Parodie : Les Petites Maisons

BÊTA PUBLIQUE

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- J'ai très envie que tu me lèches maman, déclara-t-elle en laissant Adam enfoncer son visage entre ses seins gonflés de plaisir.

Laura s'assit sur une botte de paille et écarta largement ses cuisses. A genoux, Caroline approcha. Elle tenait la queue raide d'Adam dans sa main et enfouit son visage entre les jambes de sa fille. Sa langue lapa la fente trempée. Mais son attention fut détournée par le hurlement de Mary. Laura, Caroline et Adam se tournèrent.

A quatre pattes, le petit corps de l'aveugle était pris en sandwich. Allongé au sol, le long membre de Charles pénétrait le vagin de sa fille tandis qu'Almonzo, accroupi derrière les fesses de sa belle-sœur, écartait l'anus en enfonçant sa queue. Mary gueulait et pleurait. Ses tétons durs pointaient le visage de son père et ses fesses cherchaient le ventre de son beau-frère. Jamais image fut plus érotique que le corps maigre de l'aveugle pris entre deux hommes musculeux dont l'unique souci était d'approfondir le secret douloureux et extatique du plaisir. Le cri de Mary ne tarissait pas.

Adam admirait l'orgasme de sa femme. Ce dernier tendit sa main vers la poitrine opulente de sa belle-mère qui lui sourit. Caroline se tourna vers sa fille assise sur la botte de paille et s'inclina vers cette dernière comme pour l'embrasser.

- Vous êtes magnifiques, les filles, déclara Adam.

Il s'agenouilla aux pieds de ces dames et enfonça deux doigts dans la fente de la mère pendant que sa bouche serrait les lèvres trempées de Laura et titillait son clitoris. Cette dernière consentait à l'offrande de la blonde tout en découvrant la lourde et énorme poitrine. Une sensation bizarre s'empara d'elle. Pour la première fois, elle touchait le corps d'une femme, pour la première fois, elle embrassait une femme. Sa langue jouait avec celle de sa mère, se rythmait avec celle dans son sexe.

Mary avait jouit deux fois depuis qu'Almonzo la sodomisait. Elle sentait les mains de son père qui jouait avec ses petits seins.

- Papa, tu peux jouir en moi. Je ne suis pas dans la bonne période, sourit-elle en essayant de fixer son regard vers son géniteur.

Les mots ont des pouvoirs que les corps ne soupçonnent pas. La longue verge de Charles gonfla d'un coup dans le fourreau de sa fille et le père éjacula au fond du ventre de son aînée en criant. Derrière, Almonzo le suivit et, claquant son ventre sur les petites fesses blanches de sa belle-sœur. Il jouit dans ses entrailles.

Adam avait fait jouir à nouveau Caroline et Laura. L'institutrice se pencha vers le sexe de son beau-frère qui débandait un peu. Trop soucieux du plaisir de ses deux amantes, il laissa la bouche avaler sa verge avec beaucoup de vigueur. Adam éjacula sur-le-champ non sans une certaine honte. Laura éclata de rire tandis que Caroline caressait les seins de sa fille cadette aussi gros que les siens.

Almonzo prit Mary par la main et l'approcha d'Adam qui reprenait ses esprits. Laura accueillit son mari en se blottissant contre sa poitrine en sueur. Caroline vit Charles s'écarter et elle se tourna vers les deux couples.

- Le paradis c'est l'enfer des uns, déclara-t-elle en fixant Laura et Mary. La luxure peut guérir de tout, sauf de la luxure. Vous avez surpassé vos limites, vous avez abattu les barrières de l'inceste, vous allez gagner le paradis de la luxure.

Le ton théâtral de leur belle-mère, bouscula Adam et Almonzo qui caressaient les seins de leur femme.

Complètement nu, le sexe presqu'au repos après s'être vidé dans le ventre de sa fille, Charles arriva au centre de la grange en tenant Grover par un licol. L'étalon imposant à la robe blanche éclatante, se tint fièrement. Son regard calme et serein, empreint de confiance, se posa sur les spectateurs complètement nus. La mère de famille rejoignit son mari et caressa le flanc de l'animal. La présence de Caroline apaisa le cheval.

Charles attentif tint fermement la bride de cuir. Les muscles des pattes arrière de l'étalon se déployèrent avec puissance et harmonie. Caroline colla son corps nu à l'étalon. Ses seins épais qui tombaient un peu s'agaçaient sur les poils durs de l'animal et les tétons durcirent. Les mains de Caroline longèrent le corps de l'étalon à la robe blanche.

La mère de famille, vêtue de sa tenue d'Eve, le sexe fournis, les seins dressés comme des pointes, se tint aux côtés de l'étalon avec assurance. Elle fit signe à Laura de la rejoindre. Au milieu de la grange, Charles croisa sa fille cadette et rejoignit ses deux beaux-fils et son aînée qui s'étaient installés sur une large botte de paille. Ils regardaient les fesses menues et charnues de la jeune femme avancer vers le cheval avec un sentiment d'excitation totale. A son oreille, Mary entendait la voix profonde de son mari qui lui décrivait la scène : « Ta mère est magnifique. Elle est complètement nue et caresse Grover. Ta sœur est à côté d'elle. »

Les mains de Caroline s'affairaient à caresser les flancs et l'encolure de l'étalon. Laura approcha du puissant quadrupède. Son visage exprimait la crainte. Le bruit apaisant du hennissement de tonnerre encore dans son box et les doux sons de leurs pas résonnèrent dans la grange, créant une symphonie équine qui berçait Caroline et Laura dans leur tâche.

Avec précaution, Caroline frotta fermement le flanc de l'animal, ses doigts glissant avec aisance sur les poils blancs. Elle s'approcha de l'étalon blanc majestueux, dont la robe immaculée brillait sous la lumière tamisée de la grange. Le souffle puissant et régulier témoignait du calme de la bête. Ses mouvements circulaires faisant glisser les poils soyeux sous ses doigts délicats. Laura remarqua l'expression de plaisir qui traversa le visage du cheval, ses yeux sombres exprimant une forme de béatitude.

Sur la botte de paille, Mary écoutait son époux qui lui décrivait la scène pendant qu'il malaxait ses petits seins en cône. Dans chacune de ses mains, l'aveugle tenait le sexe d'Almonzo et de Charles qui admirait le spectacle équin.

- Laura a commencé à caresser Grover, murmura Adam.

- Il est grand le cheval, demanda Mary qui sentait la queue d'Almonzo grossir à nouveau tandis que celle de son père était au repos.

- A côté, ta sœur est petite. C'est impressionnant la nudité de ta mère et de ta sœur à côté de Grover. C'est un spectacle déroutant.

Suivant les conseils de sa mère, Laura déplaça sa caresse le long de l'encolure musclée de la bête, caressant chaque centimètre avec une attention méticuleuse. Les gestes précis de Caroline révélaient son habitude à entretenir ces majestueuses créatures. L'étalon se laissa aller à la sensation agréable de la caresse qui détendait ses muscles tendus. Le grasset du cheval, puissant et robuste, attira l'attention de Caroline. Elle se rapprocha avec prudence, sachant que cette zone était plus sensible. Elle effleura délicatement les courbes du grasset, consciente de l'appréhension. Laura se pencha également et suivit sa mère. Le cheval, cependant, semblait comprendre leur intention et resta immobile, appréciant le contact attentionné des deux femmes nues.

Caroline poursuivit son traitement en se penchant vers le ventre de l'étalon. Les seins de Laura se gonflèrent sous la gravité et sa respiration se faisait plus profonde, témoignant de son inquiétude. Elle savait que c'était une zone plus délicate, où les chevaux peuvent être plus sensibles. Avec une légère hésitation, elle approcha sa main avec douceur, caressant le ventre avec une précaution extrême. Elle remarqua que la bête réagissaitt avec une confiance tranquille. Caroline sourit à sa fille et l'accompagna dans cette caresse.

- Elles caressent le dessous de Grover qui reste calme, décrivait Adam qui roulait les tétons de sa femme entre ses doigts.

Mary branlait Almonzo qui venait de temps en temps l'embrasser avant de revenir sur les caresses équines de sa femme. Charles admirait le spectacle et goûtait à une agréable masturbation incestueuse en doigtant sa fille. Il appréciait l'étroitesse du vagin qui coulait comme une rivière.

- Est-ce que Grover bande? demanda naïvement Mary.

Ce fut dans ce moment d'échange silencieux entre les deux femmes et le cheval, mêlant plaisir et appréhension, que l'équilibre fragile de la confiance se construisit. Laura trouva du réconfort dans la réaction sereine de l'étalon blanc. Avec une infinie délicatesse, la jeune femme déplaça sa main avec précaution sur le ventre. Ses doigts effleurèrent doucement la peau sensible, cherchant à approcher le plus délicatement possible de l'objet de sa quête. Elle appliqua une légère pression, suffisante pour prodiguer un soulagement. Sa mère l'observait et en lui soufflant des conseils, elle guidait sa fille cadette.

Laura ressentit les battements de cœur de Grover sous sa paume. La lourde poitrine nue de l'institutrice s'accordait au rythme de la bête. Elle ressentit la confiance du cheval, même dans sa vulnérabilité, ce qui la pousse à effleurer enfin le prépuce avec une détermination renouvelée. Elle le longea doucement et parvient aux énormes testicules.

- Laura touche le sexe de Grover, dit Adam à l'oreille de sa femme qui gémissait du doigtage expert de Charles.

- Mmmm ça m'excite. Elle est comment la queue de Grover, gémit Mary.

- Elle est longue et épaisse, intervint Almonzo qui bandait dur sous l'action de sa belle-sœur assise à sa droite.

Les cris plaintifs de Mary ravirent les trois hommes qui la prirent dans leurs bras. L'orgasme de l'aveugle fut une bouffée de chaleur dans les cœurs des hommes. Ils se tournèrent à nouveau vers le spectacle.

Caroline et Laura longeait la longue colonne de Grover. L'étalon soufflait dans ses naseaux. Le pénis, dans son prépuce, gonfla et commença à s'allonger. Le cylindre sortit de sa poche de peau. Sous les yeux ébahis de Laura, le sexe grossit du triple de sa taille et s'étendit sous l'abdomen.

- Chérie, la verge de Grover a décuplé de taille.

Adam continuait à décrire la scène à sa femme pendant qu'il la fourrageait gentiment en se tenant à ses hanches. Charles avait positionné son aînée à quatre pattes sur la botte de paille. Comme Almonzo avait jouit des mains de Mary et avait éjaculé dans ses longs cheveux blonds, Charles s'octroya la place face au visage angélique de sa fille pour qu'elle l'honore d'une belle fellation.

- Elle... est... slurp, slurp, longue, greuhhh, slurp, comment? demanda Mary enfonçant toujours plus loin la queue de son père dans sa bouche.

- Elle doit être longue comme mon bras, répondit Almonzo qui cuvait son orgasme en trayant les deux petits seins en cône de sa belle-sœur qui pendait sous son corps.

Avec une attention méticuleuse, Laura fit glisser ses doigts le long de l'énorme pénis équin, découvrant chaque centimètre de peau avec une précaution infinie. Caroline massa délicatement, avec des deux mains le milieu du cylindre, exerçant une pression pour stimuler l'étalon déjà bien excité. Chaque geste était précis, chaque mouvement était empreint d'un apprentissage préalable. Alors que Laura insistait sur la zone pénière, elle sentit le corps du cheval se tendre peu à peu.

L'institutrice demeura concentrée, laissant ses mains guider son attention vers les moindres détails de l'anatomie équine. La verge du cheval se terminait à l'extrémité du gland en saillie. Son extrémité était enveloppée par un tissu fortement renflé, avec une couronne marquée. C'est là que Caroline branlait l'étalon à présent. Le cheval bougeait sur place. Il hennissait. Sa queue fouettait l'espace derrière lui.

- Qu'est-ce qui... slurp, slurp,...se passe? demande Mary entre deux avalages de queue paternelle.

Les trois hommes fixaient le spectacle dans une sidération hypnotisante. Adam ne baisait presque plus sa femme qui pourtant accompagnait ses mouvement de pénétration en tendant son cul vers lui. Almonzo avait lâché les petits globes en cône. Charles répondit en enfonçant ses doigts dans l'épaisse chevelure blonde de sa fille :

- euh... Le sexe de Grover est énorme et ta mère et ta sœur le branle vigoureusement. Grover est très excité et je crois qu'il éjacule rapidement.

Mary fut fouetté par l'imagination de l'énorme queue et fantasmait de pouvoir la toucher. Son handicap lui interdisait, se dit-elle. Elle recracha la queue de son père et se tourna pour saisir celle de son époux. Elle guida le gland sur son anus.

- Chérie! On n'a jamais fait ça, lança un peu penaud Adam.

- Je t'assure qu'elle aime ça et que son cul est admirable, s'amusa Almonzo à l'intention de son beau-frère.

Après avoir gueulée pendant la pénétration dans son anus, Mary reprit la verge paternelle dans sa bouche et chercha avec sa main la queue du mari de sa sœur.

La petite langue de Caroline léchait à présent l'extrémité de l'énorme pénis équin qui était vigoureusement masturbé par les deux mains de Laura. L'étalon appréciait les sollicitations féminines. L'institutrice branlait vivement le long cylindre et Caroline tentait d'avaler la couronne à l'extrémité tout en l'agaçant avec sa langue. Laura s'activa vigoureusement sur l'immense verge raide et dure, Grover claqua un sabot sur le sol de la grange et son pénis grossit encore. Caroline n'eut pas le temps de se protéger. La bête lança un premier jet. Tout le visage de la mère fut éclaboussé d'un liquide blanc et visqueux. Mais elle avait bien appris depuis le temps et Caroline continua de masturber le cheval en visant sa fille. Grover éjacula une deuxième fois dans la bouche ouverte de Laura qui s'écria.

Les trois hommes regardèrent la douche de sperme sur la mère et la fille. Adam en jouit dans l'anus de sa femme qui l'accompagna dans un nième orgasme. Quand Almonzo expliqua la scène à sa belle sœur, Mary demanda si elle pouvait aussi rejoindre sa mère et sa sœur. Sûr de lui, Charles guida son aînée jusqu'au cheval et installa un botte de paille assez haute pour que sa fille puisse s'y installer. Mary grimpa dessus et s'y installa. Charles dirigea l'étalon pour que l'encolure passa au-dessus du corps de l'aveugle allongée sur le dos sur la haute botte de paille.

Laura et Caroline laissèrent leur sœur et Charles pour rejoindre les deux jeunes hommes. Calmant l'appréhension d'Adam, Caroline le branla doucement en lui expliquant que sa femme ne craignait rien avec Grover car il avait l'habitude avec elle. Tout en malaxant ses testicules, elle l'assura que Mary allait vivre une expérience formidable.

Laura se blottit contre son époux qui regardait Charles installer sa fille aînée sous le cheval. Le jeune homme tourna sa femme pour qu'elle assiste à la scène et il se posta derrière elle pour enfoncer ses doigts dans la chatte dégoulinante.

Mary sentit la masse du pénis se poser sur son ventre. Quelques gouttes de sperme coulaient encore et arrosèrent le nombril de l'aveugle. Des frisons d'appréhension et d'excitation parcouraient tout son corps et son ventre papillonna.

- ça va bien se passé, lui assura Charles qui plaçait Grover.

Mary, prise d'une soudaine vigueur, saisit l'extrémité de l'immense verge qui s'agitait au-dessus d'elle. L'aveugle releva et positionna ses jambes sur chaque côté des flancs du cheval. Charles dirigea la couronne à l'extrémité du lourd pénis sur la vulve trempée de sa fille. Le regard de Mary se figea dans le vide, ses yeux reflétaient un mélange déconcertant de désir et de folie naissante. Le fait qu'elle allait se faire baiser par l'énorme pénis de l'étalon fit vaciller sa raison. Une lueur de convoitise mêlée de démence traversa son regard, témoignant de l'angoisse qui s'empara de son esprit. Une folie grandissante prit racine en elle, alimentée par l'incompréhension de son soudain désir.

Almonzo doigtait sa femme qui regardait la queue de Grover à l'entrée de sa sœur. A côté d'eux, sur la large botte de paille, Caroline s'était agenouillée pour branler Adam entre ses énormes globes. La queue toute molle était perdue dans les replis des seins lourds.

Charles branlait le cylindre de chair et le poussa en même temps sur sa vulve de sa fille qui s'écartait. L'étalon s'énerva et de légers coups de son arrière train propulsa la jeune femme vers le haut de la botte de paille où elle était allongées mais également, ouvrit la vulve déjà bien dilatée. Les hennissements alertèrent Mary. Et pour la deuxième fois, l'étalon éjacula puissamment. Le jet énergique passa les lèvres dilatées et entra dans le vagin de l'aveugle qui jouit sous la vigueur de la pénétration du liquide. Ce fut un flot impressionnant de sperme qui recouvrit le corps nu de Mary qui hurlait d'un plaisir à la fois physique et licencieux.

L'orgie se prolongea jusqu'à tard dans la nuit. On s'endormit les uns sur les autres. On baisa encore et encore. Après Grover, ce fut Tonnerre qui fut réquisitionné. Enivré, on tombait de sommeil tout en caressant son voisin.»

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Merci pour cette parodie, super et magnifiquement écrite la fin de l'histoire, j'espère qu'il y aura une suite car elle était 3 sœurs !!!

AnonymousAnonymeil y a 2 mois

Une bonne histoire originale

La scène finale avec l'ensemble des personnages aurait mérité d'être plus descriptive

Je trouve que les dernières actions se déroulent trop rapidement

En attendant une prochaine histoire

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