Valérie - Fin de soirée au bureau

BÊTA PUBLIQUE

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Valérie avait déjà oublié le traitement de son fiancé. Dans son ventre s'écoulaient les onctueux milliers de petits Francis Leroy hors de sa puissante queue pulsante.

- Éteins toutes les lampes. Je veux que tu me prennes à la fenêtre avec la vue de la cité.

- Je te dédis toutes les lumières de la ville Valérie. Tu mérites tout ce que tu vois autour de toi.

- Et surtout ce qu'il y a de grand et dure encore en moi!

Le coucher de soleil avait accompagné les deux amants dans le bureau de Francis Leroy. Le fiancé de Valérie travaillait dur sur les dernières lignes du célèbre contrat tandis qu'elle était couchée sur la table de bois massif. La flèche du patron de Marc remuait plus qu'agréablement entre ses chaires. Son corps svelte avait subit avec brio l'offensive du masculin Francis.

Elle s'était redressée pour croiser ses fines jambes derrière son amant. Leurs lèvres se touchaient tendrement, la précipitation des débuts s'était estompée. Un bouton à la fois, son amant lui retira le chemisier moite. Dans la pénombre, sa poitrine luisait de leurs péripéties sauvages. Sans pushup bra, sans arquer le dos, le buste de Valérie resplendit, mais il était encore caché derrière le soutif de soie. Agilement, Leroy le dégrafa et la dernière pièce de tissu vola au loin. Désormais nue, il n'y avait que le directeur qui gardait son décorum : sa ceinture bloquait la chute de ses pantalons.

-J'ai envi de toi.

Il ne lui en fallait pas plus pour descendre jusqu'à ses seins. Il les choya de baisers et de pincettes. Valérie maintenait les joues douces et la langue curieuse de son amant contre son buste providentiel. Cambrée, son corps resplendissait dans le bureau vitré de M. Leroy. Les derniers éclairages s'estompèrent automatiquement sur tout l'étage. Enfin seuls. La rouquine ne se gênait plus pour exprimer ses désirs et ses sentiments. Le patron continua son manège entre les contreforts circulaires de la fiancée de son employé. Drus, les tétons rougeoyants de Valérie étaient consommés pour une millième fois. C'est alors que Franck souleva sa maitresse surprise d'être ainsi emportée.

- Tu es encore vigoureux Franck!

- J'escaladerais l'Éverest pour aller de chercher. Tu vaux tous les soucis du monde.

Scellant la discussion en lui apposant ses lèvres, il s'engagea de nouveau dans sa chérie une fois rendue au vitrage. Il sentait contre son corps ses douces jambes solidement l'agrippées. Adossée à la cité, Valérie, l'excitée, souhaitait autre chose.

- Prends-moi par derrière. J'ai toujours voulu faire l'amour nue àa la fenêtre d'un gratte-ciel.

Ainsi retournée, Valérie eut toute la ville sous ses yeux. Cette étrange anonymat. À plusieurs étages en contrebas, les fourmis retournaient à la maison. La queue de Francis Leroy pavoisait tout près de sa rosette. Quelques fenêtres plus loin, son copain travaillait encore, insoucieux. Leroy se lustrait la trique contre la fente de la déesse, de son employé, à la chevelure cuivrée.

- Tu es la première que je baise avec la ville comme décors.

- Arrête de me balancer des conneries.

- Rares ont été les femmes à avoir pu bénéficier de mes talents ici même contre cette vitre!

- Il y a plusieurs secrétaires qui sont passées par ton bureau.

- C'est vrai, mais c'était juste là, à côté.

- T'es con, t'es vraiment gonflé!

Et à bloc! Il ne se reposa pas davantage et embrocha sa compagne nocturne. Fendue jusqu'au nombril, la jeune adulte repris ses sens en s'agrippant au cadre des fenêtres. L'infiltration avait été drastique, c'est comme si elle oubliait à chaque fois à qui elle avait affaire. La batte s'investissait en elle tel un Edge fund. Aucun soucis à se faire, le gestionnaire aguerri allait débiter tout obstacle au grand bonheur de la louve.

Son cul retroussé, il le tint fermement par sa poigne de fer pour donner le rythme et la cadence hâtive de leur baise. Par pur réflexe, elle avait distancé ses jambes élancées l'une de l'autre pour mieux se river contre l'axe de Leroy. Sur la pointe de ses escarpins, elle soutenait les incursions torrides. Ses tendres phalanges s'étaient fixées tant bien que mal aux poutres métalliques qui cernait le vitrage massif. Quant au patron, il profitait des visions de rêve en ayant Valérie et la métropole devant lui.

Comme écartelée devant lui, sa Valérie avait un corps d'ange déchu. Sa longue crinière cuivrée ondulait sèchement. Entièrement nue, sa croupe vint d'innombrables fois à la rencontre de son pieu. Les effets divins du patron de son fiancé se perpétuèrent. Au centre de la vitre, un nuage de rosée s'étendait près de ses minces lèvres, signe imparable de leurs efforts conjoints.

Valérie, la vocale, soupirait d'extase. Le traitement Leroy lui fit confesser mille aveux, des plus anodins aux plus indiscrets. Il ne lui chantait plus la pomme, mais ils se racontaient d'attrayantes histoires. Hors du bureau principal, les lumières de l'entreprise s'étaient éteintes il y a longtemps. Il y résonnait les gémissements féminins et les souffles massifs de Leroy.

Dans le subtil vagin de Valérie, il y passait d'immenses houppes. Les chocs, les pulsions et les vagues jouaient au tourniquet avec son esprit. Résonnant dans toutes les extrémités de son corps, le terrible pénis l'imprégnait, non la surchargeait de sensations. Autour de sa queue, le directeur perçu les tremblements de son compact fourreau. Ce fut ensuite ses cuisses qui devinrent gourds et chevrotantes sous les assauts nourris de son amant.

-Ah oui!!! Francis!!!

Alors qu'elle le gommait de ses liqueurs féminines, lui en profita pour secouer de nouveau sa moule. Leroy ne cessa de faire onduler son bassin contre ses fesses. Elle se perdait en conjectures, racontant n'importe quoi après son régal. Ses sens encore à fleur de peau, elle les récompensa en triturant ses seins volumineux. Cet intense délice, Francis le lui avait procuré en se délectant du contrecoup évident : la dépendance de Valérie à son égard lui était assurée.

Il ne cessait de s'activer et rien ne lui ferrait lâcher prise. Elle s'accrocherait à lui pour la nuit s'il le fallait. Leroy appuya davantage ses mouvements en s'avançant vers la vitre. Valérie n'était pas la seule à s'exhiber; le centre-ville scintillait de mille feux. Il se rapprocha encore et avait la main mise sur le fin corps de la fiancée de son employé. Un astronome déçu par la pollution lumineuse se serait régalé de la déchéance de Valérie. Plaquée de cette manière à la vitre, elle rayonnait comme une étoile. Le visage torturé par la luxure et la poitrine imprimée en gros caractères sur la vitre étaient les signaux d'euphorie de la maitresse.

Partant du fait que la plus grosse batte de sa vie négociait des droits de passages en elle ad vitam aeternam, la suite fut comme ce qui précéda. Le patron appuya fort et brusquement sa conquête à la vitre désormais enflammée. Ainsi accolée à la frontière invisible, la rouquine fut prise dans un magnifique sandwich. L'ardeur, l'acharnement et l'exaltation que lui montrait Leroy avait transformé le tison qui couvait en elle en un impressionnant brasier.

Son fulgurant pilonnage rendit sa chatte incandescente. Les signaux d'alerte fusaient de partout. Ses gros seins pressés contre les carreaux réclamaient l'attention des deux êtres. Son ouïe l'informait des plans les plus érotiques de Francis. Ses mains baladeuses renvoyaient les stimulations les plus lubriques.

-Continue sale con!

-Tu pourras me traiter de tous les noms tant et aussi longtemps que je pourrai te sauter.

Le patron semblait toujours garder une carte dans sa main. Pour montrer sa supériorité, Leroy se colla complètement sur Valérie. Son ventre replet lui réchauffait le dos arqué. Poussant plus fortement, elle le senti saisir sa chevelure être tirée par homme.

- Mon chéri...

Il arrêta un instant de la pistonner.

- Tu vois où on est?

- La ville est magnifique. Tu es magnifique Francis.

- Dans l'autre pièce, juste à côté...

- Tu m'amèneras dans ton lit professionnel, sale pervers!

- Pas tout a fait... Dans la pièce, il y a ton futur mari.

- Pourquoi me parles-tu de cela?

- Je veux que tu m'implores de te baiser. Même quand il viendra ici rapporter les documents.

- Mais c'est impossible!

Leroy avait arrêté de sauter Valérie. Maintenant, il la mettait au défi, on ne peut plus clairement.

- Mais...

Toujours plaquée, elle le sentait la comprimer contre ce mur transparent avec son torse, mais il se retirait que de sa chatte! L'idée de se faire prendre sur le fait par Marc ne l'intéressait pas. L'idée d'une deuxième portion de cette trique jouissive lui plut davantage. Valérie tenta d'épouser le corps du directeur, mais il était plus grand et sa queue séchait presqu'entièrement à l'air libre.

- Baise-moi!

Flairant le stratagème, il posa sa question à nouveau.

- Marc va te voir me baiser

- Très bien.

- Maintenant saute-moi!

Son gland rentra au bercail et il maintenu sa poigne sur Valérie. Prise ainsi, elle était étampée en même temps que percée. Les chauds lapins s'activaient comme jamais. Secrètement, la jeune femme cherchait à le faire jouir le plus rapidement possible. Lui cherchait à modeler la volonté de Valérie pour qu'elle se plie le plus souvent possible à ses désirs. Son meilleur atout était son as caché et détrempé au plus profond de la jeune femme.

Jouxtant son visage trempé, Valérie s'imprégnait de la raclée érotique que le patron lui imposait avec sa rythmique parfaite des hanches. Ainsi accolés, il sentait qu'elle s'approchait du à nouveau du précipice orgasmique. Sa respiration bruyante signalait ses efforts alors que c'était lui qui la pénétrait vigoureusement. Elle embuait la vitre tellement Leroy traitait sa moule passionnément.

À travers la vitre de la porte du bureau mal éclairé, Marc avait vu que son patron faisait l'amour à une femme. La silhouette était élancée, avec une forte poitrine. Son patron avait du goût! À la vue de ses mains en l'air et prise contre la paroi de verre, la femme semblait être la proie d'un hold-up. Il était attentif, mais avait peur d'être pris en flagrant délit de voyeurisme. La coquine ne ressemblait pourtant pas à l'une ou l'autre des conseillèrent du patron. Il retraita à son bureau et se décida à appeler Valérie. Le répondeur lui indiqua l'absence ou, pire encore, la colère de sa fiancée qui ne veut pas lui parler. L'eut-il appelée du corridor, il aurait entendu la sonnerie de l'autre côté, dans le bureau de son patron.

Aucun des deux amants ne vit l'observateur : trop occupés, comme la chatte de Valérie. Moite, elle avait le corps qui mijotait. Elle attendait quoi? Que M. Leroy appelle son fiancé ou encore qu'il la fasse jouir? Valérie ne pouvait penser clairement, mais savait que les deux allaient se produire.

M. Leroy tenait sa femme d'une main habile contre son sexe. Cela, il ne le savait pas. Ses petits cris, à peine étouffés par la porte close, lui parvenaient clairement à l'oreille. Marc aurait voulu s'excuser pour tout à l'heure mais elle ne répondait pas. Pourtant, elle était si près de lui dans la pièce au bout du corridor. Sa copine était solidement subjuguée au long pouvoir son patron.

- Franis, je n'en peux plus! Donne m'en plus!

Le traitement de sa batte lui faisait perdre toute retenue. Elle était prise sauvagement contre la ville. Valérie servait de passage obligé, jusqu'à sa garde, à un gland épais et colonisateur. Son corps nu portait les signes fiers des assauts de Leroy. Sa peau perlée était caressée autant par les lueurs nocturnes de la cité que par les paumes du patron.

- Tu es fantastique!

Au delà de la fusion de leur corps, Leroy percevait très bien les sentiments de sa maitresse. Toute sa déchéance et sa lente soumission lui montraient son réel tempérament.

- Ma belle Valérie, la nuit va durer une éternité de bonheur.

- Oui, continue... juste là.

Sa chevelure rousse était la proie d'une de ses mains, agiles. Il la manipulait pour voir directement dans ses yeux l'impact érotique de ses pénétrations. S'il continuait ainsi elle aurait bientôt une crampe au cou à force d'être ainsi contorsionnée. Au moins, elle pouvait l'embrasser quand elle le voulait. Les yeux marrons du supérieur fixaient intensément ses propres prunelles azure.

- Ouch!

- Tu aimes ça quand je te pince les seins?

- Vas plus bas.

De l'autre main, il s'amusait avec le clitoris de sa poupée, remarquant immédiatement les bienfaits qu'il lui procurait. Tant le vagin serrant sa queue que les contractions des muscles de son visages irradiaient la pièce. C'était pour Francis Leroy une immense satisfaction de voir Valérie Montarville ainsi transformée. Il la sculptait de l'intérieur pour modeler son caractère rugissant. L'aventure se poursuivrait!

Leur ballet durait depuis longtemps et Marc ne savait pas quoi faire. Il se doutait que son patron en aurait pour longtemps encore. Il n'y avait qu'une chose avec laquelle il n'était pas vite en affaires : savourer le sexe. Devait-il partir? Son patron avait été clair. Il avait la tâche de lui remettre ce contrat en main propre. La fatigue, l'angoisse de le décevoir et la dispute qu'il avait eu avait Valérie nuisaient à sa logique.

Les vibrations des deux corps sur la vitre tendaient à faire résonner les échos de leur passion. On aurait dit qu'un léger tremblement de terre secouait le bureau. C'est alors qu'au plus profond de Valérie le patron de Marc fit irruption. La bête lâcha son vi dans sa belle. La rouquine servait d'alvéole : entre ses cuisses confortables, son retranchement accueillait le doux poison de Leroy. Il avait immobilisé son dard perçant et piquait au vif la jeune femme de son employé. Fier, le richissime patron posa ses lèvres sur celles tressaillant et en forme de «O» de sa jeune reine.

- Il est temps de passer à la seconde partie de notre accord.

L'esprit voguant au paradis, Valérie n'avait pas bien saisi les dernières paroles de son amant. Se dissipant graduellement de cette emprise, elle retombait tout doucement de son nuage providentiel. La pièce réchauffée par leurs efforts lui semblait beaucoup plus froide lorsqu'un second frisson la parcourra. Adossée à la fenêtre, elle palpait avec ses doigts délicats l'entrée de sa moule rougie et collante. Étrange sensation d'être en état de grâce au dernier étage d'un gratte-ciel. Effleurant ses parties intimes, Valérie vit avec horreur Francis Leroy saisir le téléphone.

- Marc Petitclerc... je suis maintenant prêt à vous recevoir.

Machiavélique, il la regardait.

- Oui, j'étais occupé, je le suis d'ailleurs encore.

Il lui faisait signe de s'approcher. Valérie courut chercher ses vêtements dispersés dans le bureau du patron. Elle allait et venait frénétiquement, tâtant dans la pénombre pour retrouver et démêler les différents morceaux. Il matait sans relâche le cul de Valérie alors qu'elle s'énervait. M. Leroy lui lançait des regards insidieux. Quand elle fouillait sous la table sa poitrine ondula et le rendit béat. Où étaient son soutien-gorge et son chemisier!

- Je suis accompagné, mais entrez sans gêne, vous méritez tout ce qui vous arrive Marc. Je souhaite lire quelques lignes de ce fameux contrat et je le signerais tout de suite.

Marc avait le cœur noué. Comment allait-il faire pour garder son sang froid et pouvoir entrer quand son patron sautait une femme? Il prit le dossier et sortit de son bureau et tenta de prendre un pas normal de marche.

- Et puis merde! pensa-t-il, s'il va aux putes, moi je n'ai pas a avoir honte. J'ai Valérie qui m'attend à la maison.

Dans le bureau, le temps s'était arrêté pour la fiancée. Elle regardait le patron lui faire signe. Valérie avait un orgueil et des pulsions aussi.

- Ça ne sert à rien Valérie, il sera arrivé avant que tu puisses te cacher.

- T'es complètement fou!

- Mets-toi à genoux et laisse faire le pro. C'est tellement excitant.

- Non!

- Viens apprécier ma grande queue -- tu y es obligée.

- Tu es vraiment con Francis!

Valérie ne savait plus quoi faire. Seules les indications directes du patron de son fiancé pouvaient encore sauver sa situation. Leroy s'était calé dans sa chaise, près de la table en bois massif. Tout à côté sur le plancher frais, gisait les dessous de l'homme, enchevêtrés dans ceux de sa maitresse. Entre ses cuisses, dépassait le membre juteux qui l'avait fait jouir si souvent.

- Tu me suces et après c'est terminé.

- Il va me voir...

Elle se disait qu'il exagérait et qu'elle devait se relever pour partir quand Marc cogna à la porte. M. Leroy guida la tête de Valérie vers sa queue. Peut-être savait-il qu'au fond d'elle même Valérie souhaitait pousser plus loin ses propres fantasmes, mais si loin? Savourer l'engin n'était pas exactement la situation souhaitée.

- M. Leroy, voici le document.

- Merci Marc, voici Candy! Approchez, approchez!

Marc était mal à l'aise, il voyait son patron avec la jeune femme agenouillée. Il savait très bien ce qu'elle lui faisait. Il choisit de détourner le regard. Valérie gardait le plus possible sa tête penchée vers le bas. Elle ne voulait surtout pas croiser le regard de son fiancé. Sa bouche chaude couvrait maladroitement une grande partie de la queue du directeur qui appréciait vraiment le traitement.

Elle eut un moment de répit quand Leroy commença à feuilleter les pages du contrat : elles couvraient en partie son visage. Néanmoins, Marc essaya de voir qui était l'amazone de son patron. La noirceur et la position de la femme ne lui laissaient que son imagination.

- C'est très bien... Marc. C'est du beau travail...

Valérie savait qu'une part des commentaires lui était adressée. Dans son ventre, naissait le début d'une aisance. Les veines dures et le gland rouge vif l'attiraient de plus en plus. Elle se hâtait et enfonçait la queue plus profondément. Les regards furtifs de son copain ne le renseignaient pas sur son identité. Elle se sentait forte d'avoir pu résister à l'envie de s'enfuir. Les bruits de succion ne le renseignaient pas, et pourtant il aurait du les reconnaitre... Leroy, lui, voulait pousser le couple plus loin encore.

- Il ne me reste que la signature à poser.

- Je suis bien content du résultat monsieur.

- Je suis mal placé, Candy, lève-toi et couche-toi sur la table.

- Oh! Patron!

- Marc! Vous êtes d'accord pour dire qu'après une pipe il faut passer à autre chose?

- Oui... bien sûr... mais moi...

Le brin d'aise et de confiance de Valérie venait de s'envoler. Il l'attira vers la table et n'eut été de l'obscurité s'en eut été fini. Francis Leroy avait usé de tous ses pouvoirs, principalement sur Valérie, pour la positionner dos à Marc qui s'était heureusement retourné par pudeur. «Candy» était maintenant à plat ventre sur la table, ses fesses prêtes à recevoir l'inoculation du patron.

- M. Leroy, je suis mal à l'ais!

- Petitclerc, il faut aller jusqu'au bout, il faut constamment maximiser et, ce soir, cela me rapporte énormément.

Il avait levé le bras et tenait fièrement le dossier sur lequel Marc avait passé tant d'heures ce soir pendant qu'il pistonnait et pistonnerai encore sa femme. Valérie était figée sur le bois si froid. Elle attendait que son fiancé remarque sa trahison et qu'il casse tout. Rien n'arriva, excepté la subite entrée de la queue robuste de son amant. Il l'avait saisie aux hanches et l'avait transpercée comme la foudre abat un arbre : ce fut une explosion. Son gland poussait ses chairs closes par la tension et l'angoisse. Le patron s'aidait avec ses mains : l'une tenait un stylo d'ivoire et l'autre main, les pages du contrat.

Sans gêne aucune, Francis s'était exhibé devant son employé, question de montrer encore une fois sa supériorité. Il soutenait l'effort et rapidement Valérie verbalisa les dents serrés le mélange d'émotions de cette baise hors du commun. Son copain reluquait la silhouette peu banale prise d'assaut. À part les formes généreuses et le cul d'enfer, il ne se doutait pas un instant de l'identité de la jeune femme qui y mettait vraiment du sien. À quelques pas devant lui, qui elle était ne l'intéressait pas. Il appréciait le spectacle gratuit de cette femme de l'ombre. Pendant quelques minutes son patron tordait de plaisir la jeune rousse aux poings fermés.