Projet de Fin d'étude (Partie 01)

BÊTA PUBLIQUE

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Sa langue se promène sur mes pieds biens propres, ça me procure une drôle de sensation. Normalement je ne suis pas nécessairement excité par la stimulation de cette partie de mon anatomie, mais me voir si excité à lécher mes orteils avec envie me procure un titillement dans le bas ventre.

J'envisage de me caresser alors qu'il me lèche, je sais à quel point il serait excité par la situation. Cependant, je préfère étudier sa capacité à obéir à des consignes simples et repousser son excitation. Après quelques minutes à me lécher, je décides de lui parler.

- Allez continue, sentir ta langue contre mes pieds m'excite tellement.

Sa langue s'accélère et il suce mes orteils avec un grand appétit. Je gémis pour l'encourager, je simule presque un orgasme. Dans un premier temps pour l'encourager, puis pour faire grimper son niveau d'excitation encore plus haut.

- Ok! Je n'en peux plus! Je dois absolument jouir!

Martin pense qu'il s'agit d'une invitation. Sa langue commence à remonter le long de mes pieds et ses mains grimpent le long de ma jambe!

- Non! Ce n'est pas ce que je veux dire!

Immédiatement il retire ses mains et me regarde presque en s'excusant.

- Je veux de l'intimité, je veux jouir en paix! Tu peux sortir et n'oublie pas de fermer la porte en sortant.

- Je peux t'aider si tu le souhaites, ce serait beaucoup plus jouissif non? Dit-il avec une voix me suppliant.

- Tu n'as pas encore mérité ce privilège, mais comme je suis généreuse... Tu peux demeurer de l'autre côté de la porte et coller ton oreille pour m'entendre gémir!

Ne sachant pas quoi répondre, il se dirige vers la porte avant de me regarder avec un abattu! J'ai presque envie de le prendre en pitié, je suis impressionnée par son obéissance et sa capacité à être bon joueur. Je décide de vraiment l'encourager et pendant que je me caresse, je m'assure d'être aussi vocale que possible. J'arrive à entendre ses pas près de la porte et son oreille qui se colle contre celle-ci. Ses gémissements alors qu'il doit se contenter de seulement m'écouter me poussent rapidement à l'orgasme. Il semble que son désespoir m'excite et m'amuse déjà! Ce travail sera le plus amusant que j'ai eu l'occasion de faire!

Après mon orgasme, je vide l'eau du bain et j'enfile une serviette autour de moi. Lorsque je me lève, j'entends Martin s'éloigner. Je sors de la salle de bain vêtue de ma serviette et je me dirige vers ma chambre alors qu'il me regarde avec désir à distance.

Jour 4

- Encore une mauvaise nuit?

- C'est la routine maintenant...

- La bonne nouvelle est que je vais ouvrir ta cage aujourd'hui!

Sous ces bonnes paroles on se dirige tous deux à l'Université. Je reviens chez nous vers 19h30, lorsque j'arrive Martin a déjà préparé le souper et il me sert le repas. Je crois qu'il a de grands espoirs pour ce soir. Malheureusement pour lui, je suis en phase de test et je veux vraiment l'étudier.

Après le repas je lui dis qu'il serait peut-être l'heure de retirer sa cage si c'est encore ce qu'il souhaite. Son regard change immédiatement. Je lui dis de façon taquine de se déshabiller. Il se retrouve face à moi dans sa petite cage, je peux voir que son sexe gonfle déjà dans celle-ci.

Je m'installe à genoux devant lui et je retire la clé de mon collier. Je l'approche de la serrure, puis tout en prenant bien mon temps je retire sa cage de chasteté. Je dépose le tube sur la table tout en fixant son sexe qui grandit à vue d'oeil.

- Tu es content d'être enfin libre?

- Oui, enfin! Merci beaucoup

- Ne me remercie pas trop rapidement.

Je me relève puis je lui dis qu'il a mérité une douche en liberté. Je lui dis d'aller se laver et se raser, tout en s'assurant de ne pas fermer la porte pour que je garde toujours l'option de vérifier qu'il ne fait rien de non autorisé.

Martin se dirige dans la salle de bain, je ne crois pas qu'il a bien compris mon intention qui est de le remettre tout de suite en cage. Il se lave et j'observe du coin de l'oeil sa douche à une ou deux reprises. Il revient avec une serviette autour de la taille une quinzaine de minutes plus tard, son membre à moitié en érection sous celle-ci. Il se dirige vers moi, croyant que je vais le sucer ou je ne sais pas. Je décide de jouer le jeu. Je m'approche de lui en mordillant mes lèvres, puis d'une main je tire sur sa serviette. Son sexe bande comme jamais. Je lui murmure alors à l'oreille que j'aime les belles queues biens dures et propres. Il commence à gémir. Je lui ordonnes alors toujours en murmurant d'aller me chercher sa cage de chasteté.

- Quoi? Non! Tu n'es pas sérieuse!

Je le regarde d'un air froid avec mes mains sur les hanches.

- Ça fait 3 mauvaises nuits! Je croyais que...

- Que croyais-tu? Tu as accepté de me confier le contrôle COMPLET de ta vie sexuelle et de ton excitation. J'ai besoin d'étudier ton comportement et de comprendre ton évolution. Tu vas te retourner et m'apporter la cage. Ensuite, lorsque tu y seras de nouveau enfermé. On pourra discuter.

Devant mon air contrarié, Martin obéit et se dirige vers la table pour y prendre la cage de chasteté. Je dois me retenir de toutes mes forces pour ne pas éclater de rire, ce type de dominance n'est pas dans mes habitudes. Je préfère jouer à la gentille dominatrice douce et réceptive, cette fois je voulais expérimenter une nouvelle facette.

Il me tend la cage de chasteté. J'applique une couche de lubrifiant sur son sexe ce qui le fait gémir. Je fais entrer son gland dans la cage, puis je me souviens des conseils de Samantha. J'applique une pression constante sur le tube, j'ai besoin d'au moins 5 minutes pour réussir à y faire entrer tout son sexe. Est-ce un manque d'expérience de ma part ou une trop forte excitation de Martin? Je n'en suis pas certaine. Après de bons efforts, j'arrive finalement à refermer la cage et je replace la clé à mon cou.

- Tu voulais me parler? Lui dis-je, cette fois d'un air beaucoup plus compréhensif.

- Ça fait 3 jours. J'avais espoir que tu joues au moins un peu avec moi...

- Qu'est-ce qui te fais dire que je ne veux pas jouer avec toi?

- Je ne comprends pas, tu viens de m'enfermer.

- Tu sais Martin, la meilleure façon de pratiquer le contrôle de l'orgasme est d'enfermer l'homme dans sa cage de chasteté. Ça ne veut pas dire que je ne vais rien faire. Ton excitation doit encore grimper, c'est mon objectif et ça tu le savais dès le départ.

- J'ai de la difficulté à dormir quand je suis trop excité.

- Ton corps va s'habituer. J'ai une mauvaise nouvelle pour toi, je n'ai aucune intention de faire diminuer ton niveau d'excitation...

- Je sais...

- Alors, pour te consoler de ne pas avoir joué avec ta belle grosse queue, que voudrais-tu? J'ai un choix pour toi. Est-ce que tu préfères me voir ou me toucher?

- Je ne comprends pas.

- Tu n'as qu'à choisir.

- Te toucher dans ce cas.

Je lui fais un sourire avant de sortir de mon sac à main un bandeau pour les yeux que je viens d'acheter. Je le place sur ses yeux et il me confirme ne rien voir. Je m'avance devant lui et je lui dis de retirer tous mes vêtements. Cependant, ses mains ne doivent pas être baladeuse pour le moment.

Ses mains se déposent sur mes épaules puis descendent le long de mon corps. Il retire mon gilet de sport. Il descend ses mains sur mes hanches et fait glisser au sol mes pantalons de yoga. Je sens ses mains remonter mon dos alors que sa cage se presse contre mon ventre. Il dégrafe mon soutien-gorge et le fait glisser au sol. Je constate qu'il a besoin d'utiliser tout son contrôle pour ne pas prendre mes seins dans ses mains. Il fait glisser ses mains le long de mon corps et d'un mouvement rapide fait tomber ma petite culotte au sol.

Je suis totalement nue devant lui pour la première fois. Je lui demande de se coucher au sol et de garder ses mains le long de son corps bien ouverte, de ne pas bouger et de me laisser le guider lorsque nécessaire. Il se retrouve couché dans la position demandée. Je me penche vers lui et je fais glisser ma poitrine tout doucement contre son torse. Je suis si douce que seul mes mamelons effleurent son corps. Il gémit d'un désir si fort, j'apprécie le voir dans cet état. Ça m'encourage à continuer avec douceur. Mes mamelons parcourent son torse de longues minutes.

Je m'installe à genoux au dessus de ses jambes. Je commence à caresser ses cuisses tout doucement en les effleurant avec ma vulve. Puis, je remonte vers son torse. Avec une grande douceur je lui permets de sentir mes douces et humides lèvres contre lui. Je m'installe immobile dans cette position et je guide ses 2 mains ouvertes vers mon ventre.

Avec tendresse je laisse ses mains remonter contre le côté de mes seins. Je murmure à son oreille qu'il doit me laisser guider et ne rien faire. Il gémit. Je laisse ses mains effleurer mes mamelons quelques petites secondes avant de faire redescendre ses mains sur mon ventre.

Je place ensuite ses pouces quelques centimètres plus bas pour lui permettre de sentir la douceur de mon pubis. Puis je commence à faire de très lents mouvements de bassins, mes lèvres se frottent tout doucement contre son ventre. Voyant qu'il arrive à garder le contrôle, je cesse mes frottements et je me relève de quelques centimètres. Je replace son bras gauche au sol puis la paume de sa main droite contre ma chatte bien humide.

Je l'oblige à demeurer immobile dans cette position plusieurs secondes. Il respire très fortement et je vois un filet de liquide sortir du bout de sa cage. Sa queue pleure d'excitation! C'est exactement ce que je recherche : Faire grimper son excitation au maximum sans le faire jouir.

Je le laisse profiter du moment tout en vérifiant sa capacité à demeurer dans la position requise, puis je replace sa main au sol. Je me relève et j'enfile rapidement une robe de chambre. Je l'autorise ensuite à retirer son bandeau et se relever.

Il continue de respirer fortement pendant de nombreuses minutes et semble avoir de la difficulté à reprendre son calme. Je lui demande s'il commence à apprécier notre accord, comme seule réponse il me dit : Je veux tellement te baiser!

J'éclate de rire avant de lui dire que c'est exactement l'effet recherché!

Jour 5

Martin me dit avoir eu une meilleure nuit de sommeil malgré les nombreux réveils causés par des érections. Nous sommes dans la bonne direction. Après seulement quelques jours, il y a déjà une forte connexion sexuelle entre nous. Je dois avouer que même si ma recherche porte sur l'évolution du sujet face à une excitation intensive, mon niveau d'excitation devient par le fait même beaucoup plus grand. C'est un bonus je suppose.

Après l'intensité de la veille, je le laisse patienter pour voir l'évolution naturelle de son excitation.

Jour 6

Nous approchons de la première semaine de cette expérience. Pendant cette journée de congé, je demande à mon colocataire comment il trouve ça et s'il regrette de s'être embarqué dans l'histoire. Sa réponse est positive, il me dit que malgré son désir constant, il est heureux pour l'instant des sensations fortes que je lui fais vivre.

Mon projet contient différents aspects à étudier sur lesquels je veux consacrer beaucoup d'efforts.

1- L'évolution physique et psychologique de la privation d'orgasme en fonction du temps

2- La réponse physique, psychologique et émotionnelle face à différents stimulis et voir si ceux-ci évoluent selon la durée de la privation de jouissance.

3- Les réactions à court et moyen terme après un orgasme, un orgasme ruiné, une séance d'excitation n'impliquant pas son sexe et suite à une séance d'excitation sans cage et sans orgasme.

4- Étudier les effets de différents types de privations : Privation de jouissance, privation de stimulation, privation de toucher et privation de vue.

Pour l'instant, j'ai une première base d'étude après quelques jours de déni de contact physique avec son sexe et une courte privation de jouissance. Je dois bien évaluer les prochaines actions à prendre et les aspects que je souhaite travailler. Je crois avoir fait un bon travail sur la privation de contact physique pour l'instant. En ce 6e jour je décide de continuer à travailler sur cette privation encore un moment.

Sa réaction suite à la séance du jour 4 étant très positive, je veux tester sa capacité à résister à une séance plus longue et plus complexe. Pour l'instant il a eu droit à uniquement de très faibles contacts entre nos corps et la stimulation visuelle a été très faible. Je continue dans ce sens pour une séance d'excitation qui promet d'être amusante.

J'ai pris le soin d'installer sous mon lit un ensemble de bondage assez simpliste consistant de sangles traversant en forme de X sous le matelas. Aujourd'hui je vais inviter Martin dans mon lit pour expérimenter avec le bondage pour la première fois.

J'enfile un ensemble de lingerie acheté pour l'occasion. Soit un soutien-gorge noir qui ne cache que la moitié de mes seins et arrête à peine un centimètre en haut de mes mamelons. Des bas en dentelle reliés à un porte-jarretelle ainsi qu'un g-string noir en dentelle transparente au niveau du pubis. Je m'observe dans le miroir et je me trouve très sexy. Je prends une grande respiration et avec confiance je sors de la chambre. Immédiatement le regard de Martin se retourne vers moi, je constate que sa mâchoire tombe au sens littéral et figuré en me voyant. Je n'ai pas besoin de rien dire, mais d'un simple signe de doigt je lui fais signe de me rejoindre.

Il entre dans ma chambre, incapable de détourner le regard. Je lui dit de se déshabiller et en quelques secondes il se retrouve nu. Je l'invite sur le lit et je lui demandes s'il a envie que je l'attache. Sa réaction est très positive. Sensuellement j'immobilise ses poignets et ses chevilles. Il se retrouve sur mon lit et limité dans ses mouvements. Je constate la vaine tentative d'érection dans sa cage.

Je grimpe sur le lit et je me retrouve à genoux au dessus de sa cage de chasteté. Je lui demande s'il préfère voir ma chatte ou que je me caresse contre sa cage de chasteté. Il choisit la deuxième option. J'écarte les jambes un peu plus pour permettre à ma chatte (toujours cachée par ma culotte) de se poser contre son pauvre sexe prisonnier. Je fais quelques mouvements de bas en haut à un rythme rapide, lui permettant de sentir un peu de chaleur contre son pauvre sexe.

Il est très réceptif et gémit sans cesse. Je décide de lui offrir une vue incomparable sur mes fesses. Je me retourne au niveau de son torse et je cambre mon dos au maximum. De cet angle il a la chance d'observer mon petit cul. Dans ma nouvelle position, je lui caresse l'intérieur des cuisses, ce qui n'aide en rien à calmer ses gémissements. Je continue pendant plusieurs minutes avant que cette position ne devienne trop inconfortable.

Je me lève sur le lit, debout au dessus de son torse.

- Si tu le souhaites, je peux retirer ma petite culotte. Si tu es bien gentil, je vais me caresser alors que tu pourras m'observer. Peut-être que je pourrai même te laisser déposer ta langue contre elle.

- Oui, s'il te plait j'ai tellement envie de toi!

- Très bien, mais en échange je ne vais pas laisser sortir ton sexe de sa cage pour une semaine supplémentaire.

- Quoi? Non c'est trop injuste!

- C'est le prix à payer pour avoir droit à ce spectacle. Alors est-ce que je retire ma petite culotte?

- J'ai trop besoin de jouir. Pitié je ne peux pas accepter ça!

- Très bien, dans ce cas tu n'auras pas le loisir de voir ma chatte pendant au minimum la prochaine semaine!

Amusée par cette décision prévisible, je m'installe à genoux à côté de lui tout en me penchant vers l'avant. De cet angle, il a un bon point de vue pour voir une partie de mes mamelons sortir du soutien-gorge. Je commence à caresser ses testicules tout en le fixant dans les yeux. J'arrive à le faire tellement gémir que pendant un court instant je crois l'avoir poussé au bord de l'orgasme.

Je termine la session en le détachant tout en lui disant qu'il a assez profité de ma chambre pour la journée!

Dès qu'il quitte, je me masturbe vigoureusement jusqu'à l'obtention de 2 orgasmes en une dizaine de minutes. C'est l'effet le plus positif de la chasteté jusqu'à présent, je jouis sans cesse et ce sans même l'autoriser à me toucher!

Jour 7

7 jours sans orgasme, c'est énorme pour un homme dans la vingtaine qui a eu l'habitude de se soulager aussi souvent qu'il le souhaite. Je ne veux pas repousser ses limites trop rapidement, déjà qu'une semaine sans orgasme à se faire taquiner sur une base régulière par une bombe sexuelle joueuse ça doit être très souffrant!

Je vais donc terminer cette première semaine en lui procurant une jouissance. Peut-être pas celle qu'il souhaite! J'ai souvent lu à propos de l'orgasme ruiné, mais jamais je ne l'ai expérimenté dans la réalité. Comme c'est un aspect important du contrôle de l'orgasme et de la montée de l'excitation, je vais devoir parfaire cet art.

Je dois me pratiquer pour analyser sa réaction face à un stimulis peu jouissif qui ne devrait qu'être qu'une simple vidange d'huile.

En soirée je l'invite à nouveau dans ma chambre. Pour une deuxième journée consécutive, il se retrouve attaché à mon lit. Pourquoi l'attacher? Pour m'assurer qu'il n'ait pas l'option de tricher le moment venu. Mon objectif pour cette première vidange de sperme est de rendre l'expérience aussi peu jouissive que possible et en lui offrant aucune nudité à observer. Cependant, je ne lui dis pas mon projet pour ne pas gâcher la surprise.

Je me retrouve en nuisette sur le lit, à genoux entre ses jambes avec la clé de sa cage bien visible. Très lentement, j'approche la clé de la serrure avant de l'ouvrir et de retirer le tube.

Martin respire fort, en anticipation de la stimulation à venir. Je me dirige vers un tiroir et j'enfile une paire de gants de latex. Pourquoi? Pour le priver encore un moment du contact de ma peau avec son sexe et le faire douter. Il m'observe alors que j'enfile mes gants noirs. Je reviens à genoux au dessus de sa cuisse avec une bouteille de lubrifiant à la main. Sans plus attendre, je dépose quelques gouttes de lubrifiant sur son gland et je caresse tout doucement son gland pour étendre le tout. Ça n'en prend pas plus pour vraiment le faire gémir. Je regarde mon pauvre homme chaste droit dans les yeux avant de lui dire qu'il doit absolument me prévenir plusieurs secondes avant de jouir. Il répond par l'affirmative.

Je prends son sexe dans ma main et tout doucement je commence à le branler avec de lents vas et viens. Après une trentaine de secondes seulement, il me prévient qu'il est sur le point de jouir. J'en profite pour le taquiner et l'humilier gentillement.

- Quoi déjà? Je dois vraiment être bonne... Imagine si c'était ma chatte

Je lâche sans plus attendre son sexe, puis après une pause je recommence. Cette fois il résiste un peu moins d'une minute. J'arrête de nouveau. On recommence ce petit jeu à plusieurs reprises, plus le temps passe et moins il arrive à supporter la stimulation.

Je recommence à le masturber très lentement, cette fois lorsqu'il me prévient je continue encore un moment. Il gémit, signe que l'orgasme arrive et je lâche le tout! J'observe son sexe incertaine que le point de non retour est dépassé, il me supplie de continuer. Malheureusement, mon arrêt était légèrement trop tôt et je dois recommencer. Je le caresse tout doucement et au bout de quelques secondes il me prévient de nouveau. Cette fois je continue un peu avant de lâcher son sexe.

Je compte dans ma tête pour calculer le temps entre la fin de la stimulation et son éjaculation. Normalement, plus le délai est long et plus l'orgasme devrait être ruiné et frustrant.

Un... Deux...

Après seulement deux secondes de puissantes giclées de jouissance explosent sur son ventre. Martin gémit fortement et je crois avoir échoué à parfaitement ruiner son orgasme. Je pose mes doigts contre sa jouissance et je la soulève avec mes gants en jouant avec celle-ci.