Bourgeoises Rééduquées : Partie 06

BÊTA PUBLIQUE

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— Et en plus tu es épilée... Une vraie petite pute... Qui s'en douterait sous ton air si sage...

Il tend alors la main vers mon bas ventre et glisse un doigt entre mes cuisses. Je frissonne. Son doigt trouve mon clitoris et il commence à le masser. Je ferme les yeux, je rentre mon ventre. Puis enfin, il s'arrête. Je le vois porter son doigt à son nez, puis il me le passe sous le nez.

— Tu sens ce parfum de femelle en chaleur?

— Oui Alain!

Je deviens encore plus rouge quand il me dit de venir prendre une flûte pour trinquer. Il fait un signe à George qui s'approche avec un plateau. Le jeune homme ne manque pas de regarder mon corps et ce que je lui montre, mais il ne laisse rien paraître de ses émotions. Si tout à l'heure, le fait d'être surprise la poitrine à l'air en train d'allaiter ne m'avait pas gênée, en ce moment, je suis presque tétanisée.

— À cette nuit! Qui promet d'être longue! dit Alain

— À cette nuit! réponds-je.

Je bois ma coupe rapidement. Un peu d'alcool ne me fera pas de mal. Il me dit alors :

— Va au kiosque au fond du parc, il y a une petite table basse. Je veux que tu te mettes nue et que tu m'y attendes à quatre pattes sur la table... Allez, file!

Il me donne une claque sonore sur la fesse en me poussant dans la direction du parc. Je mets un pas devant l'autre. Je sais où se trouve ce kiosque, au milieu d'un bosquet de chênes. Il me faut quelques minutes pour y arriver. Je regarde partout autour de moi. Il n'y a personne et même si la lune est haute dans le ciel, il fait nuit. Je retire ma robe et mon soutien-gorge et je monte sur la table. L'air est un peu frais. J'espère qu'Alain ne va pas tarder.

Didier a raison, je dois profiter de la vie, mais me trouver dans cette position au milieu de la nuit n'est pas ce que j'avais imaginé.

Au bout d'un moment qui me semble très long, j'entends des pas. C'est Alain. Il était temps qu'il arrive, car les moustiques sont en train de faire un festin sur mon corps offert.

Je vois Alain tourner autour de moi. Il me caresse le dos, les fesses, les cuisses. Ses mains viennent attraper mes seins, pincer mes tétons, tirer un peu dessus. Je pousse un petit gémissement.

— Je te fais mal?

— Non Alain! Au contraire...

Il rigole alors grassement avant de passer son pouce sur mes lèvres. J'entrouvre ma bouche, il entre son doigt que je commence à aspirer. Il se recule et ouvre son pantalon. Je découvre son sexe à moitié dressé devant mon visage. Il me caresse le visage avec puis il pose son gland sur mes lèvres.

— Allez! Suce! Salope!

Je commence à le sucer, à l'aspirer dans ma bouche. Il me tient par les cheveux. Je le sens durcir dans ma bouche, il pousse plus loin dans ma bouche, je suffoque. Il se retire. Je bave. Cela l'amuse. Il force à nouveau ma bouche. Cette fois-ci, j'ai un haut-le-cœur. Il recule.

Il passe alors derrière moi et je sens ses mains sur mes hanches. D'une seule poussée, il me pénètre. Je le sens en moi, différemment de mon mari, mais tout aussi agréable. Il commence ses allées et venues dans mon ventre en me tenant fermement. De temps à autre, il me donne une claque sur les fesses. Je pousse de petits cris. Je le sens alors accélérer ses mouvements et le plaisir monte en moi. C'est une position inhabituelle pour moi, mais me sentir ainsi possédée, utilisée augmente mon excitation et quand je le sens et l'entends jouir, je jouis aussi.

Il se retire et il revient devant mon visage.

— Nettoie mon sexe! Une bonne chienne comme toi nettoie toujours le sexe qui l'a fait jouir...

Je grimace et recule mon visage, mais il m'attrape la tête.

— Lèche!

Vaincue, je lèche ce sexe. Ce mélange de foutre et de mouille me dégoûte un peu, mais cela excite de nouveau Alain.

Quand il estime que c'est bon, il se recule et remonte son pantalon. Il me claque à nouveau les fesses.

— On va remonter au manoir... C'est sympa ici, mais les moustiques sont un peu désagréables.

Je me dirige vers ma robe, mais il me dit de la laisser là et de le suivre nue. Je suis paniquée. Je vais devoir traverser le parc et le manoir nue. Même si à cette heure avancée de la nuit, il y a peu de chance que nous croisions du monde, je ne suis pas tranquille. Et si Charlotte me voit comme cela, que va-t-elle penser?

La peur au ventre, je suis Alain. Quand nous arrivons aux abords de la terrasse. Je m'arrête. Jacques et Georges sont là. Je tente de couvrir comme je le peux ma nudité.

— Allez! Avance! me dit Alain en me claquant encore une fois.

La tête basse en tentant de rester le plus digne possible, je rentre dans le manoir. Alain se dirige vers le hall et l'escalier principal. Je comprends qu'il fait tout pour que je puisse être surprise. Nous aurions pu arriver à ses appartements par l'escalier de service.

Mes pas résonnent sur le marbre des escaliers puis sur le parquet du couloir. Je prie pour que personne ne sorte de sa chambre. En passant devant la porte de celle qui nous a été attribuée, j'ai une brève pensée pour mon mari endormi.

Enfin, Alain me fait pénétrer dans son antre. Un petit appartement privé dans une aile du château avec un petit bureau de travail, un petit salon, sa chambre et une salle de bain attenante. Il va s'installer dans un fauteuil et je le vois sortir son sexe.

— Viens me sucer! J'ai encore envie de sentir tes lèvres de pute sur ma queue...

Honteuse, je viens me mettre à genoux devant lui et je reprends son sexe entre mes lèvres comme dans le jardin, il m'attrape par les cheveux et il me pousse la tête pour tenter de forcer ma gorge. Je gémis et recule.

— Il va te falloir apprendre à me sucer mieux que cela... Tant pis... Fais-moi jouir avec ta bouche, petite salope...

Je fais de mon mieux et quelques minutes plus tard, alors que je bave abondamment sur mon menton et mes seins, je sens un liquide chaud et épais me remplir la bouche. Alain m'empêche de reculer. Je dois avaler, si je ne veux pas m'étouffer avec. Je le fais sans grand plaisir.

— Hummm! Ça fait du bien! je savais bien que tu avais une bouche de suceuse...

Je me dis que cela va être fini, il vient de jouir deux fois, il ne va pas pouvoir jouir de nouveau. Mais il me surprend en me demandant de me caresser devant lui.

Quelle horreur, certes il m'arrive régulièrement de le faire, mais toujours seule, jamais devant mon mari.

— Allez! Montre-moi comment tu te fais du bien quand Pierre-Henri est en mission...

Je regarde où m'installer, il me montre le lit.

Je m'allonge sur le lit. Il vient s'installer pour être face à mes cuisses écartées. Je commence à me caresser la poitrine, je sais que cela va m'exciter, puis je glisse ma main sur mon bas ventre et joue avec mes doigts sur mon clitoris et entre mes lèvres. Tout en massant mes seins, je rentre un doigt dans ma chatte toujours poisseuse. Je le vois se caresser doucement en me regardant. Alors que je commence à gémir, il me dit :

— Passe un doigt entre tes fesses, ton petit trou doit être jaloux.

Je n'ose pas lui dire que je ne l'ai jamais fait et je lui obéis.

— Allez doigte-toi le cul, montre-moi que tu aimes être enculée aussi.

Je retiens des larmes de honte et je grimace en poussant un peu mon doigt dans mon anus.

Alain est de nouveau bien raide. Il monte sur le lit et il m'écarte les mains pour me prendre. Je vois son visage au-dessus du mien. Il me pilonne la chatte en grognant. Son bas ventre claque contre le mien. Je pousse de petits cris. Je l'entends grogner plus fort. Je pense qu'il va bientôt jouir, mais il s'arrête.

— Allez! Tourne-toi!

Je me mets à quatre pattes, le nez dans les oreillers, les fesses levées. Je sens alors qu'il entre un doigt dans ma chatte. Il fait quelques aller et retour puis il remonte ce qui coule de ma fente sur mon petit trou. Je comprends ce qu'il me fait, il me prépare pour me sodomiser. Je tremble, cela fait quelque temps que je pense à cette caresse, mais je n'aurais jamais imaginé le faire avec Alain. Je me cambre quand il force mon anus avec son doigt.

— Détends-toi! Sinon tu vas avoir mal...

Je me détends autant que possible. Son doigt entre lentement. Il le remue, le tourne. Puis je sens un autre doigt. Malgré mon appréhension, ses doigts coulissent sans trop de difficulté.

— Tu es bien serrée, ma salope. Pierre-Henri ne doit pas souvent passer par là... Pourtant je sais qu'il aime cela...

Je ne réalise pas tout de suite les implications de ses mots, étant concentrée sur ces doigts qui coulissent entre mes fesses. Quand il retire ses doigts, je me sens vide. Je sens alors son gland qui pousse doucement. Je crie, je pleure dans les oreillers. Le gland passe. Alain entre lentement en moi. Il pousse un soupir de satisfaction quand il est enfin entièrement en moi.

Il ne bouge plus pendant quelques instants pour profiter de la situation, puis il commence à remuer. Je gémis, un mélange de douleur et de plaisir. Ses mouvements en moi sont de plus en plus amples. Soudain il accélère, je crie plus fort et il jouit une nouvelle fois.

Il s'affale sur moi, il est costaud. Je ne peux pas bouger. Je vais être obligée d'attendre qu'il s'écarte. Peu à peu je sens son sexe se rétracter et il sort enfin de mon cul. Il se met sur le dos.

— Viens me nettoyer!

Je le regarde et je fais non de la tête, si je pouvais le lécher alors qu'il sortait de ma chatte, là c'est hors de mes forces. Il me regarde, il semble me comprendre.

— Alors, allons sous la douche et tu vas me savonner!

— Oui je veux bien!

Il se lève et me prends par la main. Sous la douche, j'apprécie la tiédeur de l'eau qui coule sur ma peau. Je prends le savon et je commence à savonner Alain qui me fait la même chose. Bien évidemment, ses mains prennent leur temps quand elle passe sur mon ventre et entre mes cuisses. Je suis toujours traversée par des vagues de bien-être.

Après la douche, il exige que je reste encore avec lui. Je suis un peu affolée et si mon mari se réveillait et qu'il ne me trouve pas, que va-t-il faire?

— Avec la quantité d'alcool qu'il a ingurgité, il n'est pas près de retrouver sa lucidité... Allez viens!

Il tapote sur le lit à côté de lui. Je m'allonge, il me prend dans ses bras. Je sens son ventre dans mon dos, son sexe contre mes fesses. Il s'endort rapidement, mais moi je n'arrive pas à trouver le sommeil. Je reste immobile, je n'ose pas retourner retrouver mon mari. Mais je ne peux pas rester là toute la nuit.

Au milieu de la nuit, le plus silencieusement possible, je reprends mes chaussures et je quitte la chambre. Je tente de ne pas faire craquer le parquet en traversant le couloir nue et je parviens à ma chambre. Je me glisse nue sous la couette à côté de Pierre-Henri qui ronfle.

Le sommeil arrive tardivement, mais mon téléphone vibre pour me rappeler l'heure de la tétée de Baptiste.

J'enfile une longue liquette et une culotte pour aller chercher mon bébé dans la chambre de Rosalinde. Quand j'y arrive, la chambre est vide. Je m'affole un peu, mais j'entends des bruits dans la cuisine.

— Bonjour Madame! me disent Rosie et sa fille qui prépare déjà le brunch. Vous avez passé une bonne nuit?

— Oui merci! Où est Baptiste?

— Il dort sur la terrasse, me dit Rosalinde. C'est un vrai ange, il n'a pas bougé de la nuit.

— Merci!

Je vais sur la terrasse et je profite de cet instant de bien-être avec mon bébé. Je prolonge la tétée et surtout le câlin qui suit. Rosie arrive pour me proposer un café que j'accepte.

Je suis seule dans le calme de ce dimanche matin. Pendant que j'allaitais Baptiste, j'ai entendu une voiture partir de l'autre côté du manoir, mais maintenant à part le chant des oiseaux, rien ne vient perturber la sérénité de cet instant qui me permet de repenser à ma nuit. Je suis appuyée à la rambarde de la terrasse quand je sens une présence derrière moi.

— Tu sembles bien songeuse, Natacha!

Je me retourne et je découvre Virginie vêtue d'un tee-shirt qui couvre à peine sa culotte.

— Bonjour Virginie! Oui je repense à cette soirée, à ce que tu m'as dit hier...

— Et à ce que t'a dit Didier aussi, n'est-ce pas?

— Oui, c'est vrai...

— Il avait raison, n'est-ce pas? Il savait ce que tu ressentais?

— Oui, il le savait! Oui, il a raison... Je dois profiter de la vie, vivre ma vie, mais cela me fait peur...

— C'est normal! Nous sommes tous effrayés par la liberté...

Son sourire me rassure et quand elle m'ouvre les bras, je viens profiter du câlin qu'elle m'offre. Je sens son souffle dans mon cou. Elle me pose des petits baisers sur ma peau, je frissonne. Je suis surprise.

— Laisse-toi faire, laisse-toi guider par tes envies! me souffle-t-elle.

Elle me prend affectueusement le visage dans ses mains et elle pose ses lèvres sur les miennes. Que m'arrive-t-il? Je ne suis pas lesbienne, mais sa douceur, sa tendresse me font succomber. Elle m'entraîne vers un fauteuil, où elle s'assied. Je suis debout devant elle, elle passe ses mains sous la liquette et elle vient me caresser les fesses, le dos. Tout en douceur, elle me fait mettre à genou devant elle pour pouvoir continuer à m'embrasser. Elle guide mon visage. Elle veut que je lui embrasse la poitrine, le ventre au travers de son tee-shirt. Tout en me parlant avec une voix hypnotique, elle remonte son vêtement pour que je puisse poser mes lèvres sur sa peau. Elle continue de descendre ma tête plus bas. Je sens son odeur intime. Je ne sais que faire.

— Retire ma culotte! me murmure-t-elle.

Elle soulève son bassin, et subjuguée par sa voix, je fais glisser la culotte et je découvre un pubis aussi lisse que le mien.

— Lèche-moi comme ton mari te lèche!

Je pose mes lèvres sur sa fente et je sors ma langue. Je goûte pour la première fois à l'intimité qu'une femme. Ses mains sur ma tête, elle contrôle mes mouvements. Je l'entends gémir. Je suis complètement absorbée par ce que je fais, et j'entends faiblement une voix masculine derrière moi.

— Ah tu pouvais bien me gronder hier!

Je n'ai pas le temps de réagir, Virginie me plaque le visage contre sa chatte qui coule de plus en plus. Je continue de la lécher. Je ne trouve pas cela si désagréable et elle finit par jouir sur mon visage. Elle me lâche enfin et je peux me reculer pour respirer de l'air frais. Elle me sourit.

— Le brunch ne va pas tarder à être prêt, tu devrais peut-être aller t'habiller?

— Oui! Sûrement! Tu as raison...

Dans un état second, je regagne ma chambre. J'entends toujours mon mari ronfler. Je prends ma douche rapidement et j'entrouvre les rideaux afin d'avoir un peu de lumière pour choisir mes vêtements. Un rayon de soleil vient chatouiller le visage de Pierre-Henri qui cligne des yeux et grogne.

— Quelle heure est-il?

— Il est l'heure de te lever, le brunch est servi, mon chéri.

Il me regarde, je suis nue devant lui, je vois son regard sur ma poitrine, sur mon bas-ventre. Je devine une bosse qui se dresse sous les draps.

— Oh ma tête! dit-il en fermant les yeux. Qu'est-ce que j'ai pris hier soir... Excuse-moi ma chérie...

Je fixe la bosse, je repense à ce que j'ai fait pendant la nuit avec Alain. Ai-je le droit de lui en vouloir?

Prise de remords, je m'approche du lit. J'écarte la couette et je me penche sur son sexe dressé. Je le prends dans ma bouche et je commence à le sucer, mes lèvres montent et descendent sur sa hampe. Il me caresser les cheveux. Je ferme les yeux.

— Hummm! Ma chérie! Ce week-end te fait du bien...

Je m'active, je l'entends gémir et je le sens se raidir. Il va jouir, je le sais. Je recule mon visage. Je vois le jet se répandre sur son ventre. Je lui souris et je l'embrasse.

— Va prendre ta douche! Je t'attends.

Je l'entends se plaindre de sa tête sous la douche pendant que je m'habille. Sur mon string et mon soutien-gorge, j'enfile une combinaison short avant de rafraîchir légèrement mon visage.

Nous rejoignons les autres afin de prendre notre brunch. Je me sens bien, même si je tente d'éviter le plus possible de croiser le regard d'Alain qui a la délicatesse de ne pas me reparler de cette nuit.

De son côté, Pierre-Henri reste prudemment installé à l'ombre avec ses lunettes de soleil sur le nez. Je pense que je vais devoir conduire sur le chemin du retour.

C'est alors que je vois Didier s'approcher de moi.

— Je n'avais pas raison? Comment s'est passée ta nuit? me dit-il.

Je rougis avant de lui répondre tout bas.

— Bien!

— Bien Monsieur! dit-il durement.

Je sursaute en relevant les yeux.

— Oui, bien Monsieur!

— Je passerai te voir bientôt, il faut que je fasse ton éducation.

— Oui Monsieur!

Je pas su quoi répondre d'autre, que veut-il dire en parlant de faire mon éducation?

Je n'ai pas vraiment le temps de m'appesantir sur la question, car Pierre-Henri me propose de rentrer. Je regarde l'heure, effectivement, si nous voulons arriver avant que ses parents arrivent avec les enfants, il nous faut repartir.

Bien évidemment, il est impossible de partir sans remercier Alain de son hospitalité. Quand je me retrouve devant lui, je suis prise d'un trouble, un mélange de honte et d'excitation. En fait, j'ai aimé ce qu'il m'a fait, mais je n'arrive pas à me l'avouer. Quand il m'embrasse au coin des lèvres, je ne tourne pas le visage et je ne recule pas quand sa main me caresse la fesse comme je l'ai vu faire hier soir avec Laurence.

Au moment où nous arrivons à la voiture, je vois débouler Virginie. Elle me saute au cou et me pose un baiser sur les lèvres. Je recule surprise. Elle rigole.

—Tu pensais disparaître comme cela?

— Euh! Non! Excuse-moi, mais je ne t'ai pas vu, tu n'étais pas sur la terrasse...

— Non! Je discutai avec Rosie dans la cuisine... On se reverra, n'est-ce pas? Tu es si adorable.

— Oui! Bien sûr, je suppose...

Elle me dit alors en regardant Pierre-Henri :

— Viens dans le Luberon, viens passer quelques jours pour souffler! Laisse tes enfants à ton charmant mari et viens te reposer chez nous...

— Pourquoi pas?

Pierre-Henri est un peu surpris, mais il ignore ce que s'est passé entre Virginie et moi ce matin. Mais, contrairement à ma nuit avec Alain, je n'ai pas eu le sentiment de le tromper.

Dans la voiture, je demande à Pierre-Henri comment il se sent. Pour toute réponse, j'ai un grognement et au bout de quelques kilomètres, il plonge dans le sommeil.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Histoire intéressante pouvez vous faire une suite avec Nathacha ce serait génial....

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Superbe histoire.envisager vous une suite avec Didier et Natacha ?

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Super

Super saga qui ne nous laisse pas indifférente... j'ai hâte de lire la suite!

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