Professeures Bizutées - 3/8

BÊTA PUBLIQUE

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- Pas mal, reprit Thomas, c'est assez vicieux, tu es un bon élève. Je complète. Ecoute bien Julie. Pas plus de trois boutons à ton gilet et interdiction de le tenir avec tes mains. Tu la surveilleras Charles-Henri... C'est bon ça, la honte que tu vas te payer ma Julie avec tes grosses miches devant tous les élèves la semaine prochaine... Oh putain, j'en bande déjà comme un ours.

Ils la laissèrent à son désarroi. Elle passa sa dernière heure de cours en tenant son gilet fermé avec ses mains.

MARDI

JULIE /AMELIE /THOMAS

Elle croisa Amélie qui se rendait à sa classe. A cette heure matinale, tout était calme, désert. Seul DORON l'homme de ménage devait trainer quelque part pour effectuer son service. Les filles, sans même se concerter, évitèrent de faire claquer leurs talons dans le silence des couloirs. Julie observa qu'Amélie ne tenait plus ses vêtements en passant une main entre les boutons de son manteau. Elles se firent la bise.

- Bonjour Amélie, Ils te laissent tranquille? Tu peux remettre ton pantalon normalement. On dirait que ça va mieux.

- Tu parles, répondit Amélie en fondant en larmes, je... je n'ai pas de pantalon, ni de culotte. Ils m'ont interdit d'en mettre!

- Tu as une jupe quand même?

- Regarde.

Elle ouvrit son manteau et Julie découvrit la nudité complète d'Amélie.

- C'est Thomas. C'est un malade, un fou! J'ai essayé de résister mais du coup, c'est pire encore, je suis châtiée. Excuse-moi, il faut que j'aille dans ma classe. A plus tard.

Ce que Julie ne savait pas, c'est que Thomas avait coincé sa victime la veille au soir au moment où elle sortait du bâtiment principal pour rejoindre le parking des professeurs. Comme chaque jour, elle remettait son pantalon en place juste avant de sortir. C'est à ce moment-là qu'était arrivé Thomas.

- Alors ma petite pute, tu nous quittes déjà? Tu vas retrouver ton mari chéri? Tu vas lui faire une gâterie ce soir? Tu lui as dit que tu mettais ton gros cul à poil pour le montrer à tout le monde?

- Arrête, Thomas, ça suffit maintenant! Je t'ai obéi alors laisse-moi tranquille maintenant. C'est ma seconde année ici, je ne suis pas une bizute. Il faut que tu cesses.

- Pas question, répondit l'homme, tu n'as pas été bizutée l'année dernière alors tu dois subir une double ration. C'est la loi maintenant.

- C'est une loi stupide! C'est surtout du chantage. Je vais déposer une plainte.

- Ne dis pas tant de conneries, ça m'énerve et tu ne fais qu'aggraver ton cas. Tu veux aller voir les flics? Pas de problème. Regarde ce petit bout de film sur ma tablette. Il partira ipso-facto chez tes élèves, ta famille, le web.

Il sortit la tablette de son sac et la pauvre fille se vit entrer dans la salle des profs, faire face au mur, baisser son pantalon, baisser sa culotte, les tenir d'une main tandis que l'autre se posait sur la tête.

- Tu auras du mal à expliquer que ce n'est pas volontaire, il n'y a personne dans la salle. Alors, tu choisis : soit tu te fais bizuter, soit tu vas voir les flics. Je t'écoute.

- Eh... je... j'accepte. Mais s'il te plaît, ne soit pas trop dur, j'ai quand même une année d'avance!

- Ce n'est pas une année d'avance que tu as mais une année de retard, déclara Thomas en éclatant de rire. En plus, tu m'as gonflé avec tes menaces. Ouvre-moi ton manteau.

Tel un exhibitionniste, elle ouvrit les pans du manteau.

- Mais! tu as déjà remonté ton froc. On t'a bien dit qu'au lycée tu devais le garder baissé, je me trompe?

- Oui mais...

- Y-a pas de mais! Baisse ton froc tout de suite. Et comme punition, demain, tu n'en porte pas, pas de culotte non plus!

- S'il te plaît Thomas, pas ça.

- Tu oses encore râler! Dans ces conditions, à partir de demain, je te veux complètement à poil sous ton manteau. Tu m'as bien compris, rien d'autre que ton manteau et tes souliers. Que ça te serve de leçon : les bizutes n'ont pas le droit de se plaindre.

Amélie fondit en larmes.

- Oh, c'est bon de savoir que tes mamelles et ton énorme cul vont se balader à l'air à partir de demain. Tu as de la chance que je te laisse ton manteau! Si je te croise, tu me fais voir ta chatte poilue. A demain, Amélie la grosse salope. Et surtout n'oublie pas : dès que tu es dans l'enceinte du lycée, tu es à poil.

MERCREDI

/JULIE /FRANCOIS /XAVIER

Le matin, dans son casier, Julie trouva une convocation émanant de François. Elle devait se présenter en salle des profs à 13h30 pour son troisième cérémonial de bizutage.

A l'heure exacte, Le cœur battant, elle ouvrit la porte. Ils étaient deux professeurs. François, le vieux prof de latin et Xavier, un nouveau, un vacataire en maths d'une trentaine d'années. Ce dernier lança un aimable "bonjour", témoignant ainsi de sa méconnaissance de la situation de Julie.

Elle s'approcha d'abord de François, se mit à genoux et prononça difficilement sa phrase de bizute :

- Moi la bizute Julie, je me mets à vos ordres monsieur François, mon maître vénéré.

Devant l'étonnement du vacataire, elle se releva, vint auprès de lui, se mit à genoux et à nouveau prononça la maudite phrase :

- Moi la bizute Julie, je me mets à vos ordres monsieur Xavier, mon maître vénéré.

- Qu'est ce que c'est que cette histoire, demanda-t-il?

- Et bien, vois-tu cher Xavier, dans notre lycée, nous avons coutume de bizuter les jeunes professeurs. Julie que voici passe à la casserole et aussi Amélie, une autre nouvelle que nous devons intégrer... Julie! Passe sous la table pour t'occuper de ma bite pendant que j'explique les règles à notre collègue.

Elle alla à quatre pattes sous la table offrant ainsi aux hommes bas, jarretelles et culotte, complètement découverts par la mini-jupe droite. Elle déboutonna le pantalon de François et sortit une queue déjà en érection. Elle ressentit un dégout terrible mais n'osa pas se refuser. Elle emboucha la queue.

- Xavier, reprit François, les règles sont simples. Les bizutes doivent obéissance aux anciens dont tu fais partie. Elles doivent aussi savoir se présenter comme tu as vu Julie le faire. Toute faute doit être punie, évidemment.

La bite grossissait au fur et à mesure du discours de l'homme. A l'évidence, il s'excitait à parler. Elle accentua son mouvement pour essayer de terminer plus rapidement. Elle empoigna les testicules qui pendaient au bord de la chaise.

- Obéir d'accord, demanda Xavier, mais obéir à quoi? Quelles sont les limites?

- Xavier, tu es naïf. On voit que tu n'as pas fait une grande école. Ce qui importe, c'est que la bizute soit intégrée au sein des anciens et cela ne peut se faire qu'avec de multiples épreuves qui développeront son appartenance au groupe social. Tout est autorisé dès lors que ça force les limites de la bizute.

- Mais... C'est très difficile pour les bizutes?

- Evidemment et c'est bien l'objectif. Un bizutage n'est pas et ne doit pas être une sinécure. Par exemple, celle-ci qui me suce, n'aime pas ça du tout mais tu verras, après avoir bu quelques litres de foutre, elle en redemandera.

Ce disant, des soubresauts dans la queue se firent sentir et un premier jet remplit la bouche de Julie, puis un second, et enfin tout vint s'épancher au fond de la gorge. Elle avala et n'osa pas se retirer de suite. La queue, doucement, perdait de sa rigidité entre les lèvres.

- Putain que c'est bon, déclara François... Xavier, je t'en ai dit suffisamment. A partir d'aujourd'hui, c'est à toi de nous montrer que tu es un ancien à la hauteur de notre établissement. Sa réputation tient en partie à tes compétences.

Il la repoussa, se retira de la table en la laissant en place à quatre pattes.

- A bientôt Xavier, je te la laisse.

Il quitta la salle des profs.

- Viens ici Julie, ordonna Xavier. Relève-toi. Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi car les cours reprennent. Viens ici demain à la même heure.

JEUDI

/JULIE /XAVIER

Le lendemain, elle se présenta au rendez-vous. Le garçon était seul. Elle se mit à genoux et bredouilla la phrase rituelle.

- Dis-moi, Julie, est-ce que tu es contente d'être ici?

- Non, Xavier, je n'aime pas.

- Non qui?

- Pardon... Non Xavier mon maître vénéré.

- C'est mieux, répondit-il en prenant de l'assurance.

- Pourquoi est-ce que tu te promènes avec les seins quasiment à l'air? Ca te plait de t'exhiber?

- Pas du tout, je dois le faire, j'en ai reçu l'ordre, Xavier mon maître vénéré.

- Pareil pour tes jupes et tes bas? T'es obligée?

- Oui, Xavier mon maître vénéré.

- Alors tu n'aimes pas faire de l'exhibition?

- Je n'aime pas du tout, Xavier mon maître vénéré.

- Et sucer, tu aimes?

- C'est pareil, je n'aime pas, Xavier mon maître vénéré.

Il resta silencieux un bon moment en admirant Julie qui gardait la tête basse et les bras le long du corps. "Elle est déjà bien dressée, pensait-il. Elle n'aime pas se montrer. Intéressant ça!" Il passa une main sous la jupe. Elle ne bougea pas. Il poursuivit jusqu'à l'entre-jambes.

- Je vois que tu as une culotte. Tu l'enlèves, tu me la donnes et tu finis ta journée comme ça. Nous nous verrons demain à 10h car je dois assister à ton cours. Le proviseur m'a demandé de vérifier tes compétences pédagogiques.

Devant lui, rouge de honte, elle dut remonter sa jupe pour tirer la culotte qu'elle lui tendit. Il partit, la laissant à sa nudité génitale qu'elle dut assumer jusqu'au soir avec, en prime, la crainte du lendemain.

VENDREDI

/JULIE /XAVIER

Xavier passa tôt à la salle des profs car il voulait arriver avant Julie. Il déposa un petit mot dans le casier de la fille.

Lorsqu'elle arriva, deux profs se préparaient à leurs cours. Elle les rencontrait de temps à autres mais ceux-là ne participaient pas à son bizutage. Elle prit ses instructions et découvrit les directives de Xavier.

* Julie, tu déposes immédiatement ta culotte dans mon casier.

* Immédiatement, c'est tout de suite et maintenant.

* tu n'en porteras pas aujourd'hui.

"En voila encore un qui aime l'humiliation, pensa-t-elle. Il n'est pas mieux que les autres ordures." Elle tourna le dos aux deux hommes, passa une main sous sa jupe en essayant de ne pas la remonter et tira la culotte vers le bas. Pas si simple car elle était coincée dans la ceinture de la jupe. Finalement, elle parvint à la descendre sur les chevilles, l'ôter et la déposer dans le casier du donneur d'ordre sous les regards ébahis des deux types.

- Mais qu'est-ce que tu fous Julie, s'exclama l'un d'eux? Tu enlèves ta culotte? Tu as cours maintenant?

- Eh... Oui, j'ai cours. Je... je dois le faire.

- Déjà t'es à moitié à poil avec ton pull et ta mini-jupe, en plus tu portes des bas avec un porte-jarretelles et tu enlèves aussi ta culotte! T'es une vraie salope toi. C'est honteux devant les élèves. Pourquoi tu fais ça? t'aime t'exhiber?

- Non, je suis obligée de le faire, excusez-moi.

- Comment ça obligée?

C'est-à-dire, je... je suis bizutée.

- Quoi? Bizutée? T'es une prof bizute?

- Oui c'est ça. C'est François et Thomas qui ont décidé cela. C'est horrible pour moi.

- Ouais, on s'en doute. Horrible. Mais c'est le prix à payer pour faire partie de l'excellence. Ben ma pauvre, bon amusement devant tes élèves. Ils vont être comme nous, ils vont grave bander!

Les élèves étaient déjà installés lorsque Xavier arriva en salle de cours. Elle n'eut pas le temps de le présenter car il prit aussitôt la parole.

- Bonjour à tous, je viens contrôler votre professeure d'Anglais. Comme vous le savez, elle est nouvelle. Monsieur le proviseur m'a demandé de l'évaluer. Allez-y Julie, faites votre cours comme d'habitude. Il eut même l'humour pince-sans-rire d'ajouter à l'attention du prof d'anglais : as usual.

Déstabilisée par les propos de Xavier et par le vouvoiement, elle commença son cours difficilement, en restant debout environ quinze minutes. Puis elle continua assise avec toujours d'infinies précautions pour ne pas laisser la jupe remonter, les genoux de biais, la main cachant son entre-jambe toujours ouverts de 6 à 7 centimètres. Xavier, qui avait l'œil averti des vicieux, s'aperçut de ce comportement. Il demanda :

- Alors les enfants, vous êtes satisfait de cette première partie du cours?

Surpris qu'on demande leurs avis, ils ne surent répondre. Après quinze minutes, elle poursuivit debout. Quand elle attaqua le dernier quart d'heure, assise cette fois pour respecter des ordres d'alternance de positions édictées par Discipline-Team, Xavier intervint à nouveau.

- Julie, le contenu de votre cours est intéressant, mais tenez vous droite bon sang! On dirait une grosse vache sur votre bureau.

La classe éclata de rire. "Une vache avec des grosses mamelles, entendit-elle." Rouge de honte, elle redressa la poitrine pour la tendre plus encore sous le minuscule gilet. Après quelques minutes, il intervint encore :

- Julie, pourquoi donc êtes-vous tordue sur votre siège? Asseyez-vous correctement, vous donnez un très mauvais exemple aux élèves! Je vais faire un rapport au proviseur.

Il voulait l'humilier devant les élèves. Mimant une grande colère, en quelques pas, il fut sur l'estrade derrière la chaise de la fille. Il attrapa un sein dans une pleine main tandis que l'autre frappait les cuisses de Julie pour qu'elle place ses genoux bien droits devant le public.

- Que vous ai-je dit tout à l'heure, Vous êtes sourde, lança-t-il tapageusement, vous avez ce que ça veut dire droite?

Elle fut obligée de porter les jambes toujours ouvertes bien en face des gamins des premiers rangs. Vicieusement, Xavier avait glissé un pouce dans le gilet et, en se retirant, il arracha deux boutons. Les tétons jaillirent de leur protection, les globes s'étalèrent au dessus des boutons restants qui finalement ne faisaient que projeter plus encore la magnifique poitrine en avant.

Elle réagit aussitôt en resserrant le gilet mais il était trop tard, les élèvent avaient tout vu. En plus, dans l'affolement, elle n'avait pas prit garde à sa jupe trop remontée et ses jambes trop écartées. Un élève se tenait la main entre les jambes en éjaculant dans son pantalon.

Xavier, heureux de son forfait et dans une monstrueuse érection, la laissa finir seule son cours.

- Ca ira pour aujourd'hui, les enfants, dit-elle les larmes aux yeux, vous pouvez partir.

La journée fut horrible car elle dut en permanence tenir les pans de son gilet. Plusieurs élèves passaient maintenant leurs récréations dans la cours, à côté de la fenêtre de sa salle. Elle n'avait donc plus de répit.

DIMANCHE

/JULIE

Alors qu'elle venait d'ôter ses bracelets de cheville, le bib caractéristique annonçant un SMS l'inquiéta à cette heure matinale. Elle en vit l'origine : Discipline-Team.

* Julie,

* Que s'est-il passé ce week-end? Pourquoi as-tu encore désobéi?

* Tu aurais dû dormir avec les jambes écartées et ton cul remonté par des coussins.

* Même chez ta sœur.

* Tu nous as privés de tes trous de blondasse poilue. Nous sommes furieux.

* Tu seras punie.

* Signé : Discipline-Team

Elle allait devenir folle. Comment donc savaient-ils cela? Sa sœur ne pouvait pas l'avoir trahie. Avaient-ils posé des caméras chez elle aussi? Pourquoi n'avaient-ils pas indiqué la punition comme les autres fois? Comment sera-t-elle châtiée?

MARS

MARDI

/AMELIE /FRANCOIX /THOMAS / DORON /XAVIER

Amélie avait été convoquée dans la salle des archives du lycée. Elle se tenait debout devant François, Thomas, DORION et Xavier. Il était 18h. Normalement elle aurait dû être partie retrouver son mari, mais elle n'avait pas eu le choix.

Ils lui avaient ordonné d'enlever son manteau, aussi était-elle intégralement nue devant les quatre hommes, nue et en larmes.

- Amélie, commença François, tu es ici pour passer ton premier examen d'introduction au sein des professeurs de notre lycée. Thomas a exigé que tu sois toujours à poil sous ton manteau parce que tu as osé discuter un ordre. Est-ce exact bizute?

- Oui... oui François... mon... maître vénéré.

- C'est une faute grave, donc tu continueras ton travail dans cette tenue. De surcroit, tu es désormais obligée d'ouvrir ton manteau à chaque fois que tu croises un ancien. Est-ce bien clair bizute?

Elle acquiesça faute de pouvoir faire autrement. Elle savait bien que si elle refusait, films et photos iraient directement chez son mari, sa famille, ses élèves. D'ailleurs, Xavier avait posé une caméra sur la table en face d'elle, elle en voyait le témoin rouge de fonctionnement.

- Ce soir, nous avons le devoir, je dis bien le devoir, de te préparer à recevoir tes anciens par tous les trous. Et oui bizute, ta bouche, ta chatte et ton cul doivent être assez ouverts pour les organes des anciens. Sadiquement, François annonçait les faits. Elle en tremblait.

- Monsieur DORION, apportez donc l'échafaud.

Il s'agissait d'un tabouret à quatre pieds, de 80 centimètres de hauteur.

- Bizute, colle ton ventre sur le tabouret... Bien. Attrape les pieds avec tes mains. Voila.... Messieurs, qui commence?

- Je veux bien, proposa Thomas. J'aime bien les gros nichons qui pendent comme ça.

Il s'approcha de la poitrine d'Amélie et agrippa les tétons ballants. Il se mit à les tirer de droite et gauche jusqu'à ce qu'elle cri de douleur. Puis il poussa sa queue dans la bouche en déclamant tel un orateur :

- Que la bizute souffre en silence, que ses nichons servent la juste cause du lycée, qu'elle boive le foutre de ses vénérés maîtres!

N'y tenant plus, DORION vint se placer derrière la victime et posa son sexe sur l'étroit passage. Elle comprit ce qui allait arriver, bougea des fesses pour échapper à l'intromission, en vain. Une percée brutale lui défonça l'anus. Et aussi bien devant que derrière, ils s'activèrent sans pitié. La douleur anale s'estompa quelque peu. DORION se lâcha le premier. Aussitôt François pris sa place dans la chatte. Heureusement pas derrière car il était très bien monté. Puis ensuite Xavier au même endroit.

Quinze minutes après s'être placée sur le tabouret, elle avait été violée par tous les trous.

- Bizute Amélie, tu as subi ton premier examen avec brio. Reste dans cette position tant que Julie n'est pas venue te chercher. Ne bouge pas d'un poil.

Ils la laissèrent en l'état sur le tabouret. Quand Julie arriva, envoyée par les lascars, elle découvrit le foutre coulant de l'anus et du sexe d'Amélie. Elle essaya de consoler son amie de misère, mais il n'y avait rien à faire, elle était inconsolable.

MERCREDI

/JULIE /DISCIPLINE-TEAM

Ils arrivèrent à 3h30 précises. Ils étaient vêtus de survêtements noirs sous des manteaux noirs. En ce mois d'hiver, les nuits étaient froides. Dans le hall de l'immeuble, ils se déchaussèrent et prirent l'escalier silencieusement jusqu'au 4ième étage. Le plus grand passa en premier dans le petit couloir qui desservait trois appartements. La porte de Julie était bien entrebâillée. Il mit un genou au sol, poussa une tige semi-rigide à l'intérieur sans ouvrir la porte et plaça une oreillette à son oreille gauche. Il dirigea son appareil jusqu'au bord de la chambre. Il écouta. Il donna l'oreillette à son compère qui écouta. D'un pouce levé, ils conclurent que la fille dormait profondément. Ils baissèrent leur cagoule sur le visage pour ne laisser visibles que leurs yeux. Lentement, ils poussèrent la porte et entrèrent.

Le spectacle était hallucinant. Julie avait les jambes très écartées et le cul considérablement rehaussé par les coussins. Ils ne purent calmer une forte érection. L'anus était desserré, les poils blonds pas rasés cachaient à peine des lèvres assez charnues. Elle avait le côté droit du visage posé sur un oreiller.

Ils se placèrent de chaque côté du lit. Chacun ramena doucement un poignet vers le haut, l'enserra d'un bracelet noir et le fixa aux montants du lit. Elle se trouvait en croix. Ils avaient été très doux et elle ne se réveilla pas. Cela s'expliquait aussi par l'état d'épuisement dans lequel elle vivait. L'un d'eux sortit un bâillon-boule de sa poche tandis que l'autre, lentement avec un doigt, ouvrait la bouche de Julie. Il s'amusa de voir les jolies lèvres s' écarter. Elle devait rêver qu'elle suçait une glace ou une queue, pensa-t-il. Il donna le top à son partenaire. En quelques mouvements rapides et coordonnés, le bâillon prit la place du doigt. Elle se réveilla enfin et écarquilla les yeux devant deux hommes cagoulés de noir. Elle tira jambes et bras pour se détacher mais en vain, elle tenta de crier mais en vain encore.