Professeures Bizutées - 2/8

Informations sur Récit
Une année scolaire de quatre professeures bizutées.
9k mots
4.41
12.3k
7

Partie 2 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 10/01/2022
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Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

QUELQUES PROTAGONISTES

/JULIE (anglais) la blonde

/AMELIE (français) la brune

/ELISABETH (physique) la grande

/JENNIFER (sport) la rousse

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

/...

MERCREDI

/JULIE /THOMAS /FRANCOIS /DORON

Elle arriva de bonne heure comme à son habitude. Elle prit ses consignes à la salle des professeurs et se rendit à sa classe où elle prépara ses dossiers de cours.

On frappa à la porte.

- Bonjour Julie, déclara Thomas en passant sa tête.

- Bonjour Thomas... Pardon, monsieur Thomas... Vous êtes déjà arrivé...

Son cœur s'affolait.

- J'espère que tu n'auras plus de retard à l'allumage comme hier! Tu te souviens des ordres de François? Tu obéis et tout va bien ; tu désobéis et tout va mal.

- Bien sûr, je me souviens... Monsieur Thomas.

- Pourquoi as-tu remis ton bouton hier? Quel était mon ordre?

Il avait une sale tête, comme s'il était vexé.

- Si je comprends bien, continuait-il, tu obéis correctement à François mais pas à moi! Tu me prends pour un charlot?

- Non, non... Pas du tout... Laissez-moi, s'il vous plaît... Vous êtes plus gentil... Aidez-moi.

- Tu rêves ma belle! Approche.

Il sortit de sa poche une paire de petits ciseaux de toilette dont il donna toute une série de coups devant les yeux de Julie. Lentement, tout en fixant la fille dans les yeux, il attrapa le bouton en haut du gilet, le tira, passa les lames sur le fil et coupa. Il garda le bouton entre les doigts pendant que les seins s'étalaient sur l'emplacement ouvert.

- Ca t'évitera la tentation de te reboutonner!

Il attrapa le bouton suivant.

- Non... pas ça... monsieur Thomas... je ferai ce que vous voulez... pas ça ici!

Semblant céder à la prière, il lâcha ce second bouton mais s'empara de suite le dernier, au niveau du nombril. Même sort.

- La prochaine fois, tu m'obéiras tout de suite et sans essayer de me tromper!

Les élèves remarquèrent immédiatement la nouveauté. L'un d'eux, surexcité, se masturba sous sa table. Il ne restait plus que deux boutons comme gardiens du temple, étirés au plus large par la pression des seins.

- Eh, Mouloud. J'te parie que ça pète aujourd'hui! 20 sacs ok?

Elle ne pouvait rien faire, rien dire. Elle passa une terrible journée, honteuse à souhait, affolée à l'idée que les attaches cèdent. L'événement fit rapidement le tour des classes. Quand elle regardait par la fenêtre, il y avait souvent une dizaine de garçons qui la mataient.

Au dernier interclasse de la journée, son téléphone sonna pendant le changement d'élèves, les sortants et les entrants.

- Allo, c'est François. Tu sais ce que c'est une cravate de notaire?

- Non... je ne sais pas, répondit-elle inquiète, surprise qu'il connaisse son numéro.

- J'vais branler ma grosse queue entre tes gros nichons! Ca t'intéresse?

- Non... je... je ne fais pas ça.

- M'en fous. A 18h30, attends-moi dans les chiottes des profs. A genoux, seins à l'air.

Il raccrocha sans même attendre la réponse.

Elle termina sa dernière heure de la journée avec angoisse et haine montantes. Le salaud allait encore profiter d'elle. Ejaculer sur sa poitrine! Jamais elle n'avait connu cela. L'attente fut longue depuis 18h à la fin des cours à 18h30. Le cœur battant, elle se rendit aux toilettes. Elles étaient réservées aux professeurs, adossées à celles des élèves mais sans partie commune. La petite pièce se composait de deux cabines et d'un lavabo. Elle était commune aux deux sexes de professeurs car il était impossible d'agrandir.

Précisément cinq minutes avant l'échéance, elle entra dans la pièce. François n'y était pas, ni personne d'autre. Elle choisit la cabine de gauche et s'y enferma. Elle ôta les deux boutons restants et se mit à genoux, complètement affolée par cette situation déplacée. Elle se rendit compte que si elle laissait le verrou fermé, François ne pourrait pas entrer mais si elle le laissait ouvert, tout le monde pourrait entrer! Elle choisit la première option en pensant qu'il ferait connaître sa présence.

Quelques minutes plus tard, elle entendit quelqu'un entrer, une tentative d'ouvrir sa cabine, puis l'autre, puis la porte de sortie. La même scène se reproduisit à 18h40. Elle commençait à s'affoler. Ce devait être François qui, à deux reprises, avait essayé d'entrer sans se déclarer à voix haute. Elle décida de déverrouiller.

Ses genoux à même le carrelage lui faisaient très mal. Son estomac se contracta à la personne suivante. Elle ne respira plus. Elle écarquilla les yeux lorsqu'elle vit monsieur DORON, l'homme d'entretien, se tenir debout devant elle. Bien que tout aussi surpris, sans un mot, il ferma la porte derrière lui, baissa son pantalon et planta sa bite dans la bouche, bien au fond.

- T'es une sacrée salope toi... Tu promènes tes fesses dans les couloirs... Putain, suce bien, au fond... Ouais... Tu montres tes miches à tout le monde... Chaudasse... J'vais t'en mettre pour ton compte...

Il se retira de l'écrin buccal quand les giclées arrivèrent. Elle en eut plein le visage. Elle tomba en larmes pendant qu'il se rhabillait sans un mot. Dès qu'il sortit, une autre paire de jambes prit la place. Cette fois, c'était François. Elle vit le pantalon tomber aux pieds, le slip, puis la queue se coller à ses seins. Il les empoigna durement, les malaxa contre son pieu. Tout comme le premier, il éjacula rapidement sur le visage de Julie.

- Voila. Tu as eu ton compte aujourd'hui. A bientôt.

-

JEUDI /VENDREDI

/JULIE

Elle passa quelques jours plutôt tranquilles, bien que ce qualificatif ne soit pas vraiment adéquat. Ses tourmenteurs avaient peu d'heures de cours à donner aussi la laissèrent-il en paix.

Pour autant, ça restait extrêmement difficile. Elle ne parvenait pas à s'habituer à avoir les seins autant dévoilés devant ses élèves. Et puis, elle devait lutter contre le réflexe de croiser les jambes. Enfin, de les tenir écartées pendant les cours, restait très perturbant à cause du bureau non fermé par devant et posé sur l'estrade. Elle donnait ses cours tournée tantôt à droite, tantôt à gauche pour ne pas s'exposer aux gamins. Au collège, elle risquait maintenant les agissements de François, Thomas et certainement DORO.

Planait aussi la menace insaisissable de Discipline-Team. Elle ne pouvait même pas communiquer avec eux. Ils devaient utiliser des numéros temporaires pour envoyer leurs messages de sorte qu'il était impossible de leur répondre ou de les identifier. Et tout ça à cause d'une malheureuse séance amoureuse en voiture! Comment faisaient-ils pour être informés de tous ses faits et gestes? Ils avaient eu connaissance de sa tentative de plainte au commissariat, de ses comportements pendant les cours, de ses genoux serrés devant sa sœur. Cet ennemi invisible était le plus dur à accepter. Chez elle, elle en était réduite à marcher avec les jambes écartées, à s'assoir avec les jambes écartées. Même sous la douche, même aux toilettes, elle avait les jambes écartées.

SAMEDI

/JULIE

Sa sœur lui téléphona pour l'inviter à prendre un café dans son appartement. Elle profita de l'appel pour questionner.

- Dis-moi, Nathalie, tu connais ce nom : Discipline-Team?

- Non jamais entendu parler. As-tu fait des recherches sur internet?

- Oui mais je n'ai rien trouvé. Tu ne me mens pas, tu ne les connais pas?

- Je viens de te dire non! Qu'est-ce qui se passe? C'est quoi ce truc? Tu as l'air énervée.

Elle ne savait pas si elle devait en parler à sa sœur ou pas. La mettre dans la confidence risquait de lui poser des problèmes, peut-être les mêmes que les siens. Elle ne pouvait faire cela à sa sœur chérie.

- C'est-à-dire... Non... Je suis fatiguée. Je passerai un autre jour, j'ai trop de boulot.

Elle prépara ses cours avec difficultés tant son esprit partait vers ses tourments. Elle eut besoin de faire le point sur les ordres reçus, retourna consulter les notes qu'elles avait prises depuis les SMS avant qu'ils ne soient effacés.

-

1 / Pendant les cours :

* Téléphone sur le bureau

* Messages à lire dès réception

* Pas de veste

* Tu te tiens, à égale durée :

** debout pour montrer tes gros nichons

** assise pour monter tes cuisses.

2 / Pendant les cours et partout ailleurs :

* Plus de sous-tifs

* Seuls te sont autorisés les gilets d'été avec 5 boutons maxi

* Gilets en taille 34

* Les pantalons ou shorts sont interdits quelque soit le lieu et l'heure.

* Seules des jupes avec tes gilets sont autorisés.

* Jupes droites exclusivement.

* Longueur maximale des jupes : 40 cm depuis la taille.

* Culottes autorisées.

3 / En toutes circonstances publiques,

* Porte-jarretelles et bas de soie obligatoires, talons de 10 cm minimum.

* Désormais, pour t'assoir, tu ne croises plus les jambes en public.

* Désormais, pour t'assoir, tu ne serres plus les genoux en public.

* L'écartement doit être de la largeur de ta main, soit environ 7 cm.

* L'écartement des pieds est le même.

4 / Chez Toi :

* Avoir les genoux toujours séparés d'au moins 30cm.

-

DIMANCHE

/JULIE /DISCIPLINE TEAM

Elle téléphona à ses parents pour s'excuser de ne pas aller les voir. En effet, elle ne se voyait pas devant eux en mini-jupe sur des bas de soies et en gilet trop petit sur seins nus! Elle fit quelques achats en ville vêtue selon les ordres mais bien couverte de son manteau.

Au soir, alors qu'elle regardait le film de TF1, les jambes prudemment écartées, pas vraiment intéressée car plongée dans ses peurs, elle reçut un SMS de Discipline-Team.

* Julie, il suffit que nous te laissions vivre seule sans contrôle pour que tu commettes des bêtises. Désormais, nous allons devoir te surveiller plus encore, pour ton bien évidemment. Tu nous donnes vraiment beaucoup de travail!

* Nous allons devoir te punir une nouvelle fois. A croire que tu aimes ça!

Le cœur emballé, elle se demanda en quoi elle n'avait pas obéi, quelle faute elle avait bien pu commettre.

* Dimanche dernier, tu as reçu cet ordre : "désormais, chez toi, tu devras avoir les genoux toujours séparés d'au moins 30cm".

* C'est simple et clair. Nous ne pouvions pas faire mieux. Or, nous venons de nous rendre compte que depuis une semaine, tu ne respectes pas complètement l'obligation car tu serres les jambes... lorsque tu dors!

* Comprends bien Julie. Il faut que tu t'habitues à avoir les jambes ouvertes, pour être vue ou prise à tout moment.

* C'est pourquoi, chez toi, tu dois les tenir à 30 cm, même pour faire ta vaisselle, même pour dormir.

Elle se sentit cognée comme un boxeur qui reçoit un coup au foie. Jamais, elle n'avait pensé à ses jambes pendant le sommeil! Discipline-Team était démoniaque, monstrueuse.

* Ta punition Julie : désormais, tu as interdiction de tirer sur tes jupes quand tu es assise.

Il lui fallut du temps pour refaire surface. Encore une punition! Et quelle punition! Elle savait bien que les jupes droites remontent toujours très haut sur les jambes et qu'il faut souvent les baisser. Désormais, cette protection lui était interdite, même à l'école. Comment allait-elle faire dès lundi?

Elle fit sa toilette et s'apprêta à se coucher. Elle n'avait qu'un seul moyen de garder les jambes ouvertes la nuit, c'était de les attacher au bord du lit. Dans son armoire, elle ne trouva qu'une ceinture en tissu d'un peignoir mais rien d'autre assez long. Elle dut se résoudre à prendre une ceinture de cuir. Elle les noua fortement aux montants du lit. Elle mit son pyjama, s'allongea sur le dos, disjoignit les chevilles pour qu'elles arrivent à chaque lien. Puis elle se ligota à gauche et à droite de nœuds qui ne risqueraient pas de se détacher pendant son sommeil. Elle était grandement écartée car les liens étaient trop courts. Il faudra que j'achète des cordes, pensa-t-elle. Elle tenta de s'endormir mais ce fut peine perdue.

Il devait être minuit lorsqu'elle entendit l'annonce sonore particulière de ses SMS. Elle avait pris soin de laisser l'appareil à portée de main. Inquiète une fois de plus, elle lut.

* Julie, nous devons te déranger à cette heure tardive alors que tu dois être confortablement installée, bien ouverte comme les ordres le précisent.

* Nous venons de recevoir un sévère avertissement de notre comité directeur.

* D'abord, parce qu'il nous trouve trop gentil avec toi.

* Ensuite, parce qu'une grosse faute nous a échappé.

* En effet, tu as cherché à te renseigner sur nous, tu as même interrogé ta sœur!

* Voila qui est grave, autant que ta tentative de dénonciation au commissariat.

* Voici ton châtiment pour cette nouvelle faute :

* Désormais, tu dors totalement à poil, en alternant chaque jour, sur le ventre et sur le dos, sans te couvrir le corps d'un drap ou d'une couverture. La porte de ton appartement doit toujours rester entrouverte la nuit lorsque tu es couchée.

* Signé : Discipline-team.

Elle pleura à chaude larmes à en mouiller son pyjama. Après un bon moment de désespoir, elle entreprit d'obéir. Elle commença par se détacher, alla ouvrir sa porte qu'elle bloqua avec un vase en laissant quelques centimètres ouverts sur le noir du couloir, se mit nue et pour la première nuit, choisit de rester sur le dos. Elle ligota ses chevilles qui ouvraient ainsi une chatte blonde poilue éparse. Elle se sentait à la merci de celui ou ceux qui pourraient entrer pendant son sommeil. Elle ne vivait pas dans une résidence avec des délinquants mais quand même, elle ne laissait jamais sa porte ouverte.

Elle dormit par alternances de réveils et de cauchemars. Le matin, elle avait uriné dans son lit.

FEVRIER

LUNDI

/JULIE /Romain PIERREFONT /THOMAS

Dans casier, elle trouva un mot du proviseur l'informant qu'elle devait prendre en charge une classe de BTS pour remplacer leur professeur d'anglais. Elle n'avait encore jamais eu de classe au-delà de la terminale. Jusqu'à ce niveau, les lycéens étaient encore manipulables, obéissants, craintifs de l'autorité. Mais comme disaient les anciens, la vertigineuse dégradation de l'autorité se voyait d'année en année et dès la seconde. Elle était donc inquiète, en plus de ses tourments possibles.

Ils arrivèrent pour le cours de 11h à 12h. Elle fut surprise de voir combien une année d'écart faisait grandir les enfants. Heureusement, ils n'étaient pas nombreux. Leurs regards surpris plongeaient instantanément sur la poitrine de Julie. Elle entendit même quelques sifflets.

Elle commença son cours après avoir difficilement obtenu le silence. Elle devait conduire une discussion sur la nourriture en Angleterre. Mais c'était très pénible car ils s'en moquaient complètement, discutaient entre eux, griffonnaient, ne répondant que si elle les interrogeait. Devant ce problème, elle décida de leur donner un devoir de traduction à faire seul. Un calme s'installa pendant qu'ils travaillaient. Elle se décida à passer dans les rangs pour les aider individuellement si besoin.

Tout se passa bien jusqu'à ce qu'elle arrive au dernier rang, auprès d'un nommé Romain PIERREFONT. Voyant qu'il semblait perdu, elle se pencha pour lui parler doucement :

- Avez-vous besoin d'aide?

Il ne répondit pas mais écrivit sur sa copie : j'ai besoin de voir tes nichons. Furieuse et rouge vif, elle se redressa et repartit à son bureau. Comme elle avait déjà passé une demi-heure debout, elle devait passer une demi-heure assise mais avec la nouvelle contrainte de ne jamais remonter sa jupe. Elle prit garde à avoir des mouvements lents, en mettant ses genoux non serrés vers la droite.

Lorsque l'interrogation prit fin, elle voulut en discuter avec les élèves et entreprit donc de leur faire lire leur devoir. Quand ce fut le tour de PIERREFONT, il lut tellement de conneries que toute la classe en fut perturbée. Elle lui intima l'ordre de se taire mais dans un réflexe de colère, elle tourna trop brusquement les jambes vers la gauche. Elle se rendit compte trop tard de l'effet désastreux du mouvement ; les élèves du premier rang aussi. L'autre cuisse désormais présentée aux élèves était dénudée, la jupe était remontée jusqu'aux jarretelles noires et elle continuait son chemin lentement. Elle ne pouvait ni la bloquer, ni la descendre. L'ordre donné par Discipline-Team était démoniaque. Elle était furieuse contre elle-même. Elle avait envie de pleurer d'impuissance. Elle se rendit compte que quelques smartphones se délectaient du spectacle.

La cloche sonna la fin du cours. Elle se leva et se réajusta.

- Au revoir mdame... C'était bien votre cours... Mieux qu'avec nos vieux profs de merde... Gardez la même tenue pour le prochain cours!

Romain PIERREFONT fut le dernier à ranger ses affaires. Alors que tous étaient dans le couloir, il s'approcha de Julie.

- Mdame, tu m'as grave fait bander! Fais-moi voir tes nichons... S'il te plaît, j'le dirai pas à mes copains.

Elle s'aperçut qu'il prenait des photos tout en parlant. Elle prit un air très sévère, même si elle était rouge vif de honte, pour l'envoyer dehors :

- D'abord restez-poli, rangez-moi cet appareil et sortez immédiatement. J'irai voir le proviseur pour lui parler de votre comportement. Dehors!

Il sortit en râlant. Heureusement que je n'aurai plus cette classe, pensa-t-elle... à tort.

Dans l'après-midi, elle croisa Thomas au détour d'un couloir. Il discutait avec une professeure.

- Bonjour Amélie. Bonjour... monsieur Thomas. Vous... vous allez bien?

- Tu vouvoies tes collègues maintenant, interrogea Amélie?

- Eh, non... C'est-à-dire... Thomas... je veux dire monsieur Thomas est plus vieux, tu comprends, je lui dois le respect... je préfère vouvoyer.

Amélie, étonnée des dires de Julie mais aussi de sa tenue, les abandonna.

- J'ai un jeu à te proposer chère Julie, un jeu sympa. Es-tu d'accord?

- Je ne sais pas, dis toujours, répondit-elle méfiante.

- Tu as déjà oublié la politesse?

- Pardon, je ne sais pas monsieur Thomas, excusez-moi monsieur Thomas.

- C'est mieux... Ecoute avec attention. Dans une journée, à chaque fois que nous nous rencontrerons, je veux que tu coupes immédiatement un bouton de ton gilet, je dis bien immédiatement. D'abord le premier en haut, puis le dernier en bas, puis le second en haut et ainsi de suite... Haut, bas, haut, bas. Voici de jolis petits ciseaux à toujours conserver sur toi. Pour cette première rencontre aujourd'hui, tu es dispensée. Sympa non?

Elle s'abstint de répondre faute de ne savoir que dire devant tant de perversité. Elle allait devoir, à tous prix, essayer de ne jamais croiser Thomas!

Elle repoussa l'heure de se coucher au plus tard mais l'envie de dormir fut plus forte que ses peurs, d'autant plus qu'elle avait peu ou mal dormi ces derniers jours. Après sa toilette, elle se mit entièrement nue, alla ouvrir la porte après avoir jeté un œil dans le hall sombre du 4ième étage.

Elle devait se coucher sur le ventre ce soir là. Elle mit du temps à attacher ses chevilles, ce n'était pas simple dans cette position. Après maintes contorsions, elle finit par y parvenir. Avec un terrible pressentiment, elle se rendit compte qu'elle laissait complètement libre accès à son arrière-train. A cause des liens trop courts, ses jambes étaient outrageusement séparées, son cul bombé n'était plus qu'une offrande à n'importe qui. Elle dormit, encore très mal et très peu.

MERCREDI

/JULIE /FRANCOIS /THOMAS /UN AUTRE PROF

Ses ennuis journaliers commencèrent à 9h par appel de François.

- Allo... Ouais, ici c'est François... Viens me rejoindre à la salle des profs à l'interclasse à 15h. T'as mis une culotte, j'espère. Parce que j'vais te la baisser, tu vas sentir un doux courant d'air sur ta chatte poilue. Tu vas voir, tu vas mouiller comme une folle. N'oublie pas, 15h précises. J'espère pour toi qu'il n'y aura pas de monde mais, à cette heure là, ce n'est pas gagné.