Lizzy Ch. 02 - Derniers Jours de Lycée

BÊTA PUBLIQUE

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Sur ces mots, Simone inspecta longuement la culotte, inconsciente du sourire qui s'était dessiné sur ses lèvres, alors qu'elle constatait avec plaisir qu'il n'y avait aucune trace suspecte.

"Je vois que tu as suivi mes recommandations concernant ton hygiène intime."

Elle huma délicatement la petite culotte.

"Un vrai délice, c'est parfait. Ça sent un peu la crevette, mais ce n'est pas déplaisant. Tu te placeras dans la même position, à la différence près que c'est ton petit cul que je veux que tu me présentes."

Edwige se rajusta du mieux qu'elle pouvait et reprit sa position, enjambant à reculon les jambes de sa patronne.

"Suce mon doigt. Et je te conseille de ne pas faire semblant" Ordonna Simone en tendant son index vers la tête de la soubrette.

Se contorsionnant tant bien que mal, la soubrette se retourna précairement et accepta l'intégralité du doigt dans sa bouche.

"Bien, maintenant, penche-toi en avant, les mains bien à plat sur la table.

Edwige comprit aussitôt pourquoi Madame lui avait fait humecter son index.

Simone attrapa une de ses fesses et l'écarta sans ménagements, tout en déposant plus de salive sur le bout de son doigt.

"Ton autre fesse. Écarte-toi mieux que ça."

À peine Edwige avait-elle saisi son autre fesse qu'elle sentit le doigt s'enfoncer profondément dans son anus.

"Si tu connais une autre méthode pour vérifier ton hygiène... C'est trop tard." Plaisanta Simone d'une voix joyeuse.

Elle resta immobile un instant, s'émerveillant du travail des muscles intimes qui se contractaient délicieusement. Un instant, elle crut qu'elle pouvait ressentir les battements du cœur de la jeune femme à travers les parois de son rectum, mais abandonna vite l'idée, la trouvant saugrenue. Alors, elle le fit légèrement tourner sur lui-même, avant de forcer, insistant jusqu'à ce ses autres doigts butent contre les fesses offertes, avant de le retirer d'un geste sec.

Le gémissement que poussa Edwige enchanta ses oreilles et elle envisagea de la sodomiser une deuxième fois, mais le risque de salissures l'emporta.

"Tu peux te rajuster." Déclara-t-elle en inspectant consciencieusement son index.

Quelques résidus suspects souillaient le bout de son ongle manucuré. Elle porta son doigt à son nez et grimaça.

"Beurk! C'est infect." S'exclama-t-elle, écœurée. "Ton hygiène laisse encore à désirer." Son regard se durcit. "Lèche... Débarrasse-moi immédiatement de tes immondices. À genoux! Et lèche moi ça tout de suite. Tu peux d'ores et déjà cocher la case 'lavement' sur ta liste de courses."

Confuse, Edwige s'agenouilla et s'attela à la tâche avilissante. La liste de courses était un mystère, pour elle. Prenant soin de saliver le plus possible, elle avança sa bouche et y engouffra le doigt jusqu'à ce qu'il ait disparu. Puis, elle exerça un mouvement de vas-et vient similaire à ce qu'elle avait vu sur les rares films pornographiques qu'elle avait regardé, imitant une fellation. À chaque aller-retour, sa langue passait et repassait consciencieusement sur le bout de l'ongle, insistant à l'endroit où il se soudait à la chair.

Curieusement, elle ne ressentit pas de haut-le-cœur, mais une excitation nouvelle qu'elle n'aurait jamais imaginé éprouver dans ce genre de circonstances.

"Le lavement est la seule solution. Je ne peux pas attendre de toi que tu t'enfonces le doigt dans le cul chaque matin en te lavant..." Elle s'interrompit, imaginant la scène. "Bien que, en y réfléchissant bien, je me demande si tu ne préfèrerais pas ça. Quoi qu'il en soit, je te veux parfaitement propre, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur. Gare à toi le jour où tu me déçois sur cet aspect."

Edwige acquiesça de la tête sans cesser de sucer l'index offert. Son sexe était trempé et elle avait l'impression de sentir le tout le haut de son collant s'était humidifié. Ses lèvres coulissaient d'avant en arrière, dans un rythme confortable et aussi quelque peu rassurant, lui faisant penser à un bébé tétant le sein de sa mère. Elle inversait le mouvement chaque fois qu'elle sentait l'ongle effleurer l'entrée de sa gorge et finit par trouver ça rassurant.

"Bon, on ne va pas y passer la nuit."

Reprenant pied avec la réalité, elle se concentra une dernière fois sur l'ongle avant de le relâcher avec un petit pincement au cœur.

Simone inspecta de nouveau attentivement son doigt et sembla satisfaite puisqu'elle l'essuya dans la culotte blanche.

"Assieds-toi sur la table basse, face à moi." Ordonna-t-elle en reposant ses pieds sur le tapis. "Bien, maintenant montre-toi un peu mieux, montre-moi comme tu es trempée."

Avec une moue délicieuse, la soubrette écarta les cuisses, révélant la tâche sombre qui s'étendait de son entrejambe jusqu'au haut de ses cuisses.

Appuyant son menton sur sa main, Simone se pencha en avant et tendit l'autre bras. Du bout de l'ongle, elle agaça longuement les chairs comprimées par le nylon, ignorant complètement Edwige.

Cette dernière sentit son plaisir monter en flèche. Elle avait l'impression d'être une poupée de chair que sa Maîtresse manipulait à sa guise. L'ongle se faisait plus pressant, frottant et frottant encore, tel un mouvement hypnotique dont elle n'arrivait pas à détacher son regard.

"Si tu jouis, ça sera la canne."

La voix froide et détachée de sa Maîtresse eut le mérite de refroidir ses ardeurs. Après avoir été du côté qui administre la punition, elle redoutait encore plus d'être de celui qui la subissait.

"Dorénavant, je t'interdis de jouir sans mon autorisation. Ça sera aussi important que l'hygiène. Si jamais tu me déçois, je te promets que je te le ferai regretter sincèrement.

Cent-cinquante mètres plus loin, chez les Grandains, Lizzy était assise sur la cuvette des toilettes. Mélanie était agenouillée entre ses cuisses, ses grands yeux verts fixés dans les siens. Elle avait placé une main sur chacun de ses genoux et lui avait écarté les cuisses jusqu'à ce que l'accès lui convienne.

"Fais glisser ton bassin en avant, je n'veux pas en perdre une goutte." Demanda-t-elle d'une voix crapuleuse.

Les deux jeunes filles avaient passé un long moment dans la piscine, nues, à s'embrasser passionnément ou étendues sur les chaises longues, à se faire dorer. Ce furent les gargouillements de son ventre qui stoppèrent la main de Mélanie alors qu'elle s'amusait à triturer ses tétons. Cette dernière avait éclaté de rire lui déclarant qu'en ce qui la concernait, elle serait rassasiée quand elle lui aurait bouffé la chatte. Elles avaient filé dans la cuisine pour se préparer un en-cas.

Lizzy était aux anges. Mélanie la regardait avec un sourire vorace. Ses yeux verts brillaient, tandis qu'ils alternaient entre son sexe et son visage. Sa langue caressait langoureusement ses lèvres et des sons étouffés, pareils à des ronronnements, provenaient de sa gorge,

Incapable de se contrôler, contrairement à ce que lui avait demandé Mélanie, Lizzy appuya ses deux mains sur la cuvette des toilettes et se pencha en avant pour coller ses lèvres contre les siennes.

Mélanie poussa un gémissement de bonheur qui connecta directement les oreilles de Lizzy à la boule de chaleur qui prit possession de son bas-ventre. Sa langue accueillit celle de Lizzy en s'enroulant autour d'elle, et ses mains relâchèrent la pression qu'elles exerçaient sur ses genoux pour progresser lentement à l'intérieur de ses cuisses. Le gémissement suivant émana de Lizzy.

"J'adore quand tu m'embrasses." Souffla Mélanie entre deux baisers.

Ses doigts effleuraient l'intérieur de ses cuisses de Lizzy, progressant de plus en plus rapidement vers son sexe. Leurs langues menaient un balai endiablé. Les doigts de Mélanie se glissèrent sous la cuisse pour s'infiltrer entre les fesses offertes et son ongle manucuré effleura la muqueuse anale de Lizzy qui râla de bonheur en interrompant le baiser pour souder ses lèvres contre le cou trempé de sueur de Mélanie.

"Qui c'est qui va s'prendre un doigt dans l'cul?" Lui susurra-t-elle dans l'oreille en faisant glisser son majeur dans la fente de Mélanie. "Et aussi, j'adore comment tu mouilles."

Lizzy était proche de la délivrance. Un ongle se pointait au centre de son anus, s'enfonçant millimètre par millimètre. Elle poussa un nouveau gémissement, plus long et plus fort. Elle avait calé sa tête sur l'épaule de Mélanie et écartait ses cuisses autant que cela lui était possible, s'offrant avec délice.

Mélanie ressortit son doigt et le passa une seconde fois entre les lèvres détrempées, pour le renfoncer, cette fois jusqu'à la garde. Puis elle l'immobilisa.

Lizzy sortit de la torpeur exquise dans laquelle elle baignait. Raffermissant son appui sur la cuvette des toilettes, elle arqua son dos. Ses gémissements retentissaient continuellement, ne s'interrompant que lorsqu'elle reprenait son souffle qui devenait de plus en plus saccadé.

"Et j'adore encore plus quand tu miaules comme une p'tite chatte en chaleur." Souffla gaiement Mélanie.

Son majeur avait entamé un mouvement de piston, ne sortant du fourreau qu'occasionnellement, pour gratter le pourtour du sphincter avec son ongle. Son pouce entra dans la danse, tournoyant autour du clitoris de Lizzy dont la cadence des halètements augmentait sans cesse.

"T'aimes ça, avoir mon doigt dans l'cul. Ça t'fait tellement mouiller qu'tu dois dégouliner dans les chiottes. Avec toute cette bave, je t'ai tellement huilé la tuyauterie qu'ça rentre comme dans du beurre."

Ce fût le déclencheur qui emporta Lizzy dans un orgasme fulgurant.

"Vas-y ma p'tite chatte, décharge sur mes doigts. Tu sais que j'adore ça." Poursuivit-elle avec malice.

Ses doigts s'agitaient au rythme des secousses qui agitaient le bassin de Lizzy, lorsqu'un jet puissant lui noya le poignet. Stupéfaite elle se pencha pour regarder ce qui se passait, mais les soubresauts de son amante se calmaient déjà, ne lui laissant comme témoignage que cette sensation chaude et sa main trempée.

"Je l'crois pas, t'as pissé?" Accusa-t-elle sur un ton qui trahissait sa déception. "J'croyais qu'on s'était mises d'accord."

Perplexe, Lizzy réfléchit un instant. Ne concevant qu'un seul moyen d'élucider ce mystère, elle saisit le bras de Mélodie et le renifla longuement avant de laper le creux de sa paume.

"C'est pas d'la pisse." Déclara-t-elle d'une voix formelle.

Dubitative, Mélodie en fit autant et dut se rendre à l'évidence.

"T'as raison. J'ai vu des films ou y avait des nanas qui giclaient comme des mecs. J'y ai jamais cru. J'me disait que c'était forcément d'la pisse. P'têt qu'si t'avais grandi un peu plus, ton clit se s'rait devenu une p'tite bite..."

Lizzy éclata de rire.

"Ça risque pas, j'me sens fille jusqu'au bout des ongles, certainement pas mec."

"J'avoue... Mais on verra ça plus tard. J'suis toujours assoiffée, si tu vois c'que j'veux dire... Allez, maintenant approche-toi." Conclut-elle impatiemment.

Prenant appui derrière ses fesses, Lizzy fit glisser son bassin en avant, décollant ses fesses de la cuvette des toilettes, se cambrant en écartant ses cuisses au maximum.

Mélanie plongea en poussant un petit gémissement de satisfaction. Sa langue parcourut la longueur de la fente offerte de bas en haut et de haut en bas, alternant allers-retours et pauses délicieuses consacrées à titiller et aspirer le clitoris de Lizzy,

Lorsque les lèvres de Mélanie se collèrent hermétiquement contre son sexe, Lizzy sut que c'était le signal. Se cambrant de plus belle, elle libéra sa miction, relâchant de longues giclées, contractant ses muscles intimes pour interrompre je jet chaque fois qu'elle redoutait de noyer la gorge de son amante. Les adorables yeux verts de cette dernière étaient vrillés amoureusement dans les siens, tandis que ses bruits de déglutition résonnaient dans la cuvette des toilettes. Soutenant son regard avec passion, elle vida sa vessie dans la bouche qui lui donnait tant de plaisir.

Lorsque la source se tarit, la langue de Mélanie s'appliqua à la nettoyer consciencieusement, explorant méticuleusement son entrecuisse, ne négligeant aucun des recoins qui se trouvaient à portée de langue.

"Viens t'accroupir au-dessus d'mon visage, ça s'ra plus confortable." Lui demanda la petite brune en se couchant sur le carrelage. "Et puis comme ça, j'pourrai mieux m'occuper de ton p'tit trou." Ajouta-elle avec un sourire carnassier.

Le cœur de Lizzy s'emballa. La boule de chaleur se mua en incendie, tandis qu'elle se redressait d'un bond et enjambait le corps de son amie, s'accroupissant comme une grenouille pour placer son sexe dégoulinant à l'aplomb de la bouche grande ouverte de Mélanie. Elle eut à peine le temps de remarquer la langue de cette dernière qui s'agitait au-dessus de ses lèvres. La position écartela naturellement son intimité, l'offrant impudiquement à l'appendice rose et luisant qui s'impatientait. Mélanie reprit son balai endiablé, titillant tous ses points sensibles qu'elle connaissait par cœur, progressant millimètre par millimètre vers son anus sur lequel elle se concentra. Lizzy recommença à gémir. La langue de sa copine virevolta longuement autour de son petit trou, le noyant de salive, revint balayer la longueur de sa fente, avant de se consacrer à nouveau à son anus.

"Hmmm! Est-ce que j'tai déjà dit que j'adorais lécher ta petite rondelle?" Demanda-t-elle en soufflant doucement sur la muqueuse.

Lizzy frissonna. Un courant frais délicieux la précipita au bord du gouffre. Ses muscles, pourtant endurcis par les années de danse, menaçaient de se mettre à trembler. Et lorsque la langue de Mélanie se raidit pour s'enfoncer profondément dans son sphincter, un orgasme titanesque la ravagea. À sa grande surprise, elle fut aux premières loges pour observer la longue giclée de jus qui s'échappa de son méat, fusant au-dessus des cheveux de Mélanie, les éclaboussant copieusement avant d'aller se répandre sur le carrelage, quelques dizaines de centimètres plus loin. Et ça n'en finissait pas. Comme la veille, dans son lit, un deuxième orgasme succéda au premier, suivi par un troisième, chacun d'entre eux accompagné d'un jet rythmé par ses contractions intimes.

Intriguée par les râles particulièrement rauques de son amie, Mélanie stimula délicieusement la petite portion de peau qui séparait l'anus de la fente. Ses yeux réapparurent entre ses cuisses de Lizzy au moment précis où une quatrième giclée traversait l'espace au-dessus de son visage. Elle resta tétanisée une fraction de seconde, avant de plaquer sa bouche sur les lèvres intimes, avalant goulument les derniers petits geysers qui s'échappaient sporadiquement du sexe de Lizzy.

Cette dernière râlait continuellement, suppliant mentalement ce plaisir merveilleux ne jamais cesser. La force de sa jouissance atteignit un tel seuil que, vaincus, ses muscles cédèrent et elle s'affala sur le sol, vidée de ses forces.

Mélanie prit appui sur son coude et lui caressa délicieusement les seins, lui murmurant à l'oreille des mots tendres, entrecoupés d'une multitude de baisers sur tout son visage. Elle répéta inlassablement à quel point elle la trouvait belle et sexy, jusqu'à ce qu'elle reprenne ses esprits.

"Waow... J'te remercie de m'avoir permis d'assister à ça."

Épuisée, Lizzy se contenta d'acquiescer hocher la tête, perdue dans les adorables yeux verts qui étaient fixés sur les siens.

"Maintenant, j'comprends mieux ce que tu m'as raconté dans l'bus."

"J'en ai parlé à la bonne, mais j'sais pas trop si j'dois l'dire à ma mère."

J'pense qu'tu ferais mieux. Si elle l'apprend d'Edwige, ça risque de s'retourner contre toi. La mienne sait que j'me branle depuis longtemps. Et j'te rappelle qu'elle nous a pratiquement surprises dans la douche, le lendemain d'mon anniversaire. Elle a jamais rien dit, mais j'suis sûre qu'elle s'doute de quelque chose.

Sur ces mots, Mélodie lui adressa un petit clin d'œil et se redressa sur les genoux. S'assurant que Lizzy la regardait bien, elle rampa, à quatre pattes, jusqu'aux flaques de jouissance.

Intriguée, Lizzy se retourna sur le ventre pour la suivre des yeux,

Jetant de fréquent coups d'œil derrière elle, elle écarta largement les cuisses, plaça ses mains de part et d'autre des petites mares, et, le dos cambré, les épaules à ras du sol, un peu comme si elle faisait des pompes, elle se mit à laper le sol.

Lizzy, qui s'était redressée sur ses coudes, avait une vue imprenable sur l'entrecuisse que sa copine exhibait à moins d'un mètre d'elle. L'écartèlement des cuisses fines de Mélodie faisaient saillir ses tendons. Ses petites fesses étaient grandes ouvertes, dévoilant son anus qui semblait palpiter et, au centre du tableau, sa vulve, obscènement ouverte. Une gouttelette de mouille translucide s'étirait au bout de son fil glaireux qui menaçait de rompre à tout moment. Incapable de résister à la tentation, Lizzy rampa vers son amie et les cueillit du bout de la langue.

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1 Commentaires
PerverPeperPerverPeperil y a 2 moisAuteur

Jean Marie, désolé mais ma messagerie considère votre adresse comme invalide :(

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