Professeures Bizutées - 3/8

BÊTA PUBLIQUE

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- Calme-toi Julie, nous n'en voulons pas à ta vertu. Nous sommes missionnés par Discipline-Team car Il parait que tu leur as désobéi. Nous sommes ici pour te punir.

La peur lui donna des sueurs froides qui coulèrent sur son visage. Un homme disparut de son champ de vision pour se placer de l'autre côté du lit. Sa main vint caresser les fesses nues de Julie.

- Discipline-Team nous as dit que, chez ta sœur, tu aurais du dormir avec les jambes écartées et ton cul à l'air, comme ici... C'est vrai que c'est charmant. Hélas, tu ne l'as pas fait. Tu vas donc subir le châtiment de la cravache, ma pauvre! As-tu déjà reçu des coups de cravache?

Elle le vit prendre en mains deux cravaches noires, dont une qu'il donna à son collègue. Elle bougea la tête négativement, essaya encore de se détacher pendant que son vis-à-vis, maintenant debout, levait un bras menaçant.

Il l'abattit rudement. La douleur fut fulgurante, telle qu'elle n'en avait jamais connues. Pendant un instant, elle se demanda comment certains pouvaient aimer se faire flageller. Un second coup qu'elle ne vit pas arriver, irradia à nouveau son postérieur. Ils voulaient prendre leur temps, laisser l'effet douloureux durer avant d'en créer un nouveau. Elle vit arriver le Troisième coup donné par celui qui lui faisait face, mais pas le quatrième donné de l'autre côté. Elle pleurait abondamment, se débattait. Rien n'y fit. Vingt zébrures vinrent marquer les fesses.

- C'est fini pour aujourd'hui, déclara un homme. Discipline-Team sera satisfait.

Ils ôtèrent les bracelets. Ils disparurent dans la nuit du couloir et de la rue, la laissant à ses terribles douleurs.

JEUDI

/AMELIE /THOMAS / DEUX ELEVES /JULIE

Amélie, désormais toujours complètement nue sous son manteau, depuis son entrée au lycée, jusqu'à sa sortie, vivait des heures atroces.

Le viol qu'elle avait subi deux jours auparavant restait profondément insupportable. En plus, elle devait donner ses cours en restant couverte de son lourd et long pardessus, au grand étonnement des élèves. Elle n'avait rien raconté à son mari. Comment raconter de telles infamies à un mari jaloux, conventionnel. Le matin, elle se dévêtait dans sa voiture avant d'entrer dans l'enceinte du bahut ; le soir, elle se rhabillait dans sa voiture. Elle avait toujours peur d'y être surprise.

Ce qui devait arriver, arriva ce jeudi là.

En allant en salle des professeurs, elle croisa Thomas. Il était accompagné de deux élèves de terminale, deux garçons.

- Tiens donc, s'exclama Thomas, voici Amélie! Messieurs, connaissez-vous Amélie? L'avez-vous eu comme professeure? Non! Dommage pour vous, elle enseigne avec compétence. Elle est chez nous depuis deux ans. Comment vas-tu Amélie?

- Je... je vais bien, Thomas. Je dois partir, j'ai cours.

Elle ne pouvait décemment pas obéir à Thomas qui avait exigé qu'elle montre sa chatte si elle le croisait. Elle ne pouvait pas faire cela devant deux élèves. Tout le lycée aurait alors su qu'elle faisait ses cours complètement nue sous son manteau.

- Pas si vite, insista Thomas, laisse-moi au moins te présenter à mes élèves. Voyez-vous, messieurs, Amélie est notre seconde bizute du lycée. Est-ce vrai Amélie?

- Eh... oui c'est exact. Mais excusez-moi, je...

- Non Amélie, ce n'est pas comme ça! Que dois-tu dire exactement? J'attends.

- Je... je suis la... la bizute à vos... ordres, articula difficilement Amélie.

Elle ne prit pas le temps de constater la stupéfaction des deux élèves, elle ne laissa pas le temps à Thomas de répondre, elle se sauva immédiatement dans le couloir.

"Tu ne perds rien pour attendre" pensa Thomas, furieux de n'avoir pu exercer son chantage sur la fille. Il aurait tant aimé l'humilier devant deux adolescents.

Julie passa une journée difficile. Elle était épuisée car, après la flagellation subie, elle n'avait plus dormi de la nuit. La douleur s'était peu à peu estompée mais le matin elle avait encore mal. Les hommes avaient frappé comme des sauvages. Elle en portait les marques sur sa peau fragile rayée de traits bleus et rouges.

Elle n'eut pas d'autres ennuis ce jour là. Elle ne croisa personne qui eût pu la contraindre. Elle assura ses cours au mieux mais toujours dans ses tenues tellement osées.

En fin de journée, Thomas qui n'avait pas décoléré de ce qu'il considérait comme un grave affront, avait eu le temps de peaufiner sa vengeance. Il envoya un SMS à Amélie.

* Bizute Amélie, tu n'as pas montré ta chatte poilue dans le couloir!

* Tu n'es qu'une salope de bizute.

* Comme gage, je veux que ce soir, tu rentres chez toi, à poil sous ton manteau.

* Interdiction de t'habiller dans ta voiture pour faire la route.

* En plus, chez toi, tu te montreras comme ça à ton mari.

* Tu verras, ça le fera bander ce vieux vicieux.

Amélie lut le message alors qu'elle était déjà en train de se vêtir discrètement dans sa petite voiture. Elle se mordit les lèvres pour retenir des cris de rage. "Je ne vais certainement pas obéir à ce malade, pensa-t-elle. De toute façon, il n'en saura rien. Abruti! " Elle termina de se couvrir et mit le contact.

Au moment de quitter le parking, elle fut alertée par un nouveau SMS qu'elle ne le consulta pas. Au premier feu rouge, un second SMS s'annonça. Puis encore un troisième quelques minutes plus tard.

Arrivée devant sa maison, elle se décida à prendre connaissance des messages. Ils pouvaient provenir de son mari, bien qu'elle en doutait, mais elle ne pouvait pas les laisser sur son téléphone pour le cas où son mari les consulterait.

1er message :

Salope de bizute! Je t'ai vue de rhabiller!

Gare-toi tout de suite et fous-toi à poil.

2ième message :

Allume tout de suite la caméra de ton smartphone.

Appelle-moi pour me montrer si tu es à poil sous ton manteau.

3ième message :

Si tu n'obéis pas immédiatement, je balance des photos et des vidéos au lycée.

T'as 5 minutes pour te foutre à poil, allumer ta caméra et m'appeler.

Elle imaginait déjà la situation si des élèves recevaient les vidéos. Elle deviendrait la risée du lycée, probablement le souffre-douleur aussi. Le rectorat serait forcément informé. Pour les parents d'élèves, elle serait vouée à sa perte en tant qu'enseignante. Sans compter les problèmes financiers dus à la perte de son emploi. Elle n'avait pas le choix, elle devait obéir.

Son mari, sans doute revenu de son travail, ne semblait pas l'attendre derrière les rideaux du séjour. "Il doit être devant sa télé" pensa-t-elle. Après un coup d'œil aux alentours, elle retira son manteau pour pouvoir ôter les autres vêtements puis elle remit le manteau. Personne dans le quartier. Personne à ses fenêtres. Elle essaya de se calmer avant d'appeler Thomas.

- Allo? Thomas? C'est... c'est moi... Amélie.

- Ce n'est pas trop tôt. Alors bizute, t'es à poil? Tourne la caméra du téléphone vers toi que je contrôle... Bien... Ouvre ton manteau... Ouais... T'as vraiment des gros nichons, ma salope. C'est comment chez toi, fais voir avec la caméra. Tourne-la lentement autour de toi.

Elle lui montra un joli quartier de maisons individuelles, plutôt bourgeoises, aux jardins bien entretenus, en retrait de la route d'une dizaine de mètres.

- C'est laquelle ta maison, bizute?... Ouais, jolie. T'as pas de garage?

- C'est mon mari qui y met sa voiture, la mienne, je la laisse dehors, répondit-elle.

- Pourquoi t'as pas montré ta foufoune tout à l'heure? Tu sais que c'est grave?

- Mais, je... je ne pouvais pas, Thomas. Il y avait des élèves. Pas devant eux. Devant toi tout seul, je le ferai, mais pas...

- En plus, tu t'es rhabillée avant de partir alors que je t'avais ordonné de rester à poil! Ca aussi c'est grave! Ca fait deux fautes bizute. Tu mérites une correction.

Il avait haussé le ton.

- Dirige ton téléphone vers ta maison. Pose-le sur un dossier de siège pour qu'il tienne tous seul... Ouais, ç'est ça. Enlève ton manteau. Tu rentres comme ça chez toi avec seulement tes souliers. Je veux voir ton gros cul trembler dans ton allée.

- Pitié, implora Amélie, pas ça! Les voisins! Je ne peux pas... Mon mari va devenir fou! Thomas non! Demain au lycée, je me montrerai comme tu veux, promis. S'il te plaît pas ça!

- Rien à secouer, bizute! Fallait obéir en temps et en heure. Sors de ta caisse à poil et démerde-toi avec ton cocu de mari. Ce n'est pas mon problème. Dépêche-toi, j'ai envie de bander. Sinon, tes vidéos dans tout le lycée. Choisis!

- Ordure, eut-elle le courage de dire.

Elle jeta un œil autour et comme personne ne semblait présent, ouvrit sa portière et fila vers la maison. Perdue de honte, elle eut des difficultés à trouver le trou de la serrure. La clé n'entrait pas. Un œil aux alentours. Enfin, la porte s'ouvrit sur son mari complètement ébahi de voir sa femme nue en entrant chez elle.

Thomas termina sa masturbation en jets puissants.

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Anonymous
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4 Commentaires
chdecrivainchdecrivainil y a plus d’un anAuteur

Merci à ceux qui ont pris le temps de laisser un commentaire. C'est encourageant, d'autant plus que j'ai hésité plusieurs années avant de publier cette histoire fantasmatique. Je vais donc livrer les épisodes suivants. Quant aux suggestions, elles pourraient servir la prochaine rentrée scolaire...

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

génial!

il faudrait que toutes les professeurs soient bizutées quelque soit leurs ages.

le proviseur devrait être muté et remplacé par une nouvelle proviseur, bizutée elle aussi. Cela éviterait des plaintes en interne au lycée.

la déléguée des parents d'élèves, personne influente genre c'est la commissaire de police, peut aussi être bizutée pour éviter des plaintes en extérieur du lycée.

a la limite, chaque classe élit la plus belle étudiante, et qui sera aussi bizutée.

du coup toutes les notes des élèves s'améliorent, puisqu'ils n'ont plus besoin de perdre du temps à draguer, ce qui emporte l'adhésion des parents d'élèves et donc la pérennité du système.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Excellent, au top bravo

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Difficilement égalable !

Cours pieds nus sous peu ?

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