Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 18

BÊTA PUBLIQUE

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Comme si cela allait de soi qu'il faisait lui aussi partie du cheptel à traire ce matin ! Je ne relève pas sa mauvaise fois et m'agenouille devant son chibre. La mise ne bouche n'est pas aisé, il n'a pas croisé de savon ce matin et les effluves de la veille se rappellent vivement à mon souvenir. Je ferme les yeux en le gobant, ce qui ne change rien à l'odeur me direz vous ! Certes ! Je salive à grande eau pour faire passer tous les relents de cette mauvaise tenue et entame une turlute peu motivée.

Turlute du matin met le pèlerin en chemin me direz vous. Un adage que les frères jésuites mettaient fort souvent en pratique lors de leurs voyages à Compostelle. Peu connu à l'époque, ce premier mouvement gay qui faisait fureur n'a d'ailleurs toujours pas fait son coming. Mais quittons la route des hommes pour revenir à ma pipe.

Alexandre adore quand je m'occupe de coups de langue bien placés de ses deux frères karamosov. Il en est tellement friand qu'il ne cesse de réclamer toute mon attention à ses deux précieuses. Ses demandes sont tellement empreintes de courtoisie ... « allez salope retourne t'occuper de mes roubignoles » que je ne peux lui refuser ce plaisir ! Ce qui fait que je passe mon temps à faire des allers-retours entre son gland et ses couilles, c'est vous dire qu'à aucun moment je ne « gland-ouille »

Malgré mes talents de suceuse, cette pipe n'en finit pas. Je rêve d'une bonne douche et d'un copieux petit déjeuner pour démarrer cette journée du bon pied et m'évade en imaginant ce que je pourrais faire de cette journée qui s'annonce ensoleillée. Alors que j'ai la tête perdue dans mes délires, je sens sa verge frémir, ce rustre consent enfin, et ce sans me prévenir, à me lâcher sa semence. Un foutre épais et abondant me tapisse le palais. Ce n'est toujours pas mon met préféré au petit déjeuner, mais au moins le job est fait !

- Fi de putain elle était vraiment bonne celle-là, ta bouche est un véritable bonheur, c't'un appel permanent aux bouffardes endiablées, c't'un palace de la turlutte dans lequel je resterai des heures à me prélasser !

Une fois avaler cette copieuse donation, l'infâme m'ordonne de ne pas relâcher son braquemart.

- Garde-la en bouche encore quelques instants, je crois que j'ai encore quelque chose pour toi !

Je sens son chibre rétrécir tout doucement et redonner à ma bouche jusqu'alors quelque peu distendue forme humaine. Lorsqu'il a retrouvé une taille raisonnable, proche de celle du repos,le bougre se lève et attrape l'arrière de ma tête avec ses deux grosses paluches de campagnard pour me plaquer le nez contre ses poils, m'obligeant à engloutir toute sa verge.

Je pressens le moment tant redouté arriver, l'instinct féminin ! Je lève, comme je peux, très légèrement la tête, croise son regard vicieux et entends le ton impératif d'un « avale salope » alors qu'il me lâche un premier jet d'urine dans la bouche !

Le goût très acide de cette mixture matinale m'envahit très rapidement le palais et comme j'ai le malheur de renifler, les effluves viennent s'incruster dans mes narines ! Le goût âcre me provoque un léger renvoi que je jugule rapidement.

Une fois ce premier jet avalé je tente désespérément de soustraire ma bouche à la suite des événements, mais le bougre a la main ferme et il maintient sans faille son emprise sur ma tête. J'ai beau chouiner, couiner quelques paroles étouffées par son membre, pas facile de s'exprimer la bouche pleine (!), marteler ses grosses cuisses de mes poings et tenter de récupérer un peu de liberté, mais en vain. Je sais que tout ça est désespéré et que je n'y échapperais pas, mais que voulez vous on ne se refait pas et les réflexes de survie sont toujours les plus forts !

Mon combat est interrompu lorsqu'une seconde lampée atterrit sur ma langue, aussi infecte que la première, que je déglutis le plus rapidement possible dans l'espoir de faire passer ce goût innommable.

- T'affoles pas salope me rassure-t-il en voyant ma mine déconfite après ces deux premiers jets, je vais prendre mon temps et t'aider à ne pas avaler de travers !

Je tente une dernière supplique, avec un regard de cocker abattu, mais mes chaudes larmes ne l'émeuvent pas et il distille à nouveau deux ou trois petits jets pour bien me faire comprendre qu'il est le maître des lieux et qu'il compte m'utiliser comme pissotière jusqu'à ce que sa vessie soit à sec.

Il s'octroie ensuite une pause et sans desserrer son étreinte, commence à jouer avec mon sein droit. Il s'amuse à tester l'élasticité de mon piercing, à malaxer ma mamelle de ses gros doigts rugueux et sans prévenir me lâche une nouvelle petite bordée de liquide jaunâtre. Il va réellement prendre son temps en s'octroyant de nombreuses petites pauses pour jouer avec mes tétons et me laisser tout le loisir de supporter cet infâme goût dans ma bouche.

- Vé vomir, vé vomirrrrr, un vé vomir plus appuyé que l'autre lui fait comprendre que cette fois je n'arriverai pas à refouler cet énième renvoi qui me tord l'estomac depuis le début.

Il me redonne ma liberté juste à temps pour que je puisse plonger la tête dans le seau en plastique dispose à ses pieds pour rendre à se mixture ce qui aurait de l'être son lieu de destination naturel. Une fois la boyasse vidée, il me tire les cheveux pour présenter à nouveau son chibre à ma bouche.

- Maintenant que tu as fait de la place, le reste ne devrait pas te poser de problème ! Rigole-t-il.

Je rouvre ma bouche docilement encore un peu emprunte, un filet de bave coule à la commissure de mes lèvres, il y enfourne son sexe sans attendre, ses mains retournent prendre position sur ma tête pour contrer toute envie de fuite qui se ferait plus revendicative et finit par me lâcher le reste du contenu de sa vessie d'une seule traite pour, précise-t-il d'un ton enjoué, bien tout nettoyer !

Je reste sourde à cette attention et après avoir séché mes larmes, m'être défoulée en le traitant de porc dans toutes les langues du monde, être aller une nouvelle fois au refile juste en pensant que je venais de boire sa pisse, je suis prié d'aller vider et rincer le seau !

Le petit déjeuner qui s'en suit est salvateur, mais sans toutefois réussir à faire passer l'odeur de cette urine bien ancrée au fond de ma gorge et de mes narines. Je passe ensuite le reste de la matinée à l'atelier de confection des fromages. Jules a sollicité ma présence, car son frangin est parti à pétraouchnock chercher je ne sais quel produit secret pour la confection de leur prochaine création fromagère.

Pour éviter tout problème sanitaire, c'est complètement à poil, avec juste mes bottes et une charlotte, que je trime à ses côtés, trois heures passées presque tranquillement dans ce laboratoire où il n'a pas pu s'empercher régulièrement de me beurrer les tétons ou de badigeonner la chatte de sa préparation qu'il s'évertuait à chaque fois à m'enlever de quelques coups de langue ou de puissantes sucions. Ce con n'a même pas réussi à me faire jouir, prenant un malin plaisir à arrêter ses investigations buccales avant que je ne monte au créneau ! Il aurait pu me renvoyer l'ascenseur, car j'ai dû à sa demande le soulager par deux fois !

Acte 3 - une autre vision de la SPA !

Je retrouve Paul lors du repas du midi, il a l'air en forme et c'est avec un grand sourire aux lèvres qu'il me demande si ma matinée s'est bien passée ! Je n'épilogue pas, reste évasive sur les désagréments olfactifs subis et m'attable affamée. Le repas est mouvementé, entre les blagues salaces d'Alexandre, le décérébré neuronal qui ne me quitte toujours pas des yeux le filet de bave aux lèvres, les commentaires sous la ceinture de jules sur mes compétences comme aide-fromagère, c'est une photo haute en couleur que j'ai de la campagne profonde ! J'ai même du mal à saisir ce que Paul fait au milieu de cette troupe de .. allez je vais rester polie.

J'ai la mauvaise surprise au dessert de voir Paul ressortir le collier de cuir rouge. Il me le met sans attendre une quelconque approbation de ma part et y accroche la laisse. Il me débarrasse ensuite de ma blouse et de mes bottes, me laissant terminer le repas dans cette sobre et humiliante tenue !

Alors que les jumeaux vaquent à la vaisselle, nous sortons de la maison avec Alexandre. Paul me tient en laisse, je suis à quatre pattes, le rouge aux joues. Je ne m'y ferai jamais à cette posture dégradante et avilissante à souhait. Je crois que c'est l'humiliation extrême pour moi d'être considérée comme un animal de compagnie ! Être rabaissée dans cette position à ses pieds met à chaque fois une claque à mon ego.

Nous traversons la cour pour rejoindre la fourgonnette d'Alexandre. Paul me fait prendre place à l'arrière où je vais m'asseoir sur un bout de couverture traînant au fond. Patou le poutou nous a rejoints et grimpe également en ma compagnie. Il vient, en guise de bonjour, me tartiner la fribouille d'une langue bien baveuse et s'allonger ensuite contre moi.

Le stress commence à monter, Paul n'a lâché aucune info sur le lieu de notre déplacement et vêtue uniquement de mon collier et de ma laisse je me vois mal arrivée en terre inconnue. Aventurière parfois, téméraire jamais ... Heureusement le voyage n'est pas long, une dizaine de minutes plus tard, il vient ouvrir la porte du véhicule et je suis presque soulagée en sortant de reconnaître la cour de la ferme d'Albert.

En descendant du véhicule, Paul reprend sans attendre la laisse pour m'empêcher de me soustraire à l'accueil de l'immense dogue allemand qui vient me renifler l'arrière-train. l'odeur de lieu ne doit pas être sans lui déplaire, car il y fourre sa truffe à plusieurs reprise avant de lui donner quelques coups de langue râpeuse.

Nous rejoignons Albert dans son salon où quelques tasses sont déjà de sortie pour ses hôtes, la cafetière fumante posée à côté de la bouteille de gnôle et une assiette de gâteaux secs en guise de bienvenue. J'y ai le droit également à son café de cow-boy, mais dans une gamelle au pied de la table ! Paul l'a arrosé abondamment du tord-boyau d'Albert en me précisant que c'était pour mon bien et que j'allais en avoir besoin !

Dès mes premières lampées, son décapant pour grande personne se rappelle à mon souvenir, c'est une véritable boisson gps, de celles que l'on suit aisément tout au long du trajet après l'avoir avalée !

Il ne tarde pas à me mettre les neurones en vadrouillent et je n'ai pas encore fini mon auge que les premières bouffées de chaleur font leur apparition.

Pendant ce temps, Paul et les deux paysans conversent à bâton rompu, Albert lui explique son amour pour l'élevage canin et pour la race des Grand Bouvier Suisse en particulier. Voilà déjà environ une quinzaine d'années qu'il élève, en toute modestie, quelques-uns de ces gardiens de troupeau incomparables et qu'il fournit plusieurs éleveurs de la région. Il n'a à chaque fois que quelques bêtes, mais il préfère la qualité.

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- Elle est au courant? s'enquiert Albert discrètement auprès de Paul.

- Non j'ai préféré lui laisser la surprise, elle aurait ronchonné pour venir sinon, au pied du mur elle sait affronter les situations !

- Bien, j'ai quelques mâles qu'ont pas vu de femelle d'puis un bon moment, ils vont être ravi de cette aubaine.

- Tu maîtrises bien la chose comme me l'a rapporté Alexandre? Je veux que tout se passe en douceur.

- Oué j'assure bien, la dernière y a passé la journée et en redemandait en partant ! Ils sont massifs mé bestiaux, cé pas la douceur qui lé caractérise le mieux, rigole-t-il. Mé on va prendre soin d'ta p'tite femelle, j'ai tout prévu ...

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Je me sens toute chose, j'ai vidé bêtement un peu rapidement ma gamelle et sa gnôle hors catégorie me met la tête à l'envers ! Lorsque nous sortons de la maison, je dodeline un peu et prends ma suée en marchant à quatre pattes pour éviter au mieux quelques cailloux agressifs jonchant le sol. Le dogue allemand nous file le train d'une démarche pataude alors que Patou qui comptait fleurette à quelques pâquerettes accourt à l'appel de son maître.

Nous contournons la ferme pour découvrir un autre petit bâtiment bétonné sur l'arrière. Très basique, cet abri fait office de chenil. À l'intérieur, un petit couloir étroit avec trois box de chaque côté, dont deux d'entre eux sont occupés par un toutou en train de se prélasser sur un matelas de paille. Nous arrivons ensuite dans une vaste pièce où nous retrouvons trois autres molosses. Huit gamelles sont alignées dans un coin de la pièce, avec quelques restes de nourriture. Une plus grande fait office d'auge pour boire. Trois tréteaux de tailles différentes sont dépliés à l'opposé et une table basse est posée dans un coin.

Le sol en ciment est froid, mais d'une propreté quasiment suisse, normal me direz vous pour l'espèce élevée (!), seuls quelques jouets en plastiques, balle, os et autres gadgets canins, traînent ça et là. L'un des murs est grillagé, entièrement ouvert sur l'extérieur, et un champ de maïs nous fait face. Les battants en bois permettant de fermer ce côté ne sont qu'à moitié rabattus, laissant ainsi aux éventuels marcheurs campagnards tout loisir de voir l'intérieur du chenil et spectacle offert par la suite.

Notre arrivée dans leur demeure provoque un branle-bas de combat et les cinq molosses viennent nous accueillir naseau au vent en reniflant à tous va. Je me suis mise à trembler subodorant sans peine, malgré mon début d'ébriété, la suite des événements. Je ne suis en plus pas très à l'aise en compagnie de la gent canine et là cet attroupement de clébards tournicotant autour de moi me met le stress en action. Paul reste à mes côtés pour me rassurer tandis qu'Albert accueille son cheptel en leur offrant quelques friandises tout en leur caressant le poil.

- Je n'en ai pas trop envie mr, appuyant bien sur le mr pour lui montrer que je suis toujours sa soumise, mais que là ...

- Est -ce que tu es là pour satisfaire tes envies ou les miennes?

- ... les ... vôtres

- Bien la question ne se pose plus, devient une bonne petite chienne me dit-il en me caressant la croupe et tu arriveras aussi à tes plaisirs.

- Tiens, enfile ça, m'intime Albert en me tendant une chemise en jean épaisse qu'il vient de sortir de son sac. Ça limitera l'effet de leurs griffes, les deux plus jeunes n'ont encore jamais monté de femelle et il risque d'être un peu pataud ... voir brutaux !

Je m'empresse de mettre cette simple protection. Le mouvement incessant des chiens me donne un peu le tournis, ils sont un peu foufous par notre présence, donnant de la truffe à tout va, battant de la queue dans tous les sens, même Patou est pris dans cette ronde et fais connaissance avec ses nouveaux copains. Seul Rocco, le dogue allemand, reste tranquille un peu à l'écart, conscient de sa puissance il n'a pas besoin de fanfaronner.

Albert sort ensuite un gros pot de crème et d'une main ferme et sans aucune délicatesse vient badigeonner ma chatte d'une bonne dose de son onguent mystérieux. Il s'applique à l'étaler dans les moindres recoins de mon sexe, je sens ses doigts rugueux fouiller mon intimité en toute impunité pour préparer les lieux à de futurs exploits. Il y revient à plusieurs reprises jusqu'à ce que mon sexe, intérieur compris, soit abondement imprégné de sa préparation. Mon clitoris n'y échappe pas et fait l'objet de la fin de ses préparatifs, le décalottant sans douceur pour le faire profiter également de joies de son onguent.

- Vous voyez messieurs, explique-t-il tout en œuvrant sur mon sexe, ce baume sert lors des saillies, il prépare le centre d'accueil d'la femelle et dégage des phéromones à foison indiquant à ses partenaires qu'elle est en chaleur et en attente d'leurs coups de queue. C'est extrêmement puissant comme produit, une véritable sonnette d'alarme qui retenti dans l'cerveau des toutous en mal de rut et les miens, purée, ça fait un sacré moment qu'il n'ont pas vu les fesses accueillantes d'une bonne femelle ! J'l'ai en plus couplé à c'produit particulier dont m'a parlé Alexandre, une d'vos idées d'ailleurs je crois Paul? Et qui prépare la femelle bien au-delà du strict minimum !

- Et en plus que des produits naturels, sans aucun danger, un vrai label bio, enchaîne-t-il en me tartinant les lèvres, celles de ma bouche cette fois, de son produit miracle.

Paul s'y intéresse en demandant la durée des effets et le temps de réaction à cette préparation.

- Ça dépend d'la femelle ça, certaines démarrent presque dans la foulée. J'ai pris celle pour chien difficile, elle est plus forte et devrait durée 3 ou 4 heures ! Et le pot est loin d'être vide, on peut y revenir. Mais, j'crois la tienne est réactive, remarque-t-il en me désignant.

En effet sa pommade n'a pas tardé à entrer en action, j'ai des petits fourmillements dans le bas du ventre, des picotements qui enflent et parcourent mes lèvres, ils se transforment en une onde de chaleur qui se propage à l'intérieur de mon sexe, le mettant sens dessus dessous. Cette boule de feu qui s'intensifie sans cesse est en train de me mettre dans un état incroyable.

Moins de cinq minutes seulement après ce massage intime, comme lors de la séance avec les tondeurs, mon sexe commence presque à s'ouvrir tout seul et à s'humidifier alors que je suis tout sauf excitée. J'en ressens également les effets sur ma bouche et j'ai l'impression que mes lèvres sont toutes gonflées et enflammées. Albert n'est pas sans remarquer les effets de sa pommade et vient plonger son majeur au plus profond de ma chatte. Après avoir fouillé ma case trésor quelques instants, il en ressort un doigt dégoulinant de mouille qu'il montre fièrement à ses deux compères.

- J'vous l'avé dit, elle est efficace cette pommade. Elle a d'sacré prédispositions en plus t'a femelle, commente-t-il ensuite à l'intention de Paul. On va lui faire prendre son pied à ta salope.

Paul se contente d'un sourire en réponse à cette analyse assez juste tout en me caressant la tête.

- Tu en penses quoi, me susurre-t-il ensuite à l'oreille en ajustant ma chemise en jean, prêtes pour cette saillie?

Je le regarde hébétée sans rien dire, encore envapée par les effets de la gnôle auxquels s'ajoute la tension provoquée par la situation et complètement décontenancée, voire un peu honteuse, par la réaction aussi rapide de mon corps. Deux des chiens commencent réagir aux émanations de l'onguent et viennent fourrer leur museau dans ma salle de loisir. Mais Albert entend conserver le contrôle de ce début de rencontre et les écarte gentiment, mais fermement. Il compte bien faire monter la pression dans la meute pour une saillie plus endiablée.

Aussi prend-il la laisse des mains de Paul pour me faire faire le tour de son cheptel. Une sorte de tour d'honneur avant le début du match, une forme de présentation du lot que l'on va offrir en pâture aux sexes de ces molosses. J'en suis réduite à l'état d'animal de compagnie qui vient divertir une troupe de clébards en rut ! Il prend soin à chaque fois de bien laisser le temps à chaque toutou de me découvrir entièrement et parfois déjà très intimement lorsqu'ils goûtent aux saveurs de mon sexe et me font sursauter à chaque coup de langue râpeuse. Certains montrent déjà des signes d'excitation très marqués et c'est un ballet de queues en tout genre qui bat les airs dans tous les sens.

Je dois, pour ma part, faire preuve d'une attitude de femelle dévouée à ses mâles en venant renifler leur sexe. Marcel guide à chaque fois ma tête doucement jusqu'à leur appendice en m'intimant de leur mettre un ou deux coups de langue au passage pour montrer ma dévotion à leur égard. Ce n'est pas mon truc ça malgré mon amour de la turlutte. Ce sexe violacé à la forme bizarre qui suinte déjà de désir est loin de m'attirer. On a beau me dire qu'il se la lèche régulièrement et qu'ils sont plus propres que certains mecs, j'ai beaucoup de mal à appuyer mes léchouilles. Ils ont en plus l'air d'être tous plutôt bien équipés, je n'ai pas vu de petit joueur dans le lot.