Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 04

-- Alors une petite balade digestive?

Très drôle ducon, les 10mn de marche jusqu'à la voiture me semblent interminables, je cherche à changer de trottoir repérant les lampadaires en panne, mais Paul veille à laisser la nouvelle artiste que je suis en pleine lumière.

Nous ne rencontrons heureusement pas beaucoup de monde, mais je peux voir à chaque fois leurs expressions de surprise en nous croisant. Ces airs dubitatifs ou alors enjoués en découvrant l'état de mon visage et de mes seins montrent qu'aucun doute n'est permis sur l'origine de ces traces. J'imagine même que certains doivent se retourner après nous avoir dépassés pour bien réaliser qu'ils n'ont pas rêvé. Heureusement personne ne nous aborde.

Cette balade est l'occasion pour Paul de détailler le déroulé du film des toilettes à Mike, lui soulignant la qualité de ma prestation, digne d'une grande actrice porno. Il me demande nombre de détails sur ces queues, celles que j'avais préférées sucer, celles qui avaient le meilleur goût, celle qui a giclé le plus, le foutre avec la meilleure saveur ...

Alors que j'avais réussi jusque-là à le maîtriser je sens de nouveau mon estomac gargouiller à l'écoute de tous ces détails. Je demande à Paul d'arrêter, mais il prétexte qu'avec son rôle Mike n'avait pu assister au spectacle, c'était normal qu'il en profite également. Ils sont avides de précisions, Paul relate les situations les plus scabreuses et croustillantes, Mike s'en donne à cœur joie de me questionner.

Je vois les bites défiler devant mes yeux, ressens leur foutre, leur odeur, l'envie de vomir devient de plus en plus incontrôlable et au terme de cette balade digestive, qui ne fit pas son œuvre, je me retrouve entre deux voitures pour me vider.

-- Tu ne fais vraiment pas d'effort, on t'offre un repas copieux et tu ne l'apprécies pas à sa juste valeur!

-- Excusez-moi, j'ai vraiment trop mal avec les grosses quantités de foutre.

-- Il va absolument falloir trouver un moyen pour t'habituer à ce goût. On pourrait te prendre un abonnement mensuel au ciné? Tu y aurais accès libre. Qu'en dis-tu?

Je regarde Paul sans savoir s'il est vraiment sérieux. Il m'imagine venir régulièrement sucer des queues dans ce trou à rat??

-- Je crois qu'elle vient de se faire un film, relève Mike après un grand éclat de rire.

Au retour Paul joue le chauffeur, après avoir fait le portier, je partage la banquette arrière avec Mike, occupée à le sucer pendant tout le trajet.

Et c'est en véritable métronome qu'il m'offre sa semence au terminus du trajet!

-----

Paul se repasse cette séance au ciné pendant le trajet. Il a été impressionné par Lucie, il ne s'était pas imaginé qu'elle soit capable d'une telle performance pour un début. Il pensait qu'elle craquerait, s'emporterait, l'implorerait et tenterait de négocier. Il avait même prévu le choix entre deux challenges pour terminer la séance (un strip devant l'écran ou une bonne galoche à chaque spectateur!).

Elle aime vraiment sucer, mais il avait bien vu que ce n'était pas la raison principale de son acharnement. Le chantage certes la motivait, mais aussi son caractère de battante, elle est entière, débordante de fierté, allant jusqu'au bout de ce qu'elle a commencé.

Il l'avait vu lutter contre la fatigue pour finir certaines queues, ou pour en démarrer d'autre dégoûtée par l'allure de ses « admirateurs » (qui par ailleurs, à l'exception d'un recadrage, s'étaient tenus correctement!).

Il va la punir une seconde fois, pas pour son manque de progression, le jeu étant justement de trouver les ingrédients à son évolution, mais pour cet oubli d'une des règles de base fixées.

La badine joue un rôle vraiment efficace, mais son utilisation doit rester exceptionnelle. La force et la violence ne font pas partie des armes qu'il aime utiliser. Il préfère jouer sur d'autres approches, trouver les bons mots, les situations adaptées ..., jouer avec plus de finesse est bien plus excitant et provoquera des changements sûrement plus durables. Il échange souvent avec Mike là-dessus afin d'affiner les séances et leurs contenus.

-----

Avant de sortir de voiture, Paul me questionne.

-- Je vais te punir petite femelle, sais-tu pourquoi?

-- Parce que je n'ai pas réussi à garder le foutre?

-- Non tu as tout ton temps pour apprendre à aimer ça. Rappelle-moi ce que tu dois faire à chaque fois que tu suces.

-- Je dois me caresser Mr.

-- Ta main était bien loin de ta chatte quand je suis arrivée dans les toilettes. T'es-tu caressée avec le premier?

Après une longue hésitation, un petit « Non Mr » sort de ma bouche telle une gamine prise la main dans le pot de bonbons.

-- C'est bien j'apprécie ta franchise, je ne te punirai que pour le second oubli.

Mike m'allonge sur le capot de la voiture, il maintient mes mains dans mon dos, relève ma robe. Un frisson me parcours sans savoir s'il vient du contact froid du capot sur mes seins, de ce petit air frais caressant mes fesses dégarnies ou du stress qui commence à monter d'une nouvelle rencontre avec la badine. On ne badine pas avec elle!

J'entends la porte se refermer et Paul revenir avec son engin de torture, je suis totalement crispée, mes jambes commencent à trembler. Il parcourt mes fesses avec, comme s'il prenait le temps de bien lui indiquer tous les endroits susceptibles de l'accueillir, chaque nouveau contact me fait tressaillir.

Il en joue un moment puis sans prévenir entame la punition. Le 1er coup cingle, comme l'autre fois sans grande violence, mais il est sec, bien appuyé, bien placé traversant mes fesses. Il me fait sursauter et pousser un petit cri.

Cette fois je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle, les coups s'enchaînent, en rythme, parcourent tous les endroits possibles, ne laissant pas un pouce de mes fesses sans douleur. J'en pleure, me débat pour y échapper, mais Mike me tient fermement.

Heureusement Paul s'arrête à 10 coups, mon cul me cuit, je ressens chaque marque. Une petite minute après la fin de la punition une nouvelle vague de douleurs se propage sur tout mon fessier comme si elle avait attendu que je récupère un peu en reprenant ma respiration avant d'envoyer cette nouvelle onde de choc.

Mike me redresse et effleure les marques toutes fraîches et profondes laissées par la badine. J'essaie d'en éviter le contact. Il me tourne la tête pour me faire découvrir l'étendue des dégâts. Les 10 marques bien rouges et très nettes décorent mon postérieur, certaines entourées d'un ton plus pourpre notant leur empreinte plus profonde. Mon popotin convulse encore un peu tout seul sous l'effet de la douleur.

-- Alors satisfaite?

-- Merci Mr, me rappelé-je.

-- Un peu court ma salope.

-- Merci Mr de m'avoir puni pour cet oubli.

-- C'est mieux, mais je suis sûr qu'une bonne secrétaire comme toi doit savoir faire de vraie phrase.

-- Merci Mr d'avoir puni votre femelle pour son oubli de se caresser lorsqu'elle suce.

-- Tu vois tu peux le faire, me complimente-t-il en me cajolant les fesses.

Je serre les dents à cette nouvelle prise de possession de ma croupe.

-- Avant de nous quitter, tu auras une petite excursion dans ta semaine, rassure-toi une exception, je ne perturberai pas ton quotidien. Tu te rendras mardi après midi, comme tu ne travailles pas, dans une boutique pour te faire percer les seins et poser des anneaux.

-- Mais je ne veux pas de piercing, je refuse de voir mes seins affubler de ces anneaux à vache. Ça sera visible en plus, tout le monde pourra voir que je porte des piercings tout en sachant que je n'aime pas ça. Comment vais-je expliquer ça à ma famille ou mes amies!

-- Je ne te laisse pas le choix cette fois et je suis sûr que tu apprécieras beaucoup plus tes petits anneaux plutôt que ce gros cintre, qu'en penses-tu? Et puis tu verras ça reste discret et se cache aisément.

L'idée de me retrouver les tétons pris à nouveau dans les pinces de ce cintre me fait trembloter et sans être l'argument essentiel, comme je n'ai plus la force de lutter, je finis par acquiescer.

-- Bien tu auras l'adresse et les conditions en début de semaine.

Après un retour en voiture passé à chercher une position pour limiter les douleurs dans mes fesses, je me précipite sous la douche pour enlever ce foutre qui me colle à la peau. Puis je reste inerte, la tête dans les bras posés contre le mur, mon postérieur me lance encore, la chaleur du jet d'eau a fait ressortir les marques et raviver les douleurs.

Mon esprit divague un peu, la fatigue et les deux verres de whisky aidant, une petite envie de me caresser me traverse l'esprit. Putain comment je peux en avoir envie là après une journée pareil, j'enrage d'y penser, même un si court instant.

Et puis en fermant les yeux, bercée par le jet de la douche, la farandole de bite reprend de plus belle, grandes, petites, trapues, épaisses, fines, courbées, circoncises, élancées, veineuses, touffues, ridées, glabres ..., aux glands turgescents et à la verge rougis par les lèvres écarlates de ma bouche pulpeuse. Elles dansent en rythme sur leurs couilles poilues, m'encerclent telle une tribu Cherokeekee invoquant les esprits afin d'éviter de terribles sécheresses aux chattes affamées.

Elles se prosternent en passant devant moi, le gland courbé, le méat me regardant droit dans les yeux, puis se redressent et secouées de toute leur verge par mon regard de braise, elles lâchent un geyser de foutre qui me retombe sur la tête!!!

Ma tête me tourne, ma main se faufile, entraînée par cette cavalcade lubrique, pour atteindre mon clito et commence à le titiller en suivant le tempo endiablé de cette danse. Mais finalement c'est mon estomac qui a le dernier mot et je reviens sur terre la tête dans la cuvette des chiottes gerbant la toute fin de ce repas gastronomique et en particulier le dessert offert par Mike.

Et quand je me couche, dans l'abîme qui me tend les bras, aucune bite ne m'accompagne pour me tenir la main!!