Bourgeoises Rééduquées : Partie 06

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

La vendeuse me propose d'essayer le soutien-gorge, j'hésite un peu.

— Vous savez, Madame, selon les modèles, il faut parfois prendre la taille inférieure ou supérieure. Ce serait dommage qu'une fois arriver chez vous, vous vous rendiez compte qu'il n'est pas à votre taille.

— Oui! Vous avez raison... Je vais l'essayer.

Je tire le rideau de la cabine et retire mon chemisier puis le soutien-gorge que je porte. J'enfile cette pièce de dentelle. Il me va parfaitement, je réalise alors que je ne me suis jamais sentie aussi bien dans un soutien-gorge et surtout cela n'a rien à voir avec celui que j'ai pris l'autre jour dans cette boutique du centre commercial.

Je confirme mon achat auprès de la vendeuse et après avoir payé, une somme non négligeable, ke me dépêche de me rendre chez Isabelle, ma coiffeuse. Je la laisse décider pour moi, je lui dis simplement que je vais passer le week-end à la campagne chez des amis. J'admire son travail, mes cheveux sont nets et gonflés. Mes boucles rousses se déploient harmonieusement. C'est le cœur léger que je rentre chez moi pour prendre un repas rapide.

À quatorze heures, je frappe à la porte de Monsieur Didier. Je porte une robe à fleurs évasée, et les sous-vêtements achetés ce matin, mon nécessaire pour le week-end dans un petit sac.

Dès mon entrée, je me rends au salon pour commence à me dévêtir comme je dois le faire en arrivant chez lui, mais, il m'arrête. Il soulève ma robe et je le vois satisfait de découvrir ce que je porte en dessous. Il ouvre des boutons de ma robe que j'avais fermés jusqu'en haut, ce qui élargit un peu plus mon décolleté.

— Bon choix pour une salope! dit-il.

Je rougis, un mélange de fierté et de honte. Puis, il prend ma poitrine dans ses mains et la soulève un peu.

— Tu as une belle poitrine, il faut la montrer et la mettre en valeur. Donc tu laisses ta robe comme ça. Tu fais sexy sans être vulgaire. J'ai deux cadeaux pour toi, dont un qui va sublimer ton décolleté.

Je suis aux anges, Monsieur Didier me fait des cadeaux, et je vois bien que cela lui fait plaisir de me les offrir. Cela me change de François qui me les fait plus par obligation que par envie. Il s'approche de moi et il accroche un pendentif autour de mon cou. Je sens le petit médaillon autour de mon cou.

Quand je me vois dans le miroir, je comprends que je n'aurai pas dû être si enthousiaste. C'est atroce ce qu'il vient de m'offrir, je ne peux pas le garder, je me prépare à l'enlever en criant.

— Non-Monsieur Didier, je ne peux pas porter ça, c'est impossible!

— STOP! Tu es ma chienne et tu m'obéiras! Tu viens de gagner une punition!

— Mais Monsieur Didier, c'est trop dégradant!

Je lui montre le pendentif, une femme à genoux, les mains derrière la tête, un vrai symbole d'esclavage.

— Cinq coups de plus! me dit-il sobrement.

Je ne dis rien et je ne touche pas au pendentif, retenant mes larmes.

— Bon, alors nous sommes d'accord, tu es ma chienne et tu m'obéis?

— Oui Monsieur!

— Bon! Passons au deuxième cadeau! Sais-tu ce que c'est que cet objet?

— Non-Monsieur!

— C'est un plug anal. Je t'avais dit que j'entraînerai ton cul. Tu vas te pencher, soulever ta robe, baisser ta culotte et écarter les fesses.

Je lui obéis sans protester, je sens Monsieur Didier étaler un liquide froid entre mes fesses. Je frissonne quand son doigt masse mon anus. Il appuie et je le sens soudain entrer en moi. Je pousse un petit gémissement. Monsieur Didier sort son doigt avant de le remettre une nouvelle fois dans mon cul où il s'amuse à le tourner. Je grimace et pousse un petit cri quand je sens qu'il entre un deuxième doigt. Je n'aime vraiment pas cela, mais je l'accepte. Je souffle quand il ressort son doigt, mais je réalise que le pire est à venir. IL présente maintenant le plug devant mon petit trou. Là, je ne me retiens plus et je crie.

— Détends-toi si tu veux avoir moins mal et faciliter son introduction.

Je souffle et je tente de me détendre le plus possible. L'objet entre dans mon sphincter et il ne bouge plus. Cela me donne envie d'aller aux toilettes. La sensation est vraiment très désagréable.

— Remonte ta culotte et baisse ta robe, nous devons y aller. Je te donne le lubrifiant afin que tu puisses l'utiliser si tu dois enlever et remettre le plug!

Une fois rhabillée, je suis Monsieur Didier dans la voiture. À chaque pas, je sens le plug dans mes fesses, je n'ose pas imaginer la démarche que je dois avoir avec.

Nous arrivons enfin devant le portail automatique d'une immense propriété. Je découvre un manoir dix-huitième au bout d'une allée bordée de vieux tilleuls. Un mur d'enceinte semble faire le tour du domaine. Même si mes parents ont de l'argent et si notre maison de famille tient la comparaison avec ce manoir, le parc en revanche, fait jardin de banlieue. Chez qui Monsieur Didier m'a-t-il emmenée?

Je vois alors Alain, l'un des participants de la partie de poker de mardi. Je blêmis. Je comprends de suite que ce week-end ne va pas être ordinaire. Un grand noir s'approche de nous. Non seulement la propriété est immense, mais en plus Alain peut se permettre d'avoir du personnel de maison. Ma famille y a renoncé depuis des années, mes parents faisant appel à des extra pour les besoins d'une réception. Le jeune homme qui s'appelle Georges prend nos bagages pour les monter dans notre chambre.

Je découvre parmi les invités d'autres participants de la partie de cartes. Quand soudain une petite voiture de sport déboule dans l'allée. Alain se décompose et je l'entends parler avec de la panique dans la voix. J'entends les mots "Générale", "nymphomane"... Ces hommes qui semblent si sûrs d'eux auraient-ils un point faible? Mais je vois Monsieur Didier prendre les choses en mains. Il demande alors à Pierre s'il veut bien s'occuper de moi pendant qu'il gère le problème que semble leur poser cette femme.

— Mais on ne touche pas... finit-il sa phrase.

Pierre me prend sous son aile et commence à me faire visiter les étages communs du manoir. Je découvre la salle de réception lambrissée avec une magnifique fresque au plafond, puis dans les cuisines, je vois Rosie, la mère de George le majordome, affairée à préparer le buffet de ce soir avec Marc, un autre joueur de poker.

Nous sortons côté jardin et à ma surprise, je découvre un parc à l'anglaise qui s'étend jusqu'à l'orée d'une forêt.

— C'est impressionnant, n'est-ce pas? me dit Pierre.

— Oui, ce domaine est immense... dis-je admirative.

Sous ses airs bourrus, je découvre un Pierre urbain, qui n'a ni paroles ni gestes déplacés. Il me présente rapidement aux invités comme Charlotte de Villaret, amie de Didier. Il ne précise pas la nature des relations que j'entretiens avec Didier ce qui fait que les gens me regardent avec considération. Je pense que la particule n'y est pas étrangère. M'auraient-ils considéré de la même manière si je m'appelais Durand ou Dupont? Nous nous approchons de la piscine, déjà occupés par deux couples.

Une jeune femme noire me présente un rafraîchissement que je prends avec plaisir. Nous avons beau être fin septembre, le soleil est encore chaud.

C'est alors que j'entends mon prénom. Je me retourne et je vois Natacha accompagnée de son mari. Elle est toujours aussi magnifique dans sa robe blanche.

— Charlotte, que fais-tu là?

— Et toi? Je suis venue avec mon voisin, il m'a proposé de l'accompagner pour le week-end pour que je ne reste pas seule...

— Alain est un camarade de promo de Pierre-Henri à l'École de Guerre...

— Je comprends, Alain et Didier sont des amis d'enfance. Ainsi que Pierre...

— Oui! C'est cela! dit Pierre d'un ton bourru.

Je le vois aussi regarder avec envie le cul de Natacha qui s'éloigne pour aller saluer d'autres couples qu'elle connaît. Je me disais bien aussi que son urbanité avait des limites.

Il m'invite à m'asseoir et nous commençons à parler de manière surréaliste de compte de résultats, de rentabilité, de développement. Il semble s'intéresser au concept de mon agence de voyages et il se propose de m'aider à le développer. Cela m'intéresse, car je lui avoue que mes relations avec mon banquier ne sont pas des plus cordiales depuis le semi-échec du lancement de l'agence de New Delhi et qu'il me suit à reculons sur l'ouverture de celle de Dubaï.

Assise je suis un peu soulagée, car le plug commence sérieusement à me gêner et je me dandine un peu. J'espère que Monsieur sera de retour bientôt et qu'il me donnera l'autorisation de le retirer.

Je bois avec plaisir ce cocktail très léger à base de mangue, préparé par Rosalinde qui semble s'être volatilisée depuis l'arrivée de Natacha. D'ailleurs qu'a-t-elle fait de Baptiste?

Monsieur Didier me sort de ma réflexion, il est là, devant moi. Je vois alors débouler une petite brune assez ronde qui lui saute dans les bras. Un autre de ses conquêtes? Non, cela ne colle pas avec son comportement. Même si je vois les mains descendre sur les fesses de cette femme, Monsieur Didier ne lui aurait jamais donné l'autorisation de lui sauter dessus ainsi.

— Picasso est par là? dit-il.

— Tu sais comme il est! Il fait le tour du manoir et du parc pour trouver un bon endroit pour peindre. Il a même demandé à Rosalinde si elle ne voulait pas poser nue pour lui, il a eu droit à son regard meurtrier.

Leur échange est tout aussi surréaliste que le mien avec Pierre avant l'arrivée de Monsieur Didier. Je les regarde sans m'être rendu compte que j'avais gardé la bouche ouverte.

— Il faut que je te présente Charlotte une amie qui va avaler des mouches si elle reste bouche ouverte.

Aussitôt je referme ma bouche, gênée, avant de saluer Virginie qui est donc une amie d'enfance de ce groupe d'hommes. Amitié tellement improbable, pensé-je en la voyant si différente des autres. Elle remarque alors le pendentif que je porte et relève les yeux vers Monsieur Didier en lui disant d'un air grave :

— Tu ne changeras jamais Didier! Bon je vais chercher Picasso!

Je rougis, car je sais à cet instant qu'elle sait comme il me considère. Mais en partant chercher son mari de l'autre côté du parc, elle m'envoie un baiser du bout des doigts. Monsieur Didier me prend la main et nous, nous allons dans notre chambre pour nous changer afin d'enfiler nos maillots pour profiter de la piscine. Je profite de ce que personne n'est autour de nous pour lui chuchoter :

— Monsieur, s'il vous plaît, pourrai-je enlever le plug?

— Pas de problème, cinq coups!

— D'accord Monsieur! dis-je.

La gêne que me cause le plug est plus désagréable que cinq coups de badine sur les fesses. Je n'ai pas mis beaucoup de temps à choisir.

La chambre est toute aussi luxueuse que le reste de la demeure. Je me précipite dans la salle de bain pour retirer le plug. Je pousse un petit couinement, mais je me sens infiniment mieux. Je le regarde un peu souillé, je grimace et le passe sous l'eau pour le nettoyer. Je sens alors la présence de Monsieur Didier dans mon dos.

— Tourne-toi et penche-toi! m'ordonne-t-il.

Quand il retrousse ma robe, j'ai peur qu'il n'ait envie de me prendre par-là, mais il me demande juste de m'agenouiller et d'ouvrir la bouche. Je suis bien heureuse qu'il se contente de ma bouche aussi je m'applique à le sucer et lorsqu'il jouit dans ma bouche. Je ne grimace pas et je me contente d'avaler son sperme et de lui montrer ma bouche vide.

Une fois que je lui ai bien nettoyé le sexe je me change et enfile mon maillot une pièce, noir qui me moule tant. Cet après-midi, je ne pourrais pas cacher la forme de ma fente aux autres. Mais cela ne me gêne pas autant qu'à la piscine. Je plonge dans l'eau et je rejoins Natacha qui s'y prélasse déjà. Elle a osé un maillot un peu provocant, mais avec ses fesses, elle peut se le permettre. Je remarque que parfois, Alain se rapproche beaucoup de mon amie et la frôle. Elle frissonne à chaque contact, mais elle ne les refuse pas. Seraient-ils amants? Non, elle m'en aurait parlé et elle est si amoureuse de son mari.

Elle m'explique alors que Rosalinde s'occupe de Baptiste. Elle s'en doutait un peu, car elle s'est toujours sentie à l'aise avec les enfants à chaque fois que Pierre-Henri et elle viennent. Elle lui fait entièrement confiance.

— Il faut que j'aille lui donner la tétée. D'ailleurs, je crois que je vais y aller maintenant comme cela je serais tranquille pour la soirée. Il n'y a rien de plus désagréable que de devoir quitter une soirée pour aller nourrir bébé.

Alors que je la regarde retourner vers le manoir, Monsieur Didier me fait aussi comprendre qu'il est temps d'aller remettre nos vêtements pour le repas.

Dans la chambre, il me demande une nouvelle fellation, dont je m'applique avec le plus grand plaisir. Quand nous retournons sur la terrasse, les employés congolais d'Alain, Jacques et Georges, ont apporté les tables et avec leur sœur, ils ont dressé le buffet. Georges s'occupe ensuite du barbecue pendant que nous prenons l'apéritif.

Alors que la soirée est bien avancée, je vois Monsieur Didier s'approcher de Natacha pour lui parler. Je les regarde s'éloigner dans le parc et disparaître derrière un bosquet. Je jette un regard vers Pierre-Henri qui ne s'est rendu compte de rien. Il a l'air ivre. Je suis étonnée, cela ne lui ressemble pas. Quelques minutes plus tard, quand Monsieur Didier et Natacha reviennent, elle semble soucieuse. Je lui fais un petit signe, mais elle ne le remarque pas. Elle se dirige vers Alain et quelques instants plus tard, je vois Monsieur Didier, Pierre et Philippe attraper Pierre-Henri par les bras et le conduire vers le manoir.

L'excellent rosé d'Anjou, ajouté aux quelques cocktails de l'après-midi commencent à faire effet. Mes paupières sont lourdes et je bâille. C'est avec plaisir que je prends le bras de Monsieur Didier pour rejoindre la chambre.

Dans la chambre, je n'hésite pas quand il me demande de me mettre nue. Mais au lieu de s'occuper de moi, il me demande de le suivre. Je découvre alors une nouvelle merveille de ce château. Après m'avoir invitée à le suivre, Monsieur Didier me montre un passage secret derrière les moulures de la chambre. Nous descendons un escalier de bois jusqu'à une porte fermée par un code que Monsieur Didier connaît. Il m'invite à entrer dans une pièce qui me fait plus penser à une salle de torture qu'à une chambre romantique. Je le regarde, immobile, tétanisée. Je ne sais pas comment me comporter.

Il s'approche d'un appareil qui ressemble aux piloris que l'on voit sur les représentations médiévales pour punir les criminels. Il en soulève la basse supérieure pour que je m'y installe. Les trous pour la tête et les poignets sont recouverts de mousse épaisse et ne font pas mal lorsqu'il referme la planche pour m'emprisonner. Je le sens alors attacher mes chevilles à une barre fixée au sol qui me maintient les cuisses bien ouvertes.

Je l'entends chercher quelque chose puis il revient vers moi. Il se penche près de ma poitrine et il fixe une pince à chacun de mes mamelons. Je ne retiens pas un petit cri, plus de surprise que de douleur, mais quand il ajoute des poids et qu'il les fait se balancer, je couine. Il vient alors devant moi et prend sa voix autoritaire.

— Chienne, tu dois être punie. Rappelle-moi le nombre de coups? Si tu te trompes, ça sera cinq de plus.

Rapidement, je réfléchis et je me souviens des moments où il m'a dit que je serai punie, je lance en espérant ne pas m'être trompée :

— Quinze Monsieur, dix à cause du pendentif et cinq pour le plug.

— Dommage... commencé-je à répondre.

Qu'ai-je oublié? me dis-je.

— Dommage que tu ne te sois pas trompée, quinze coups je trouve ça peu.

Quel goujat! Comme si quinze coups n'étaient pas suffisants...

— Je vais te donner une fessée mains nus. Mais avant chaque claque je te poserai une question. Après la claque, que tu auras comptée bien sûr, tu répondras à la question. Si tu réponds mal, si tu n'es pas sincère, si tu me mens, ou si tu ne réponds pas assez vite, on recommence au début.

Je me demande ce qu'il va me demander et comment saura-t-il si je mens.

— Qui es-tu?

CLAC, sur ma fesse droite, j'encaisse le coup avec un petit cri et je réponds.

— Aïe! Un Monsieur! Je suis Charlotte de Villaret!

— Et encore?

CLAC, cette fois-ci c'est la fesse gauche. Ma réponse ne lui convient pas, elle n'est pas ce qu'il attendait, je la complète alors.

— Aïe! Deux Monsieur! Votre chienne Monsieur!

— Qui suis-je?

CLAC!

— Ouille! Trois Monsieur! Vous êtes Monsieur Didier!

— Et encore?

CLAC! Encore une fois, il veut plus de précision

— Aïe! Quatre Monsieur! Vous êtes mon maître monsieur?

— Ça signifie quoi pour toi?

CLAC!

— Cinq Monsieur! Que je dois vous obéir en toutes circonstances!

— As-tu envie que je te sodomise?

CLAC! Là, je n'hésite pas et exprime mon refus.

— Six Monsieur! Non, Monsieur!

— Et si je veux le faire, essaieras-tu de m'en empêcher?

CLAC! De toute manière, serais-je en mesure de refuser.

— Sept Monsieur! Non, Monsieur, je suis votre chienne!

— Est-ce que dorénavant tu vas jouir sans ma permission?

CLAC! Pour cette question, la réponse me semble évidente.

— Ouille! Huit Monsieur! Non, Monsieur!

— Même avec ton mari?

CLAC! J'hésite, brièvement, j'ai déjà tellement souvent simulé que cela ne changera pas grand-chose.

— Neuf Monsieur! Je ne jouirai pas avec mon mari Monsieur!

— Bien! Es-tu prête à m'obéir quand je le veux, où je le veux, comme je le veux?

CLAC! Bien sûr, pensé-je, n'est-ce pas déjà ce que je fais.

— Dix Monsieur! Oui Monsieur!

— Même si je te demande de sucer Albert?

CLAC! Je pense que je pourrais le faire sans difficulté.

— Onze Monsieur! Oui Monsieur!

— Et si je te demande de te faire baiser par tous mes amis?

CLAC! S'il s'agit de ses amis de poker, je suis prête à me laisser baiser par eux.

— Douze Monsieur, je le ferai Monsieur!

— Et si je t'emmène dans un baraquement de vingt Roumains pour te livrer à eux?

CLAC! Je tourne ma réponse pour ne pas dire oui ou non, j'espère que cela lui conviendra.

— Treize Monsieur! Comme vous le voudrez, Monsieur!

— Qui suis-je?

CLAC! Pour cette question, je n'hésite pas.

— Aïe! Aïe! Quatorze Monsieur! Vous êtes, Monsieur Didier mon Maître!

— Et toi qui es-tu!

CLAC.! Cette fois-ci, je ne me fais pas piéger par la réponse et je trouve de suite la bonne formulation.

— Ouille, ouille, ouille! Quinze Monsieur! Je suis votre chienne, votre esclave Monsieur!

J'ai une nouvelle fois les fesses rouges et endolories, mais quand il me dit que j'ai le droit de jouir, je suis aux anges. Je le sens alors entrer en moi, prendre ma chatte. Cela fait une semaine que j'attends cela. Je ne vais pas laisser passer ce moment. Cependant je suis frustrée depuis tellement de temps que je jouis très rapidement. Un violent orgasme me traverse, je tremble de partout. Heureusement que je suis attachée sinon je me serais effondrée sur le sol.

Malgré ma jouissance, Monsieur Didier continue d'aller et venir en moi et une nouvelle fois je sens une vague de plaisir monter de mon ventre, jusque dans mes seins et ma tête. Je ne sens même plus les pinces et les poids qui ballottent, entraînant ma poitrine dans leurs mouvements désordonnés. Je jouis encore et encore alors qu'il se vide dans mon ventre. Je n'en peux plus et je tombe sur le sol.

Je me rends à peine compte qu'il me retire les pinces et me libère de mon carcan. Je ne sais pas comment je fais pour remonter les escaliers et je m'effondre sous la douche. Je sens l'eau couler sur ma peau et les doigts de Monsieur Didier dans ma chatte. Je remue mes hanches pour les sentir en moi, il les bouge dans mon sexe et je jouis encore en silence, avec des spasmes.

Puis, plus rien, je reprends conscience lentement. Monsieur Didier n'est plus avec moi. Je sens son sperme s'échapper de ma chatte. Je me douche complètement pour bien me nettoyer. Après m'être séchée, je le découvre, allongé sur le dos. Il est torse nu. Il semble dormir.