Professeures Bizutées - 2/8

BÊTA PUBLIQUE

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De manière extrêmement cruelle, il la prévenait à l'avance pour laisser le stress augmenter au fur et à mesure du temps. Et bien sûr, la journée fut horriblement lente et angoissante. Trois minutes avant l'heure, elle se décida à aller en salle des profs. Elle savait que si elle désobéissait, elle serait punie par François. Sans doute, enverrait-il des photos à un autre professeur.

Elle vira au rouge écarlate lorsqu'elle entra dans la salle. Il y avait cinq personnes attablées : trois profs masculins, dont François et Thomas, et deux profs féminins. Elle croisa les bras sur la poitrine pour cacher son impudeur.

- Julie, aux pieds, persifla François à voix forte.

Tous rirent de son appel, pensant sans doute à une blague de bizutage pour un jeune professeur. Elle suivit le doigt autoritaire et se trouva debout entre ses deux persécuteurs. Aussitôt, deux mains vinrent se fourrer sous sa jupe. François s'adressa aux trois autres qui ne devaient pas être informés de la situation.

- Prenez-en de la graine, les filles, les nouvelles sont beaucoup mieux élevées que vous. Avez-vous vu comment ça obéit? Au doigt et à l'œil? Pas vrai Julie que tu es obéissante?... Ben réponds! Allez!

- Oui... Je suis... obéissante, osa-t-elle... monsieur François.

- Ne lui réponds pas, déclara la prof de SVT, c'est un vieux libidineux. Il ferait mieux de partir en retraite.

Elle replongea dans sa lecture, inconsciente de se qui se passait sous la table. Julie dut décroiser les bras pour maintenir sa jupe contre ses jambes car les deux mains la poussaient vers le haut. En raison de l'étroitesse du vêtement, les mains ne parvenaient pas à monter jusqu'à la ceinture pour attraper la culotte. L'autre prof féminin se rendit compte que quelque chose n'était pas normal en voyant des larmes sur les joues de Julie.

- Eh, arrêtez tous les deux... Qu'est-ce que vous faites? Laissez-la tranquille!

- Foutez-nous la paix, répondit François aux filles. C'est son bizutage. On a décidé de remettre cette tradition à l'ordre du jour. Si ça ne vous plaît pas, cassez-vous. Sinon, vous pouvez la bizuter avec nous. Comme vous voulez.

Julie eut un frisson d'horreur en entendant ces derniers mots. Une main avait agrippé le sous-vêtement et le tirait sans cesse par petits à coups. Elle le sentit descendre rapidement puis dépasser l'arrondi des fesses, puis se trouver sur les cuisses.

- Vous n'êtes que des vieux salauds, lança une professeure. Je préfère partir.

Il ne resta plus que trois hommes pour s'occuper de Julie. Le troisième, se doutant de se qui se passait sous la table, se leva, en fit le tour et vint constater de visu. Les deux lascars ne se gardaient plus de quelque discrétion que ce soit. Leurs doigts s'enfonçaient dans la chatte et dans le cul. Le troisième homme ferma à clé la porte de la salle des profs, revint derrière Julie, remonta la jupe jusqu'aux hanches.

- Il lui reste un trou de libre, les gars. J'peux le prendre?

Ils acquiescèrent évidement et Julie se trouva embouchée sur la queue du type. Elle essaya bien de se défendre mais impossible car ils lui tenaient les mains. Elle sentit un sexe à son entrée intime, se débattit, fut serrée à la taille et défoncée jusqu'au bout. Pendant qu'on s'activait en elle, elle eut par deux fois son visage arrosé de foutre. La délivrance arriva après que son ventre fût empli à son tour.

Repus, ils se rhabillèrent non sans avoir pris quelques photos de la fille, le visage maculé de sperme, la jupe à la taille, la culotte sur les cuisses.

- Ben ma Julie, t'es bonne toi. Ca fait du bien. Remets tes fringues... Tiens voici des serviettes en papier... Ma pauvre, t'as tout pris sur ton joli visage. Avantage, t'as pas dû avaler. C'est mieux non?... T'as intérêt à fermer ta gueule sur ce qui vient de se passer sinon gare à toi. Tu nous connais. On n'hésitera pas à balancer les photos à ta famille et même aux élèves. Bye.

Ils la laissèrent dans la solitude de ses larmes. Elle termina sa journée hagarde.

VENDREDI

/JULIE /THOMAS /CHARLES-HENRI

Elle croisa Thomas alors qu'elle sortait des toilettes. Il était 14h. Il discutait avec un élève, semble-t-il pour le conseiller sur son avenir.

- Oh, mais c'est notre bizute nationale. Quelle bonne surprise. Je suis content de te croiser, ma Julie. Je te présente Charles-Henri, un élève de terminale S qui nous donne beaucoup de satisfaction. Il va entrer en classe prépa l'année prochaine. Ce sera son tour de se faire bizuter!

Elle bafouilla un bonjour, complètement désorientée par cette rencontre qu'elle craignait certes mais n'avait pas prévue à ce moment là.

- Vois-tu Charles, ton prof François et moi avons décidé de restaurer le bizutage des profs. Bonne idée, non? Pour cette année, c'est Julie la nouvelle qui doit passer à la casserole. Alors, Julie, j'attends!

Elle comprit son ordre. Elle sortit les petits ciseaux de son sac à main, attrapa le bouton du haut et le coupa devant le regard médusé de l'élève. Le col du gilet s'élargit aussitôt pour dévoiler deux beaux globes laiteux. Elle était écarlate ; elle baissa la tête.

- Tu vois, Charles-Henri, continua Thomas, le bon bizut est celui qui s'exécute sans qu'on lui demande quoi que ce soit. Retiens cela pour l'année prochaine.

- Merci monsieur, répondit l'élève, j'y penserai. Bonne idée du bizutage pour les profs. Ils le méritent pour tout ce qu'ils vont nous faire baver pendant nos études.

- Encore un détail important, Charles-Henri. Ca te servira plutôt en seconde année lorsque ce sera ton tour de bizuter les nouveaux. Sache qu'un bizut qui désobéit doit toujours être sévèrement puni.

Elle frémit à ce dernier mot, se doutant d'une vilénie nouvelle. Thomas poursuivit.

- Charles-Henri, tu as bien vu que Julie à coupé son bouton de gilet. C'est très bien, elle en avait l'ordre. Seulement, vois-tu, ce mercredi dernier, elle devait aussi couper un bouton et elle ne l'a pas fait! Faute grave! A ton avis Charles-Henri que se passe-t-il en cas de faute?

- Pu... Punition, dit-il

- Bravo, je vois que tu comprends vite.

Elle aussi avait compris. Il ne leur avait pas suffi de la violer, il aurait fallu qu'elle s'exhibe avant.

- Ma chère Julie la bizute... Tu aurais dû couper un bouton mercredi. Comme tu ne l'as pas fait... tu en coupes deux autres tout de suite!

Elle resta immobile de surprise en fixant Charles-Henri dans les yeux. Il n'y comprit pas la détresse.

- Alors la bizute, on se bouge les fesses, invectiva Thomas!

Elle ressortit ses ciseaux. Son gilet comptait cinq boutons dont le premier déjà coupé. Cette fois, elle sectionna le bouton du bas puisqu'elle devait alterner entre haut et bas. Le nombril vit la lumière du jour et les yeux des deux hommes. Avant de couper encore, elle ressentit une crainte décuplée car elle ne savait pas comment le gilet allait s'ouvrir et si les deux attaches restantes tiendraient sans rompre. C'était le début d'après-midi et elle avait encore trois heures de cours.

- Julie, ça commence à bien faire! Tu m'énerves!

Elle n'attendit plus pour sectionner. Le décolleté s'élargit alors jusqu'aux tétons qui semblaient retenir le vêtement. Le dessus des aréoles était nettement montré. Les deux malheureux boutons restants étaient tiraillés au maximum.

Elle termina sa journée de cours de manière épouvantable. Elle passa la majeure partie du temps avec son bras en écharpe pour tenter de cacher les bouts de sein. Elle n'écrivit rien au tableau pour ne pas risquer de faire sauter les attaches. Elle bougea ses jambes le moins possible pour limiter les remontées de la jupe.

SAMEDI

/JULIE /MEDECIN

Elle était épuisée, à bout de nerfs. Elle voulut obtenir un arrêt de travail pour essayer de se reposer, d'échapper à ses agresseurs.

Elle prit rendez-vous avec un médecin choisi au hasard dans l'annuaire car, nouvelle dans la ville, elle ne connaissait personne. Elle se retrouva dans une vielle maison, dans une vielle salle d'attente, sur une vielle chaise et elle fut reçue par un vieux médecin.

C'était sa dernière année d'exercice. Il en avait vu de toutes les couleurs mais rarement comme la superbe blonde qui venait d'ôter son manteau. Elle se présenta comme une jeune professeure, en charge de classes très difficiles, au bord de la crise de nerfs, épuisée. Elle avait besoin de dormir et se calmer. Évidemment, elle ne parla pas de ses déboires avec Discipline-team, avec François, Thomas et les autres.

Le vieux médecin bandait derrière son bureau. Julie, dans sa grande nervosité, n'avait pas pris garde à ses jambes qui, à force de bouger, avaient remonté La jupe sur deux débuts de jarretières noires. Il aurait pu penser qu'elle était une prostituée mais son discours sonnait trop vrai.

- Je vais d'abord vous ausculter, dit-il. Merci de vous lever.

Elle le fit avec plaisir car elle pouvait ainsi laisser sa jupe redescendre. Il commença par la tension pour annoncer un taux élevé. Le médecin, en sa dernière année de pratique, avait décidé de profiter de l'aubaine. Il ne risquait quasiment rien. Le temps qu'un tribunal le condamne, il serait en retraite. Il avait donc gonflé le taux de 2 points.

- Oh, votre tension doit absolument baisser! Rassurez-vous, je connais d'excellents remèdes. Voyons votre cœur.

Il commença par écouter dans le dos. Par devant, il écouta sur la partie dénudée de la poitrine, une fois, deux fois, retourna derrière comme inquiet, replaça son stéthoscope, tiqua -- c'est rapide ça - réécouta devant. D'un geste précis et rapide, il glissa sa main droite dans le gilet pour sortir le sein. Il garda sa main dessous avec son pouce sur le téton. Il remit son stéthoscope en écoute. Elle fut surprise par cette façon de faire mais l'homme semblait tellement occupé à son diagnostique qu'elle ne dit rien.

- J'ai des irrégularités, mademoiselle. Il faut que je vérifie si la veine sous-clavière anale a un débit normal. Enlevez votre jupe, je vous prie.

- Eh... c'est à dire... je ne souhaite pas... Je...

- Allons, allons, je suis médecin tout de même! Vous voulez que je vous soigne ou pas?

- Excusez-moi docteur, je suis sur les nerfs.

- Je le vois bien, répondit-il, calmez-vous, c'est mon métier.

Il était certain qu'en raison du taux de stress de la fille, il pouvait lui faire avaler n'importe quelles couleuvres. Il avait inventé ce nom de veine, mélange de vrai et de faux. Pendant qu'elle enlevait le vêtement avec un sein pendant, il expliqua.

- Je vois en effet que vous êtes très nerveuse.

Le regard par dessus ses lunettes, il admirait la jeune fille en porte-jarretelles sur bas noirs, la culotte bien montée sur un arrondi des fesses impressionnantes. Images d'un autre temps lorsque les bas étaient de rigueur.

Il mit un genou terre et posa son appareil au niveau du ventre. Son nez devant la culotte, il poursuivit son exploration.

- Je ne voudrais pas vous inquiéter, mais votre veine sous-clavière anale n'est pas nette.

Il baissa un peu la culotte pour fourrer son stéthoscope à la naissance des poils blonds.

- Tournez-vous, je vous prie... Pas nette... Je ne l'entends pas... Zut...

Il baissa la culotte jusqu'au milieu des fesses, le stéthoscope se promena aux reins.

- Ce n'est pas courant. Vous avez du subir un gros stress!

- Est-ce grave docteur, demanda-elle naïvement?

- Je vous expliquerai après la visite. Ne me dérangez pas! Il faut que je trouve cette veine bon sang...

Il la retourna, face à lui, toujours avec un genou à terre. Il baissa complètement la culotte sur les jarretelles et posa son stétho à l'aine. Déstabilisée par le visage si près de ses attributs, elle n'osa pas parler tandis qu'il continuait son monologue. Il posa sa main gauche sur une fesse de Julie comme pour faire un contrepoids à son appareil qu'il appuya tout autour de la chatte.

- ah, enfin... Je l'entends... très faiblement... Bon, j'ai craint le pire mais ça peut se traiter.

Elle profita de ce moment pour remettre son sein sous le gilet. Il finit par se relever.

- Je vois bien que vous avez enduré une terrible pression. Cela a déréglé le bon fonctionnement de la veine sous-clavière anale.

- Ce... c'est quoi cette veine docteur, osa-t-elle demander?

- c'est une veine qui courre depuis le cœur ici - il ressortit le sein hors du gilet.

Elle passe entre les deux seins (il sortit aussi le second globe).

Elle descend jusqu'à la vulve (il montra le chemin avec deux doigts sur la peau).

Elle passe en dessous et remonte à l'anus (sa main gauche remonta la raie fessière).

Elle frissonna à la caresse qu'elle croyait pourtant médicale.

Il avait eu raison. Elle était dans une telle attente d'aide qu'elle était prête à tout croire. Il la laissa en plan et alla s'assoir à son bureau, sortit une ordonnance.

- Voici ce que nous allons faire.

Elle commençait à remonter sa culotte

- Enlevez la plutôt, je vais devoir vous soigner!

- Ca... ça me gène docteur!

Il haussa le ton.

- Mademoiselle, c'est la seconde fois que vous me faites un affront! C'est très vexant! Si vous me prenez pour un charlatan, partez. Sinon, cessez de jouer les gamines et faites-moi confiance.

- Pardon monsieur... docteur... continuez. Est-ce grave?

Elle cessa tout geste de pudeur pour laisser la culotte sur les cuisses, les gros seins pendant au dessus du gilet.

- Oui, c'est grave... Je vais vous prescrire des somnifères et vous donner 5 jours d'arrêt, peut-être 10, je verrai après les soins.

10 jours, pensa-t-elle. 10 jours d'échappatoire de l'enfer du lycée. Cela valait le coup de lui faire confiance. Tout en admirant la blonde par dessus les lunettes et en cachant son érection derrière le bureau, il continua.

- Je ne peux pas vous laisser partir dans cet état. La veine sous-clavière anale est bloquée. Vous risquez une embolie. Un caillot de sang qui remonte au cœur et c'est la fin.

Des larmes de peur coulèrent sur une joue. Il ne manquait plus de des tourments de santé à son exécrable situation!

- Je vais vous faire un soin tout de suite. Je dois vous prévenir, ce ne sera pas agréable mais il le faut. Êtes-vous d'accord?

- Oui docteur. En quoi consiste le soin?

Vous le verrai au fur et à mesure. Enlevez donc cette culotte et votre gilet.

Il ne se priva même pas de la regarder et lorsqu'elle fut nue à l'exception des bas, il lui demanda d'aller s'allonger sur la table de soins derrière elle. Elle sentit son regard sur ses fesses. Elle monta le petit tabouret et s'allongea sur le dos. Il sortit quelques objets de son dernier tiroir de bureau et les posa sur sa tablette de travail.

- Commençons maintenant. Il faut que vous respiriez par le nez pour limiter l'intrusion de microbes. vous savez que les poils du nez filtrent l'air?

Elle acquiesça d'un mouvement de tête.

- Pour éviter de respirer par la bouche, prenez ceci.

Il posa sur les lèvres un godemiché de 5cm de large sur 10 cm de long. Elle ouvrit la bouche et il enfonça l'objet de plastic assez mou pour que les dents s'y enfoncent. Elle fut énormément décontenancée d'avoir la mâchoire distendue presque à un degré de douleur.

- Il faut maintenant que je force le sang à circuler dans la partie haute de la veine.

Avec ses deux mains, il se mit à masser le soi-disant chemin de la veine. Il partit du haut des seins, passa entre eux sans les toucher, descendit sur le ventre, arriva de chaque côté de la touffe sans la toucher. Il fit cela plusieurs fois et Julie commença à sentir un certain trouble qui humidifia sa vulve. Heureusement, son bâillon désagréable réduisait le plaisir. Le médecin écouta la veine avec son stéthoscope.

- C'est bien mademoiselle... Je commence à l'entendre. Détendez-vous.

Il prit le pied droit de la fille et le fit pendre sur le côté de la table. Il fit de même avec le pied gauche. Elle s'en trouva grande ouverte. Il massa deux fois encore le chemin en s'attardant sur le haut des cuisses. Il nota bien que les poils devenaient humides.

- Ce sera plus douloureux maintenant, mademoiselle... Il faut que j'active la zone pour que le sang circule plus vite, un peu comme une piqûre d'orties. Laissez-vous faire.

Il attrapa les deux tétons et se mit à les rouler, les pincer, les tirer très haut. Elle gémit de douleur. Après ce difficile traitement, les bouts de sein avaient doublé de longueur.

- Ne soyez pas douillette, il le faut, gronda-t-il. Cette technique est issue de l'acuponcture mais, elle n'utilise pas des aiguilles. Pour les cas urgents tels que le votre, elle utilise des pinces. C'est beaucoup plus efficace mais hélas c'est beaucoup plus douloureux.

Il posa alors une pince sur chacun d'eux. Cette fois, elle se tendit sous l'effet des piqûres car les pinces étaient faites pour tenir de cheveux avec leurs dents pointues mais pas pour serrer de sensibles tétons.

- Je sais que c'est très douloureux, mademoiselle. Je vous assure que les résultats seront probants. Courage.

Son téléphone sonna alors. Il laissa Julie sur le lit et décrocha à son bureau.

- Allô... Monsieur Sion oui... Maintenant?... Non, ce n'est pas possible. Que vous arrive-t-il?

La conversation s'éternisa quelque peu. Elle ne pouvait se sortir de la douleur aux tétons. Elle se sentait seule, abandonnée, écartelée sur cette table surélevée. Elle ferma les yeux et ne vit pas que le médecin libidineux la prenait en photo. Il se félicita d'avoir gardé quelques accessoires dans ses tiroirs. Pour les pinces, elles avaient servi une ou deux patientes pour leurs cheveux ; quant au gode, il avait servi une fois une maitresse consentante. Il revint enfin à coté de Julie. Du doigt, puisqu'elle ne pouvait pas parler, elle demanda d'ôter les pinces.

- Attendez... Je vérifie votre veine et si c'est bon, je les enlève.

Après une nouvelle tournée de stétho, il retira la première ce qui fit revenir le sang et Julie poussa un hurlement étouffé par le godemiché. Idem pour la seconde. Elle versa quelques larmes, frotta les bouts.

- Non, surtout pas mademoiselle! Laissez le sang agir. N'y touchez pas ou je devrai les remettre.

Elle se dit que c'était vraiment une curieuse médecine mais tous ses récents ennuis avaient tellement émoussé son sens critique qu'elle ne vit pas la supercherie.

- C'est bien reprit le médecin de plus en plus certain de pouvoir en profiter un maximum, nous allons maintenant travailler la partie basse de la veine.

Une clochette signala l'arrivée d'un nouveau client dans la salle d'attente.

- Un instant, je vais reporter le rendez-vous. compte-tenu de votre situation, vous êtes prioritaire.

Il sortit de son cabinet en laissant la porte grande ouverte ce qui affola la fille. La douleur se calmait aux seins, s'augmentait aux cuisses trop écartées et à la mâchoire trop distendue. Elle entendit clairement le médecin et son patient : "Revenez dans une heure, j'aurai fini."

Une heure, pensa-t-elle, ça va durer encore une heure! Lorsqu'il revint, il laissa la porte grande ouverte.

- Bon, ou en étions-nous? Ah oui, la partie basse. Mettez-vous à genoux, je vous prie.

Elle le regarda surprise, interrogative.

- Oui, oui, à genoux, pressons, vous n'êtes pas seule au monde!

Elle se résigna devant cette autorité. Il l'aida à remettre les jambes sur la table puis à se tourner sur le ventre.

- Mettez bien vos coudes posés sur la table, vos genoux à la verticale.... C'est bien. Écartez-les... Voilà, parfait.

Il l'abandonna dans cette humiliante position pour aller chercher des instruments dans une armoire. Il en profita pour reprendre quelques photos car elle ne pouvait le voir.

- -Comme je vous l'ai expliqué tout à l'heure, la veine passe ici au niveau de la vulve, ses doigts glissèrent dessus, et revient au niveau de l'anus. Bien sûr, cet endroit constitue un frein physique de nature à créer un embole dangereux. Je dois absolument réduire ce frein. Cambrez bien les reins, Ne bougez pas, mademoiselle.