Révolte 06: Un An Déjà!

BÊTA PUBLIQUE

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- Bien, je vais enregistré la conversation, qui sera et restera anonyme et couvert du secret professionnel. Êtes-vous d'accord?

- Oui, je n'ai rien à caché.

- Parfait, racontez-moi alors comment c'est passé pour vous la nuit de la libération, et ensuite la grande purge.

Momo était alors seulement caporal. Il est basé à une des bases militaire de la capital. Les officiers ont fait, quelques jours auparavant, un sondage discret pour savoir quels hommes étaient prêt à prendre part à la révolution. Un seul était contre. Il a été mis aux arrêts dés le début. Les objectifs ont été donné à tous. Momo et quatre simple soldat eurent pour objectif de prendre une villa. A priori aucun risque de résistance. Étant le seul gradé, même si il a le grade militaire le plus bas, Momo en serait le chef. La maison se trouve dans les beaux quartiers. Chacune est la cible d'un commando de cinq soldats. Momo et ses hommes escaladent facilement le mur d'enceinte de la villa. La cible est une certaine Myriam Chiba et sa fille Léonie. Ce sont deux américaines. La mère, quarante ans, est juge. La fille dix-huit ans, est étudiante en droit. La mère est surnommée le pitbull. Elle a fait condamner, à de très lourde peine, des milliers de jeunes Anglefricains pour des petits délits ne méritant même pas une amende. Par exemple, le dernier à prit cinq ans pour le vol d'un paquet de chips dans un supermarché. A chaque condamnation, elle touche une jolie prime de la part de la société gérant les prisons privé. C'est comme cela qu'elle a put acheter sa villa et l'équiper entièrement. Sans parler des centaines de milliers de dollars qui sont planqué dans un compte en banque situé dans un paradis fiscal. En en parlant, ce sont des milliards d'euros que le nouveau gouvernement récupérera en saisissant ces comptes.

Comme toutes les alarmes du pays, celles de la villa que va prendre d'assaut Momo a eut l'alarme coupée à distance. C'est une belle villa d'architecte de plein-pieds. Momo crochète la porte d'entrée. Ils se déploient dans la maison, ouvrant silencieusement chacune des portes. Ils se retrouvent ensuite dans le salon pour faire le point. Il s'avère qu'il y a seulement deux occupantes. Comme prévu. Tout doit se dérouler sans bruit. Chaque homme sait quoi faire. Un se met en protection devant la porte d'entrée, le second devant la véranda du salon. Deux devront maîtrisée Léonie, Momo s'occupera de Myriam. Ils sortent leurs couteaux de combats. Ils ne font pas trop attention aux bruits, comme de coutume dans les belles constructions, les pièces sont complètement insonorisées.

Momo ouvre la porte de la chambre de la juge. En la refermant, il voit ses deux compère faire de même avec celle de la fille. La nuit est chaude, Momo entend le doux ronronnement de la clim. Il voit que c'est du très haut-de-gamme, bien loin du bruit de moteur lancé à plein régime de la sienne. La pénombre règne, il laisse ses yeux s'habituer à la nuit. Il allume la lampe sur la table de chevet. La lumière est faible, la juge ne se réveille pas, elle ne bouge même pas.

Momo en bande directe, la pute dort nue. Elle est sur le ventre, un bras replié sur son dos. Il peut voir son adorable petit cul, assez bandant bien que un peu plat. Surtout en comparaison des cul des blacks qu'il se tape habituellement. La juge à les jambes légèrement écartées, il peut voir sa vulve toute rose. Il se dit que pour en avoir une aussi fraîche, elle n'a pas dut copuler souvent. Pour une brune elle a la peau claire, il espère qu'elle aura de gros seins, c'est le pêché mignon du caporal. Momo pose son fusil d'assaut contre le mur. Il sort une menotte de la poche de son pantalon. Il range son couteau de combat, tout en le tenant prêt à sortir. Il ouvre les menottes. Il le referme doucement autour du poignet situé dans le dos de la juge. Myriam grogne un peu quand la menotte se referme sur son poignet, mais ne se réveille pas. Pourtant il a serré, elle doit avoir le sommeil drôlement lourd. En fait Myriam prend un somnifère léger pour dormir. L'autre bras de la femme est le long de son corps. Momo l'attrape, le lui rabattant dans le dos. Quand l'autre bracelet de la menotte se referme dessus, Myriam sort enfin de son sommeil. Mais avant qu'elle ne soit totalement réveillée, Momo lui a aussi menottée les chevilles.

Dans la chambre d'en face, les deux soldats ont aussi allumé la lampe de chevet. Léonie dort. Elle porte un string et un tee-shirt. Contrairement à sa mère, elle est couchée sur le dos. C'est une belle brune, à la peau bronzée. Elle est mince, avec des petits seins, petit renflements qui soulève à peine son tee-shirt. Eux-aussi savent ce qu'ils doivent et peuvent faire. Ils se synchronise. Quand le premier relève les bras de Léonie, les lui menottant aux poignets de son lit, le second se couche sur elle. Au préalable ils se sont mis tout deux nus. Léonie se réveille en criant, sentant ses poignets menottés et un corps se couchant sur elle. Mais la jeune fille de dix-huit ans à a peine le temps de sortir du sommeil, qu'elle sent un membre de belle taille rentrer dans son corps. Elle a déjà eut des relations sexuel, mais là, l'engin fait au moins le double du plus gros sexe qui l'est pénétrée. Alors Léonie se met à crier de douleur, quand son violeur commence à faire aller-et-venir son pieu dans son vagin.

Myriam essaie de se débattre, mais l'homme est trop fort, en plus menottée comme elle l'est, elle ne peut donner aucun coups, seulement des ruades.

- Laissez-moi! Vous ne savez pas qui je suis!

- Si je sais madame la juge!

- Alors partez de suite! Je vous enverrais en prison pour longtemps, donnez-vous une chance de vous échapper!

- Vous n'êtes plus rien, madame, c'est la révolution! Je suis ici pour vous arrêtez!

Au mots de l'homme, Myriam comprend que ça va être l'heure de payer l'addition.

Il la fait se lever du lit.

- S'il-vous-plaît, laissez-moi m'habiller... Je ne peux pas sortir nue...

- Pour l'instant on ne sors pas. On va voir ta fille.

- Ma fille? Mais elle n'y est pour rien!

- C'est les ordres, puis pour nous elle est complice, donc elle va prendre autant que toi.

Myriam comprend alors que sa fille va payer l'addition avec elle. Quand le caporal-chef la pousse vers la porte de sa chambre, Myriam se laisse faire et avance.

Ils se retrouvent dans le couloir. Momo prend son talkie-walkie et parles dedans.

- Maison sous contrôle, vous pouvez venir.

Deux minutes plus tard, les deux soldats coupant les sorties le rejoignent. Ils ouvrent de grands yeux d'envie en voyant le corps et le visage parfait de Myriam.

Momo tient Myriam dans le dos, par les poignets. Un des soldats ouvrent la porte de la chambre de sa fille. Aussitôt le sang de Myriam se glace dans ses veines, elle comprend immédiatement ce qu'il se passe dedans. Sans voir le lit de sa fille. Les cris qu'elle pousse, entrecoupés de halètement ne laisse aucun doute, on est en train de la violée.

- Bande de fils de pute! Laissez-là! Laissez-là!

La lame du couteau de Momo sous sa gorge la calme immédiatement.

- Ne sois pas jalouse, après ce sera toi!

Myriam ne répond pas. La peur l'envahit.

- Allez, on entre, on va voir un peu ce qui se passe là-dedans.

Les deux soldats qui ont gardés les portes entrent en premier. Suivit de Myriam et Momo. Le spectacle qui s'offre à elle révulse la juge.

Sa fille, menottée au barreau du lit, est couchée sur le dos, cuisses écartées. Sur elle, un grand noir la viole. Le visage de Léonie est déformée par la douleur, elle est en larmes. L'homme s'active puissamment sur le corps de sa fille. Myriam se retourne vers Momo.

- Pitié, baisez-moi, mais laissez-là!

- Oh non, on va te baiser aussi, ne t'en fais pas, mais ta fille, on la laisse pas, on n'en est que au début. On va tous vous prendre et après il y en aura d'autres, beaucoup d'autres qui vous aurons aussi. Et par tout vos trous de putain d'exploitante.

Momo met à genoux Myriam. Il l'oblige à regarder le viol de sa fille. Quand dix minutes plus tard, le black se met à aller-et-venir de plus en plus vite, la mère comprend qu'il va jouir dans le corps de sa fille. Léonie crie plus fort, plus vite. Puis le silence règne, il vient de se ficher complètement en elle. Se vidant dans le corps de sa victime. Quand il se retire, Myriam voit le vagin de sa fille grand ouvert dégorgeant de sperme.

L'autre soldat, celui qui était déjà dans la chambre quand Myriam et les autres sont rentrés grimpe sur le lit. Il se couche lui aussi sur le corps d'une Léonie sanglotante, qui se remet à crier dès qu'il la pénètre. Momo descend sa braguette et sort un sexe de belle taille. Enfin qui serait de belle taille pour un blanc, mais de taille normal pour un black. Il fait ouvrir la bouche de Myriam en lui pinçant le nez. Il y enfourne aussitôt sa bite, lui forçant la gorge. Myriam manque vomir, elle se retient au dernier moment. Pour éviter toutes violences la juge préfère coopérer, aussi dur cela soit-il pour elle. Alors, en pleurant, elle referme doucement ses lèvres sur le Priape violateur. Elle se met alors à faire coulisser sa bouche le long du membre, se servant de sa langue.

Momo qui n'a pas baisé depuis deux semaine est sensible à la pipe de Myriam. Il pense « elle sait y faire cette chienne ». En effet Myriam retire sa tête jusque à ne garder que le gland dans sa cavité buccale, avant de coulisser, jusque à le prendre en entier en bouche et en gorge. Elle lui fait cela pendant pratiquement cinq longues minutes. Voyant qu'il est sensible à sa pipe, elle décide d'envoyer du lourd. La juge plonge son regard emplit de larmes dans les yeux de son bourreau. Elle saisit le membre et le ressort de sa bouche. La belle brune ouvre alors grand la bouche, elle tire la langue au maximum, et elle fait aller-et-venir la bite du caporal-chef le long de son organe lingual. Tout en lui massant les couilles de son autre main. Myriam à l'impression d'être une vulgaire putain, une de celle qu'elle a fait condamner si souvent, mais si son viol se termine plus vite, elle se dit que le jeu en vaudra la chandelle. Le résultat ne tarde pas. En grognant, il se vide sur sa langue. Un fois les jets fini, Myriam retire sa tête, sans lâcher la bite. Elle referme la bouche, avale le sperme avec une grimace de dégoût, et ouvre de nouveau sa cavité buccale. Montrant ainsi qu'elle a avalée tout le sperme. Puis, du bout de la langue, elle lèche les deux ou trois gouttes de sperme qui reste sur la gland du black.

Mais à son grand désarroi, la bite du mâle est encore dure, ce qui signifie qu'il ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Momo lui caresse le haut du crâne, comme on flatte un chien.

- C'est bien, tu es une bonne pute.

Il ne lui laisse pas le temps de répondre, il la soulève par les cheveux et la plaque au mur. Tandis que pendant ce temps, le deuxième violeur de Léonie se vide en elle. A peine sortit le troisième soldat prend sa place dans le vagin emplit de semence de la malheureuse.

Myriam est debout contre le mur. Les bras tendu en croix, comme si elle était crucifié. Les seins et le ventre écrasé contre le ciment, tout comme sa joue droite. Momo se plaque contre elle. La juge pense qu'il va lui violer la chatte. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle se dit que la position va être peu agréable pour lui. Mais au lieu de cela, le braquemart se place entre ses fesses, contre son anus. Elle a déjà été sodomisée, mais une seule fois à sec. Elle n'a pas put s'asseoir pendant une semaine, alors que la bite de son amant de l'époque était beaucoup plus petite. Toutes les autres fois, elle a utilisée du lubrifiant. Là, enculer à sec, par un membre aussi gros, la juge sait qu'elle va vraiment déguster. Mais elle ne fera pas le plaisir à son bourreau de le supplier. Elle hurlera, certes, mais rien de plus.

Alors quand la bite commence à forcer pour rentrer, Myriam serre les dents. Tout en priant le seigneur pour qu'elle tienne le coup. Elle serre son anus pour éviter ce viol horrible qui s'annonce. Mais c'est vain. Le gland fini par entrer dans le conduit si étroit. La douleur est atroce, Myriam hurle comme une folle, ses doigts grattent le mur, comme si elle voulait les y planter. Lentement le caporal-chef fait entrer sa bite bien trop grosse, dans l'étroit conduit complètement contracté. La violence de la douleur est telle, que Myriam oublie toutes ses résolutions.

- Pitié, arrêtez!!! Je vous en supplie... Baisez-moi!!! Baisez-moi!!!

Myriam entend Momo ricané derrière elle.

- Mais je vais te baiser, sale pute. Seulement, avant, je t'encule!

Myriam répondit dans un hurlement, son bourreau vient de s'enfoncer en entier dans son anus. Quand il se met à faire coulisser son pieu dans son anus, les hurlements de Myriam monte d'un octave. Rejoignant ceux de sa fille, que les autres soldats viennent de retourner et de sodomiser à leurs tour. Le reste de la nuit sera un enfer sexuel pour la mère et la fille. Tout y passera, double péné, triple péné et même quadruple péné. Sans parler des fists, et d'insertions de tout objet pouvant entrer dans leurs orifices, et même certains qui n'auraient pas dû pouvoir entrer.

Momo a fini son histoire.

- Et ensuite?

- On est restés chez elles. J'ai fait la demande pour qu'elles soient nos récompenses. Cela a été accepté. Comme on étaient tous célibataire, ils nous ont remis les deux sœurs de Myriam ainsi que ses trois nièces. Toutes majeures. On est encore soldat, ce sont nos pute. Les sept sont enceinte.

- Et vous le vivez bien?

- A votre avis? Nos salaires ont été multiplié par dix. On a sept magnifique femmes qui ne peuvent rien nous refuser. Trois quadra, et quatre entre dix-huit et vingt-deux ans. Des filles blanches et belles, qui ne nous auraient jamais regarder avant. On veut une sodomie? On l'a, une pipe? Pareil, on l'a. C'est le paradis monsieur.

Ayant fini son histoire le caporal sort, tandis que le psy passe au suivant.

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