Parodie : Les Petites Maisons

BÊTA PUBLIQUE

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- Almanzo, dit Charles avec un clin d'œil, quand as-tu embrassé Laura pour la dernière fois? Ne serait-ce pas le moment parfait?

Sous l'effet de l'alcool et des encouragements de Charles, Almanzo se tourne vers le visage souriant et mutin de Laura avec un sourire timide mais plein d'affection. Le hiatus dans son existence de lourd labeur est un bonheur pour le jeune fermier. Le couple échange un regard qui en dit long sur leurs sentiments mutuels, et bientôt, ils s'embrassent, redécouvrant la tendresse et la connexion que Laura craignait avoir perdues. Leur langue se mêlent, se titillent et s'enroulent l'une sur l'autre dans un long baiser. Almonzo sent son sexe se réveiller.

Charles s'est levé et en se dirigeant vers la rivière à une dizaine de mètres, il abaisse ses bretelles, ôte son pantalon et passe sa chemise épaisse par-dessus la tête. C'est en culotte qu'il pénètre dans l'eau fraîche du cours d'eau.

Les deux mariés s'embrassent toujours et la main de Laura caresse le cou puissant de son mari et se sent excitée. Il a posé sa main sur la cuisse dénudée et remonte sous la robe. Une douce chaleur étrangle la jeune femme qui sent le bout de ses seins durcirent. Sa fine main se pose sur le pantalon de son mari, là où la barre dure déforme le pantalon.

Le retour d'un Charles trempé coupe court à cet échange troublant. Le père s'installe sur le drap. Sans réfléchir, sous l'effet de l'alcool, Almonzo l'imite et les voilà tous deux assis en caleçon avec Laura entre eux. Le soleil, s'il cogne les champs, il torture le fermier ; s'il chauffe la campagne, il allège les peines. Ils restent ainsi tous trois en silence à contempler la rivière, bercés par le bruit léger de l'écoulement de l'eau. Charles, après avoir déclaré qu'ils avaient de la chance de ne voir personne sur ce bout de champ, lance à sa fille.

- Tu ne veux pas te mettre à l'aise ?

Elle répond qu'elle aurait bien voulu profiter du soleil et se mettre à l'aise, mais qu'elle n'a rien sous sa robe.

- Eh bien, mets-toi juste en culotte. Comme dit ton père, y a personne! lui répond Almonzo avec son plus beau sourire teinté d'excitation.

Il pense que Laura allait davantage hésiter en raison de la présence de son père, aussi, il est très agréablement surpris de la voir retirer sa robe à fleur et à frou-frou. Cela fait longtemps que le jeune homme n'avait pas vu la ronde et épaisse poitrine de son épouse qui se maintient bien droite malgré sa masse. Malgré l'inhibition de l'alcool, Laura plaque un bras sur ses seins dénudés en lançant furtivement un regard à son père qui s'étend dans l'herbe et regarde les nuages blancs dans le ciel bleu. Pour manifester son contentement de l'admirer dans cette tenue si légère, Almonzo s'empresse de l'embrasser sur les lèvres avant d'effectuer une leste descente pour prendre l'un de ses tétons en bouche.

- On va se baigner, propose Almonzo en prenant la main de sa femme.

C'est avec ravissement qu'il observe Laura, quasi nue sous le soleil, en pleine nature, ondulant des hanches et les seins se balançant légèrement au rythme de ses pas. Egalement, les yeux de Charles, toujours allongé dans l'herbe, reviennent sans cesse au postérieur de Laura, le fin tissu de coton ne cache en effet rien de ses jolies formes et laisse, en toute indécence apparaître parfaitement la ligne de son sillon fessier. Il imagine alors son pubis.

L'eau fraîche a bien du mal à refroidir les ardeurs du couple. Almonzo caresse les seins de Laura sous l'eau et il prend ses fesses à pleines mains. Il n'est pas très discret et est surpris qu'elle ne cherche pas à repousser ses doigts qui viennent de temps à autre se glisser sous sa culotte pour une rapide caresse. Leurs baisers sont chauds et les protègent de la fraîcheur de l'eau qui s'écoule sur leur peau nue.

En remontant sur la berge après un moment, le jeune couple croise le vieux fermier qui retourne dans l'eau. Charles sourit en admirant l'opulente poitrine de sa fille tanguer sous la marche et le pubis sombre à travers le tissu mouillé. Laura répond à son père par un sourire complice alors qu'elle serre la main de son mari. Les mariés laissent Charles faire quelques longueurs dans la rivière et remontent sur le drap du pique nique, sous les chênes épais. Laura surprend à nouveau son mari en retirant sa culotte mouillée et lui demande de l'étendre sur une branche. Elle se sèche rapidement et s'allonge le plus simplement du monde sur le dos, la tête calée dans l'herbe et les yeux clos comme partie pour une petite sieste, indifférente à la nudité de son corps offert autant au vent, au soleil qu'à son père. Almonzo ne peut contenir son érection dans mon caleçon mouillé qu'il retire également. Il se sèche rapidement puis se penche sur les lèvres de son épouse en lui prenant la main pour qu'elle puisse se saisir de son sexe bandé. Elle ouvre les yeux dans un sourire et jette un œil vers le rivage.

Charles sort enfin de l'eau, ruisselant. A mi-chemin, il retire son caleçon qu'il étend sur une branche. La verge à demi gonflée de son père impressionne la jeune femme par sa taille. L'ivresse de l'alcool, du moment, de l'excitation de son mari la transporte dans une bulle de luxure. Laura se contorsionne pour tenter de prendre son époux en bouche et écarte en même temps les jambes pour assurer ses appuis. Charles en profite aussitôt pour se pencher sur son pubis afin de lui lécher le coquillage. Laura marque un temps de surprise, puis se cambre aussitôt, l'une de ses cuisses se soulève brusquement dans un intense spasme de jouissance accompagné d'un gémissement étouffé. La vision de sa femme en extase avec le visage d'un autre homme entre ses cuisses achève Almonzo dans une explosion de plaisir qui lui coupe les jambes et le fait s'effondrer sur le drap.

Charles approche soudainement son bassin du buste de Laura qui vient seulement d'ouvrir les yeux, elle prend quelques longues secondes pour observer le phallus paternel qui lui est offert et pour comprendre la sollicitation pressante de son père avant de s'en saisir afin de le masturber frénétiquement les quelques secondes nécessaires au jaillissement d'une abondante éjaculation.

Vidé, au propre comme au figuré, Almonzo reste sans réaction à la vue de ce sperme répandu sur la volumineuse et laiteuse poitrine de sa femme, sur son ventre, sur ses doigts. Elle garde encore la verge de son père dans sa main et l'observe avec curiosité avant de poser ses lèvres sur le gland écarlate et luisant, comme s'il s'agissait d'une friandise. Cela provoque aussitôt un mouvement réflexe de Charles qui se recule vivement et, avec un sourire béat, se saisit d'une serviette pour essuyer la semence sur les seins de sa fille cadette.

CAROLINE ENTREPREND SON PROPRE VOYAGE, se dirigeant vers la ville où résident Mary et Adam. Assise confortablement dans la carriole tirée par Grover, un beau cheval à la robe blanche, elle contemple le paysage changeant, passant de la tranquillité de la campagne à l'agitation croissante de la ville. À son arrivée, elle est accueillie par le brouhaha caractéristique des rues animées, où les saloons et leurs clients bruyants côtoient des femmes de joie attendant à l'extérieur, offrant un contraste frappant avec la sérénité de la prairie.

Naviguant à travers cette effervescence, Caroline parvient finalement à la demeure de sa fille aînée. Dès qu'elle franchit le seuil de leur foyer, une atmosphère chaleureuse l'enveloppe, témoignage de l'amour et de la solidarité qui unissent le couple malgré les épreuves. Mary et Adam accueillent Caroline avec affection, heureux de la voir. Le dîner se déroule dans une ambiance conviviale, ponctuée de conversations sur les événements récents et les souvenirs partagés. Cependant, malgré la chaleur de ces échanges, Caroline perçoit des tensions subtiles sous-jacentes. Des regards échangés un peu trop rapidement, des silences momentanés lorsque certaines sujets s'approchent un peu trop de zones sensibles.

Le soir, dans sa petite chambre, Caroline se couche. Ses cheveux détachés sont rassemblés dans une charlotte de tissu. La femme écarte les couvertures et s'allonge en pensant à son mari. Depuis tant d'années qu'ils sont mariés, rares furent les nuits où ils ne dormirent pas ensemble. Elle a besoin de son corps, de sa chaleur, de sentir ses mains calleuses sur sa peau douce et laiteuse, de tenir au creux de sa main, la verge épaisse qui durcit. Les yeux clos et avec une expression de ravissement lascif, Caroline écarte ses cuisses. Elle glisse une main sous sa chemise de nuit avec un soupir de plaisir et promène très lentement ses doigts le long de sa fente. Après avoir délacé son décolleté, elle en extirpe un sein rondelet et blanc qu'elle empaume pour le caresser. Elle sent alors l'énergie familière la submerger. Elle poursuit sa délicieuse masturbation en rêvant au corps nu de Charles. Caroline est dans une position somme toute parfaite pour se laisser emporter totalement par le plaisir. Son téton durcit au creux de sa main.

Quand ses doigts découvrent les replis humides de son sexe, Caroline pense aux filles de joie dans la rue. Elles les imaginent assaillies d'une troupe d'homme dont Charles serait le chef. Elle se voit l'une d'elle. Le trouble de son excitation embrume son imagination et la voilà offerte aux mains inconnues commandées par son mari. Inconsciente de son corps, toute absorbée par son fantasme, plusieurs doigts sont en elle et elle force l'ouverture pour s'enfoncer plus loin. C'est quand les queues la pénètrent, violent ses orifices que Caroline laisse échapper un long gémissement libérateur qu'elle espère suffisamment discret pour ne pas avoir réveillé le couple.

LE LENDEMAIN MATIN, dans l'intimité de la cuisine, alors que le soleil commence à se lever, Caroline et Mary s'assoient face à face autour d'une petite table en bois, une tasse de thé fumant entre leurs mains. L'atmosphère, empreinte de la chaleur du foyer, crée un cocon de confiance, encouragent Mary à ouvrir son cœur à sa mère. Mary, les yeux bleus fixés dans le vide, commence doucement à partager ses inquiétudes.

- Maman, j'ai peur, avoue-t-elle, sa voix trahissant une vulnérabilité rare. J'ai peur qu'Adam... qu'il me trouve moins intéressante. Qu'il soit attiré par d'autres femmes, celles qu'il rencontre tous les jours, celles qui peuvent voir le monde comme lui.

Caroline écoute attentivement, son cœur se serrant à la douleur de sa fille. Elle pose sa main sur celle de Mary, un geste de réconfort.

- Ma chérie, répond-elle avec douceur, tu es une femme remarquable, forte et aimante. Ce que tu apportes dans ce mariage est unique et précieux. Adam t'aime pour qui tu es, et non pour ce que tu crains de ne pas être.

Elle fait une pause, cherchant les mots justes pour apaiser les craintes de sa fille.

- Parfois, nous traversons des moments de doute, surtout quand le monde autour de nous change. Mais ton mariage est bâti sur bien plus que les apparences. Il est fondé sur l'amour, le respect et les souvenirs que vous avez créés ensemble.

Mary lève les yeux dans le vide, les larmes perlant au bord de ses paupières. Elle sent la sincérité dans les paroles de Caroline, un baume apaisant sur ses inquiétudes.

- Merci, maman, murmure-t-elle, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres. Je sais que tu as raison. C'est juste que parfois, la peur prend le dessus.

Caroline sourit en retour, serrant la main de Mary dans la sienne et lui baisant le front.

- C'est normal d'avoir peur, ma chérie. Mais n'oublie jamais que tu n'es pas seule. Adam et toi, vous avez construit une vie ensemble. Et avec de la communication, de la patience et de l'amour, vous surmonterez ces moments de doute.

Dans la matinée, alors que la maison baigne dans la tranquillité de l'aube, Caroline et Adam se retrouvent dans le salon, une tasse de café à la main. Leur conversation, initialement centrée sur les trivialités du quotidien, les affaires juridiques du moment, prend un tournant plus sérieux lorsqu'ils abordent les défis du mariage et de l'indépendance. Adam, regardant par la fenêtre, la lumière du matin éclairant son visage, commence à parler de sa relation avec Mary.

- Il y a des moments, Caroline, où je me sens... déconnecté, admet-il, hésitant. L'intimité entre Mary et moi, c'est compliqué. Je ne sais pas toujours comment aborder le sujet sans la mettre mal à l'aise.

Caroline l'écoute attentivement, son instinct de mère cherchant à comprendre la racine du problème.

- Est-ce que tu penses que le problème vient de toi ou de Mary? demande-t-elle doucement, espérant guider la conversation vers une réflexion constructive.

Adam soupire, un poids semblant peser sur ses épaules.

- Je crois que c'est un peu des deux, confie-t-il en souriant légèrement. Je sais que j'ai mes propres difficultés, mais parfois, je trouve que Mary est... un peu trop... comment dire...prude. Elle semble mal à l'aise avec toute forme de... d'intimité, ce qui rend les choses difficiles pour nous deux.

Caroline hoche la tête, comprenant la délicatesse de la situation.

- Je vois, dit-elle, son esprit s'affairant à chercher des solutions. Peut-être que Mary et toi pourriez bénéficier de conversations plus ouvertes sur vos besoins et vos attentes. L'intimité est une partie importante du mariage, mais elle repose sur la communication et la compréhension mutuelle.

Elle marque une pause, choisissant ses mots avec soin.

- Peut-être que Mary a besoin de se sentir plus en sécurité et soutenue pour s'ouvrir davantage. Et toi, Adam, tu pourrais explorer des façons d'être plus attentif à ses besoins émotionnels autant que physiques.

Adam acquiesce, reconnaissant la sagesse dans les paroles de Caroline.

- Vous avez raison, dit-il, une lueur d'espoir dans les yeux autrefois aveugles. Je l'aime plus que tout, et je veux que notre mariage fonctionne. Je vais essayer de parler plus ouvertement avec Mary, de comprendre ses peurs et de travailler ensemble pour surmonter nos difficultés. Mais j'ai aussi mes... difficultés, mes ratés.

Le lendemain, après le dîner partagé dans l'intimité du foyer familial, Caroline est assise dans un petit fauteuil dans le salon. En face d'elle le couple, installé dans un canapé, lit. La lumière des bougies danse doucement sur les murs, créant une atmosphère à la fois chaleureuse et propice à la confidence. Les doigts agiles de Mary parcourent les feuilles en braille tandis que son époux, lit un roman.

Très lentement, Caroline pose son ouvrage sur le guéridon et fixe Adam qui la regarde au-dessus de son livre. Sans un mot, dans le respect du silence qui nappe la tranquillité de la pièce, la femme dénoue les lacets du col de sa robe. Les sourcils d'Adam se redressent. Il ne lit plus. Sa belle-mère délace son col et l'écarte pour découvrir largement sa gorge. Les yeux bleus de Mary fixe le vide de l'espace devant elle tandis que ses doigts lisent l'ouvrage qu'elle a posé sur ses genoux. Elle ne suspecte pas que sa mère a dégagé ses seins de sa robe et qu'elle les expose à son propre mari. Adam est stupéfait par l'exhibition de sa belle-mère. Il apprécie ses deux globes massifs qui détonnent avec les petits seins en cône de son épouse.

- Mary, commence Caroline, sa voix empreinte de tendresse, en roulant ses tétons entre ses doigts pour les durcirent, je sais que les choses ont été un peu tendues entre toi et Adam ces derniers temps. Et je me disais que peut-être, il pourrait être bénéfique pour vous deux de vous reconnecter d'une manière un peu différente.

Mary, dont la cécité depuis l'enfance a été un défi constant, s'est toujours montrée résiliente et prête à tout tenter. Malgré la restauration de la vue d'Adam, elle reste pleinement consciente de son environnement grâce à ses autres sens, développés au fil des années pour compenser sa perte de vision. Cependant, elle ne prend pas conscience que sa mère ôte sa robe devant l'homme qui a la bouche grande ouverte de stupéfaction.

- Je pensais à quelque chose comme une séance de massage, suggère Caroline doucement, observant attentivement la réaction de sa fille et de son beau-fils qui bave devant sa nudité. Cela pourrait vous aider à vous détendre et à vous ouvrir l'un à l'autre d'une manière très douce et respectueuse.

- Cela pourrait être... intéressant, admet la jeune aveugle, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres. Je n'avais pas pensé à ça, mais ça pourrait nous aider à retrouver une certaine proximité. Tu es d'accord chéri?

Adam tarde à répondre. La silhouette chaloupée de sa belle-mère l'attire.

- Oui, Mary. Je trouve que c'est une bonne idée.

Encouragée par la réaction positive de sa fille, Caroline continue.

- Et je suis là pour t'aider, pour vous guider à travers cette expérience. Il s'agit de se reconnecter avec vos sens, d'apprendre à communiquer sans mots, juste avec le toucher, l'écoute, et le partage d'une intimité.

Mary acquiesce, la décision prise dans son esprit. Les trois montent dans la chambre du couple et Mary laisse sa mère dégrafer les boutons de sa robe qu'elle laisse choir sur le sol. En chemise et en culotte, la jeune aveugle s'allonge sur le ventre en travers du lit. Caroline guide Adam qui s'assoit sur le bord et place ses mains sur les épaules de son épouse tandis qu'il regarde le corps nu de sa belle-mère juste à côté de lui. Il sent la peau et la chaleur.

- Maman, c'est un peu gênant je trouve.

- Mary, l'intimité nécessaire au bonheur dans un couple se gagne par le dépassement d'obstacles que nous nous imposons à nous-mêmes. Justement, je vais vous guider pour vous ouvrir les portes de ce nouveau chemin.

Mary fixe le mur en sentant les mains chaudes de son époux qui malaxent ses épaules. Adam déglutit en constatant que les tétons de Caroline pointent vers lui. Il sent son ventre vriller.

- Pour que tu lâches, je vais accompagner Adam. Tu veux ma fille?

- Oui maman, dit timidement Mary qui perçoit les mains de sa mère sur le bas de son dos.

Pendant un moment, la lampe à huile dessine les silhouettes dans la chambre comme une danse lascive et lente qui chemine vers une complicité implicite qui s'instaure par relâchements successifs de peurs et de barrages. Caroline invite Adam à se délester de quelques vêtements pour être plus à l'aise et entrer en contact avec sa femme. L'homme se redresse, ôte son gilet et sa chemise. Sa belle-mère admire le torse viril et, d'un regard complice désigne le pantalon. C'est juste en culotte qu'Adam s'assoit et pose les mains sur le dos de son épouse. Caroline constate que son beau-fils ne bande pas complètement et se dit qu'entre la pudeur excessive de l'une et les problèmes d'érection de l'autre leur intimité est conséquemment compliquée.

- Je vais remonter ta chemise Mary, déclare Caroline en remontant le tissu jusque sur les épaules.

Des frissons parcourent le dos mince de la jeune aveugle qui soupire. Du bout des doigts, sa mère montre à Adam comment caresser la peau laiteuse. La peau laiteuse de Mary est recouverte de caresses de son mari et de sa mère. L'aveugle se détend et goûte à ce plaisir en relâchant sa pudeur. Elle ne prend pas conscience que des mains descendent sa culotte par à-coups successifs et discrets.

De temps en temps, Caroline sourit à Adam et prend un de ces gros seins pour lui montrer. L'homme déglutit mais même si son sexe gonfle, il retombe peu après.

- Ma chérie,, j'aimerais que tu te retournes pour qu'on puisse continuer.

Assez étonnement, la jeune femme bascule sur le dos et dévoile sa nudité. Néanmoins, elle pose son bras sur sa poitrine et masque son pubis avec une main. Le massage reprend sur les épaules. Les deux seins assez petits de sa fille excitent un peu Caroline qui caresse les épaules et doucement écarte les bras pour les étendre le long du corps. Adam caresse les jambes.

- Remonte doucement Adam. Aborde l'intimité de ta femme avec douceur mais détermination.