Valérie - Fin de soirée au bureau

BÊTA PUBLIQUE

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- Voilà c'est signé, vous pouvez retourner chez vous! Je suis certaine que votre fiancée vous attend.

- Ne m'en parlez pas, nous nous sommes disputés.

- Trop dommage. Vous devriez prendre exemple sur moi et être célibataire!

Leroy avait ralenti la cadence et avait pu signer le contrat directement sur le dos de Valérie. Le creux de ses reins essoufflés par tant de revirements de situation ondulait. La plume avait chatouillé la rouquine, la surprise l'avait détendue. Non, tant que son copain ne serait pas hors d'ici, elle resterait sur ses gardes. La râpe de Leroy remuait même en elle, une portion de la queue restait dans le chaud et délicat conduit.

- Vous pouvez partir! Laissez-moi seul avec Candy!

- Merci patron!

Marc partit vers son bureau reprendre sa malette. La nuit avait été folle. Il s'était mis en colère avec sa copine à cause du travail. Et maintenant, son patron venait de signer le contrat directement sur une femme nue qu'il baisait.

Valérie gisait étendue sur la table du patron, était-ce un cauchemar? Elle venait de tromper son fiancé et avait encore en elle la queue euphorisante de son patron. Encore étampée sur la table, elle entendit clairement les paroles de Francis Leroy quand il se remit à la besogne.

- On sait qui est le patron!

Avec fierté et sans gêne, Francis Leroy s'était exhibé devant son employé, question de montrer sa supériorité. Durant cette nuit d'excès, il avait maintenu et surpassé tout effort jamais accomplis auparavant pour obtenir d'innombrables faveurs sexuelles. Rapidement placée sur la table et prise par Leroy, Valérie verbalisait les dents serrés le mélange d'émotions de cette baise hors du commun et illicite. Son copain avait reluquée, sans le savoir, sa silhouette sportive et furtive mais si peu banale. Malgré les formes généreuses et le cul d'enfer, il ne s'était pas douté pas un instant de l'identité de la jeune femme. Les deux hommes avaient trouvé qu'elle y mettait vraiment du sien, tout un spectacle! Pourtant, Valérie était presque parvenue à trouver son compte : Francis possède un atout de taille et il la rudoyait rondement depuis maintenant fort longtemps.

Habile, Franck s'était remis à la sale besogne en faisant voguer son paquebot dans l'étroit canal de Suez de Valérie. La réaction fut immédiate : l'inquiétude fit place à la douceur du triomphe du directeur. La satiété des deux amants ne trouvait jamais de fin.

Pour s'assurer de son assouvissement, Leroy avait d'abord insisté, en lui bloquant tout geste possible. Sa férule bien plantée, le mâle s'appuyait de tout son poids sur les hanches de sa proie. Elle ne put que se cabrer davantage pour signifier son extase face à l'action qui reprenait. Elle tentait de se déployer mais elle restait solidement fixée à la queue de son amant. Le rapide et profond forage de son gaillard la sciait en deux à en faire grincher les montants de la table. Prise depuis trop longtemps comme une vulgaire secrétaire, Valérie souhaitait reprendre le dessus.

- Libère-moi, je veux que tu me prennes face à moi.

- Tes désirs sont des ordres.

- Pas si sûre!

- Je suis au garde à vous!

- Tu n'as vraiment aucune limite.

- Avoue que cela t'a excitée.

- Mais j'avais peur...

Il était temps que Valérie mène le bal. Debout face à son amant nu, elle lui arrivait à peine au menton. Ne perdant pas de temps, elle le poussa sur sa chaise et il y tomba à bras ouverts. Telle une tigresse, la jeune rousse approcha et se faufila sur l'homme mûr. Ses cuisses de chaque côté de son mec, elle tutoyait du regard celui qui l'avait menée par le bout de sa queue. Leroy accompagna la descente de sa maitresse en empoignant ses seins copieux. Elle se guida du premier coup sur son bel obélisque. Faisant preuve d'adresse, l'étroite Valérie s'abaissa si lentement qu'elle vit sur le visage de Franck croître toute l'excitation qu'elle stimulait.

Marc avait maintenant quitté l'immeuble et il se dirigeait vers la maison. Sa tête pleine d'images virevoltantes était aussi assombrit par la dispute avec sa fiancée. Valérie était à mille lieux de penser à de son copain. «Candy» se frottait les hanches contre la trique virile de Leroy. Elle agrippait fermement les accoudoirs de cuirs et la rouquine cherchait à se caler le plus profondément dans la chaise pour enfoncer le gourdin de Leroy. On voyait la silhouette féminine rebondir précipitamment sur le directeur qui lui massait tout le corps. Surtout ses seins généreux qu'il palpait passionnément. Francis n'oubliait pas son cul et ses hanches qu'il gratifia de quelques claques passionnelles. Le meilleur était le gout divin de ses auréoles dans la bouche. Le bout de ses seins durs pimentait leur soirée.

Le staccato de Valérie résonnait dans tout l'étage. La chaise qui supportait cette dingue chevauchée était devenue leur ile déserte. Plongé dans la divine chatte, M. Leroy corrodait la sulfureuse femme cuivrée. Ainsi tenaillée, elle redoublait d'ardeur pour venir et revenir se consumer sur son amant. Il sapait en elle si pleinement qu'elle se contractait vivement pour réussir à maintenir la cadence. Valérie jouissait les yeux clos et les cordes vocales vibrantes. Enfin pleinement assumée, elle savourait l'instant d'infini qu'avait fait retentir en elle l'auguste Leroy.

Il se repaitrait en faisant tourbillonner son bassin contre la moule de Valérie, cabrée. Heureux et prisonnier sous la femme de ses rêves, tel était la sentence de Francis. Encore enfouit et bien raide, le mâle terrible se remit en l'action. Les prouesses s'accumulaient et la valeur de chacun plaidait bruyamment pour une véhémence croissante de son partenaire.

Son mince fourreau lui indiqua que son amant se redéployait à sa pleine grandeur. Elle le consommait ardemment alors qu'il empruntait des sentiers de travers et allait de chocs en commotions à travers sa chatte. Braquée ainsi, il savait qu'il était en train de redresser les tords qu'il avait causés auparavant.

Déjà galvanisée, Leroy la ravivait en insufflant des ondes maléfiques à travers son corps. En contre-appel sur la chaise, elle se laissait éperonnée par la queue endiablée qui jetait de l'huile sur son feu sacré. Ainsi fouettée, Valérie cambrait le dos vers l'arrière, maintenue en équilibre sur la chaise par ses mains qui ferraient les accoudoirs et par la queue de Francis.

- Tu es tellement magnifique! Pourquoi ne me marierais-tu pas Valérie?

- Parce que ça ne serait plus excitant.

Devant l'homme comblé, une femme aux formes parfaites et aux inhibitions suaves se fracassait contre lui. Les cuisses de Valérie surchauffaient à cause des efforts et de l'intensité. Le spectacle qu'elle offrait à Franck était celui d'une adulte téméraire aux seins drus. Ceux-ci voguaient sur son corps au rythme de la chevauchée. Il l'aidait dans sa croisade vers le plaisir par ses impulsions du bassin. Tous deux allaient à la rencontre de l'autre de manière redoutable. Leroy ajouta au délice de Valérie ses doigts agiles.

Le terrible patron exaltait sa compagne par son savant doigté. Elle était transportée complètement ailleurs et il le savait très bien. Enivrée comme jamais, Valérie était survoltée de partout. Son manège contre la queue l'avait éminemment grisée. La bousculade répétée de Leroy contre son clito créa une secousse qui se répercuta dans son corps en entier. L'homme la maintenait arque boutée au carrefour du paradis et de l'enfer. Une main sur le bourgeon sacré, l'autre sur ses seins et sa queue bien enfoncée. Un petit pouce fougueux bien placé l'avait transportée au-delà de l'abyme.

Le tourbillon de ses sens changea tout son environnement pour une vision trouble. Comme un corps ensorcelé, la rouquine semblait être en perpétuelles contractions euphoriques. C'est dans les bras de Francis Leroy que Valérie, crispée, vacilla avec ce râle unique.

Totalement occupée en son sein, elle lui rappela une énième fois combien c'était extraordinaire. Entre ses cuisses enflammées, son sirop suprême se mélangeait à celui, fougueux, de Leroy. Le gland haut perché dans les circonvolutions tropicales de Valérie relâchait ses dernières perles par saccades.

C'est en embrassant ses seins puis Valérie elle-même que la grande messe se termina. La fraicheur gagna le couple si bouillant. Leroy eut une dernière vision avant le départ de Valérie. Elle passa de l'état de complète nudité à celui de jeune femme de bonne famille en réclamant son aide. Il prit discrètement un cliché de sa nouvelle maitresse en lingerie. Il caressa une ultime fois ses formes voluptueuses une par une alors qu'elle enfilait ses vêtements. Quand elle le quitta, son regard lui indiqua qu'ils croiseraient le fer très bientôt. C'était pressant.

Dans l'ascenseur, Valérie Montarville tira quelques plis de ses vêtements et replaça quelques mèches éparses. Comme la porte s'ouvrait, le garde du rez-de-chaussée eu la plaisante vue de la jeune femme replaçant son soutien-gorge. C'est toujours un joli cadeau à minuit le soir. Le claquement de ses talons aiguilles raisonna alors qu'elle prit le chemin de la sortie en songeant à son alibi. Marc serait fâché, elle l'avait été elle aussi. Le garde de sécurité n'eut d'yeux que pour dodelinement de ses hanches.

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3 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a plus de 9 ans

Oui, il y a des tournures de phrases un peu curieuse.

Ceci étant, très bon scénario.

FrenchCasanovaFrenchCasanovail y a environ 10 ansAuteur
Merci pour le commentaire. La suite pour bientôt (15-04-2014)

.

valen956valen956il y a environ 10 ans
Très bon

Le style est particulier et très recherché pour le site, mais c'est super. Vivement les prochaines.

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