Projet de Fin d'étude (Partie 01)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je n'ai jamais fait de jeux sexuels dans un environnement public, c'est une première pour moi et ça repousse vraiment les propres limites. J'enfile une paire de jeans et un gilet, je m'observe dans le miroir pour m'assurer que rien n'est visible sous mes vêtements et on part.

Après un petit test pour s'assurer que l'application fonctionne, Martin a comme récompense le droit d'activer ou désactiver le jouet pendant toute notre sortie. Il pourra aussi en contrôler l'intensité. Ce sera à son tour d'avoir le contrôle de mon plaisir.

Nous entrons dans la station de métro et immédiatement je sens une stimulation au niveau de mon clitoris. Je regarde Martin dans les yeux et j'éclate de rire. Il y a des gens partout, mais personne ne peut comprendre ce qui se passe sous mes pantalons.

On entre dans le métro et je m'asseois. Il s'installe au siège voisin et je le vois activer la stimulation interne et externe tout en augmentant l'intensité. Je penche mon visage vers le sol et je ferme les yeux. La stimulation est intense, beaucoup plus forte que tout ce que j'aurais imaginé. J'ai la réelle impression que des doigts sont entrés en moi et frictionnent mon point G alors qu'un pouce stimule mon clitoris.

Mes mains serrent mes cuisses discrètement, je regarde partout autour de moi et personne ne fait attention à moi. Je dois me retenir de gémir, puis toute forme de sensation cesse! Mon partenaire de jeu chaste semble vouloir me taquiner...

Nous entrons ensuite dans un centre d'achat vers l'aire de restauration. On se dirige vers un fastfood avec une longue file d'attente. Je fais la file alors que Martin s'installe à une table d'où il peut m'observer. Pendant que je suis coincée à proximité de nombreux étrangers, la stimulation recommence à faible intensité. Plus j'approche du comptoir pour commander et plus il augmente le plaisir. Lorsque j'arrive au comptoir pour parler à la caissière, l'intensité est au maximum et me prend par surprise. Je fais un petit cri de surprise que je dissimule en faisant mine de m'étouffer. Je m'excuse à la jeune femme, puis j'arrive à dire ma commande en arrivant tant bien que mal à cacher mon plaisir. Dès que j'ai terminé de lui parler, la stimulation descend presque au minimum.

Cependant il me réserve une surprise. Dès que je prend le plateau avec nos repas, l'intensité est au maximum. Je fais un saut et j'échappe presque notre nourriture. Je ris nerveusement tout en regardant partout autour de moi. Je réussi à me rendre à la table et déposer le plateau sans rien échapper.

Je crois avoir droit à une pause pendant le repas, mais Martin ne semble pas intéressé à manger. Il me regarde en jouant sans cesse avec l'intensité. Un vrai gamin qui abuse de son jouet! Je suis incapable de manger, mes mains tappent nerveusement sur la table et je bouge sans cesse. Je sens l'orgasme monter en moi. Je regarde partout autour de moi et personne ne remarque mon plaisir. Je demande à Martin d'arrêter en murmurant et mordant mes lèvres, il fait exactement le contraire. L'intensité se retrouve au maximum. Je me penche vers l'avant avec les mains sur la tête, je ferme les yeux tout en mordant ma langue pour ne pas crier.

Un puissant orgasme m'envahi alors que des dizaines d'étrangers sont près de moi, cette sensation m'excite, me fait rougir et me frustre au même moment. J'arrive à lever les yeux en direction de Martin et il comprend que j'ai jouit. Il cesse la stimulation et éclate de rire.

Il me fait comprendre que tout le monde qui devait me regarder pensait probablement que j'avais un gros mal de tête. Il semble avoir un peu trop de plaisir à me torturer, sans dire un seul mot je lui fais comprendre que j'ai tout les pouvoirs.

Je sors la clé de sous mon gilet pour la placer bien en évidence, puis je lui souris avant de commencer à manger. Il me fait un petit sourire et baisse les yeux.

Lorsqu'on rentre finalement chez nous, il redémarre la vibration en me disant qu'il veut me voir vraiment jouir. Je lui dit qu'il n'y est pas autorisé pour le moment. Son petit plaisir du jour est terminé!

Jour 14

Je prépare une vraie séance de tease and denial pour lui aujourd'hui. C'est son 3e jour de chasteté et il aura droit à un peu plus de stimulation visuelle que depuis les dernières semaines. J'enfile une paire de minuscules shorts en jeans très serré sous lesquels je ne porte rien. Une petite camisole croptop blanche et à moitié transparente complète mon ensemble.

Debout dans ma chambre, j'utilise la corde pour attacher les bras le long du corps de mon pauvre coloc chaste, puis il se dirige sur mon lit et se couche sans pouvoir utiliser ses bras.

Je débute par grimper sur son visage, face à lui et je l'autorise à embrasser et lécher mes shorts. Il étire son cou et je l'observe frotter son visage avec envie contre cette barrière physique qui lui empêche d'atteindre mon intimité. Après un moment je me recule pour me pencher vers l'avant. De cet angle je dépose mes seins contre son visage. Je place sa tête entre mes 2 seins à moitié découverts et je caresse son visage avec ceux-ci. Il grogne d'excitation.

Il est dans l'état d'esprit souhaité, je suis prête à lui offrir un défi supplémentaire. Je grimpe debout au dessus de son visage et tout doucement je fais glisser mon short le long de mes cuisses. Pour la première fois de sa vie, il a accès à la vue complète de mon cul et de ma chatte . Je descends à genoux au dessus de son visage et je le vois remonter sa tête avec sa langue sortie. D'une main je pousse sa tête sur l'oreiller en lui indiquant qu'il n'a pas le droit pour l'instant.

Je place ma vulve à quelques centimètres de sa bouche et je commence à me caresser. Il me fixe et en haletant. Tout doucement mes doigts parcourent mon intimité, je ne cherche pas la jouissance, mais seulement la position parfaite pour l'exciter visuellement.

Je me lève quelques centimètres plus haut et avec mon doigt je pointe le haut de ma cuisse en lui signifiant d'embrasser cet endroit sans sortir la langue. Je pointe partout autour de mon sexe, m'assurant de recevoir des baisers aussi près de mon intimité que possible. Je m'assure de ne pas lui donner accès à ma vulve.

Je me penche vers l'avant et l'autorise à embrasser mon pubis. Sa respiration est si forte et il a besoin de tout son contrôle pour ne pas lécher ma chatte.

Je me retourne, cette fois je lui présente mon cul. Dans cette position très exposée, je l'autorise à embrasser mes fesses et s'approcher de mon anus qu'il n'est pas autorisé à toucher pour l'instant. J'adore cette position, elle me permet de regarder son pauvre pénis à l'étroit dans sa cage qui pleure de désir. Après un moment je termine la session sans qu'il n'ait eu le droit de toucher à mon intimité.

Jour 15

Pour son 4e jour de chasteté, je prends une approche un peu différente. Celle de la patience. Il croit avoir droit à un plaisir plus intense que la veille, c'est plutôt un examen de sa patience qu'il obtient.

En soirée alors qu'il est sur le point de se coucher il me dit qu'il croyait avoir droit à la suite de la séance d'hier. Je lui dit que la patience est une vertue et que je pourrais le laisser réfléchir à cette dernière séance plusieurs jours...

Jour 16

Toute la soirée il semble anticiper une séance. Malheureusement pour lui, je veux vraiment voir sa patience et l'évolution de ses réactions suite à plusieurs jours sans acte sexuel.

Jour 17

Au réveil, il me paraît de mauvaise humeur. J'arrive à analyser que la privation de stimulation le frustre négativement alors que la privation d'orgasme le frustre positivement dans les bonnes conditions.

Voyant son humeur maussade, je décide de le faire rester bien chaste une journée supplémentaire.

Jour 18

C'est le 7e jour de sa chasteté forcée.

Je veux voir l'évolution de son excitation depuis les derniers jours. Je lui fais vivre à nouveau la séance du jour 14 sans rien changer. Je constate une différence. Sa frustration est de plus en plus grande et je dois l'avertir à de nombreuses reprises alors qu'il a la langue baladeuse et atteint de façon non autorisée mon sexe. Au 3e avertissement, je lui fais comprendre que je suis celle qui a tout le contrôle et je termine la séance.

Il me confie être frustré car je lui avais promis une libération après 7 jours de cage. Je lui fais comprendre que 7 jours ce n'était qu'un minimum et que son attitude des derniers jours ne me donne pas envie de le récompenser.

Jour 19

Au réveil, il s'excuse et dit avoir réfléchi. Est-ce qu'il veut me manipuler ou il est sincère? Je n'en suis pas certaine. Je suis cependant certaine d'une chose: Je ne peux pas lui en vouloir. Après tout j'ai réussi à convaincre mon colocataire de participer à une expérience qui implique de perdre le contrôle sur sa vie sexuelle et pendant laquelle il se retrouve enfermé dans une cage de chasteté!

Je n'ai pas l'intention de lui dévoiler que j'approuve sa perte de contrôle de la veille, mais si j'étais dans sa position je n'aurais pas été aussi collaborative!

Je n'ai pas l'intention de le libérer aujourd'hui, mais je compte bien m'amuser et le taquiner.

Je décide de porter la totale : Bas en nylon, porte-jarretelle, petite culotte en dentelle noire et soutien-gorge. Un ensemble de lingerie qui ne laisse que peu de place à l'imagination et qui est très sexy.

Alors qu'il se retrouve nu sur mon lit, je m'installe entre ses jambes et je lui offre un doux massage de ses testicules. Il gémit tout en me suppliant de le libérer. J'amplifie la situation et je commence à caresser ses couilles et sa cage avec mes pieds. Il ne cesse de me supplier et de gémir!

Je propose alors un choix cruel à mon pauvre homme presque chaste.

- Si tu acceptes de demeurer en cage encore sans te plaindre, je vais retirer ma petite culotte et caresser ma petite chatte contre ta queue pendant de très longues minutes.

Il accepte mon offre, c'est si facile de manipuler un homme aussi excité que lui! Je lui dit de me rejoindre au salon. Il s'installe sur le sofa, je lui demande d'écarter les jambes puis je fais glisser tout doucement ma petite culotte le long de mes cuisses. Je m'avance vers lui avant de me retourner et de me pencher. Mes fesses font contact avec sa cage et je fais de rapides mouvements de bassin qui le font gémir d'envie.

Après un moment, je me lève et je retire mon soutien-gorge. Cette fois je vais m'asseoir sur lui et son visage se retrouve entre mes seins. Je débute des mouvements de bassin de bas en haut. À chaque mouvement, je touche à sa cage pendant un court instant. Son sexe est plusieurs centimètres plus bas et le contact lui crée une stimulation axée sur le psychologique.

Je suppose qu'il n'arrive pas à sentir grand-chose sur son sexe, mais la position et le mouvement immite à la perfection celle d'une baise. La torture psychologique doit être très forte dans cette position.

Les gémissements de mon partenaire me laisse croire qu'il pourrait jouir ainsi. Je décide de modifier la position pour vérifier ma théorie. Je lui demande de s'agenouiller au sol et de garder ses mains dans son dos. Il doit demeurer immobile, je fais les mouvements.

Je vais devant lui le dos cambré et les pieds de chaque côté de ses cuisses, je remonte mon bassin et je débute un mouvement de vas et viens comme s'il me baisait doggy style. À tous les mouvements, je m'assure que ma chatte entre bien en contact avec sa cage de chasteté.

Je commence à gémir, comme s'il me faisait jouir en me baisant! Après une minute il me dit qu'il va jouir et avant que je ne puisse réagit il dit :Merde, trop tard!

Je décide de continuer le mouvement et je constate qu'il éjacule au sol avec un puissant orgasme ruiné dans sa cage. Je suis très surprise, je ne croyais pas qu'il était possible de jouir en cage aussi facilement et avec si peu de stimulation. Je croyais qu'une vibration intense serait nécessaire pour arriver à ce résultat.

Peut-être qu'une semaine sans avoir jouit a aidé à obtenir ce résultat. Une chose est certaine, je devrai étudier ce phénomène encore et encore. Je dois avouer que je trouve ça très excitant de savoir que je peux le faire jouir avec si peu de contact et sans même le libérer.

Il me reste à savoir si la frustration créée par un tel orgasme est positive ou non. Seul le temps et l'expérimentation va m'apporter cette réponse.

Jour 20

Pour bien débuter la journée, je le libère de sa cage de chasteté et je lui dis de se diriger sous la douche pour un nettoyage complet et pour se raser. Bien sûr, il doit demeurer bien sage et garder la porte bien ouverte.

Lorsqu'il revient au salon après sa douche, prêt à jouer ou à retourner dans sa cage, je lui réserve une petite surprise. Je lui dit de s'habiller et qu'il n'a pas besoin de sa cage aujourd'hui. Nous seront ensemble toute la journée, aucun risque de tricherie.

Après 20 jours de cage, je veux lui redonner un petit goût de liberté. Ainsi, il pourra se souvenir de tous les petits plaisirs qu'il a perdu depuis 3 semaines. Est-ce que ça va amplifier sa frustration lors du retour en cage ou sera t'il reconnaissant de ma générosité?

Nous allons faire les courses et au retour il y a malheureusement beaucoup de tâches ménagères à réaliser. Martin semble très motivé à bien nettoyer, je crois qu'il cherche à être le coloc parfait. Possiblement dans l'espoir que je sois généreuse avec lui?

Bien qu'il attend avec impatience une invitation à un peu d'excitation, je ne lui offre pas ce plaisir pour le moment. Lorsque vient le temps de se mettre au lit, je l'invite à se mettre nu et me rejoindre dans ma chambre.

Je lui dis de se coucher sur le lit, de mettre ses mains sous sa tête et de ne pas bouger quoi qu'il arrive. Je n'ai encore rien fait et il est déjà en érection. Je retire tous mes vêtements et je vais le rejoindre complètement nu.

Du bout des doigts, je parcours tout son corps tout en m'assurant de découvrir toutes ses zones érogènes. Je donne beaucoup d'attention à son bas ventre et je le caresse près de son sexe. Après une quinzaine de minutes de cette gentille torture, je lui fais une proposition.

- Tu préfères pouvoir me faire jouir avec ta langue pour la première fois ou tu aimerais mieux que je m'occupe de ton sexe avec ma langue?

- Suce moi par pitié!

- L'hésitation à été de courte durée! Très bien si c'est ce que tu souhaites. Je vais m'occuper de toi, cependant il n'y aura pas d'orgasme pour toi. Tu es dans l'obligation de me prévenir quand tu seras sur le point de jouir. Si tu as le malheur d'éjaculer, c'est la cage pour au moins 2 semaines. Bien compris?

Il grogne en me suppliant de ne pas faire ça. Alors qu'il se lamente, je lèche tout doucement la base de son sexe. Les lamentation se transforment très rapidement en gémissements de plaisir. C'est la première fois que ma bouche entre en contact avec son sexe et je suis persuadé qu'il en rêvait depuis bien longtemps.

Je m'assure de faire continuer le plaisir aussi longtemps que possible. Du bout de la langue je le titille tout doucement de la base en remontant vers son gland. Dès que je m'approche de son soft spot, je redescends. La stimulation semble très intense et il gémit à toutes les respirations.

Après 5 minutes de cette gentille torture, ma langue remonte vers son gland et je le lèche avec vigueur. Immédiatement et sans la moindre attente il doit me demander d'arrêter! Je lui souris, je place mes 2 mains sur ses cuisses et je le fixe droit dans les yeux.

- Ça ne fait que commencer. À toutes les fois que tu vas me prévenir que tu es sur le point de jouir, tu auras vingt secondes de pause. Je vais recommencer encore et encore et encore.

Je fais descendre ma langue de nouveau vers son sexe et la petite torture recommence. De bas en haut je le lèche sans cesse. Je remonte une fois de plus vers son gland et presque tout de suite il me dit d'arrêter. Mes mains posées sur ses cuisses, je compte jusqu'à vingt sans jamais détourner le regard de ses yeux.

Je recommence une deuxième, puis une troisième, une quatrième... Je perds le décompte du nombre de fois qu'il m'a dit d'arrêter. Nous sommes maintenant au point auquel il doit me demander d'arrêter après quelques coups de langue. Martin est exactement dans l'état d'excitation que je souhaitais!

Il gémit sans cesse, même lorsque je ne fais plus contact avec sa peau. Il me supplie, je crois qu'il est presque sur le point de pleurer tellement il souhaite jouir. Puis après une dernière stimulation et un autre arrêt je pose mes mains sur ses cuisses et je le fixe du regard sans rien dire, je ne compte pas et je souris.

- Est-ce que c'était agréable?

- Oui, pitié! Pitié! S'il te plaît continue!

- Non désolé, c'est la fin de la récréation.

- Pitié je ferai n'importe quoi si tu me fais jouir.

Je fais semblant de réfléchir quelques secondes.

- Ta proposition est intéressante, mais non! Désolé tu dois retourner en cage.

Je place la cage contre son gland et avec difficulté je fais entrer son sexe tranquillement dans la cage. Il a les mains sur la tête et semble découragé de la situation.

Après la mise en cage, comme une bonne et gentille dominatrice, je le console en lui disant que ça fait parti de l'étude et de notre accord.

Ce que je ne lui dis pas, c'est à quel point je commence à vraiment apprécier ce contrôle!

Jour 21

Je décide de permettre généreusement à mon sujet de recherche de participer activement à mon hygiène. Alors que je suis dans le bain, je l'invite à nettoyer tout mon corps de manière très professionnelle avec une éponge savonneuse. Laissez-moi vous confirmer qu'il a donné beaucoup d'attention à mes parties intimes!

Lorsque je sors du bain, il a la tâche de m'essuyer avec ma serviette. Dès que je suis sec, je lui demande tout bonnement en sachant très bien l'effet que mes paroles auront sur lui s'il aimerait manger mon cul.

Mes paroles sont vulgaires, ce n'est pas dans mes habitudes. Je suis cependant persuadé que dans son état d'esprit actuel, c'est exactement le genre de choses qu'il souhaite entendre. Il me regarde avec les yeux ronds et je vois son sexe gonfler dans sa cage. Je lui fais signe de me suivre et je grimpe sur mon lit avant de me mettre à quatre pattes et de lui présenter mes fesses biens propres.

- Vas-y je sais que tu en rêves. Manges mon cul! Si tu fais un bon travail, peut-être que tu pourras éventuellement avoir accès à ma douce et petite chatte!

Après avoir grogné comme un animal, il enfonce son visage entre mes fesses. Sa langue titille tout doucement mon anus et immédiatement je gémis de plaisir. C'est la première fois qu'un homme consacre toute son attention à cette partie de mon anatomie.

La sensation de sa langue contre mon anus me fait gémir, mon excitation atteint rapidement son apogée. Mon torse est plaqué contre le lit et pendant qu'il me mange avec appétit, je commence à caresser avec vigueur mon clitoris. Quelques minutes plus tard, j'arrive à jouir d'un des orgasmes les plus puissants que je n'ai jamais vécu.

Je m'effondre sur le ventre. Après avoir repris mes sens, je demande à Martin s'il avait déjà fait ça.

- Oui, ma langue a déjà léché des fesses, mais normalement elle terminait son travail contre une chatte!

- Et est-ce qu'on t'a déjà mangé le cul à toi?

- Non...

- Tu aimerais?

- Je ne sais pas. Si tu m'avais demandé la question il y a quelques semaines j'aurais dit non, maintenant je ne sais pas.

Je note sa réponse pour un usage futur.

Note à moi-même : Manger mes fesses lui procure une forte sensation de plaisir positif.

Jour 22

Après l'intensité des derniers jours, je lui accorde une pause de toute forme de stimulation.

Jour 23

Je sais qu'il rêve d'être stimulé, mais la chasteté c'est la chasteté. Il me demande si j'ai l'intention de lui permettre de me faire jouir bientôt. Je lui souris sans vraiment répondre

Jour 24