Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 18

BÊTA PUBLIQUE

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cinolas
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Ce gros quart d'heure américain de découvertes intimes a laissé le temps au baume de développer tous ces effets, j'ai le sexe et la bouche en feu et je mouille abondement, ce qui n'est dans mes habitudes dans une telle situation. Je suis perdue dans mes sensations, toute retournée de me voir réagir avec autant d'intensité alors que ma boule au ventre devant cette meute canine me remplit l'estomac ! Me sentant prête, après sa caresse sur mon sexe pour constater son état, Albert vient me mettre en position devant l'un des Bouviers et me fait cambrer des fesses en abaissant ma tête vers le sol.

Mais alors que je tremble en attendant le vit de ce premier partenaire, c'est un wouaf wouaf wouaf appuyé du Dogue allemand qui vient changer les plans. En tant que maître du lieu, il entend avoir les honneurs de mon sexe et il vient remplacer sans ménagement le Bouvier qui s'apprêtait à me monter. Ce dernier n'insiste pas et reconnaissant l'autorité de Rocco lui laisse sa place. La particularité du dogue c'est sa taille et il n'a pas besoin de poser ses pattes sur mon dos pour se positionner ! Il est à ma hauteur et je sens sans attendre sa queue battre contre mes fesses.

Albert lui vient en secours en guidant son vit vers mon sexe et c'est d'une seule poussée, puissante et brutale, qu'il vient une fois en position me farcir la chatte de son braquemart imposant. Je ne peux retenir un cri lors de cette introduction rugueuse que je sens bien passer malgré la préparation. Albert me caresse les seins et la bouche pendant les allers-retours du dogue pour m'accompagner dans ce premier rapport. Il m'abreuve de conseils et d'encouragements pour encaisser au mieux le mandrin de son molosse. Il se fait rassurant alors que je suis secouée par les charges puissantes.

Heureusement pour moi Rocco n'est pas un amant très endurant, mais malheureusement je crois qu'il récupère assez vite ! C'est donc assez rapidement que je sens son chibre me remplir la case trésor de sa semence et se séparer de mon arrière-train. Mon premier prétendant étant resté à proximité, c'est sans attendre qu'il vient le remplacer. Un ou deux coups de langue pour nettoyer le foutre débordant de mon sexe et ce clébard vient mettre ses pattes sur mes endosses.

Ouch, ce n'est pas la même histoire, il pèse son poids le bougre et malgré l'épaisse chemise en jean je sens qu'il n'a pas rangé ses crocs ! Il est cependant plus expérimenté et m'enfourne sans trop de difficultés. Presque aussi puissants que le dogue, ses coups de reins font ballotter ma poitrine régulièrement. Il est moins impatient et se retire une ou deux fois avant de revenir à la charge et de finir dans un sprint effréné. Il aime ma compagnie, car je sens la boule arrière de son sexe gonfler démesurément et me dilater le vagin, nous bloquant un moment l'un à l'autre.

Paul remplace Albert à mes côtés pendant cet instant de solitude qui me fait grimacer de douleur. Albert profite de ce moment de pause pour s'absenter un court instant et aller chercher quelques bières et sièges réclamer par Alexandre qui pressent l'après-midi chargé ! Lorsqu'il revient les bras chargés mon amant vient juste de me libérer et un troisième prétendant frappe à la porte ! C'est Paul qui m'encourage cette fois et qui vient même me caresser de temps en temps le clito une fois que la queue du cleps a évacué le trop-plein de sperme en introduisant son chibre. J'ai l'impression qu'il a envie de me faire jouir, car ses doigts reviennent souvent à la charge. Mais je ne suis pas encore prête, pas assez détendue, encore honteuse de me faire prendre de cette manière et je résiste presque à ses investigations alors que mon clito lui laisse la porte grande ouverte.

Au terme de ce troisième rapport, Albert vient couper l'élan du prétendant suivant. Il reprend ma laisse et sans me laisser un moment pour reprendre mon souffle m'entraîne vers l'un des tréteaux. Mon sexe gonflé par ces trois vis dégouline de foutre, je suis en train, par petite touche, de marquer mon territoire. Alexandre amène Patou auprès du tréteau et lui met les pattes avant dessus. Ainsi installé son sexe est dégagé et à ma hauteur (je suis toujours à quatre pattes, pour ceux qui auraient décrochés !). Alexandre me prend la tête pour m'inciter à sucer son chien. J'ai un mouvement de recul devant ce gros chibre violacé, mais lorsqu'il tire sur ma laisse je me retrouve le nez collé au braquemart.

Je ferme les yeux, ouvre la bouche et goûte à regret à cette nouvelle expérience qui s'offre à moi. Mes lèvres encore toutes gonflées par l'onguent enserrent ce chibre qui grossit à toute vitesse sous la chaleur de ma bouche. J'essaie d'oublier que c'est un chien que je suce, pas facile avec cette forme si particulière de bite, mais j'ai besoin de cette évasion pour le sucer sans retenu. Je n'y arrive pourtant pas vraiment avec ce goût différent et tous ces poils sous mes yeux ! Lorsque ses premiers jets de foutre envahissent ma bouche, j'ai un réflexe de recul qui me fait prendre la fin de son éjaculation sur la figure ! Ce foutre n'est pas plus mauvais que celui des mecs, alors que je m'attendais au pire, un peu plus acide peut-être, et encore.

- Tu vois Paul elle s'est pas si mal débrouillé, tu qui avait des doutes ! commente Alexandre en souriant à ma figure maculée de foutre.

- Oui je pensais qu'elle aurait été plus réticente, mais passons à la suite elle a encore beaucoup à faire !

Paul m'emmène à la table basse et me fait m'installer dessus sur le dos avec les fesses au bord de table. Il relève ensuite mes jambes et les écarte au maximum. Albert, qui attendait à côté, amène le Bouvier suivant et l'aide à me monter dessus tout en prenant soin d'éviter que ses pattes me labourent les seins. Positionné de cette manière, le toutou me lèche les seins tout en me pistonnant, il bave sur ma figure, la nettoie de coups de langue, vient coller son museau à mes lèvres comme pour solliciter un roulage de pelle des plus fougueux.

De voir la tête de mon amant d'un jour alors que mon bas ventre est en train de lâcher prise et que je sens un orgasme incontrôlable pointer le bout de son nez, un sentiment de honte m'envahit ! Je suis en train de piquer une suée, mes organes frémissent à l'unisson, mon clito tendu à outrance en serait presque douloureux. Cette queue de clébard est en train de me faire monter la mayonnaise à toute vitesse. Et lors d'un ultime cambrement de rein pour aller chercher ce sexe au plus profond de mon intimité, j'explose sans retenue, poussant même un petit cri strident lorsque cette onde de plaisir me traverse le corps de part en part !

Le Bouvier profite de ma bouche grande ouverte qui s'évertue à chercher un second souffle pour y fourrer sa grosse langue baveuse pour pratiquer un palot écœurant et lâcher le trop-plein de ses bourses dans mon vagin encore tout retourné. Nous restons encore collés l'un à l'autre quelques minutes, lui la verge bien dilatée finissant par petites giclées de se vider et moi avachie récupérant de ce plaisir dévastateur.

Mes deux derniers partenaires ont un goût plus fade, je retrouve les joies de la levrette pour le premier alors que le second perché sur son tréteau apprécie pleinement mes qualités buccales en me faisant rapidement don d'une bonne dose de foutre.

- Alors c'était comment ce premier voyage? Vient s'enquérir Paul alors que je finis de déglutir difficilement cette dernière semence.

- No comment, répondis-je éreintée par cette partie de rodéo effrénée.

Albert vient, quant à lui, tapoter sur mon sexe pour évacuer le trop-plein de foutre, il met ensuite deux doigts dans mon vagin qu'il fouille à loisir émettant un honteux bruit de clapotis qui résonne à nos oreilles.

- J'crois qu'ta p'tite femelle a fait l'plein, remarque-t-il à Paul de manière très élégante en proposant ses doigts à ma bouche pour que je les nettoie. On va la laisser récupérer un peu avant la suite des festivités.

Là j'avoue que je ne dis pas non, je ne vous dirai pas que ces chevauchées m'ont mise sur les genoux, j'y suis déjà depuis le début d'après-midi. Mais le sexe tout gonflé qui vibre encore du dernier passage, la bouche toute collante par le sperme mal récupéré et la figure pleine de bave, j'ai clairement besoin de me refaire une petite santé, voire une petite beauté !

Quelques toutous me tournent encore autour, toujours énervé par ces phéromones qui leur taquinent les neurones et Albert doit intervenir une ou deux fois pour éviter que je sois à nouveau saillie.

- Pas d'impatience mes p'tits, la femelle ne part pas tout de suite, les rassure-t-il en remplissant leur gamelle d'une copieuse portion de pâtée faite maison.

Il m'en propose une également remplie d'une mixture tiède à la couleur indéfinissable.

- Cé que des légumes me rassure-t-il en voyant ma tronche inquiète devant sa préparation, Alexandre m'a prévenu qu't'aimais pas la bidoche. Cé une recette maison de ma vieille.

- Fais plaisir à Albert, m'incite Paul, il te l'a sûrement préparé avec amour et puis tu vas avoir besoin de reprendre des forces.

J'hume longuement la plâtrée avant de m'y atteler pour me faire une idée du contenu. Le Poutou vient coller sa tête à la mienne pour lui aussi la renifler et retourne à sa gamelle peu convaincue par ce met. J'attaque finalement pour constater que ce n'est pas mauvais du tout, peut-être pas assez relevé à mon goût, mais dans ces conditions je ne vais pas faire la difficile ! Les toutous viennent de temps en temps me renifler les fesses pendant cette pause repas. Arrivée au terme de ma gamelle je me résous à aller laper une bonne rasade d'eau dans l'auge.

Pendant notre goûter, les deux péquenots commentent avec Paul la première partie de mon gang bang canin autour d'une bière et évoquent les suites envisagées, les nouveautés possibles ... Je n'y prête même pas trop d'attention, j'ai laissé mon cerveau à l'entrée du chenil pour éviter de me mettre la tête à l'envers en pensant à ce que j'allais devoir me plier.

Alexandre m'appelle pour que je vienne présenter mes fesses à sa main. Lorsque je suis à proximité de ses gros doigts rugueux, il prend un peu d'onguent et vient me badigeonner l'intérieur de mon vagin à la recherche de mon point G. Quand il s'est familiarisé avec les lieux et atteint son objectif, il s'amuse à caresser cette zone sensible pour la faire monter en pression. Avec la crème préparée par Albert ça n'est pas très compliqué ! Mais quand il voit mon bassin commencer à onduler légèrement sous l'action de ses doigts, il stoppe tout et annonce :

- M'sieurs, on avait parlé d'un peu d'exercice j'crois souvenir pour activer la digestion?

- Oué, c'est l'heure, confirme Albert en allant chercher plusieurs jouets rangés dans un coin.

C'est un os en plastique qu'il présente en premier devant mon nez.

- Allez sur les pattes arrière ... fais le beau ... allez mieux que ça ...

Je m'exécute, les yeux noirs, après m'être retourné vers Paul pour voir son acquiescement d'un léger mouvement de tête. Albert enchaîne les ordres humiliants en agitant son os.

- Plus haut la tête ... tire la langue ... soulève tes seins par tes tétons ... allez plus haut ces mamelles ...

Au bout d'un moment, un peu à court d'idée, je suppose, il offre son os en plastique à ma bouche que j'ouvre docilement.

- Garde-le en bouche pour l'instant, m'ordonne-t-il en me caressant les cheveux. Elle a d'belles capacités commente-t-il à Paul.

C'est Alexandre qui prend le relais en me doigtant à nouveau alors que je tente de ne pas lâcher son os à la con. La demi-heure qui suit est une alternance entre les deux ploucs, Albert lançant différentes balles dans la pièce en me demandant d'aller lui les ramener avec la bouche et Alexandre qui s'occupe, pour me récompenser, avec un doigt connaisseur de garder mon point G sous tension et de masser mon clito avec l'onguent régulièrement. Certains toutous sont joueurs également et m'empêchent de ramener les balles en arrivant nettement avant moi sur l'objectif ou en venant me renifler l'arrière-train, d'autres font une pause au pied de leur maître.

Je me sens maintenant un peu plus à l'aise au milieu de cette meute. Et même si je maudis Albert silencieusement avec ses jeux à la con, les manœuvres d'Alexandre ne me laissent pas indifférente et je me trémousse du popotin de plus en plus souvent sous l'action de ses doigts.

- J'crois qu'on peut passer à la suite les gars, la p'tite femelle est chaude !

- Choisis ton prochain amant, m'invite Albert

À moitié penaude, je lui indique le Dogue, sa taille est un atout pour éviter du poids sur mes endosses ! Alexandre se méprend sur mon choix en constatant que j'ai choisi la plus grosse queue du cheptel et remarque grossièrement mon côté salope de première classe !

- Maintenant qu'tu sais y faire, cé toi qui diriges les opérations, m'ordonne Albert en enduisant à nouveau mon sexe de sa préparation maléfique. Va te trémousser et chercher sa queue comme une bonne femelle.

Honteusement je vais proposer mon arrière-train devant le nez du molosse. Son peu de réactions cette fois ne me facilite pas la tâche, alors je me retourne et vais donner quelques coups de langue sur son sexe pour le faire réagir. La stratégie est efficace, sa queue ne tarde pas à se gonfler d'envie et lorsque je propose à nouveau ma croupe à sa disposition il vient me chevaucher sans attendre. Et là j'avoue correspondre complètement à l'image de salope que m'a attribuée Alexandre peu de temps avant, car il ne me faut que quelques secondes pour que l'action du chibre du Dogue ne me fasse monter au rideau. Un orgasme puissant que ce salaud a longuement préparé avec ses doigts en mettant mon point G sous pression !

La suite n'est que succession de débauche. Voyant mon aisance dans la drague canine, ils me laissent pleinement trouver ma place de femelle dans la meute. Je dois aller offrir mes charmes à chaque membre du groupe, me trémousser à leur côté pour avoir l'honneur de bénéficier de leur queue, les mettre en forme de ma bouche experte avant de me faire saillir. Je dois me montrer motivée, disponible, excitée, chaude, pressée d'accueillir leur chibre.

Albert n'est pas loin à chaque fois pour intervenir au besoin, en particulier quand deux d'entre eux se chicornent pour la primeur de l'accès à ma chatte. Il maîtrise ses bestiaux et tous retrouvent rapidement leur calme pour venir me monter. J'enchaîne les levrettes, mais je vais parfois m'installer sur la table basse pour me faire prendre dans une autre position et soulager ainsi un peu mes genoux qui commencent à morfler. De temps en temps Albert installe un des chiens sur un tréteau pour proposer à ma bouche de prendre le relais. Il arrive même parfois qu'un autre vienne me farcir la case trésor alors que je m'occupe à sucer au mieux son compère.

Mon sexe dégouline de foutre au moindre déplacement, je vais laper un peu d'eau entre deux relations pour récupérer. J'enchaîne les partenaires, suce, avale ... Je perds le compte et la notion du temps dans cette farandole lubrique, menée par le bout du nez par les réactions de mon sexe, de ses envies et des autres orgasmes qui m'emportent. C'est Paul, qui lorsque la meute semble rassasiée, vient me voir.

- Alors épanouie? me demande-t-il en voyant les cernes qui habillent mon visage.

Je ne ressens même pas le besoin de répondre, je suis vidée, rincée par ces orgasmes et par la honte encore bien présente de prendre du plaisir de cette manière. Il ne pourra pas dire que je ne me suis pas lâché cette fois, car mon attitude me surprend moi-même !

- Un dernier petit effort et nous rentrons, enchaîne-t-il en me montrant les deux énergumènes sur leur chaise, tu leur dois bien ça !

Albert et Alexandre ont sorti leur queue et attendent impatiemment que je vienne mettre un terme à cette trique persistante. Je m'occupe de leur dard et les suce comme je peux. Heureusement je n'ai pas beaucoup d'effort à fournir pour qu'il rendent grâce. Cette après-midi passée sous tension les a mis au bord de l'orgasme.

Nous prenons ensuite congé d'Albert, passons à la ferme d'Alexandre pour récupérer mes affaires et rentrons chez Paul. Je pique du nez lors de ce dernier trajet et c'est dans les bras de Paul qui m'amène sous la douche que je me réveille. C'est lui qui me savonne et me débarrasse de tous les restes de foutre de cet après-midi.

- Tu as faim? me demande-t-il lorsque je suis de nouveau présentable.

- Je vais m'allonger un petit peu avant la collation.

Je ne l'aurai même pas sucé aujourd'hui, pensé-je en m'effondrant !

Acte 4 - This is the end !

"Beautiful friends, this is the end, my only friend, the end" chantaient les Doors sous un nuage de napalm après le passage des walkyries dans Apocalypse now. La fin de mes vacances n'est pas aussi dramatique, mais c'est le morceau que Paul a choisi de mettre en fond pour notre séparation, je reconnais bien là son esprit taquin. Cette échéance tant espérée au début de notre relation prend aujourd'hui un goût particulier. Je ne suis même pas contente, je n'irais pas jusqu'à parler de tristesse, mais j'ai un goût bizarre dans la bouche !

Ce dernier week-end s'est passé uniquement en compagnie de Paul et de Mike à la maison. Il m'ont fait l'amour dans toutes les pièces, un peu comme si ils avaient besoin de marquer chaque endroit d'un dernier souvenir. La séparation se fait au plus simple, mais je les sens presque émus de la fin de notre relation. Paul m'a proposé de remporter toute la garde-robe que j'avais chez lui ainsi que mes jouets. J'ai refusé l'un et l'autre pour différentes raisons et n'ai emmené que la première robe qu'il m'avait offerte au début de notre relation.

Epilogue

Cela fait trois mois que j'ai quitté Paul, enfin que notre relation si particulière est arrivée à échéance ... au terme du contrat comme on dit ... fin du cdd ! Je pensai être submergée de message assez rapidement, mais il a tenu parole, le contrat qui nous liait était terminé et moi seule pouvais reprendre contact avec lui. J'imagine que cela a dû lui démanger les doigts plusieurs fois de m'envoyer un petit texto ... du moins je l'espère.

Ma première semaine de retour à la vie normale a été très chaotique et m'a paru extrêmement fade !!

Revenir poser ses fesses devant son micro après deux mois de vacances aussi intenses et mouvementés n'a pas été chose aisée. Il a fallu en plus jongler avec les questions des collègues, celles des amies ou encore de la famille. Il a fallu lâcher du leste, donner quelques précisions, quelques détails sur cette période d'absence tout en restant dans le vague et en laissant sous-entendre que c'était merveilleux. Un exercice dans lequel je pense m'être pas trop mal débrouillée. Paul m'y avait aidé et préparé d'ailleurs en me racontant l'un de ses tracks réalisés lorsqu'il était jeune dans les Pyrénées basques. Cela m'a permis de me créer de faux souvenirs et de paraître assez crédible dans mes propos.

Depuis j'ai pris quelques amants, trois pour être précise, pour essayer de retrouver une vie sexuelle plus proche de la norme. Pas désagréable du tout ce retour sur terre, le dernier surtout qui savait bien s'y prendre. Nous nous sommes d'ailleurs revus plusieurs fois et malgré les jouissances au rendez-vous, je finissais toujours un peu frustrée de nos rencontres. Il me manquait toujours un petit quelque chose que je n'arrivais pas à définir, je n'atteignais pas la plénitude recherchée. J'avais beau y repenser le lendemain, revivre avec plaisir nos rencontres, rien a faire, je ne parvenais pas à identifier ce manque.

Et puis ce matin, en faisant mon marché, j'ai repensé à Mike fin cuisinier à ses heures. J'ai repensé aux petits plats qu'il nous mijotait, imperturbable malgré la présence régulière de ma bouche en action sur son sexe ... cela l'aidait à mieux cuisiner justifiait-il, il avait plus d'inspiration ! Et sans vraiment m'en rendre compte, perdu dans mes pensées et dans l'organisation de la soirée que je préparai pour quelques amies et dans le cheklist des courses, je me suis retrouvée aux abords du village de Paul !

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