Professeures Bizutées - 5/8

BÊTA PUBLIQUE

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Elle emprunta un peu vite le couloir de gauche et se heurta à deux élèves en si grande discussion qu'ils n'avaient pas entendu les talons de la brune. Le paquet de copies s'envola pour s'éparpiller dans le couloir.

- Vous pourriez faire attention, regardez-moi ce travail, râla-t-elle avec son naturel autoritaire qui avait oublié sa situation de bizute! Ramassez-moi ces copies tout de suite, dépêchez-vous!

Surpris, les deux garçons s'empressèrent d'obéir. Elisabeth, impatiente de fuir le couloir, eut la mauvaise idée de contribuer à la tâche en ramassant elle aussi des copies. Bien mal lui en prit. L'horrible panneau dans son dos glissa devant elle lorsqu'elle se pencha pour prendre une feuille. Trop préoccupée à sa colère et à sa fuite, elle ne vit pas que le côté honteux était présenté et laissa les deux jeunes hommes prendre le temps de lire.

* Mon nom de bizute est Grosse Chatte Poilue. Tout lecteur de ce côté du panneau peut me bizuter comme il le veut.

Ils se lancèrent un regard convenu et le moins timide osa :

- C'est donc vrai que vous êtes une bizute, mdame?

- Ca ne vous regarde pas, occupez-vous de vos affaires, répondit-elle toujours avec le même ton cassant.

Il ne céda pas à l'autorité naturelle de la femme. Il pointa son index vers le panneau pendant au cou d'Elisabeth accroupie :

- Et ce qui est écrit là? Ca vous concerne, non? c'est bien votre nom?

Surprise, elle se rendit compte qu'elle venait de leur présenter la terrible obligation de ses maîtres-chanteurs.

- Ca suffit, donnez-moi les copies!

- Ah non, pas question! Vous avez écrit qu'on peut vous bizuter parce qu'on a lu votre affiche... Alors, on a le droit. C'est vous qui l'avez écrit, répondit un garçon.

- Je... je n'ai rien écrit, protesta-t-elle... C'est... c'est... une obligation.

- Raison de plus, affirma le plus timide qui avait décidé de profiter de l'occasion. On peut vous bizuter comme on veut. Levez-vous, debout, tout de suite sinon on le dit aux autres professeurs que vous refusez d'obéir.

Elle devait céder à ces deux garçons, sans discuter, quoiqu'ils exigent. Ils la regardèrent avec une insistance malsaine pendant quelques instants, jusqu'à ce que l'un ordonne :

- Enlevez un bouton à votre jupe, mdame.

Elle ôta celui du bas placé déjà bien haut, à mi-cuisses. La jupe s'évasa. Il n'en restait plus qu'un seul avant celui de la ceinture qui tenait la jupe en place. Evidemment, il ordonna qu'elle enlève cet avant-dernier bouton. La chatte poilue prit alors toutes sa dimension entre les pans de la jupe complètement ouverts. La culotte blanche baissée qu'elle portait ce jour-là ne faisait que trancher vulgairement avec les bas noirs, les jarretelles noires et la touffe noire. Elle mit sa main droite en cache-sexe.

- Op, op, pas toucher! Interdiction de cacher ça! Compris, mdame?

- Je... je ne peux pas rester comme ça. Vous avez vu alors laissez-moi me rhabiller, s'il vous plaît. Soyez sympas, je vous donnerai de bonnes notes.

- Pas question, fallait nous donner des bonnes notes avant. Et puis on s'en fout, on va certainement repiquer cette année. Vous restez comme ça toute la journée, pas de main devant la chatte. Faut que tout le monde en profite.

- Putain, je bande, dit le second.

Ils la laissèrent seule au milieu du couloir qu'elle se pressa de quitter. Pour la première fois de sa vie et sans doute pas la dernière, Elisabeth RAMPLANT allait donner un cours avec sa vulve velue présentée aux élèves.

Par malchance, elle donnait son premier cours dans la salle de Julie, cette salle du rez-de-chaussée qui donnait sur la cour de récréation et dont le bureau sur estrade n'avait pas de panneau avant qui cachait les jambes aux élèves.

Lorsqu'elle entra dans la salle, sans avoir rencontré autre âme qui vive dans les couloirs, elle constata immédiatement que ses deux élèves vicieux étaient postés à l'extérieur, à la fenêtre de la salle de classe.

Elle prit place assise au bureau mais, horrifiée, elle constata que sa jupe s'ouvrait jusqu'au ventre. Elle voulut recouvrir ses jambes mais impossible avec un vêtement trop étroit. Elle se maudit d'avoir choisi ce jour là une jupe droite à boutons.

Les lycéens commencèrent à entrer, dans leur chahut habituel, généralement vite calmé devant la sévérité du professeur. Après quelques minutes assises, lors desquelles le premier rang eut tout loisir de constater l'impudeur incroyable de Madame RAMPLANT, elle dut se lever. Dès que sa touffe noire apparut au ras du bureau, elle eut droit à un horrible silence général de surprise. Elle n'avait pas le droit de se cacher la vulve de la main. Dans la cour, les deux gamins avaient sorti leur queue et se masturbaient vigoureusement ; dans la salle, certains se lâchèrent dans leur pantalon. Elle obtint le silence, non pas par autorité mais par envoutement.

Ce jeudi là, trois classes découvrirent la superbe toison ébène et frisée de la professeure bizute.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Je trouve ça très intéressant de voir que des filles commencent à réagir et se poser des questions

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

excellent vivement la suite avec la venue de nouvelles bizutes !!!

TartuffedauphinoisTartuffedauphinoisil y a plus d’un an

Superbe histoire...

Cela mériterait presque une seconde époque, avec une nouvelle proviseure, bizutée elle aussi

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Redondant redondant redondant

chdecrivainchdecrivainil y a plus d’un anAuteur

Merci pour le(s) commentaire(s).

La professeure de sport arrive... hélas pour elle !

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