Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Quelques populations arpentent les trottoirs d'un pas rapide, pressées de rentrer s'avachir devant leur soupe télévisuelle du samedi soir. Maints clodos complètent le décor, leurs intonations assez fortes accompagnent leurs mouvements désordonnés laissant deviner le début d'une bonne cuite en approche.

Après 10 minutes de marche, nous stoppons devant un cinéma, les affiches de jeunes femmes aux corps presque entièrement dénudés et aux poses suggestives ne laissent aucun doute sur les films diffusés ici. En voyant toutes ces places disponibles à proximité je suis surprise et demande à Paul l'intérêt de se garer aussi loin.

-- Tu sais, j'adore vraiment les petites balades digestives, pas toi?

-- Je ne sais pas Mr je n'ai pas mangé!

-- À oui c'est vrai, nous allons pouvoir y remédier je pense. Mais avant comme tu adores le cinéma, que dirais-tu d'une petite séance?

La question est rhétorique, je sais qu'il projette de m'y emmener de toute façon. Je prends quand même la peine de lui répondre et lui préciser que ce n'est pas mon style de film préféré.

-- Ne sois pas si obtus, il faut s'éveiller à toutes formes de culture, tu aimes les nouveautés et tu as l'esprit toujours ouvert? Même si pour une femelle comme toi il n'y a pas que l'esprit qui doit toujours rester ouvert!! Tu vois, je te mets dans l'ambiance du film.

Il fait de l'esprit en plus ce con, sa remarque à deux balles me met les nerfs en pelote. Pendant ce temps j'entends Mike demander 3 places au guichet pour le film « les suceuses à grande bouche » ... Tout un programme!

Le film n'est pas encore commencé et je devine une douzaine de spectateurs seulement éparpillés dans cette salle à moitié éclairée. Sûrement que des mecs, je ne vois pas une nana pointer son nez par ici, il faudrait être téméraire.

Nous traversons toute la salle pour nous asseoir au 1er rang au milieu de l'écran, pour ne rien rater du spectacle selon Paul! Je pense surtout que personne n'a pu manquer notre arrivée. Chacun pourra aisément admirer tous mes déplacements.

À peine installer dans des fauteuils n'ayant pas vu de nettoyage depuis la construction du ciné que le film démarre. On rentre directement dans le vif du sujet, ici aucune pub en intro pour saouler le spectateur, même Durex n'a pas osé!!

À l'écran 2 secrétaires discutent du temps et du dernier rouge à lèvres acheté quand 2 grands blacks bien bâtis arrivent pour livrer un grand fauteuil en forme de pouf pour décorer le bureau du patron. Il y en a déjà deux qui décorent le secrétariat pensé-je.

Ils l'installent dans le bureau et demandent aux deux filles laquelle des deux pouffes veut tester ce pouf en premier, il pouffe même de se remarque. Allez on tire au sort, pouf pouf ce sera toi ... J'aurai été une bonne scénariste, il s'est lâché là, les dialogues sont de haute volée!

Finalement elles le testent ensemble et elles sont à peine assises que les deux blacks sortent deux énormes braquemarts qu'elles s'empressent de sucer. Elles ne les quittent que pour s'embrasser de temps en temps.

Je n'en reviens pas de la taille de ces queues, elles ressemblent à mon avant-bras! « Mon dieu marie joseph » aurait réagi ma mère devant ces deux monstres de la nature. Cela fait à peine 2 minutes que le film est commencé qu'elles sont déjà au labeur, l'histoire ne va pas être dur à suivre!

-- Le titre « Les suceuses à grande bouche » est bien choisi tu ne trouves pas? Tu crois que tu aurais pu prendre leur gland dans ta petite bouche? Ça ne te donne pas des idées? On peut vérifier peut-être?

-- Je ne suis pas gouine Mr.

-- Ce n'était pas tout à fait à cette partie-là que je pensais.

Sa main me prend la nuque et me force à rejoindre sa queue que je découvre déjà en pleine forme. Je soupire puis gobe son gland, lèche sa verge, démarrant au mieux cette pipe, mais sans grand entrain les seins écrasés contre l'accoudoir du fauteuil.

-- Suces bien et surtout avales tout je ne voudrai pas tacher le fauteuil. Mais ça ne doit pas t'empêcher de caresser ta petite chatte!

Le rappel de cette obligation me fouette le visage. Je dois me caresser à chaque fois que j'ai une queue dans la bouche, j'ai l'impression de passer pour une salope avec cette attitude.

-- On s'est dit avec Mike qu'il ne fallait pas rater cette avant-première, même si les acteurs n'ont pas prévu de venir rencontrer leur public. Certes ce n'est qu'un petit film sans prétention, mais on peut y dénicher quelques perles je pense.

Je n'arrive pas à m'extraire du film et les paroles des deux blacks « suce-moi bien salope, prends bien tout dans ta bouche, n'oublie pas mes couilles, revient téter mon gland ... » finissent par rythmer inconsciemment ma manière de sucer. Je finis par recevoir ses longs jets de foutre et avale en grimaçant. Paul en profite pour me souhaiter un bon début de repas. Pauvre con!

-- Tu suces mieux je trouve quand tu as faim, non? Pressée de recevoir ta récompense je suppose?

Sa main atteint mon string resté au sec devant mon manque d'excitation.

-- C'était juste un hors d'œuvre, prends le temps de bien démarrer.

Il ne rate pas une occasion de m'humilier, j'essaie de ne pas répondre, serrant les poings. Je suis certaine en plus que plusieurs spectateurs n'ont pas loupé ma disparition et imaginé aisément son objet.

-- Mais ton rouge à lèvres a bavé ma cochonne, tu devrais aller aux toilettes te refaire une beauté.

-- Oui Mr j'y vais.

-- Dans celles des hommes évidemment! Et si tu croises un quidam, tu lui proposes de le sucer, après avoir remis ton rouge à lèvres bien sûr, je te veux présentable!! Mais pour une fois tu n'avales pas et reviens avec son foutre en bouche nous montrer ton exploit.

-- S'il vous plaît Mr vous ne voulez pas que je vous suce à nouveau plutôt? Je ne vais pas aller sucer dans les toilettes du ciné quand même!

-- Tu es bien difficile je trouve, tu râles depuis tout à l'heure parce que tu n'as pas mangé et alors que je t'offre gentiment l'occasion de te sustenter tu fais la fine bouche! Dois-je vraiment te motiver là?

Bien sûr que non je savais que ce salaud me tenait avec son foutu contrat, mais je rageai de subir une nouvelle humiliation, et de passer pour la plus basse des salopes en allant sucer dans un endroit pareil. Ma haine pour Paul décuplait!

-- Non Mr, indiquez-moi les toilettes s'il vous plaît, sortis-je quand même entre mes dents serrées.

-- Tu remontes toute la salle sur ta droite et tu trouveras ton bonheur derrière une petite porte sur ta gauche.

Je devine ma traversée de salle observée et n'ose jeter un regard vers les sièges. J'arpente à grandes enjambées le nez fixé sur mes escarpins. Les w.c. sont collés à la salle et ne sont pas, à mon plus grand regret (et n'en déplaise à Coluche!) fermés de l'intérieur!!! Le choix homme / femme ne se pose pas, il n'y a qu'une seule pièce où se battent en duel 3 urinoirs et 2 chiottes.

Quelques écrivains du samedi soir ont laissé leur prose sur les murs. Certains ont fait preuve d'une grande créativité proposant des chefs-d'œuvre littéraires, les « suce-moi bien à fond salope », « j'en ai une de 30 cm » (prétentieux va!), « viens prendre ma bite au 06 ... », ou encore « Marion je t'enculeeeeeee » (j'espère au moins qu'il parlait de Marion Maréchal!!), émaillent les murs et portes de chiottes. Quelques bites illustrent même parfois les propos.

Je redonne un peu de vie à mes lèvres devant un miroir crasseux et à moitié cassé quand j'entends la porte s'ouvrir. Un grand stress me parcoure, j'en rate la finition et suis obligée de m'y reprendre à deux fois.

Un homme, la trentaine, au look plutôt avenant, du moins pas le style de gros vicieux que je m'attendais à voir dans cette sorte de ciné, s'approche des urinoirs et commence à pisser sans s'occuper de moi.

J'attends qu'il ait fini, m'écarte du lavabo pour lui laisser la place et reste plantée au milieu de ces latrines, me motivant pour arriver à lui demander s'il veut que je le suce. Il est vraiment pas mal du tout, je dois en profiter, je n'aurai peut-être pas autant de chance au prochain entrant. Je finis par le lui proposer sans être vraiment sûr qu'il ait entendu la fin de ma phrase qui s'est évanouie dans ma bouche.

-- Mais avec plaisir salope, il me semblait bien aussi que tu n'attendais que ça à danser d'un pied sur l'autre.

Il s'installe sur une cuvette de chiotte, baisse son pantalon et m'invite à le rejoindre. J'essaie de fermer la porte pour au moins éviter d'être vue. Mais je découvre un jour d'une vingtaine de cm en bas de la porte, laissant clairement voir mes escarpins, leur position ne laissera aucun doute sur ce que j'y fais!

À peine son chibre dans ma bouche qu'un petit jet d'urine parcours mon palais, j'avale comme une conne, par réflexe. Puis je sors sa bite et le regarde pour l'insulter, mais il précède mes réprimandes.

-- Excuse-moi salope, je n'avais pas tout vidanger, allez suces moi, dit-il en caressant ma joue, puis en prenant ma tête pour l'emmener rejoindre sa queue.

Il n'a pas été long à venir, l'effet film de boule je suppose. À peine a-t-il fini de cracher que je le laisse en plan et je me précipite retrouver Paul. Imaginer la tête du mec planté là le pantalon aux chevilles me fait presque sourire, mais je reste concentré pour éviter d'avaler. J'arrive au siège avec toute sa semence encore en bouche.

Paul me sourit, je m'empresse d'ouvrir la bouche pour lui montrer que j'ai bien réussi à sucer quelqu'un.

-- Pas mal, il t'a fait une grosse livraison à ce que je vois, tires la langue un peu pour voir.

Il me laisse un temps fou la bouche ouverte puis enfin m'autorise à avaler et commente ma grimace. Sur l'écran une blonde vient de se faire asperger la figure par de puissants jets de foutre d'un grand black.

-- Tu aurais aimé être à sa place?

Mike ne me laisse pas le temps de répondre, sa main sur ma tête m'invite clairement à rejoindre sa queue. Je ne résiste même plus et me positionne à genou face à lui, ce qui m'évitera au moins d'avoir les seins comprimés, ils ont déjà assez souffert aujourd'hui. Je le suce sans envie, ma mâchoire commence un peu à me faire mal, heureusement il ne résiste pas longtemps à mes assauts, c'est dingue l'effet de ce ciné! Et ce n'est pas pour me déplaire!!

Paul me renvoie refaire les contours de ma bouche à bite, une bonne excuse pour que je retourne aux toilettes! Il veut que je la redessine après chaque pipe afin que ma bouche se détache bien, que tout le monde sache bien où mettre sa queue, il s'en voudrait que l'on rate l'entrée.

En remontant la salle je soupçonne rapidement une présence dans mon dos, je n'ose me retourner et accélère. Je découvre mon « admirateur » arrivée aux toilettes, un peu plus vieux que le précédent, mais là encore pas trop mal.

Il me regarde remettre mon rouge puis sort sa bite et me fixe sans rien dire, frappant l'intérieur de sa main avec sa queue déjà en action. Les slacs résonnent dans les toilettes et rebondissent contre les murs pour finir par envahir mon cerveau. Je le rejoins en mode automate, m'accroupis et commence à le sucer, j'essuie quelques larmes devant cette situation obscène que j'accepte sans réagir.

Peu de temps après, un autre homme rentre, je commence à redouter de voir tous les spectateurs déboucher et m'entourer de leur bite au garde à vous. Je ne pourrai plus rien contrôler dans cette situation. Mais Paul lui succède rapidement. Sa présence me rassure même si un « ta main » me rappelle sèchement à l'ordre pour que je me caresse.

J'écarte mon string et commence à m'occuper de mon clito. Ma posture accroupie, cuisses écartées, jupe relevée par ma main en action doit présenter une vue magnifique à tout nouvel arrivant! J'en rougis presque en y pensant, je passe pour quoi là??

J'ai l'impression que Paul fait le portier, il accueille celui qui arrive pour se faire sucer, discute le bout de gras, félicite celui qui part les couilles vides en commentant ma performance, se dit que ça vaudrait le coup que le ciné prévoit ce genre de service plus souvent, il aurait plus de succès. Paul m'observe d'ailleurs sur cette remarque... dans tes rêves lui retourne mon regard.

Il détaille mes formes et mes atouts, constate mes techniques de suceuse, s'amuse de leurs expressions quand il découvre que je me caresse en même temps et que vu l'état de mon entrejambe il semblerait que j'y prenne du plaisir!! Certains lâchent même quelques bons mots ... « Quelle Salope!!! » digne d'un Bedos en grande forme.

Il jugule, d'un ton cordial, mais ferme, l'envie de certain de garder un souvenir, leur précisant que la salope préfère qu'ils sortent leur bite à leur smartphone. Quelques battements de cils dans sa direction le remercient à chaque fois, je n'ai pas envie de retrouver ma tronche sur un site de pervers!

Il invite chaque mec ayant défouraillé à faire passer le mot à son voisin, repousse une tentative discrète de second passage, calme les ardeurs d'un black qui veut me mettre toute sa bite dans la gorge et qui voyant que je n'étais pas encore capable de cet exploit commence à s'énerver. Les hommes qui défilent dans les toilettes sont moins reluisants que ceux du départ et je retrouve les caricatures imaginées et redoutées au début.

Le petit gros adipeux au regard lubrique qui transpire de tout son être, l'ancien bien membré, mais qui a tant de mal à bander que s'en est toute une sinécure pour le faire jouir, le petit jeune à grande goule pour se donner du courage, mais sûrement encore puceau qui ne résiste que quelques secondes à ma bouche experte (certainement lui la tentative de second passage!!), le grand étriqué à l'imper dégueulasse que l'on attend à voir à poil en dessous, le sur actif qui veut absolument me baiser la bouche comme un forcené malgré les réprimandes de Paul, le timide compulsif qui n'arrête pas de s'excuser, l'odorant dont les effluves nauséabonds vous arrivent au nez bien avant lui ...

Toute la lie du quartier vient traîner sa paire de couilles, son spleen du caleçon, sa dépendance lubrique, ses outils à pignole, son manque d'affection, sa déprime du samedi soir, sa perversité refoulée dans les sombres travées de ce défouloir à bites.

Ils viennent chanter tous en chœur son oraison funèbre aux moult tribus de spermatozoïdes en attente du grand voyage, entonnent un requiem à leur gloire face aux totems des chattes vénérées : des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous, des trous de 1ere classe ... Mais sait-on vraiment pour qui sonne le gland??

Cette ribambelle de protéine finit inexorablement dans ma bouche! Le mélange de ces goûts aux acidités variées, aux textures bigarrées et pâteuses forme un bal des saveurs des plus méconnus sur le plateau d'un Top chef. Mais les sexes qui me sont présentés ici sont cependant moins odorants que lors de ma précédente expérience au bistrot, ce qui facilite ma tâche!

Je finis quand même par en jouir au cours de ma cinquième turlute, mes « fans » ayant pris l'habitude de guider ma main par leurs commentaires. Ils m'invitent à accélérer, à me doigter, à branler mon clito, jouissant eux aussi, mais du spectacle, de l'image de cette salope que je renvoie par mon attitude complaisante et docile. Je soupçonne Paul de les y avoir fortement incités!

Et comme au bar de campagne, je ferme les yeux avant de laisser exploser ma jouissance pour tenter de m'extraire de ce lieu, laissant une queue en rade juste tenue par ma main, ma tête posée contre sa cuisse, le souffle court, me retenant au mieux d'exprimer trop clairement cet orgasme qui m'emporte. J'entends Paul me susurrer à l'oreille alors que je finis de jouir.

-- Alors comment se passe ton repas ma femelle?

j'ouvre les yeux et le foudroie du regard, ce salaud vient en plus de me niquer mon plaisir.

-- Tu es belle en colère!!

Je reprends cette bite laissée en « suce-pend » et alors que je m'apprête à recevoir sa giclée, il la sort de ma bouche et viens se finir sur ma poitrine qu'il arrose abondement. Je commence à sentir son foutre glisser entre mes seins, beurkkk!

Je suis maintenant à genou sur le carrelage froid des chiottes, je ne tenais plus accroupi, ma bouche me fait mal, j'ai d'horribles crampes à force de sucer. J'essaie de compenser au mieux avec ma main libre. Les spectateurs s'enchaînent, j'ai juste le temps de me remettre du rouge à lèvres qu'une nouvelle queue frappe à la porte. J'en ai perdu le compte depuis belle lurette.

Un gras du bide, ne devant pas s'être vue pisser depuis longtemps malgré un outillage de fort beau calibre pouvant lui permettre de sortir en société la tête haute, joue un remake de son confrère, parodie les blacks du film et me crache toute sa purée sur la figure.

Un réflexe, salvateur celui-là, me permet d'éviter d'en prendre plein les mirettes. Je me retrouve barbouillée par ses nombreux jets d'un copieux masque de beauté. Sa queue récupère le foutre qui veut se faire la malle et l'étale sur mon visage pour compenser mon absence de fond de teint. Il joue ainsi avec pendant quelques minutes pour fignoler son œuvre!

Au terme de cette pause artistique, je tente d'ouvrir les yeux, mon œil droit encore tout englué me découvre une multitude de filaments de foutre tendus entre mes cils. La vision est des plus cauchemardesque.

Paul vient alors me préciser que c'était le dernier et que j'avais réussi à éponger la douzaine de spectateurs de la salle.

-- J'ai remarqué que tu te caressais très mollement sur les deux derniers, comme pour te retenir d'un nouvel orgasme. Fais-moi plaisir lâches toi, nous ne sortirons pas avant.

Je ne peux plus réfléchir, mon esprit est hors course. J'avais dû trop nettement laisser mon visage exprimer ce désir que je tentais de refouler ardemment. J'ai une folle envie de me nettoyer, ce foutre m'écœure. Ma main se met en relation avec mon clito encore sous tension et comme le jeune puceau de tout à l'heure il ne me faut que peu de temps pour rattraper ce désir et laisser exploser cette seconde jouissance.

Après une petite minute d'absence, je me traîne jusqu'au lavabo, mais tout à ma déconvenue et malgré mon insistance Paul ne m'autorise pas à me nettoyer, arguant qu'une salope ça doit s'assumer. Je ne relève plus, je suis naze, j"ai du mal à ouvrir mon œil droit, le sperme commençant à sécher.

En sortant des toilettes, je découvre Mike en haut de la salle, j'imagine alors son rôle. Il a dû rythmer l'arrivée des acteurs, voir en inciter certains trop timides ou ayant raté ce qui se tramait à côté! Nous retrouvons nos places, je lutte contre les renvois de sperme qui m'envahissent le palais. Mes mains sont crispées j'ai beaucoup de mal à supporter le contact de tout ce foutre sur ma figure et ne rêve que d'une bonne douche salvatrice.

Les deux secrétaires du départ sont toujours à l'écran, mais là avec 4 plombiers noirs qui se rattrapent de ne pas avoir trouvé la fuite. Comme il ne faut pas se déplacer pour rien, ils leurs ont proposé de vérifier si leur tuyauterie personnelle fonctionnait bien.

Elles gèrent 2 énormes bites chacune, le film se termine sur une envolée de sauce blanche des 4 blacks qui, avec une précision de cascadeurs, inonde de concert les secrétaires aux mines épanouies. Une vraie douche de sperme!

-- Quel timing, nous arrivons juste à la fin du film. Tu l'avais déjà vu je suppose?

Le mot fin sonne notre départ, mais je reste inerte dans mon siège, je n'ose plus bouger en sentant le foutre sécher et tendre ma peau. Deux ou trois applaudissements résonnent dans la salle, ne sachant s'ils sont à mon intention ou pour le film!

-- Tu as encore faim peut-être? Tu veux rester pour la séance suivante?

Purée non, ma mâchoire a tellement travaillé que j'en ai du mal à parler.

-- Alors viens le petit chaperon rouge a assez vu de gros cochons pour ce soir!!

La nuit est tombée et cela me rassure un peu, les traces blanchâtres qui me recouvrent vont être un peu moins visibles.