Professeures Bizutées - 4/8

BÊTA PUBLIQUE

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- Ne viens pas jouer les mères-la-morale, répondit François, agressif dès qu'il se sentait attaqué. Tu ne connais pas les bienfaits du bizutage. Et puis occupe-toi de tes fesses et de tes morpions. Fous-nous la paix!

- Bande de cons, déclara-t-elle en quittant la salle suivie de prêt par le proviseur. Si vous ne cessez pas, je m'occuperai de vous, faites moi confiance!

Les hommes n'étaient pas prêts à lâcher deux bouts de gras aussi jolis que Julie et Amélie.

- C'est une chieuse celle-là, dit Xavier. Il faut se méfier car elle pourrait bien nous dénoncer. Il faudrait la calmer.

DORON, discret jusque là, intervint alors.

- C'est facile de la calmer, je connais un moyen infaillible.

- Vraiment? Mais, dites-nous comment, monsieur DORON, nous sommes impatients.

- D'accord mais je veux une contrepartie... Vous m'autorisez à bizuter moi aussi les filles. Je veux profiter comme vous même si je ne suis pas professeur.

Ils éclatèrent de rire.

- Monsieur DORON, c'est évident que vous pouvez en user et abuser comme bon vous semble, au même titre que nous. Ne vous inquiétez pas. On aurait même dû vous le proposer avant. Excusez-nous.

- Alors, ce moyen, demanda Xavier?

DORON exposa.

- Vous ne savez peut-être pas que Madame RAMPLANT a deux enfants, des jumeaux, un garçon et une fille. Ils viennent d'avoir 19 ans. Ils sont dans la même école privée. Mon fils les connait bien car il fait de la musique avec eux au conservatoire. Tout serait parfait si les gamins d'Elisabeth ne consommaient pas du shit et pire, s'ils n'en vendaient pas! Oui messieurs, ces morpions, comme vous dites, trafiquent allègrement autour de l'école privée. Comme quoi la bonne éducation ne tient pas à la fortune!

- Putain, s'exclama Xavier, c'est un tuyau d'enfer. De quoi tenir la mère-la-morale muette.

- Bien plus que ça, continua François, de quoi la soumettre à nos plaisirs. Croyez-moi, elle va comprendre les bénéfices du bizutage!

Ils éclatèrent de rire et mirent leur plan au point.

LUNDI (3ième semaine) /MARS

MARDI

AMELIE /FERDINANT

Amélie arriva au cours légèrement en retard, les élèves étaient déjà installés. Pour une fois, ils étaient très calmes. Elle était un peu rassurée car cette classe l'avait déjà vue dans sa tenue trop courte, ce n'était plus un choc ; mais elle était quand même inquiète parce qu'elle retrouvait Ferdinand. Elle n'avait évidemment pas oublié l'engagement qu'elle avait pris auprès du garçon : "Vous me montrerez votre cul ou votre sexe quand je vous le demanderai, dès que je vous le demanderai ; sa réponse : C'est d'accord, quand tu me le demanderas."

Ledit Ferdinand était installé au fond de la classe, seul à une table de deux. Ce n'était pas rare qu'il fasse bande à part. Bon élève, au dessus du lot, il était facilement mis à l'écart ou s'y mettait lui-même. Instigateur du pari, il avait récolté près de 250 euros auprès des cinq classes dans lesquelles officiait Amélie.

il avait prévenu les élèves de sa classe :

- Elle va montrer son cul aujourd'hui. Vous verrez, elle n'a pas de culotte, elle est complètement à poil sous son manteau.

Il fut largement raillé. "Crâneur... Toujours des promesses... Comment on saura que c'est toi..."

- Vous verrez, elle fera quelque chose qui prouvera que c'est moi qui suit la cause de son exhibition. Si j'ai raison, c'est moi qui prend le pognon. On est tous d'accord?

Amélie invita sa classe à bosser sur un thème par groupe de deux. Quant à Ferdinand, seul à sa table, elle lui proposa de rester solitaire compte-tenu de son niveau élevé dans la matière. Les élèves pouvaient discuter entre eux pour avancer plus vite dans les réponses, partager les idées, s'enrichir mutuellement.

A l'époque où elle était vêtue correctement, elle passait entre les tables pour aider les étudiants. Mais maintenant, avec son manteau trop court, elle restait à son bureau.

Alors que les discussions très studieuses allaient bon train, elle vit Ferdinand lui faire signe d'approcher de sa table. A la première demande, elle ne bougea pas, par gêne et par peur. Il insista et après trois appels discrets, elle se décida à le rejoindre en passant par un côté. Elle lui demanda doucement :

- Que se passe-t-il Ferdinand, tu as besoin d'aide?

- Oui madame, j'ai besoin d'une carte de l'Europe pour mieux traiter le sujet.

- Tu n'as pas pris ton livre? Attends, je vais te prêter le mien.

- Non, non, gardez le vôtre, vous en aurez sûrement besoin. Donnez-moi plutôt la carte qui est au mur derrière votre bureau. Amélie s'affola dès qu'elle vit la grande carte fixée sur le mur à côté du tableau.

- Quelle... que... comment... celle-là... mais je ne saurai pas!

- Mais si madame, elle est simplement fixée sur un petit crochet au milieu.

Elle parla plus doucement.

- Je t'en prie, Ferdinand, ne me demande pas ça ici. Tu comprends, avec ma tenue, je ne peux pas. Mon manteau est beaucoup trop court. Si je monte sur la chaise, tes copains vont tout voir. C'est à toi que... que je montrerai, pas aux autres.

- Je me moque de votre manteau et des autres, répondit Ferdinand visiblement irrité. Vous n'aviez qu'à vous habiller plus long. Vous avez accepté de me montrer votre cul dès que je le demanderai. Je le demande maintenant, tout de suite, ici!

- Ne vous comportez pas comme un gamin capricieux! On verra cela à la fin de la classe.

- Comme vous voulez, vous l'aurez cherché, menaça Ferdinand très vexé qu'elle refuse et encore plus vexé de perdre la face devant la classe.

Il sortit son téléphone portable, lui montra une photo prise sur le tabouret dans la réserve puis une liste de noms dont certains du lycée. Elle comprit.

- Attendez Ferdinand... je... je vais le faire... N'envoyez pas la photo, s'il vous plaît.

- Dépêchez-vous madame, vous m'avez vraiment énervé. Encore un détail, vous ne montez pas sur votre chaise pour détacher la carte, vous levez les bras!

Elle n'aurait pas été plus estomaquée si elle avait reçu un coup de point dans le ventre. Résignée, tremblante, elle retourna à son bureau. Discrètement, elle vérifia l'attache. Il s'agissait en effet d'une boucle au milieu posée sur un crochet. Elle colla son dos contre la carte, regarda les élèves dont la majorité avait le nez penché sur le devoir, sauf son maître-chanteur, visiblement très satisfait.

D'un rapide mouvement de corps, elle se retourna, leva les bras jusqu'au bord haut de la carte et essaya de retirer la boucle du crochet. Elle sentit que son manteau était monté jusqu'aux reins, dénudant complètement ses fesses volumineuses. Dans l'affolement, elle rata le premier essai, réussit le second. Un Houuuu de la classe lui fit savoir que tous avaient vu.

- Ca suffit, hurla-t-elle, dans une décharge de stress. Occupez vous de vos devoirs ou ça va barder. Je colle un zéro à la première remarque désobligeante.

Elle traversa encore la salle et vint déposer la carte sur le bureau d'un Ferdinand triomphant et, depuis quelques minutes, riche de 250 euros.

Pour la première fois de sa vie, Amélie venait de montrer son cul à une classe de 30 élèves.

JEUDI

/DORON /XAVIER

DORON prit contact avec Xavier qui était devenu le maître d' œuvre de l'opération Elisabeth RAMPLANT.

- J'ai les preuves, dit-il au patron. J'ai pisté mon fils et j'ai vu où et comment les gamins de RAMPLANT font leur deal. J'ai pris des photos. Lui s'occupe des mecs et elle des gonzesses. Ils sont très bien organisés. A mon avis, ils risquent gros car il y a du passage.

- Parfait, tu m'envoies les photos et je prépare le paquet cadeau.

VENDREDI

/JULIE /SON MEDECIN

Julie avait profité de ces deux semaines d'arrêt pour faire le point, pour se calmer autant que possible.

Elle respectait les ordres de Discipline-Team à la lettre : les jambes toujours écartées, même en prenant une douche, en déjeunant, en urinant. Elle dormait alternativement sur le dos et sur le ventre, le cul hautement remonté par un traversin. La nuit, elle laissait entrouverte la porte de son appartement. Elle ne sortait jamais sans ses vulgaires bas de soie et ses gilets trop étroits.

La perspective de reprendre les cours le lundi l'alarmait. Comment serait-elle accueillie? Quels nouveaux tourments allaient-ils encore inventer? Elle avait déjà donné un cours les seins complètement nus, cela allait-il continuer? Voire plus?

Le vieux médecin représentait une dérobade. Mais elle devait choisir entre charybde et scylla. La douleur et la honte dans un cabinet médical contre la honte devant des lycéens boutonneux et des profs vicieux. Elle choisit charybde, non sans avoir trop tardivement essayé de trouver un autre médecin. Il lui avait donné rendez-vous pour le samedi matin à 10h.

Forcément très contractée, elle fut à l'heure pour ne pas indisposer le thérapeute. Deux hommes attendaient leur tour en lisant une revue. Elle prit un des deux sièges en face d'eux. Sans jamais détourner le regard, ils fixèrent la jolie blonde dont les longs cheveux descendaient sur les épaules. Une revue lui donna un peu de contenance devant cette insistance gênante.

Vingt minutes, longues, passèrent avant qu'un homme ne sorte du cabinet.

- Mademoiselle, s'il vous plaît, le docteur a interrompu mon auscultation. Il veut vous voir tout de suite, avant tout le monde car il paraît que votre cas est urgent.

Elle entra. Assis à son bureau, il écarquilla les yeux en la voyant et s'exclama

- Mais comment donc mademoiselle, vous ne vous êtes pas préparée au traitement! Vous n'avez pas laissé votre corps respirer, se libérer! Il lui faut bien une demie heure sans aucune contrainte, je dis bien aucune contrainte, pour que j'intervienne efficacement. La barbe! Je pensais que vous aviez compris la dernière fois. J'espère au moins que vous êtes nues sous votre manteau.

Tout à fait accablée par l'invective du médecin, elle ne répondit pas.

- Ouais, j'ai compris. Vous n'avez rien suivi de mes directives. Je vais encore perdre mon temps. Bon, mettez-vous nue tout de suite, dépêchez-vous.

Elle obéit avec un sentiment de culpabilité. L'infâme médecin avait bien compris ce point faible chez Julie, une culpabilité certainement issue de l'enfance qu'il suffisait d'activer par des reproches. La raison ne venait corriger cette faiblesse que plus tard.

- Bien... Commençons par empêcher les microbes de passer par la bouche.

Il n'eut pas à forcer, elle avait déjà ouvert la bouche.

- Maintenant, activons le flux électrique des seins.

Elle avait déjà porté sa poitrine en avant. Il la massa, tira durement les bouts puis ferma les deux maudites pinces à cheveux.

- Il faut vous éviter la tentation de réduire la douleur. Comprenez-moi bien, Mademoiselle, ceci est fait pour votre bien. Donnez-moi vos poignets que je les attache.

Il posa une paire de menottes, curieusement devant, pas dans le dos ce qui lui laissait toute opportunité de retirer le godemiché buccal.

Le docteur annonça la suite des opérations.

- Maintenant, nous allons laisser votre corps se libérer mais je ne peux pas faire attendre mes patients pendant une demie heure. Allez-donc marcher sans la salle d'attente pendant que je les soigne.

Elle le fixa de ses yeux bleus stupéfiés, résista lorsqu'il la poussa vers la porte, obéit lorsqu'il claqua durement une fesse. Entièrement nue, embouchée, elle se retrouva devant les trois types.

- Vous, venez, dit-il au premier, je vais terminer votre soin, les autres, veillez à ce que la demoiselle ne reste pas sur place mais marche sans arrêter, c'est important pour son soin.

- Comptez sur nous, docteur.

Les deux individus restants prirent place face à face si bien que Julie dut marcher de long en large en passant devant eux.

Elle commença ses allers-retours, abattue par la situation. Au troisième passage, elle vit que celui de gauche avait sortit sa queue et se masturbait. Au passage suivant, l'autre en avait fait de même. Elle devait continuer ; c'était certainement le prix à payer pour un arrêt de travail.

Au septième passage, elle reçut une claque sur les fesses, pas trop forte. Elle râla en jetant un regard noir vers l'homme et en poussant un nonnnn imprononçable clairement à cause du bâillon. Comme elle ne cessait pas ses allers-retours, ils en conclure qu'Ils pouvaient continuer. Alors les claques se succédèrent à chaque passage, de plus en plus franches, de plus en plus fortes. Si bien que rapidement, elle eut les fesses bien rouges.

Quand le docteur vint la chercher elle était toute en larmes et douleurs.

- Parfait messieurs, merci, déclara-t-il, le sang a du bien circuler si j'en juge à la couleur de son cul.

Elle se retrouva devant la table d'auscultation.

- Penchez-vous en avant, je vous prie.

Il vint devant elle pour lui présenter un nouveau plug anal nettement plus gros que le premier dont elle n'avait subi que 5 boules sur 6.

- Il faut maintenant que je vous débloque complètement.

Elle s'affola, retira son bâillon buccal avec ses mains menottées, se redressa :

- Non, non docteur, c'est trop! Je ne peux pas. Ca fait trop mal. Laissez-moi, s'il vous plaît. Donnez-moi mon arrêt de travail, ça suffit maintenant.

- Pas question mademoiselle de vous donner un arrêt de travail sans vous avoir soignée complètement d'abord. C'est une question d'éthique. Il y a bien une solution mais je ne sais pas si...

- Quelle... quelle solution docteur?

- Et bien, je n'utilise pas d'outil mais je vous prends moi-même. Ne vous méprenez pas, c'est pour votre soin! Après ça, je vous donnerai dix jours d'arrêts.

Elle avait perdu tout discernement, toute logique. Au lieu de fuir, elle ne voyait plus que la nécessité d'échapper au monstrueux godemiché. Aussi accepta-t-elle l'offre immonde du médecin.

Elle le sentit se placer derrière elle, elle entendit la boucle de ceinture, le frottement du pantalon qui tombe sur les jambes, deux mains qui écartent les fesses, quelque chose d'humide qui se colle au trou et lentement s'y enfonce.

Elle ne put retenir des soufflements de douleur mais hélas aussi de plaisir. Le médecin agissait avec expérience. La jouissance prit le pas tandis qu'il accélérait ses mouvements. Elle n'entendit pas entrer les deux hommes de la salle de réunion. Elle sentit le docteur s'acharner sur l'anus avec férocité et en dernières poussées, lâcher son foutre.

Elle aurait pu avoir un orgasme si elle n'avait pas vu un type, devant elle penchée sur la table, lui attraper et tenir fermement les poignets.

- C'est pas fini, ma belle, ne bouge pas. Tu nous a chauffés tout à l'heure, il faut nous soulager maintenant.

Elle se débattit mais en vain. Un autre pieu remplaça celui du médecin, un autre plus gros, plus brutal qui la supplicia à son tour et se vida longuement. Enfin, le troisième homme l'encula aussi pendant que le médecin tenait les poignets.

Lorsqu'elle quitta le cabinet, nue sous son manteau, elle avait les fesses et l'anus en feu. Elle avait eu un arrêt de travail, de cinq jours seulement, accompagné de lourdes menaces : "nous avons des photos alors pas de scandale sinon elles seront envoyées partout... Tu peux revenir si tu veux un arrêt de travail, maintenant tu connais le tarif..."

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Super ce récit,j'aime les histoires de bizutage sur ces femmes profs.

trouchardtrouchardil y a plus d’un an

Ah les années de lycée... Merci Chdecrivain

AnnalalevretteAnnalalevretteil y a plus d’un an

Très plaisant à lire entre deux rendez-vous au travail merci

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Toujours aussi bon...

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

excellent ce récit

Etendre le nombre de bizutes à d'autres femmes de ce bahut est très intéressant...

une autre idée les obliger en salle des profs à se caresser entre elles...

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