Révolte 06: Un An Déjà!

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- Le reste.

Aline porte une culotte sage. Elle la descend en tremblant. La prof à une luxuriante toison blonde, à peine entretenu. Le colonel note que là aussi tout est bronzé.

- Tu fais du nudisme la pute?

- Oui.

- De l'échangisme aussi?

- Non, je suis fidèle à mon mari! Je ne suis pas une femme facile!

- Bien, mais femme facile je pense que tu va le devenir. Sinon tu as déjà été enculée.

La prof baisse la tête, ne répond pas. Son élève la gifle.

- Répond!

Aline pleure plus fort, mais elle répond.

- Oui, monsieur.

- Souvent?

- Non, non. Une dizaine de fois. Pas plus.

- Bien, tu dois être encore serrée. Ta dernière sodomie c'est quand?

- Je... je dirais... un an...

- Cool, des enfants?

- Non, aucun.

- Pourquoi, l'école t'a dégoûtée des gamins?

- Non, mon mari est stérile...

- Bien, allez le jeune, reprend où tu en étais.

Il hésite à doigté la femme. Il renonce.

- A genoux.

La prof obéit. Il baisse sa braguette, sortant un engin de belle taille.

- Suce!

Complètement terrorisée par le soldat, Aline ne cherche même pas à résister. Elle attrape la bite molle de son enlève dans sa main droite.

- Sans les mains! C'est plus marrant!

C'est le colonel qui vient de donner l'ordre. Aline lâche alors le sexe masculin. Elle ouvre la bouche, l'avale. La prof le caresse de la langue, le résultat est immédiat, l'engin devient immédiatement dur. Alors Aline referme ses lèvres autour du pieu. Elle commence à aller-et-venir le long de l'engin. En moins de trois minutes, le jeune jouit dans la bouche de sa prof. Il se retire. Aline met alors ses mains en bol et recrache le sperme dedans. L'élève se remonte caleçon et bermuda et recule. Aline ne sait pas quoi faire du sa semence.

- Étale-la sur tes seins!

L'ordre vient encore du colonel. Aline obéit, avec dégoût elle étale la semence sur sa poitrine.

- Bien, allez les jeunes, vous pouvez tous allez vous faire sucer.

Tout les élèves sont puceau, ils sont trop heureux de pouvoir connaître leurs première pipe. Heureusement pour Aline, il ne dure pas plus de cinq minutes pour le plus long dans sa bouche. La moyenne étant de trois minutes.

Les vingt-cinq élèves sont passé. Certains ont jouit dans sa bouche, la forçant soit à avalé, soit à recraché le sperme, soit à l'étalé sur une partie de son corps. Elle en a sur les cuisses, le sexe, les fesses. Elle a un petit cul un peu plat, mais tellement bandant. D'autres lui ont giclé sur les cheveux, le visage, les lunettes. Ensuite c'est le colonel qu'elle a dut sucer. Excité par le spectacle, lui aussi n'a pas duré longtemps. C'est le seul à lui violé la gorge, jouissant directement dans son œsophage.

Une fois tous vidé une première fois, Aline reste à genoux, attendant la suite de son calvaire. Le colonel reprend les choses en mains.

- Les jeune, on arrête, ou on continue? On vote à main levées.

Tous lève la main.

- OK, une autre séance de pipe, ou on passe à la chatte? Allez, ce qui veulent la chatte, lève la main.

Encore une fois toutes les mains se lèvent. Le colonel regarde Aline.

- Tu es ménopausée?

- Non, non, pas encore... Je n'ai que quarante-deux ans...

- Tu fais plus. Bref, allez, assis-toi sur ton bureau, vagin au bord, cuisses écartées que l'on puisse te baiser.

Pour éviter tout supplique, il met de nouveau la main sur la crosse de son arme. Aline se lève d'un bond, comprenant le message. Elle s'assoit sur son bureau, fesse sur le bord, cuisse écartées. C'est le premier élève qu'elle a sucée qui va passer en premier.

De sa main droite, la prof doit le branler, quand il est bien dur, il tape sur la main de la blonde pour qu'elle le lâche. Il se met entre ses cuisses, et la pénètre. Aline crie de douleur, tant l'engin blesse son vagin aride. Surtout que le jeune y est allé d'un coup. Il se met à la prendre à grande vitesse, la faisant crier sans arrêt. Cette fois il dure plus longtemps avant de gicler en elle. Tout les élèves la violeront de cette façon, la faisant un peu saigner, tant ils y vont fort. Mais rien de grave. Les derniers l'on faîtes mettre à plat-ventre sur le bureau, pied au sol, lui faisant écarter ses fesses à l'aide de ses mains. Tout le temps de ses multiples viols, Aline n'a fait que hurler. Son corps est couvert de sueur, ses cuisses de sperme. Elle en a jusque au mollet, tellement les éjaculations ont été abondante. Le colonel passe en dernier. Lui la défoncera longtemps, avant d'éjaculer dans son ventre.

Ensuite, ils l'ont faîtes rester comme ça. Tous l'ont enculée. Tous ont craché leurs foutre dans ses entailles. Même le colonel. A la fin, Aline, épuisée, gît sur le bureau, dégorgeant de sperme de son anus et de son vagin. Le colonel regarde les élèves.

- Elle est à vous, faîtes en ce que vous voulez!

Aline est restée une semaine dans sa classe, devenue le jouet sexuelle de ses élèves. Maintenant elle est toujours au lycée, au sous-sol, dans une grande pièce. Avec d'autres prof et certaines élèves, elle sert de vide-couilles à tout les élèves. Elle est tombée enceinte, d'une jolie petite métisse. Quelques semaines après son accouchement la prof fut ménopausée...

Le colonel pose le micro. Le public applaudit. Le suivant est un garde-côte, c'est le capitaine d'un bateau. Comme pour le colonel, j'ai retranscrit ce qu'il raconte à la première personne.

Jérémy avait prit le large dés que les informations de la révolution lui était parvenu aux oreilles. Surtout les exactions des révoltés. Il vit sur un petit voilier avec Émeline, sa petite amie. Ils ont vingt ans tout les deux. Jeanne la mère d'Émeline se trouve à bord elle aussi. Ils étaient en train de prendre l'apéro quand la nouvelle est tombée à la radio. La mère avait hésité, son mari était resté chez eux, avec les deux autres filles du couple, ainsi que des amis. Mais finalement devant l'urgence de la situation, elle avait décidée de suivre sa fille et son gendre. Jérémy est un beau garçon blond, les cheveux long, il est assez efféminé, ce qui fait son succès auprès de la gente féminine. Depuis son premier rapport à l'âge de quinze, on ne compte plus ses conquêtes, filles de son âge ou femme plus mature. Jusque à sa rencontre avec Émeline dont il est tombé éperdument amoureux deux ans plus tôt. La seule à qui il a été fidèle.

Jérémy les a fait descendre dans une des deux cabines du voilier. Pensant que les militaires, douaniers où il ne sait quoi, ne perdrais pas de temps à arraisonner un bateau barrer par un seul homme, cherchant plutôt des femmes à agresser. Il se maudit de ne pas avoir pris un bateau avec un moteur. Voulant, lors de son achat, jouer les puristes de la voile. Il y a peu de vent, l'embarcation n'avance pas vite. Mais il réussit néanmoins à quitter le port. Si il a fait caché les filles, c'est que la radio prévient que de nombreuses scènes de viols jalonnent le pays. Puis il entend la présentatrice criée que les révoltés sont là, quelques secondes après la radio n'émet plus.

Le voilier commence à être à bonne distance du port. Jérémy est rassuré, ils ont une chance. La nuit est complètement noire, il ne voit pas loin. Il s'apprête à appeler sa petite amie, et la maman de celle-ci pour leurs annoncer que leur évasion est réussit, quand tout à coup des puissantes lumières éclaire la mer. Jérémy reconnaît immédiatement un bateau de gardes-côte. Il n'a aucune chance de les distancer. Ces salopard guettent les bateaux s'échappant dans le noir le plus absolu. D'autres éclairent aussi d'autres embarcation. Le bateau des gardes-côtes avance jusque à se coller contre le voilier. Il est dix fois plus grand. Des hommes armés le visent. Des points rouge apparaissent sur sa poitrine. Une voix résonne.

- Ici le Capitaine Midoul, commandant de ce navire. Éloignez-vous de la barre. Mes hommes n'hésiterons pas à tirer.

Jérémy comprend qu'il ne peut rien faire. Il s'éloigne de la barre, les mains en l'air. Une dizaines de marins montent sur le pont. Ainsi que le commandant du bateau des gardes-côtes.

- Vous êtes seul?

Jérémy hésite, mais il voit que des marins visent l'intérieur des cabines.

- Non, ma petite amie et sa mère sont en bas.

- Bien, dîtes-leurs de monter les mains en l'air, sinon je dis à mes hommes de canarder.

Jérémy n'a pas le choix.

- Émeline! Jeanne! Montez les mains en l'air, sinon ils vont tirer.

Deux minutes après, les deux femmes montent les marches. Elles sont toujours en maillots de bains.

- Bien, il n'y a personne d'autres?

- Non, personnes.

- OK, vous allez monter à bord de mon bateau. Mes hommes vont ramener le votre au port. Mais avant on le fouille, si on trouve une seule autre personne, on vous abats tous.

Jérémy voit que le capitaine ne rigole pas.

- Je vous l'assure, il n'y a personne d'autres.

Trois marins descendent, ils remontent une demi-heure après.

- Il a dit vrai, il n'y a personne.

Jérémie, Jeanne et Émeline sont donc transborder. Le bateau des gardes-côtes prend alors la direction du port, suivit par le voilier.

Le capitaine Midoul, grand black est content de lui. Quinze bateau ont été intercepté par lui et ses homme cette nuit là. Il rentre au port avec les derniers captifs. Les autres ayant été transbordés à bord d'un bateau de transport de l'armée, leurs bateaux pris en charge par leurs marins. Ceux-là sont sa prime. A lui et à ses hommes.

Le bateau est amarré dans la partie du port réservée aux gardes-côtes. Mais ni le capitaine, ni aucun des vingt membres d'équipage ne descend. Tous sont dans la soute. Avec les prisonnier. Ils entourent le trio qui ne sait pas ce qui les attends. Jeanne, dont les seins énormes tendent son maillot rose, une pièce, pressent que cela ne va pas être bon pour eux. La femme est ronde, blonde aux cheveux court, elle a cinquante ans et est très bandante. Jérémy lui est en short et tee-shirt. Enfin, Émeline, aussi blonde que sa mère, porte un petit bikini jaune. Le haut, sans bretelle, compresse sa poitrine aussi grosse que celle de sa mère. On a même l'impression que le soutien-gorge du maillot va éclater sous la pression des seins volumineux de Émeline. Quand au bas du bikini, c'est un petit string, dont la ficelle rentre complètement dans la raie des fesses de sa propriétaire, donnant l'impression qu'elle est cul nu. Le devant cache à peine le sexe de la fille. Le spectacle des deux femmes en tenue de bain excitent le capitaine et son équipage.

- Allez, tous à poils. Et obéissez si vous voulez vivre!

Le ton ne laisse aucun doute quand à la véracité de ses paroles. Jérémy est le premier à obéir. Il se met nu, il a un sexe de taille normal. Les marins le regrettent, ils ne pourront pas ce moquer de ce gars si efféminé. C'est ensuite au tour de Jeanne de se déshabiller. Ses seins énormes et tombant font halluciner les hommes. Ils ne voient qu'eux, ne remarquant presque pas son cul, certes gros, mais très bandant, ni son sexe totalement épilé.

Puis vient le tour de Émeline, une fois nue, ils sont tous estomaqué par son corps de déesse. Un cul bombé et ferme, un corps musclé, un ventre plat. Mais surtout ses seins énormes, mais si ferme. Elle n'a qu'un petit trait de poils blond sur le sexe. Les hommes se jetteraient bien sur elle, pour lui faire subir les derniers outrages. Les premiers aussi, d'ailleurs. Mais le capitaine à un autre plan. D'abord faire violer la mère. Pour que la fille puisse voir l'horrible sort qui l'attend. Il envoi d'ailleurs un de ses marins, chercher d'autre gardes-côtes, il faut plus de monde. Il veut faire massacrer ses deux chiennes blanche à coups de bites. Dix minutes plus tard, il y a près de cinquante hommes en plus. Le capitaine Midoul estime qu'il y en a bien assez.Surtout que au rythme des départs et des prises de postes, le nombre d'hommes risquent rapidement augmenter. Il s'approche de Émeline, qui grogne quand il lui caresse la joue.

- Regarde bien ce qu'il va arriver. Ensuite ce sera ton tour, et pour toi ce sera pire, bien pire.

Émeline, terrorisée, ne répond pas. Midoul regarde les hommes.

- Allez-y, la vieille est à vous, mais pour l'instant pas touche à la jeune.

Le capitaine n'a pas besoin de se répéter. Jeanne est jetée à terre, sur le dos. Deux marins lui maintiennent les bras en croix. Un troisième s'installe entre ses cuisses, et la viole aussitôt. Jeanne hurle de douleur. Le marin redresse la tête.

- Elle est encore serrée cette pute!

Émeline regarde avec épouvante le viol de sa mère. Surtout que ensuite ce sera à elle d'y passer. Et à entendre les cris de sa mère, cela doit-être encore plus douloureux que ce que Émeline s'imagine. Le gars qui force sa mère, augmente rapidement le rythme de ses coups de reins, avant de se vider en elle en criant. Deux autres hommes violent ensuite Jeanne de la même façon. Mais elle cesse de crier au milieu du deuxième viole, se contentant de subir en silence. Pour ne pas les excités plus, pense sa fille.

Le quatrième la fait mettre à quatre pattes, il la viole en levrette. Les gars hallucine, dans cette position les seins de la femme touche le sol. Sa paire de sein est vraiment énorme, mais surtout tombante... Jeanne se remet alors à crier. Mais au grand désarroi de sa fille, cette fois ce n'est pas de douleur. Sa mère prend plaisir à se faire prendre. En effet, Jeanne qui a toujours aimé le sexe violent, prend son pied. Quand l'homme se vide en elle, lui arrachant un orgasme, Jeanne en demande aussitôt un autre dès qu'il se retire. Elle demande même une bite à sucer. Émeline est outrée, sa mère n'est ni alcoolisée, ni droguée. Elle est juste une salope, une putain qui jouit quand on la viole.

Après quinze mecs dans la chatte et autant d'orgasmes, Jeanne demande qu'on l'encule. Quand un nouveau marin la sodomise, elle hurle de plaisir. Puis après deux nouvelles enculages, elle demande des triplettes. Précisant bien qu'elle en veut une dans la chatte, une dans le cul et une dans la bouche.

Mais un hurlement horrible fait se retourner Émeline. Un marin, lassé d'attendre, vient de faire mettre Jérémy à quatre pattes et l'encule. Son petit copain, le visage déformé par la douleur, hurle comme un dément. Mais déjà une file de marin se forme. La jeune femme comprend qu'il va en prendre plein le cul. Mais au deuxième viol, lui aussi se met à crier de joie. Avec horreur, Émeline comprend que son petit ami est un pédé refoulé. Surtout quand il demande à sucer des bites en plus, et qu'on l'encule plus fort. Émeline manque s'évanouir. Elle comprend mieux, maintenant, pourquoi, il tient surtout à la sodomiser, plutôt que de la baiser par devant.

Le pire c'est que Jérémy bande tout le temps où il se fait enculer, éjaculant même une fois sur le sol, sans que rien, ni personne ne touche sa bite. A un autre moment, Émeline voit sa mère et Jérémy baiser ensemble. Jérémy est comme fou, il baise Jeanne par tout les trous. La baisant comme jamais il ne l'a fait avec elle. Jeanne crie de plaisir comme une malade, tandis que Jérémy hurle son orgasme quand il éjacule. Finalement, Émeline se dit, avec dégoût, que son petit ami, n'est peut-être pas que homo, mais bisexuel. En tout cas, ces sauvages, semblent avoir montré leurs vrai nature à sa mère et son chéri.

Puis un Émeline sent une main se poser sur son épaule. La jeune blonde tourne la tête, c'est le capitaine Midoul, il est nu, le sexe droit.

- Joli spectacle hein?

La jeune blonde ne répond pas, aux bords des larmes.

- C'est surprenant, je ne m'attendais vraiment pas à ça.

Une fois de plus Émeline ne répond pas.

- Maintenant c'est ton tour, on va voir si tu es aussi déviante qu'eux.

La jeune femme va pour lui répondre, mais elle n'y arrive pas. D'un balayage simple, il vient de l'envoyer au sol. Elle n'a pas le temps de bouger que déjà le capitaine est couché sur elle. L'instant d'après Émeline pousse un long et guttural hurlement de douleur. Il vient de la pénétrer d'un seul coup, en entier.

- Putain, tu es serrée toi!

Il se met alors à la violer comme un sauvage, la détruisant de sa bite. Ses seins splendide et énorme bougent dans tout les sens. La jeune blonde tente de se débattre, mais deux mains lui remonte les bras au dessus de sa tête, l'immobilisant par les poignets. Tout en pleurant et hurlant, elle jette un regard sur la personne qui vient aider son bourreau. Émeline se met à hurler plus fort. C'est Jérémy, tout en se faisant bourrer par un soldat, qui vient aider le capitaine.

Son violeur y va fort, très fort.

- Putain tu es vraiment bonne toi!

La pauvresse pense devenir folle, tant la douleur qui provient de son sexe est intense, puissante, lancinante. Ses hurlements monte crescendo au rythme de son viol. Puis une voix résonne.

- Ta gueule, tu vas voir, tu va apprendre à aimer ça, espèce de petite putain!

C'est une voix de femme, celle de sa propre mère.

- Je vais te faire taire, tu me vrille les tympans, je ne peux même plus me faire baiser en paix!

Sa mère colle alors ses lèvres sur la bouche de Émeline, lui roulant une pelle, faisant ainsi cesser partiellement ses cris, qui meurt dans la bouche et la gorge de sa génitrice.

L'horreur est absolu pour Émeline, violer par le capitaine, aidé par sa mère et son petit ami. Elle pense que le summum est atteint quand il jouit en elle. Mais le pire arrive ensuite. On la fait mettre à quatre pattes. Le capitaine l'encule d'un seul coup. Heureusement pour elle que Jérémy prend souvent cette voie, sinon la pauvre blonde aurait été gravement déchirée. Les hurlements de la jeunette reprennent alors à l'air libre. Pour la faire taire, sa mère s'allonge devant elle, cuisse écartées. Jeanne attrape la tête de sa fille et la plaque contre son sexe, cette dernière est alors contrainte de lécher la chatte à sa main qui dégorge abondamment de semence masculine.

Tout les hommes baiseront et enculeront Émeline. Y compris Jérémy. Même sa mère passera sur elle. Avec un énorme gode ceinture, trouvé on ne sait où, Jeanne violera et sodomisera sa propre enfant, ayant plusieurs orgasmes déclenché par les cris et les ruades de sa fille.

Le capitaine Midoul finit sa conférence de cette façon.

- Émeline est dans un bordel d'abattage de la capitale, avec une cinquantaine d'autres prisonnières. Elle est enceinte de huit mois, ce sera son premier enfant. Ce sont sa mère et Jérémy qui tienne ce bordel. Et je peux vous dire qu'ils sont bien pire que nous dans la gestion des femelles qui s'y trouvent. Aux dernières nouvelles, de nombreux jeune prisonniers majeurs masculin passe aussi là-bas, je peux vous assurer que Jérémy les transforme rapidement en petite putain.

Les spectateurs applaudissent. D'autres officiers supérieurs viendront ensuite pour raconter toutes les atrocités que subirent les étrangers lors de la révolte, et qu'ils subissent encore maintenant.

Plus loin dans le bâtiment abritant le congrès, se trouve une pièce immense. Il y a des dizaines de petites tables avec deux chaises. À chaque table, un psy, un infirmier ou un médecin, qui reçoit d'anciens révolutionnaires, un par un. Tous les anciens combattants ont été convoqués par le gouvernement. Dans le but de savoir comment ils vivent l'après-révolution, si ils ne souffrent pas d'un syndrome de stress post-traumatique ou d'autre problème psy, après ce qu'ils ont fait ou vu pendant la révolte et les semaines suivante. Bien entendu, cela n'a pas un but pénal, mais un but sanitaire, afin de savoir si il faut lancer une grande campagne de soutien psychologique pour tout les révolutionnaire ou pas. De partout dans le pays de telle opération ont lieu.

Sankara Diolla, est un psy pakistanais, c'est lui que nous allons suivre. Son premier rendez-vous est un grand black en tenue militaire. Il est jeune, vingt ans, il est caporal-chef dans l'armée de terre. Il se nomme Momo Abda. Après les salutation coutumière, le psy le fait asseoir. Il lui pose quelques questions pour voir sa situation actuelle, autant psychologique, que privé ou professionnel. Sankara regarde alors Momo.