter délicatement. Au bout d'un moment, la douleur se mélangeait au plaisir et sa jouissance en était d'autant plus forte.

Son bassin commença à onduler. Les doigts qui torturaient son téton se mirent à le tordre progressivement, et elle aspira une grande bouffée d'air.

Le merveilleux sourire de Mélanie s'imprima dans sa rétine. À quelques mètres d'elle, son amie la fixait malicieusement, tout en enfonçant lentement son doigt dans son anus qu'elle avait exposé en écartant ses fesses le plus possible. Toutes deux étaient assises au pied du lit, dans la chambre de sa copine et profitaient de l'après-midi, seules dans le manoir.

Mélodie était couchée sur l'épaisse moquette de sa chambre, les deux jambes au grand écart. Elle-même était assise en tailleur, le regard fixé sur l'entrecuisse de sa copine.

"Interdiction de te toucher", avait exigé la jeune fille brune lorsqu'elle s'était déshabillée. "Contente-toi de regarder." Elle avait dressé les deux jambes à la verticale avant de les écarter lentement, révélant son sexe imberbe. Puis, elle les avait ramenées au-dessus de sa tête et avait largement écarté ses petites fesses à deux mains. Son visage avait affiché ce sourire irrésistible que Lizzy ne se lassait pas d'admirer. Ce même sourire qui s'était fait vicieux lorsqu'elle avait retiré son doigt d'entre ses fesses et lui avait présenté sous le nez, lui demandant de le renifler. "Maintenant tu peux te caresser."

Lizzy avait alors inspiré longuement les fragrances épicées, tout en glissant avec empressement son doigt dans sa culotte. "Moi, ça m'excite, cette odeur." Avait-elle chuchoté dans l'oreille de Lizzy avant d'aller s'asseoir sur le lit où elle introduisit son doigt entre ses propres lèvres et le suça langoureusement et méticuleusement sans jamais quitter Lizzy des yeux. Ce jour-là, la petite blonde expérimenta un des orgasmes les plus intenses qu'elle ait jamais ressenti.

Ce souvenir déclencha son premier orgasme et l'ongle de son pouce se joignit à celui de son index, pinçant délicatement le petit bout de chair qui lui donnait tant de plaisir.

Au troisième étage de l'hôtel particulier, Madame de Lestrait pénétra dans ses appartements. Son salon personnel était particulièrement chaleureux et elle eut une pensée pour son mari en se félicitant de son choix.

Bien sûr, après tant d'années de mariage, elle n'avait pas ignoré les besoins du Maître de maison. Elle n'avait pas eu besoin de beaucoup d'imagination pour se représenter les rapports il entretenait avec Edwige. Pourtant, cela ne l'avait pas dérangée. Leur union était issue d'un mariage organisé par leurs deux familles et ses sentiments n'avaient pas fait partie du marché. De toute façon, personne n'aurait accepté de savoir que les femmes l'avaient beaucoup plus émue que les hommes. Le décès subit de ses parents et de ses beaux-parents lors d'un voyage commun dans le jet de sa famille les avaient placés chacun à la tête d'une fortune colossale puisqu'ils étaient tous les deux enfants uniques.

Les toutes premières années de leur mariage avaient été relativement satisfaisantes, sexuellement parlant, mais la naissance de Lizzy avait tout bouleversé. Le contact avec le sexe masculin lui était devenu insupportable et ils avaient rapidement décidé de faire chambre à part.

Elle n'avait pas non plus ignoré les aventures qu'il vivait de son côté, ne se privant pas elle-même d'entretenir une liaison financière avec une call-girl ravissante pour assouvir ses pulsions.

Docile, Edwige l'attendait au pied du gigantesque lit, prosternée sur le sol, les fesses en hauteur et les cuisses largement écartées. Son sexe imberbe luisait légèrement à la lumière des luminaires et la canne était bien en évidence au milieu du lit.

Simone sentit son excitation renaître. Ordinairement, elle se serait contentée de se faire servir, assise ou couchée sur son lit, tandis que la soubrette lui donnait du plaisir, généralement, à quatre pattes entre ses jambes. Mais ce soir, elle avait une envie irrépressible d'humilier sa bonne, de l'obliger à supplier.

"Où es ta culotte?" Demanda-t-elle en s'emparant de la canne.

"Dans la salle de bain, Madame." Répliqua aussitôt la soubrette.

"Va la chercher."

"Bien, Madame."

Simone s'assit sur son lit et manipula la canne distraitement pendant quelques instants. Si ça continue, je vais tacher ma robe et mon dessus de lit.

"Voilà, madame."

"Enfile là et reprends ta position."

"Bien, Madame."

Edwige s'agenouilla et lui exhiba à nouveau ses fesses fermes et musclées, à peine recouvertes par le sous-vêtement en dentelles noires. Simone se leva et prit tout son temps pour le tour de sa soubrette, admirant ses formes presque aussi plaisantes que celles de sa fille. Cédant à un désir malsain, elle agaça l'entrecuisse de la culotte du bout de la canne. Succombant à une euphorie incontrôlable, elle s'amusa à forcer l'extrémité de l'instrument dans l'anus sans défense, y enfonçant le plus possible le tissu. Les gémissements d'Edwige ne firent que nourrir l'extase qui la dominait.

"Alors, c'est cette position que tu lui as fait prendre pour la laver." Déclara-t-elle d'une voix rauque, en frottant la canne sur toute la longueur de l'entrecuisse offert, l'immobilisant aléatoirement pour forcer le tissu à pénétrer entre les lèvres d'Edwige.

"Mmmmm! Oh! Nnnn... Non... Oooh!! C'est...... C'est elle... Oh! Mmmmmmm!"

"De quel doigt t'es-tu servie?" Demanda-t-elle sur un ton de reproche, tout en tapotant verticalement la fente de la soubrette.

"Oh... Madame, je n'ai p... Mmmmm! Je n'ai pas eu le temps... Ouille!!! Pitié Madame!"

"Mais tu en mourrais d'envie, n'est-ce pas?"

D'un coup sec, Simone abattit à nouveau la canne au même endroit. Avec un plaisir malsain, elle ne retint pas son bras et, à sa grande surprise, d'abord le sifflement de la canne dans l'air, puis le claquement qu'elle produisit en cinglant verticalement le sexe d'Edwige et enfin le cri de douleur de cette dernière déclenchèrent un orgasme dévastateur, plus puissant que tous ceux qu'elle avait expérimentés jusqu'à maintenant.

Les jambes chancelantes elle s'écroula sur le lit en se mordant les lèvres jusqu'au sang pour étouffer son propre cri.

"Aaaaaie! Oh... Madame... Heu, oui, M... Madame."

Simone resta silencieuse un long moment, observant les fesses parfaites de la jeune femme et ses petits seins que la gravité ne parvenait pas à déformer.

"Tu as dû le sentir passer, celui-là."

Edwige poussa un petit gémissement plaintif.

"Embrasse mes escarpins." Ordonna-t-elle pour se ménager un peu de temps pour récupérer.

"Bien, Madame."

Docilement, la soubrette pivota sur elle-même et se prosterna contre ses escarpins.

"Tu vois on a progressé." Continua Simone en agaçant un téton du bout de la canne. "Maintenant, nous savons toutes les deux que tu n'es qu'une petite salope vicieuse qui adore montrer à quel point elle est soumise."

La jeune femme ne prononça pas un mot et ne cessa pas de parsemer le cuir de petits baisers.

Ayant repris des forces, Simone se leva brusquement.

"Reprends ta position."

Avec un sentiment de supériorité plus enivrant que jamais, elle porta quelques petits coups de canne sur les fesses de la soubrette, savourant ses petits gémissements plaintifs. De nouveau, elle fit coulisser la canne entre les fesses de sa victime.

"Reparlons de ma fille, Avoue que cette petite chipie t'a fait mouiller ta petite culotte."

"Oui... Oui Madame." Répondit la soubrette en faisant onduler son bassin.

"Arrête de te frotter comme une chienne en chaleur, si tu ne veux pas que je t'en redonne un coup."

"Désolée, Madame."

Le ton soumis l'enivra plus encore. Comme je vais prendre du plaisir à rabaisser cette cochonne.

"Donne-moi ta culotte, qu'on puisse voir à quel point tu es vicieuse."

Edwige s'empressa d'obéir. Elle se contorsionna quelques instants puis tendit sa lingerie, le regard suppliant.

Simone s'en empara dédaigneusement du bout des doigts et la déplia pour en inspecter la partie qui avait été en contact avec les muqueuses.

"Eh bien, ce sont les grandes marées à ce que je vois." L'empiècement était couvert de sécrétions blanchâtres sur toute sa longueur. Cependant, se furent les traces jaunes et marron qui fascinèrent Madame de Lestrait.

"Ton hygiène est des plus déplorables, espèce de grande dégoutante. Regarde-moi ça."

Elle frotta le bout de son index dans les sécrétions visqueuses et l'agita sous le nez de la jeune femme.

Edwige baissa de nouveau les yeux. Simone présenta son doigt devant ses lèvres.

"Nettoie-moi ça, c'est tellement poisseux que ça m'a souillé le doigt."

Docilement, la jeune femme aspira l'index entre ses lèvres et le lécha consciencieusement.

"Pendant que tu y seras, nettoie aussi ton immonde petite culotte. Et pas question de te servir de tes mains, ça t'aidera peut-être à mieux comprendre l'importance de l'hygiène intime. Si je suis satisfaite de ton travail, j'envisagerai peut-être de t'autoriser à me donner du plaisir..."

Lizzy consacra un long moment à reprendre sa respiration. Son troisième orgasme s'était déclenché au moment précis où elle s'était remémoré la voix de sa mère. "Aurais-tu fait pipi dans ta culotte, petite dégoutante?"

Un nouveau frisson la parcourut de la tête aux pieds. De fil en aiguille, ses pensées s'orientèrent vers les pieds qu'elle avait passé la soirée à masser, et plus particulièrement leur odeur. Prise d'une inspiration subite, elle sauta de son lit, s'agenouilla devant ses mocassins et les renifla longuement, constatant qu'ils sentaient beaucoup moins fort que les escarpins de sa mère. Quelques mètres plus loin, ses chaussettes étaient éparpillées par terre. Elle s'en empara et les huma longuement, un peu frustrée par le résultat. Curieuse, elle décida de combiner les deux odeurs et enfonça ses chaussettes dans ses chaussures, veillant bien à en positionner la partie la plus odorante de façon à ce qu'elle soit accessible.

Une fois recouchée, elle appliqua une chaussure sur son nez et s'imagina à genoux, les mains croisées dans le dos, les fesses en l'air, plongeant son nez dans les souliers de sa mère.

Son excitation sexuelle remonta en flèche. Coinçant son mocassin entre deux coussins, elle porta ses deux mains entre ses cuisses et stimula à la fois son clitoris et son petit trou de derrière. Au prix de quelques contorsions, elle réussit à forcer son nez à l'intérieur de sa chaussure. Les effluves, bien que moins corsées que celles émanant des escarpins, lui embrumèrent le cerveau et, dans les secondes qui suivirent, son plaisir était à son point culminant.

"Je les ai portés toute la journée et j'ai certainement les pieds gonflés." Comme précédemment, la voix de sa mère déclencha son orgasme, mais cette fois ci, la vague de plaisir qu'elle chevaucha semblait s'être multiplié par dix.