Professeures Bizutées - 2/8

BÊTA PUBLIQUE

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Elle sentit un doigt tourner autour de l'anus et d'un seul coup il s'enfonça profondément. Il venait de l'enculer avec son pouce! Il ne vit pas qu'elle avait ouvert de grands yeux choqués. Les autres doigts serraient la chatte. Il reprit son stétho pour écouter dans le dos.

- Bon, c'est bien. Avez-vous encore mal aux tétons?

Il les tritura tout en gardant son pouce en place.

- Ca a l'air d'aller mieux.

Elle approuva d'un signe de tête. Il finit par retirer son pouce.

- Encore un peu de patience, ça se termine... Restez bien cambrée, c'est important. Il faut que le sang reprenne son cours naturel après le déblocage. C'est comme les tétons tout à l'heure. Il faut laisser faire la nature.

Il était reparti à son bureau pour la laisser seule durablement dans la position humiliante, ses yeux rivés sur les mamelles pendantes avec leurs bouts étirés. Il fit une photo en gros plan de l'anus plus ouvert.

La cloche de la porte d'entrée sonna encore alors que la porte du cabinet restait grande ouverte. Elle sentit un courant d'air sur son coté gauche. Il faut dire que la sale d'attente se trouvait à trois pas à sa gauche, avec des chaises qui donnaient sur le cabinet.

- Mademoiselle, je vous prépare votre ordonnance. Disons... cinq jours d'arrêt... Asseyez-vous monsieur MARCONI... j'arrive... Il vous faut de quoi bien dormir la nuit... Ça devrait aller mieux mais il vous faut encore une séance, peut-être deux.

Marconi prit place près du cabinet pour se garantir d'être le suivant à consulter.

Le vicieux médecin avait noté deux points. D'abord, la fille voulait des jours d'arrêt pour fuir son école, ensuite, elle était très prude, timide. Le premier point lui donnait une carotte à agiter pour qu'elle suive ses envies, le second point le faisait bander comme un malade. Heureusement qu'il portait une blouse blanche qui cachait la bosse de son pantalon. Exhiber la jolie blonde l'excitait au plus haut point. Il savait que son prochain client était MARCONI. Il avait eu envie de lui offrir un beau spectacle.

Si bien que MARCONI ne pouvait détacher ses yeux du demi corps qui se présentait à lui : le profil d'un superbe cul bien relevé sur deux genoux. Le vieux docteur faisait comme s'il n'avait pas vu la porte ouverte. Il s'approcha de Julie.

- Nous allons maintenant terminer le soin. Je vais vous aider à vous relever. n'allez pas trop vite.

Il se plaça entre le visiteur et Julie et l'aida à se relever, s'assoir, poser les pieds au sol. Elle eut une sorte de vertige, ce dont profita le médecin pour s'adosser à la table d'auscultation. Ainsi, Julie se trouvait maintenant entre lui et MARCONI, son magnifique cul nu présenté, ses longues jambes gainées de soie.

- Voilà... Ça va?... Prenez votre temps pour vous habituer. Je vérifie si tout est OK.

Et le voilà qui repartit à l'assaut avec son stéthoscope sur les seins et le bas-ventre. Il n'avait pas encore retiré le bâillon car il voulait que la fille ressente une honte supplémentaire d'être vue embouchée. Il y réussit car lorsqu'il lui fit faire face à l'autre pour ausculter le dos et les fesses, elle s'en trouva effarée devant un visage ravi de l'aubaine. Elle sortit alors de sa léthargie et tenta de se dérober.

- Allons, ne faites pas l'enfant, j'ai fini.

Il la tourna à nouveau et doucement ôta le godemiché buccal. Il massa la mâchoire douloureuse avec délicatesse, se leva et alla fermer la porte.

- Maudite porte, déclara-t-il, je l'oublie tout le temps. Habillez-vous.

Il reprit place à son bureau pendant qu'elle se couvrait. Elle osa demander :

- Docteur... pourriez-vous me donner plus de jours d'arrêt? Cinq jours ne suffiront pas, je crois.

- Mademoiselle, je ne peux pas faire ça, c'est contraire à la déontologie médicale mais... le traitement n'est pas terminé. Revenez vendredi prochain pour une séance et je pense que je pourrai prolonger l'arrêt... Je vous donne votre rendez-vous pour 16h. Ça vous convient?

- Il faudra refaire tout, demanda-t-elle, déjà inquiète?

- Je ne sais pas, cela dépendra de l'évolution de la veine. Rassurez-vous, je ne vous abandonnerai pas. Bonne journée.

- Au revoir docteur.

Sur le chemin du retour, elle reprit ses esprits. Curieux médecin! Curieux traitement! Charlatan ou génie? Elle avait mal à la mâchoire, mal aux tétons nus qui frottaient le gilet et pourtant elle se sentait un peu plus apaisée. Serait-ce que la tension au cabinet avait remplacé la tension de l'école? Pourtant l'humiliation était profonde, autant que le doigt ou le godemiché qu'elle avait absorbés.

DIMANCHE

/JULIE

Elle dormit bien mal ce soir là. Allongée sur le ventre, les jambes excessivement écartées, elle pensait à ce médecin, aux traitements tout à fait douteux. Elle commençait à sortir de sa candeur due au stress et revenait à des raisonnements plus justes. Finalement, elle n'irait peut-être pas le revoir le vendredi suivant.

Il faut que j'achète des cordes plus longues, pensait-elle, je pourrai resserrer un peu mes jambes pour dormir. 30 cm suffisent. J'irai demain.

LUNDI 1er jour d'arrêt

/JULIE

Elle se rendit à Carrefour. Couverte de son manteau, elle ne craignait pas trop d'être repérée par sa tenue honteuse. Elle finit par trouver deux cordes plus longues que la ceinture de son peignoir et la ceinture de cuir dont elle se servait en guise d'attache des chevilles aux pieds du lit.

En début d'après-midi, elle sursauta à la sonnette stridente de son appartement. Après vérification par l'œilleton, elle ouvrit au facteur qui lui remit un colis assez lourd.

- Signez-ici, s'il vous plaît... Merci.

Lorsqu'elle ouvrit le colis, elle découvrit une enveloppe au dessus d'un paquet intérieur. Elle ouvrit avec curiosité puis appréhension lorsqu'elle comprit qui était l'émetteur.

* Chère Julie,

* Notre comité de direction apprécie beaucoup tes jambes écartées pendant ton sommeil. Nous devons être honnêtes, tu fais vraiment bander les membres du comité. Sais-tu que tes lèvres légèrement poilues s'ouvrent pendant la nuit pour laisser quelque liquide séminal s'échapper. Et ton trou du cul! Quel régal.

* Ils nous ont demandé d'intervenir tout de suite dès qu'ils ont constaté que tu voulais réduire ton écartement de nuit. C'est pourquoi, tu trouveras tes nouveaux liens de lit dans cette boite.

* Le comité a aussi exigé que tu mettes un coussin épais sous ton ventre pour mieux lui présenter ton cul.

* Signé Discipline-Team

Elle sortit des chaînes métalliques blanches, courtes, munies de chaque côté d'un bracelet en cuir noir. Elle attacha les bracelets aux côtés gauche et droit de la barre de lit et se lamenta que les bracelets des chevilles fussent encore plus éloignés que ceux de ses liens habituels. Elle devra donc dormir plus disjointe que jamais!

Elle était aussi terrifiée. Comment avaient-ils su qu'elle avait acheté des cordes? Etait-elle suivie? Y avait-il des caméras dans son appartement? Pouvaient-ils vraiment la voir dormir nue?

Elle passa une fois encore une bonne heure à la recherche de caméras mais en vain. Elle passa une nouvelle nuit de veille et de sommeil tourmentée.

MARDI 2ième jour d'arrêt

/LES PROFESSEURS /LES PROFESSEURES

Il y eut un débat entre professeur à propos de la règle du bizutage que voulaient imposer les trois profs masculins, dont François et Thomas. Les filles s'opposaient fermement tandis que les garçons maintenaient leur volonté tout aussi fermement. Le gâteau était trop beau pour qu'ils s'en privent.

- Vous êtes de vieux cochons et vous voulez abuser d'une pauvre jeune fille! C'est dégoutant.

- Mais, non, vous ne comprenez rien. Il faut qu'elle s'intègre dans notre groupe. Ca lui fera du bien. On voit que vous n'avez pas fait une école d'ingénieurs, vous n'avez pas idée des bénéfices du bizutage.

- Cesse tes âneries, François! Ici, il n'y a que toi qui a fait une école d'ingénieur. Tous les autres ont suivi un cursus universitaire dans lequel le bizutage n'a pas lieu. S'il vous plaît, ne faites pas comme ces imbéciles des grandes écoles!

- Ecrase un peu Annie... Fais pas chier avec tes leçons de morale. Faut qu'elle morfle un peu la gonzesse, ça lui fera du bien.

- Connard! Que lui avez-vous fait mercredi en vous enfermant dans la salle des profs? Depuis samedi, elle est absente pour maladie. C'est de votre faute.

- Oh, pas grand-chose. On l'a intronisée « la bizute de l'année »... Ouais intronisée, c'est ça. Première séance!

Les trois mâles éclatèrent de rire. Les filles quittèrent la salle en les insultant.

MERCREDI /JEUDI /VENDREDI

/JULIE

Elle respectait les ordres de Discipline-Team : tenait toujours les jambes ouvertes, même pour marcher dans son appartement, dormait alternativement sur le dos et le ventre, entièrement nue, en laissant sa porte d'appartement entr'ouverte. En plus maintenant, son postérieur était remonté terriblement par le gros traversin sous son ventre.

SAMEDI

/JULIE /DISCIPLINE TEAM

Pendant ces quelques jours passés chez elle, elle reprit un peu son calme. Les médicaments du médecin firent leur effet en l'assommant suffisamment.

C'est une sensation d'étouffement qui la réveilla alors qu'elle était profondément endormie. Elle essaya de bouger sa tête mais se trouva coincée sous un linge qui l'empêchait de voir ou entendre quoi que ce soit. Elle se rendit compte que ses bras, montés le long de sa tête, étaient pris aussi sous le linge. Elle ne pouvait donc bouger ni sa tête ni ses bras.

Elle sentit quelque chose frotter son fessier si bien offert à cause des chevilles enchaînées et du coussin qui le remontait. Quand elle comprit qu'il s'agissait d'un phallus, elle se débattit violemment pour y échapper mais impossible!

Le sexe , certainement huilée, se présenta à son anus. Elle tenta de crier sous le drap mais sans effet. Il commença à pousser, écarter les globes potelés. Elle serra les fesses mais il était plus fort et avançait lentement. La douleur fulgurante, cette sorte de piqure avec une épaisse aiguille, envahit tout le rectum. La queue ne revenait pas en arrière pour habituer les chairs, elle avançait tout le temps. Elle eut l'impression que son fondement était sans fin et sans limite de souffrance. Finalement, ça ne bougea plus. Elle respirait vite, comme si elle avait couru un cent mètre. Et puis, le monstre se retira lentement et sortit de l'antre.

C'est la première fois qu'elle se faisait sodomiser. Tout au plus avait-elle eu un doigt dans le cul par le médecin. Jamais elle n'avait connu les affres de la sodomie lorsqu'elle est exécutée brutalement.

L'anneau brulant semblait rester ouvert et en feu. Elle n'osait pas le resserrer de peur d'augmenter le mal. Le pieu repartit s'enfoncer, un peu plus vite cette fois. La douleur fut la même jusqu'à ce qu'il se retire à nouveau complètement. Quelques longues secondes s'écoulèrent avant qu'il n'effectue à nouveau l'entier mouvement. Puis encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus sauvagement. Elle hurla encore au moment où il se vida en spasmes rapides.

La pression sur le linge qui bloquait la tête et les bras disparut. Lorsqu'elle se dégagea le visage, l'agresseur avait disparu. Elle détacha ses chevilles et se pressa de nettoyer l'infamie.

Avec sa porte ouverte toutes les nuits, elle voyait son calvaire sans fin.

DIMANCHE

/JULIE /FRANCOIS /THOMAS /DORON / CHARLES-HENRI

La journée du dimanche fut longue et angoissante, la nuit encore pire.

D'une part, elle craignait que l'agression nocturne se reproduise, d'autre part elle avait une horrible peur du lundi au lycée. Ses vicieux collègues allaient certainement l'attendre. Que lui réservaient-ils?

François, le prof de latin proche de la retraite, s'ennuyait ferme chez lui. Sa « bonne femme » comme il la nommait, avait perdu ses charmes depuis longtemps. Mais lui, tout rondouillard qu'il était, ne manquait pas de pulsions insatisfaites. L'absence de Julie pendant une semaine avait exacerbé ses désirs. "Il faut que je l'encule cette blondasse, ruminait-il, ma bite en a trop besoin. Elle revient lundi d'après le proviseur, je ne vais pas la rater."

Thomas, le prof de d'histoire, n'était pas frustré de relations sexuelles car sa femme de 40 ans y mettait du cœur à l'ouvrage mais il était frustré de relations de domination, de relations d'humiliation. Quand il baisait, il imaginait toujours mettre sa jolie femme à poil devant d'autres ou à quatre pattes en public. Il était fanatique des situations de non-consentement alors que son épouse restait désespérément conventionnelle. Et voila qu'il venait de trouver une prude victime, jolie, très bien gaulée, parfait objet de ses fantasmes. "Un jour ou l'autre, elle fera cours à poil, pensait-il, son gros cul et ses gros nichons présentés à tous les élèves."

DORON, depuis qu'il avait vu Julie la jupe relevée dans les couloirs et depuis qu'il l'avait trouvée à genoux dans les toilettes, venait travailler avec un enthousiasme que ses proches ne comprenaient pas. Le cégétiste trouvait maintenant que la vie au boulot valait le coup alors qu'auparavant il faisait tout pour ne pas bosser. "Elle arrive de bonne heure cette garce. Faut pas que je la rate. Une petite pipe me conviendrait bien."

Restait Charles-Henri, l'élève de terminale S. Il avait découvert, non sans surprise, que les profs pouvaient aussi se faire bizuter. A quelques mois de son entrée en école de commerce, après le bac, il était mort de trouille à la seule idée de subir un bizutage. En même temps, il était tout excité à l'idée de bizuter lui-même les nouveaux arrivants lorsqu'il serait en seconde année. Hélas il lui fallait attendre. Il se demandait s'il ne pouvait pas profiter de l'occasion apportée par son prof d'histoire pour s'entraîner sur la nouvelle prof d'anglais. Bien sûr, il n'en avait aucun droit, lui encore lycéen, mais comme Thomas l'avait en quelque sorte affranchi du statut de la fille, pourquoi ne pas tenter d'en user? "Il faut que je vérifie si elle accepte que je la bizute moi aussi, se disait-il. Comment faire..."

Une chose était sûre : elle était très attendue pour ce lundi de rentrée.

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6 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 9 mois

Je relis cette histoire pour le plaisir... Quelle imagination !

trouchardtrouchardil y a plus d’un an

Une dégradation bien menée, une imagination à toute épreuve. Merci beaucoup.

skan35skan35il y a plus d’un an

Incroyable cette série ! Follement excitante ! J'attends l'épisode 3 avec impatience !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Toujours aussi excitant, hâte de lire la suite

Merci

Assas78Assas78il y a plus d’un an

Trop compliqué à lire.

Arrêtez de changer en permanence de personnage. Ca complique tout et ça n'apporte rien

Je n'ai même pas réussi à terminer la première page

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