Professeures Bizutées - 5/8

BÊTA PUBLIQUE

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- Bonjour Madame, dirent-ils à l'unisson en admirant les seins libres ballotés par la marche.

- Bonjour, répondit-elle en continuant son chemin, droite comme la loi.

Mais ils la suivirent.

- Eh, mdame, vous êtes une bizute? Comme Amélie?... Super, on va se marrer en classe. Il parait qu'Amélie a montré son cul à tout le monde. Vous allez le faire aussi?

- Taisez-vous, ordonna-t-elle. Gardez vos réflexions pour vous. Allez réviser votre cour, ce sera plus intelligent.

Tout en maugréant, ils la laissèrent arriver à sa salle.

Son supplice commença avec la première classe et se renouvela à chaque changement.

Elle ne pouvait pas éviter d'écrire au tableau. Un prof de physique, ça écrit au tableau et même beaucoup. Elle éprouva une terrible appréhension lorsque, pour la première fois, elle dut tourner le dos aux élèves. Et cela se répéta à chaque nouvelle classe. A chaque fois que les élèves découvraient le panneau au dos de la professeure, ils lançaient un chahut orné de vulgarités, d'allusions, voire de menaces. Elle devait se retourner, faire face, essayer de conserver quelque constance, exiger le calme, taire les plus excités. Par deux fois, elle dut recourir à une interrogation écrite pour calmer le jeu.

Heureusement, nul n'avait encore lu le dos du panneau : "Tout lecteur de ce côté peut me bizuter comme il le veut."

JEUDI

/XAVIER /FRANCOIS /DORON /THOMAS

Xavier, le jeune professeur vacataire, était assez proche des élèves. Son jeune âge favorisait le contact. Ils lui parlèrent de la déclaration d'Amélie, certain pour exprimer un mécontentement, d'autres pour essayer d'en savoir plus. Il comprit qu'Amélie, avec intelligence, venait de marquer des points. Il reporta la chose à ses pairs.

Ils ne pouvaient attendre pour sanctionner la faute, la fille reprendrait de l'assurance mais aussi les deux autres bizutes. Amélie fut convoquée à 18h en salle des archives, là même où elle fut violée par François, Thomas, DORION et Xavier.

Elle avait été prévenue dès le matin par un ordre écrit déposé dans son casier. Aussi lorsqu'elle arriva, elle était complètement apeurée, affolée. Toute la journée, elle s'était interrogée sur ce qui allait de se passer. Lorsqu'elle se tint devant eux, elle n'en menait pas large.

- Bizute Gros Cul, nous ne sommes pas contents, commença François. Avec malice, tu as tenté de réduire ta charge en donnant des explications aux élèves. Tu dois être punie pour que cela ne se reproduise plus. Pour commencer, tu vas subir l'épreuve de l'échafaud. DORON, mettez en place, je vous prie.

- Pitié, implora-t-elle. Je ne savais pas que c'était interdit. Ne me faites pas de mal, je ne dirai plus rien aux élèves, je le jure.

Il apporta le tabouret à quatre pieds de 80 centimètres de hauteur.

- Tu es trop intelligente pour ne pas le savoir, Amélie. A poils et en position, bizute! Nous allons tous te défoncer l'anus.

Tremblante, elle laissa tomber son manteau au sol, appuya son ventre sur le siège, se pencha en avant, sans même résister... inutile. Le premier à la faire crier fut DORON, il faut dire qu'il ne prit guère pris de précautions. Thomas et Xavier suivirent et s'activèrent dans un tuyau de plus en plus ouvert. François termina. Il était le mieux monté de l'équipe, si bien que la pauvre Amélie eut encore mal lorsqu'il poussa.

Elle qui avait toujours refusé cela à son mari, venait de prendre quatre queues dans le cul. Mais au-delà de la peur et de la douleur, elle avait eu du plaisir. Pas au point de l'orgasme bien sûr mais elle se dit que ces sodomies étaient plus faciles à supporter que les humiliations publiques.

- Redresse-toi bizute Gros Cul. Reste à poil. Ecoute nous...Tu as voulu réduire tes hontes en te plaçant comme une victime. Bien joué, disons plutôt, bien tenté. Hélas, tu le sais, les humiliations et les hontes font partie intégrante du bizutage. Tu ne peux pas y échapper. Tu ne dois pas y échapper. C'est notre devoir que de t'y astreindre.

La voix résonnait lugubrement dans la réserve. Les quatre étaient alignés, assis devant elle, pantalons baissés, la queue pendante entre leurs jambes. Il faisait sombre et froid. Elle craignait le pire, à juste titre.

- Désormais, bizute Gros Cul, lorsque tu viendras au lycée, tu devras être nue pour quitter ta maison et nue pour y entrer. Tu n'as le droit de te couvrir de ton manteau que dans ta voiture. Tu gareras toujours ta voiture dans la rue, jamais dans ton garage. Compris Gros Cul?

- Messieurs, s'il vous plaît... Ce n'est pas ici, au lycée... le bizutage, c'est au lycée... Mes voisins, je ne peux pas faire ça! Pitié, je ne dirai plus rien aux élèves.

- Tu préfèrerais peut-être avoir ton manteau sous le bras... au lycée?

- Non, non, répondit-elle affolée, pardon! Je vais le faire... oui monsieur.

- Très bien bizute Gros Cul. Sois consciente que nous vérifierons... Viens à quatre patte nous essuyer la queue avec ta bouche et puis tu pourras partir.

Ce faisant, elle attrapa une dose de sperme sur le visage. Xavier avait déjà repris des forces.

Ce soir là, elle refit les dix mètres qui séparaient sa voiture de sa porte de maison, une nouvelle fois entièrement nue, au grand plaisir de son mari qui bandait de la voir tellement déchue.

VENDREDI

/LE PROVISEUR /ELISABETH RAMPLANT

L'idée lui était venue le matin même alors qu'il prenait son petit déjeuner. Assis à la table de cuisine, il eut besoin uriner et donc d'interrompre son repas.

Au début, ces histoires de bizutage l'avaient ennuyé. D'une part, le bizutage était interdit par la loi ; d'autre part, il ne s'appliquait jamais aux professeurs. C'est toutefois ce second point qui lui fit fermer les yeux. Le bizutage appliqué aux enseignants ne risquait pas les indignations des parents d'élèves, tout au plus des problèmes avec les syndicats ou son administration. Il se sentait rassuré en constatant que rien ne bougeait de ce côté, les filles se semblaient pas avoir fait appel à du protectorat. Il fut complètement tranquillisé lorsqu'il découvrit que madame Elisabeth RAMPLANT faisait partie des souffre-douleur.

Les jeunes professeures telles que Amélie ou Julie touchaient moins ses fantasmes. En revanche, la mère RAMPLANT l'excitait au plus haut point. Il la trouvait si fière et prétentieuse que la dégrader était une géniale opportunité. Sans compter qu'elle l'avait toujours pris de haut, cachant à peine son dégout pour ce proviseur petit, rond et un peu lâche.

Madame Elisabeth RAMPLANT en était à son avant-dernière heure de classe de la journée lorsqu'il fit son entrée.

- Levez-vous, ordonna-t-elle aux élèves.

Elle en fit de même, crispée à côté de cet homme qui l'avait déjà profondément humiliée.

- Bonjour tout le monde, commença le proviseur, excusez-moi d'interrompre votre cours, chère madame, mais je dois donner aux élèves les détails de l'examen blanc de la semaine prochaine.

Il était extrêmement rare qu'il intervienne dans une classe, sauf en cas de vacarme ou d'urgence. Elle était sur ses gardes.

- Asseyez-vous... Vous aussi, Elisabeth... Je distribue le planning des salles et des heures et nous en parlons ensuite.

Il laissa d'abord un planning à Elisabeth puis se déplaça dans les allées pour en donner aux élèves. Quand elle eut pris connaissance du document, elle blêmit et serra les points de rage et de faiblesse. Il était écrit en rouge :

* Laissez donc filer un jet d'urine tout de suite, assise.

Elle leva vers lui des yeux implorants mais il ne la regarda pas, continuant son discours comme si rien ne devait se passer. Il demanda aux élèves de noter ce qu'il allait dicter et, se promenant dans les allées, il lut lentement son texte. Comme il avait bien vu qu'elle n'avait pas encore obéi, il décida de lui lancer un avertissement indirect en s'adressant à un élève :

- Monsieur DUPUIS, veuillez tout noter, pas seulement la moitié. Sachez que j'ai horreur des gens qui désobéissent, Je les châtie. Votre professeure pourrait en témoigner! N'est-ce-ce pas Madame RANBLANT?

- C'est comme si elle recevait une décharge électrique. Elle comprit la menace et la mort dans l'âme, laissa couler de l'urine, juste un peu. Elle sentit tout de suite le liquide envahir sont entrejambe. Il comprit qu'elle avait obéi à la rougeur de son visage. Il passa derrière elle, tout en dictant son texte, et chuchota :

- Bien Elisabeth, très bien... encore... J'en veux encore!

- S'il vous plaît, implora-t-elle, cessez!

- Non, non, encore... Grosse Chatte Poilue

Si bien que sa touffe de poils reprit une dose d'urine ; elle sentait maintenant tout son fondement trempé.

Un peu plus tard, il exigea à nouveau :

- Grosse Chatte, tu arrêteras ta pisse quand ça coulera par terre!

Avec ses deux mains, elle se couvrit le visage comme si elle se cachait au monde. Elle ouvrit un peu les genoux et laissa l'urine couler doucement. Elle sentit le liquide filer sur sa cuisse puis sa jambe. Elle cessa lorsqu'une petite flaque marqua le carrelage.

Le proviseur libidineux la félicita, toujours en parlant doucement à son oreille :

- C'est bien Grosse Chatte... Je te laisse à tes élèves. La prochaine fois, tu me feras ça en restant debout!

Quand le cours fut fini, un élève fit remarquer :

- Eh, mdame, c'est mouillé par terre!

Quand le dernier cours eut lieu, alors qu'elle écrivait au tableau, elle dut montrer sa jupe marquée d'un grand cercle humide que forcément les élèves remarquaient.

Et le bruit courut que madame RAMPLANT était incontinente.

AVRIL

LUNDI

/JULIE /ELISABETH / FRANCOIS /DORON

D'une part, les cinq jours d'arrêt, durement gagnés à la douleur de son cul, l'avaient quand même calmée ; d'autre part, Discipline-Team ne s'était pas manifestée. Il faut dire qu'elle avait respecté scrupuleusement ses obligations.

Pour autant, Julie reprenait ses cours avec une grande angoisse.

Dans un couloir, en arrivant, elle vit Elisabeth RAMPLANT quelques pas devant elle. Elle se rapprocha et découvrit le panneau dans son dos.

- Bonjour Madame RAMPLANT, vous... vous aussi? Vous êtes... bizutée?

- Eh oui, Julie, moi aussi!

- Mais pourtant vous êtes une ancienne, ils ne peuvent pas!

- Hélas, ils le peuvent. Ils me font chanter! Ils ont surpris mes enfants en train de faire des bêtises. Ils ont pris des photos.

- C'est si grave que ça, demanda Julie?

- Oh oui! Ils sont passibles de prison... drogue. Si je n'obéis pas à Xavier et sa clique, ils les dénonceront à la police. Si j'en parle à mon mari, il risque lui aussi de dénoncer ses propres enfants à la police, il est tellement rigide, dur. Je suis complètement coincée. L'année prochaine, je change de lycée. Mais vous Julie, comment allez-vous? Vous avez été malade?

- Malade, non, mais j'ai du prendre quelques jours d'arrêt, c'est tellement épouvantable ici! Vous avez vu comment je dois me vêtir, c'est la honte! Récemment, j'ai du faire cours sans fermer mon gilet.

- Ma pauvre, répondit Elisabeth! Moi je suis tombé dans les fantasmes délirants du proviseur. Il m'a obligée à... à uriner assise à mon bureau... et il... m'a dit que la prochaine fois, je devrai le faire... debout.

Elle fondit en larmes, suivie de Julie.

- Je dois passer à la salle des professeurs, j'ai la trouille, dit Julie.

- Moi-aussi, allons-y ensemble, ça nous donnera un peu de courage.

Elles n'avaient pas pensé que, deux soumises en même temps, ne feraient que les exciter davantage.

- Tiens, mais voila une revenante... Et puis une autre... Entrez les bizutes, entrez... Aux pieds tout de suite, ordonna François.

- Laisse-nous prendre nos affaires, dit Elisabeth sur un ton plutôt sévère.

- Ta gueule, RAMPLANT. Amène ta chatte ici tout de suite. Toi Julie, sous la table, suce-moi. Allez grouillez-vous les femelles.

François sentit la blonde se presser de baisser la fermeture-éclair du pantalon, de défaire non sans mal la ceinture, de se cogner la tête sur la table. L'autre, la grande brune, était debout à ses côté. Elle gardait la tête haute, fière encore. Il passa une main dans la fente de la jupe et arriva immédiatement à la touffe de poils non protégée par la culotte qu'elle devait toujours garder baissée. Elle eut un mouvement de recul qu'il corrigea en tirant les poils vers lui. Sa bite fut engloutie par la chaude bouche de Julie. Son majeur fut englouti par la chaude vulve d'Elisabeth. Les deux s'activèrent en même temps.

- Putain que c'est bon!

La porte s'ouvrit. Au grand dam d'Elisabeth, DORON entra. Il ne vit d'abord que le brune avant d'apercevoir Julie sous la table.

- Ca baise de grand matin ici! On peut en profiter?

- Profite, DORON, profite.

Il prit une place assise au dos d'Elisabeth. Il troussa cette dernière et enfonça son majeur dans le cul. François sentit le plaisir arriver. Il bloqua la tête de Julie. Elle dut tout avaler.

- Occupe-toi de DORON maintenant, dit-il en se relevant pour se vêtir.

La pauvre blonde s'occupa de l'autre. Son membre était plus fin mais plus puant. Elle eut envie de vomir.

- Dépêche-toi conasse, j'ai du boulot.

Sans ménagement, il colla la poitrine d'Elisabeth sur la table. Il retira son majeur et introduisit aussitôt deux doigts, puis un troisième. Elle n'avait jamais connu telle pénétration, telle humiliation. Heureusement l'homme fut rapide au grand dégout de Julie.

Elles se retrouvèrent seules dans la salle des professeurs, rouges, haletantes, honteuses, furieuses.

MARDI

AMELIE /GABRIEL /NICOLAS /LOUIS

Les révélations de Thomas sur le comportement d'Amélie avaient décoincé Gabriel. Lui, qui auparavant voyait son épouse telle une vierge, n'avait pas du tout apprécié qu'elle omît de révéler ses enculades ainsi que ses relations d'avant leur mariage. Le sentiment qu'elle devait payer une faute avait pris le pas sur la raison et lui autorisait tous débords de ses fantasmes.

Jeudi dernier, en fin de journée, Gabriel avait vu sa femme rentrer entièrement nue. Furieuse et honteuse, elle l'avait traité de faible, de poule mouillée, de lâche sans s'apercevoir qu'il bandait comme un ours. Le lendemain, vendredi, même punition, même reproches, même érection.

Ce samedi dernier, pour la première fois, il l'avait sodomisée. Elle avait bien tenté de s'opposer mais il l'avait méchamment rabrouée, arguant de ses péchés antérieurs. Alors, résignée, elle s'était laissée faire ce qui fit penser à Gabriel que Thomas avait bien raison : "tu profites de son cul et de sa bouche comme jamais. Tu verras, elle finira par quémander une pipe tous les jours."

Les pavillons, parfaitement alignés de part et d'autre, éloignés d'une dizaine de mètres de la chaussée, laissaient filtrer de la lumière dans le soir tombant. Lorsqu'elle arriva devant chez elle, il y avait déjà quatre véhicules garés et plus encore de l'autre côté de la rue. Jusqu'à ce jour, elle avait l'impression que personne ne l'avait encore vue rentrer nue. Mais cela arriverait forcément un jour. Aussi avait-elle prévu en ce cas de dénoncer les agissements mauvais de son mari en espérant que le voisin dénoncerait les faits à la police.

Elle fit plusieurs fois le tour du quartier. Rien ne bougeait. Aucune place ne se libérait. Elle pensa téléphoner à son mari et lui demander de laisser vide le garage mais ses bizuteurs qui avaient interdit cette option l'auraient certainement appris, elle ne savait pas comment, mais ils l'auraient appris.

Après d'anxieuses minutes d'hésitation, elle finit par se garer à la première place libre à une bonne vingtaine de mètre de sa maison puis à ôter son manteau, à ouvrir la porte, à se précipiter vers l'abri conjugal. Essoufflée, tremblante, elle n'arriva pas à entrer sa clé dans la serrure et finit par comprendre que son mari avait laissé la sienne de l'autre côté. Elle se résolut à sonner et comme rien ne bougeait à tambouriner la porte de ses poings. Finalement elle fut ouverte mais pas par son mari!

- Amélie! Mais que... que fais-tu là... tu es complètement à poil, dans la rue, s'étonna Nicolas, le meilleur ami de son mari.

Elle tenta de le pousser pour entrer se cacher mais il résista et la laissa encore sur le seuil. Elle ne vit pas que derrière elle, deux hommes de la propriété d'en face appréciaient la spectacle du gros cul d'Amélie. Finalement, elle se retrouva dans son séjour, toujours à poil, devant son mari et deux de ses copains, Nicolas et Louis.

- Vous voyez, les gars, je vous l'avais dit, elle se promène à poil maintenant, cette salope. Reste comme tu es, ordonna Gabriel, sers donc à boire à mes amis et rapidement!

Comme elle restait immobile de surprise, elle reçut une grande claque sur sa fesse gauche accompagnée d'un « rapidement ». Elle leur servit du whisky tout en entendant leurs paroles salaces.

- Amélie, penche-toi en avant quand tu présentes le verre à ton invité... plus que ça, ordonna Gabriel. Il doit voir tes nichons qui pendent. Et moi, derrière, je dois voir ton gros cul.

- J'ai toujours rêvé de te défoncer, dit Nicolas. Tu veux bien que je t'encule, Amélie? J'ai une grosse bite, tu vas bien la sentir passer. Pose tes mains sur l'accoudoir du fauteuil de Louis. Suce-le... Bien... Gabriel, va me chercher du beurre, ça lui fera moins mal.

- T'es pas bien, répondit le mari, on va pas gâcher du beurre pour cette salope. Introduis-la à sec.

Amélie, la bouche pleine, grommela un refus bien inutile. Deux mains empoignèrent ses hanches, un pieu se plaça au bord du trou et, par allers-retours, par entrées-sorties, s'enfonça profondément. Une fois passée l'horrible douleur de l'intromission, le corps s'adapta et bon gré mal gré, elle ressentit du plaisir. Les deux hommes éjaculèrent en même temps.

La soirée fut longue. Amélie dut leur servir le repas, nue. Elle mangea à même le sol lorsqu'ils lui jetaient un morceau de viande ou quelques haricots verts. A quatre pattes, elle devait se presser vers la nourriture. Elle fut reprise deux fois dans l'anus et une fois dans la chatte. Sa bouche nettoya toutes les queues. Enfin, Gabriel finit pas l'attacher au radiateur du séjour pour l'y laisser toute la nuit.

Désormais, lui, le faible, le lâche, était devenu le maître. Il en avait éprouvé une incommensurable excitation et comptait bien user de son pouvoir, en abuser même. Il commença dès le petit matin en jetant du pain sec à sa compagne, en déposant un bol de lait froid avec l'ordre de ne jamais utiliser les mains : "les chiennes n'ont pas de mains" déclara-t-il.

MERCREDI

/JULIE /SES PARENTS

Au soir, peu après son retour du lycée, on frappa à la porte de son appartement. Par l'œilleton, elle vit avec affolement ses parents patienter dans le couloir. Elle ne pouvait pas les recevoir dans sa tenue de honte, ils auraient tout de suite remarqué la mini-jupe, les bas et le gilet trop petit. Aussi, se déshabilla-t-elle rapidement pour se couvrir d'un pudique peignoir.

Elle les reçut comme toute jeune fille reçoit ses parents, avec une gentillesse teinté d'indépendance. Elle voulait leur faire comprendre qu'ils ne devaient plus revenir la voir mais qu'elle ferait l'effort d'aller plus souvent passer une journée avec eux. Tout se passa en tendresse familiale et en grande peur de l'avenir : forcément, Discipline-Team apprendrait sa désobéissance car tels étaient les ordres :

* En toutes circonstances publiques, porte-jarretelles et bas de soie obligatoires, talons de 10 cm minimum, Gilets en taille 34 sans soutien-gorge, les genoux toujours séparés d'au moins 30cm même pour marcher dans l'appartement... En public ça veut dire : quand tu n'es pas seule. Toute autre personne fait partie du public : des étrangers, ta sœur, tes parents...

JEUDI

ELISABETH RAMPLANT /DEUX ELEVES

Elisabeth RAMPLANT avançait rapidement dans le couloir pour ne pas y trainer, pour ne pas rencontrer un professeur bizuteur. Comme elle n'avait pas le droit de se couvrir de son manteau dans l'enceinte du lycée, elle le tenait sur son bras gauche ainsi qu'un paquet de copies ; avec la main droite, elle cachait son entrejambe trop rapidement ouvert par la jupe fendue.