Bourgeoises Rééduquées : Partie 06

BÊTA PUBLIQUE

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Je me déplace jusqu'à un tiroir dans un meuble et en sort plusieurs objets. Je m'approche de ma voisine, m'agenouille et fixe une petite pince à chacun de ses mamelons. Elle pousse un petit cri de douleur. À ces pinces, j'attache des poids qui tirent les seins vers le bas. Je donne un petit coup aux poids pour qu'ils se balancent. Enfin je me place en face de Charlotte qui grimace et tremble.

— Chienne, tu dois être punie. Rappelle-moi le nombre de coups? Si tu te trompes, ça sera cinq de plus.

Je la vois réfléchir intensément. Elle ne veut certainement pas se tromper. Elle finit par me dire :

— Quinze! Monsieur, dix à cause du pendentif et cinq pour le plug.

— Dommage... commencé-je à répondre.

Son visage pâlit, elle se demande quelle règle elle a enfreinte.

— Dommage que tu ne te sois pas trompée, quinze coups je trouve ça peu.

Le soulagement s'affiche sur le visage de Charlotte, bientôt suivi par de l'indignation sur la fin de ma phrase. Je continue alors :

— Je vais te donner une fessée mains nus. Mais avant chaque claque je te poserai une question. Après la claque, que tu auras comptée bien sûr, tu répondras à la question. Si tu réponds mal, si tu n'es pas sincère, si tu me mens, ou si tu ne réponds pas assez vite, on recommence au début.

Je passe derrière elle, caresse sa croupe exposée et dis :

— Qui es-tu?

CLAC, j'abats ma main sur sa fesse droite.

— Aïe! Un Monsieur! Je suis Charlotte de Villaret!

— Et encore?

CLAC, cette fois-ci c'est la fesse gauche. Je vais alterner à chaque fois.

— Aïe! Deux Monsieur! Votre chienne Monsieur!

— Qui suis-je?

CLAC!

— Ouille! Trois Monsieur! Vous êtes Monsieur Didier!

— Et encore?

CLAC!

— Aïe! Quatre Monsieur! Vous êtes mon maître monsieur?

— Ça signifie quoi pour toi?

CLAC!

— Cinq Monsieur! Que je dois vous obéir en toutes circonstances!

— As-tu envie que je te sodomise?

CLAC!

— Six Monsieur! Non,Monsieur!

— Et si je veux le faire, essaieras-tu de m'en empêcher?

CLAC!

— Sept Monsieur! Non,Monsieur, je suis votre chienne!

— Est-ce que dorénavant tu vas jouir sans ma permission?

CLAC!

— Ouille! Huit Monsieur! Non, Monsieur!

— Même avec ton mari?

CLAC! Elle hésite, mais seulement un court instant.

— Neuf Monsieur! Je ne jouirai pas avec mon mari Monsieur!

— Bien! Es-tu prête à m'obéir quand je le veux, où je le veux, comme je le veux?

CLAC!

— Dix Monsieur! Oui Monsieur!

— Même si je te demande de sucer Albert?

CLAC! Elle hésite encore, mais c'est très court.

— Onze Monsieur! Oui Monsieur!

— Et si je te demande de te faire baiser par tous mes amis?

CLAC!

— Douze Monsieur, je le ferai Monsieur!

— Et si je t'emmène dans un baraquement de vingt Roumains pour te livrer à eux?

CLAC!

— Treize Monsieur! Comme vous le voudrez, Monsieur!

— Qui suis-je?

CLAC! J'appuie bien cette avant-dernière claque.

— Aïe! Aïe! Quatorze Monsieur! Vous êtes, Monsieur Didier mon Maître!

— Et toi qui es-tu!

CLAC.! La dernière est particulièrement violente.

— Ouille, ouille, ouille! Quinze Monsieur! Je suis votre chienne, votre esclave Monsieur!

Ses fesses sont bien rouges. Je l'entends sangloter de douleur et de soulagement que ce soit terminé. Sa chatte luit, elle doit être bien humide. Je baisse mon pantalon et sort mon sexe bien dur. Je me penche sur elle et lui chuchote :

— À partir de maintenant, tu es autorisée à jouir jusqu'à ce que je remette l'interdiction!

Je présente ma bite à l'entrée de sa chatte, l'insère entre ses petites lèvres et l'enfonce d'un coup sec dans son antre chaud. J'ai raison, elle est plus que mouillée.

— AAAAAAHHHHHHHHH, OOOOOOHHHHHH, AAAAAAAAAAH! gémit Charlotte en jouissant.

Elle était trop excitée. Je vois son corps trembler, ses genoux flageoler, heureusement que je la tiens par les hanches. Je retire ma queue, puis la remets, provoquant ainsi des petits gémissements. Je continue ce manège pendant un moment et bientôt une réplique de son premier orgasme la terrasse à nouveau. Je me mets alors à la pilonner assez rapidement et quelques minutes après elle jouit une troisième fois. Je l'accompagne en éjaculant mon foutre chaud au fond de son ventre.

Je reprends mon souffle pendant quelques secondes, puis je me retire. C'est alors que ses genoux cèdent, j'ai l'impression d'avoir un pantin désarticulé attaché au pilori. J'aurais bien voulu qu'elle nettoie ma bite, mais quand je me place devant elle, je la vois presque évanouie, un mince sourire de satiété sur son visage en sueur.

J'enlève les pinces et les poids sans qu'elle réagisse. Je la détache alors du pilori et la remonte dans la chambre. Je la pose dans la grande douche, me déshabille et la rejoins. Je la douche et la lave du mieux que je peux. Quand je veux nettoyer son sexe, inconsciemment elle bouge ses hanches pour venir à la rencontre de mes doigts. Il ne me faut pas longtemps avant qu'elle ne jouisse à nouveau. Je décide alors de la laisser reprendre ses esprits toute seule dans la douche. Je finis de me laver, me sèche et me couche dans le grand lit.

Plus tard, j'entends la douche fonctionner de nouveau. Alors que je suis couché sur le dos, les bras derrière la tête, je la vois sortir nue de la salle de bain, se glisser sous les draps, hésiter un court moment et poser sa tête sur mon torse avant de s'endormir. Je la laisse comme ça, elle sent si bon.

Quand je me réveille, je sens une bouche chaude et humide s'activer sur ma bite bien raide du matin. Charlotte, comme une bonne salope soumise s'est mise au travail. Je pose ma main sur sa tête pour lui imposer mon rythme. Bientôt je jouis dans sa bouche et, bien dressée, elle avale tout.

Alors qu'elle veut reprendre sa position dans le lit avec sa tête sur mon torse, je me lève et lui claque durement la fesse en disant :

— Allez petite chienne! Debout! Il est temps d'aller chercher la générale.

Puis j'ajoute en finissant de m'habiller :

— Enfile, juste ta robe, reste nue dessous...

Charlotte m'obéit et nous rejoignons rapidement Éric sur le parking du manoir. Mon ami va conduire la voiture de la générale et je suivrai avec Charlotte dans la mienne.

Quand nous arrivons au chantier, Bobesco le contremaître nous attend déjà. Il est moins souriant que hier. Nous descendons de nos voitures et approchons. Même s'il a un rapide coup d'œil vicieux sur Charlotte, il se tourne vers Éric et lui :

— Bonjour Monsieur Éric! Content voir vous! Vous prendre vite la dame, ouvriers épuisés.

Il nous conduit dans le grand baraquement. Nous entrons et voyons très vite le désordre. Sur un matelas posé directement sur le sol se trouve la générale. Elle est complètement nue, ses gros seins tombant de chaque côté de son torse. Ils sont égratignés comme le reste de son corps. Du foutre sort de sa chatte et de son cul ainsi que de sa bouche. De toute façon elle est complètement recouverte de sperme et à l'odeur, sûrement de pisse aussi.

Elle semble marmonner, des bulles de sperme sortant de sa bouche. Je m'approche et j'écoute attentivement pour comprendre ce qu'elle dit :

— Ouiiiii... ohhhhh... encore... venez mes chéris...

Je me mets à rire et je me retourne vers mes compagnons. Je vois que Charlotte est effarée de l'état de la vieille femme. Je dis :

— Elle en redemande...

Éric rigole avec moi. Il demande alors à son contremaître :

— Bobesco, il faut qu'elle s'en aille. Peux-tu trouver des gars pour aller la laver et l'habiller du mieux qu'ils le peuvent.

— Ouvriers très fatigués! Bien baisés la dame! Mais moi trouver deux volontaires pour faire!

Il s'éloigne et va parler avec deux gars assez costauds. Ceux-ci viennent prendre la générale sous les bras et la traînent jusqu'à la douche. Bobesco récupère les vêtements et les suit. Charlotte, Éric et moi restons plantés au milieu du baraquement.

Je vois que certains ouvriers reluquent Charlotte sans se gêner. C'est normal, ses seins nus pointent sous sa robe et sa descente de rein est tout à fait splendide. J'ai envie de m'amuser un peu. Je me retourne vers elle et commande :

— À poil! En position!

Ses yeux s'ouvrent en grand. Je vois dans son regard qu'elle a vraiment peur maintenant. Je la vois ouvrir la bouche sûrement pour protester. Alors je n'hésite pas, je mets une grande claque sur son cul encore douloureux de la fessée de la soirée et je dis :

— IMMÉDIATEMENT!

Je vois des larmes poindre au bord de ses yeux. Mais doucement, elle défait les boutons de sa robe, puis la laisse tomber à ses pieds. Elle l'enjambe, mets ses mains sur la tête et écarte les jambes. Elle regarde en l'air pour ne pas croiser les regards des ouvriers qui restent bouche bée. Elle est rouge pivoine. En bon salaud, je tourne le couteau dans la plaie. Je lui dis :

— Elle n'est pas bien là, la bourgeoise? Tu es moins arrogante à te faire reluquer par des ouvriers roumains! Elle est où la fille de bonne famille, la mère de famille, l'épouse chérie, la snobinarde qui regarde les gens de haut?

Maintenant, elle pleure à chaudes larmes, mais elle reste en position. Je laisse les ouvriers se rincer l'œil jusqu'au retour de la générale. Celle-ci apparaît quelques minutes plus tard accompagnée du contremaître. Elle semble aller un peu mieux, mais elle fait quand même assez clodo. Sa coiffure ne ressemble plus à rien, elle a les traits tirés, ses vêtements sont complètement froissés. Je m'approche d'elle et lui demande :

— Comment allez-vous, Madame la Générale?

— Très... Très bien cher ami! dit-elle en regardant autour d'elle.

Elle voit Charlotte nue au milieu du baraquement, les mains sur la tête, mais elle ne semble pas s'en inquiéter.

— Mon ami Éric s'est permis de ramener votre voiture ici. Vous allez pouvoir rentre chez vous!

— Merci cher ami! répond-elle en prenant ses clés que lui tend Éric. Elle va pour partir, mais se fige et demande :

— Je ne me rappelle pas d'avoir tout visité ce chantier. Il faudra que vous m'appeliez pour une autre visite!

Sur ces mots elle nous tourne le dos et rejoint sa voiture. Je crois que la douche l'a revigorée. Je dis à Éric :

— Il avait raison Alain, une vraie nympho. Je la note dans mon carnet, ça peut servir!

— Et avec le film qu'a fait Bobesco, elle ne l'embêtera plus! dit Éric

Nous rions ensemble et nous dirigeons vers la sortie du baraquement. Arrivé à la porte, je me retourne et crie à Charlotte toujours en position, tremblante de peur :

— Je reviens te chercher ce soir où tu nous accompagnes tout de suite?

Immédiatement je la vois ramasser sa robe et courir vers nous, son gros cul et ses seins se balançant en rythme.

— Je vous accompagne Monsieur! dit-elle alors qu'elle arrive vers moi.

Je lui fais un grand sourire et lui dit :

— Bien, tu t'habilleras dans la voiture, nous sommes pressés.

Nous montons dans mon auto tous les trois, Éric à côté de moi et Charlotte derrière qui essaie d'enfiler sa robe le plus rapidement possible. Nous revenons au manoir où nous sommes accueillis par Alain. Je lui dis avec un grand sourire:

— Affaire réglée, soldat Alain! Prends cette petite vidéo, elle peut te servir si la générale revient t'embêter.

— Vous m'avez sauvé la vie les gars, je vous remercie beaucoup!

— Pfff, tu aurais fait pareil pour nous.

Je lui glisse alors :

— La nuit s'est bien passée?

— Excellente, je te remercie pour ça aussi.

Je lui fais un clin d'œil et je dis :

— Et si nous allions déjeuner?

— Le brunch est presque prêt, mais venez prendre un café!

Avant d'accompagner Éric et Alain, je chuchote à l'oreille de Charlotte qui attendait sagement à côté de moi :

— Tu vas dans notre chambre et tu remets le plug!

— Bien Monsieur! se contente-t-elle de répondre avant de s'éloigner.

C'est alors que je vois du mouvement sur la terrasse. Je m'approche et je vois Natacha agenouillée en train de lécher la chatte de Virginie qui gémit. Je ne loupe pas l'occasion pour dire :

— Ah tu pouvais bien me gronder, hier!

Et je m'éloigne content de ma petite remarque. Je rejoins Éric et Alain à la cuisine où Rosie nous sert des cafés. Elle nous dit alors d'une voix autoritaire :

— Sortez de ma cuisine, il faut que je prépare le brunch avant que Monsieur Marc viennent mettre le nez dans mes affaires avec ses recettes saugrenues.

Nous rions et quittons la cuisine sans avoir oublié de faire une grosse bise sur la joue de la matrone noire.

Nous rejoignons Pierre, Philippe et Marc assis à une table près de la piscine. Nous parlons de tout et rien avant que Charlotte nous rejoigne. Elle marche bizarrement, mais je ne suis pas étonné. Je tire une chaise pour lui permettre de s'asseoir. Ce qu'elle fait avec précaution. Elle ne dit rien et nous regarde discuter.

Puis c'est Virginie qui arrive. Quand elle voit que je vais dire quelque chose, elle me fait les gros yeux et dit :

— Toi, tu te tais!

J'éclate de rire. Les autres sont étonnés. C'est alors qu'elle continue :

— Oh, il vous dira. Mais je veux vous parler d'autres choses, les garçons. Nous ne repartons que jeudi avec Picasso. Marc, peux-tu nous garder une table pour sept demain midi? Je veux vous parler, mais à vous seuls.

— Bien sûr, mais Picasso ne sera pas là? dit Marc.

— il y a une exposition Rembrandt à ORSAY. Il a prévu d'y aller tôt demain matin et je crois que les gardiens vont devoir le virer demain soir, vous le connaissez.

Nous hochons tous la tête et donnons notre accord pour le déjeuner de demain. Puis nous nous remettons à discuter de choses et d'autres alors que George et Jacques mettent en place le brunch. Bientôt tous les invités sont là, certains avec la gueule de bois, comme le mari de Natacha. Nous déjeunons calmement, même si Charlotte se trémousse sur sa chaise. Je la vois rougir quand des personnes lui disent qu'elle a un beau pendentif et qu'elles veulent savoir ce que signifie le drôle de symbole.

À un moment j'arrive à être seul avec Natacha. Je lui demande alors :

— Je n'avais pas raison? Comment s'est passée ta nuit?

Elle baisse la tête, rougit et murmure :

— Bien!

— Bien Monsieur! dis-je autoritaire.

— Oui, bien Monsieur!

— Je passerai te voir bientôt, il faut que je fasse ton éducation.

— Oui Monsieur!

Sur ces mots, je la quitte et essaie de trouver un endroit tranquille pour faire la sieste. Je trouve un gros chêne assez à l'écart pour m'allonger à l'ombre. Je vois au loin Charlotte qui s'approche pour me rejoindre. Je souris à sa démarche, j'ai l'impression qu'elle marche sur des œufs. Quand elle arrive, je m'adosse au chêne. Elle dit :

— S'il vous plaît Monsieur?

— Oui?

— Puis-je enlever le plug Monsieur?

— Non il faut que tu t'habitues! Soulève ta robe!

Elle regarde autour d'elle si d'autres invités sont proches et elle attrape l'ourlet de sa robe pour la trousser à sa taille. Elle a remis sa culotte pour tenir le plug sûrement.

— Enlève ta culotte!

Elle lâche sa robe et baisse sa culotte qu'elle me tend, puis elle trousse de nouveau sa robe à la taille.

— Tourne-toi!

Elle obéit. Je vois le plug bien enfoncé dans son cul. Je prends la base et pousse l'objet. Charlotte gémit de douleur. Je le lâche.

— Viens t'accroupir à côté de moi! Tu peux lâcher ta robe.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je glisse alors ma main sous sa robe. Je lui dis :

— Interdiction de jouir jusqu'à nouvel ordre!

Mes doigts trouvent rapidement sa petite fente. Elle est déjà bien humide. Je fais pénétrer un doigt dans son intimité puis deux. Mon pouce trouve son clitoris et je commence à titiller ma soumise. J'essaie de lui provoquer un orgasme, mais je m'arrête juste avant qu'elle jouisse. Je continue pendant un bon moment. La respiration de Charlotte est rapide et courte, de la sueur se forme sur son front. Elle fait tout son possible pour respecter l'abstinence que je lui impose. Je ne sais pas si c'est par peur d'une punition ou plutôt pour me faire plaisir.

En tout cas elle me fait bander, alors je décide d'arrêter cette torture et je déboutonne ma braguette pour sortir ma bite.

— Suce! Ordonné-je.

Elle obéit immédiatement. Je décide de la laisser faire afin de voir si elle s'améliore. En tout cas elle s'applique en léchant bien ma queue et en essayant de l'engouffrer le plus loin possible dans sa gorge. Il ne me faut pas longtemps de ce traitement avant que je ne gicle mon sperme dans sa bouche. Quand j'ai fini d'éjaculer, elle me montre mon foutre dans sa gueule, avale et tire la langue pour me le montrer.

— Bien petite salope! Seize heures! Il va être temps de rentrer! Allons rejoindre les autres pour les saluer.

Elle se lève avec moi et je lui prends le bras pour rejoindre le manoir. Nous disons au revoir à ceux qui sont encore là. Je dis à demain à mes amis et nous partons pour rentrer dans nos appartements respectifs.

Le trajet est calme, Charlotte est plongée dans ses pensées. À cinq minutes de l'arrivée, je dis :

— Quand tu seras chez toi, tu pourras enlever le plug. Mais je veux que tu le mettes tous les matins avant de partir au travail et que tu le retires seulement au retour chez toi. Tu peux l'enlever entre midi et quatorze heures. N'oublie pas que je peux passer à ton agence à tout moment.

— Bien Monsieur! répond-elle avec une grimace.

Je me gare dans le parking et nous montons dans l'immeuble. Alors que nous sommes sur le point de nous quitter, j'entends crier :

— MAMAN!

Et je vois, deux petites boules de nerfs sauter sur Charlotte. Elle ouvre les bras et leur fait un câlin.

— Bonjour, mes chéris, ça va?

C'est alors que je vois entrer dans l'immeuble le sosie parfait de Charlotte avec vingt ans de plus. Je devine tout de suite qu'il s'agit de sa mère. Elle est très belle et surtout appétissante. Je la vois prendre un air interrogateur en voyant sa fille bien habillée, mais sans soutien-gorge avec un homme qui n'est pas son mari. Elle dit :

-- Ils vont très bien, ils se sont bien amusés! Mais sois polie, présente-moi ce monsieur!

Charlotte rougit, gênée. Souriant intérieurement, je la laisse se débrouiller toute seule.

— Oui Maman bien sûr, je te présente Monsieur Didier notre voisin. Il... Il est venu au salon et m'a proposé de me raccompagner.

— Enchanté Madame, vous êtes aussi splendide que votre fille! dis-je

Puis j'ajoute :

— Je vais vous laisser en famille. À bientôt!

— Au revoir Monsieur! dit la mère.

— Au... Au revoir! Marmonne Charlotte manifestement gênée.

Je rentre dans mon appartement, l'image de la mère de Charlotte nue devant moi. "Quel enfoiré", me dis-je à moi-même.

******

Charlotte

En ce samedi matin, j'apprécie de pouvoir traîner au lit. Je suis seule et il n'y a personne pour me dire ce que je dois faire. Je me lève quand même vers neuf heures et demie. Cette après-midi, Monsieur Didier m'emmène passer le week-end à la campagne. Si j'ai ce qu'il faut pour la robe et le maillot de bain, je veux lui faire plaisir pour mes dessous. Je ne peux pas mettre mes classiques culottes de coton qu'il abhorre et sur un coup de tête, j'ai appelé ma coiffeuse qui, une chance, a une place libre à onze heures.

En prenant ma douche, je suis soulagée de constater que les marques de la badine de Monsieur Didier ont disparu. Je pourrais me mettre en maillot sans risquer d'attirer des regards interrogateurs.

Je décide de me rendre dans un magasin de lingerie qui se trouve à quelques rues de mon appartement. J'y suis allée, il y a longtemps, un jour que je voulais faire une surprise à François pour la Saint-Valentin, mais devant le fiasco, je n'y ai plus remis les pieds.

La vendeuse charmante et souriante se rend bien compte que je ne suis pas une habituée de ce type de sous-vêtements. Elle me conseille et me guide. Je finis par choisir un ensemble de dentelle jaune pâle, tanga et soutien-gorge. Je constate que dans cette boutique, ils ont toutes les tailles même pour les femmes qui sont bien plus en chair que moi. Je repère quelques strings et autres sous-vêtements qui devraient plaire à Monsieur Didier, mais je n'ose pas les acheter.