Chroniques Du Cheptel - Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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— « Si tu fais bien tout ce qu'on te dit de faire sans poser de questions. Le moment venu, je parlerais en ta faveur. Sonny aime te sauter, peut-être acceptera-t-il de te garder près de lui comme vide-couilles. Mais en attendant qu'il revienne, je dois te montrer qui est la patronne. » Déclara Clotilde en se saisissant de la cravache qu'elle avait cachée sous sa veste.

Les yeux d'Estelle s'écarquillèrent de terreur en reconnaissant le cuir rouge d'une cravache de dressage. Elle bafouilla. « Non, s'il te plait, on est pas obligé d'en arriver là. Je ferais tout ce que tu voudras, je serais obéissante, je te promets... » Pleurnicha-t-elle en abandonnant le peu de dignité qu'il lui restait encore.

SLAP !

La gifle que venait de lui asséner Clotilde fit taire Estelle, interrompant sa crise de panique. Victor en profita pour faire tomber au sol le peignoir de leur proie. La favorite était maintenant nue, sans défense face à ses deux tourmenteurs.

— « Ah merde, prend toi ça dans la gueule ! » Coassa Smordif de sa voix de crécelle en éjaculant sur l'image d'Estelle en face de lui. Son sperme jaillit de son pénis en un arc parfait pour venir traverser le visage de la favorite et s'écraser sur le lit.

Victor ne put s'empêcher de rire devant la performance du diablotin.

— « Tourne-toi ! Pose tes mains à plat sur la commode et tend-moi ton cul de salope dépravée. » Ordonna Clotilde, imperturbable. Elle avait vu tellement de captives se faire dominer par les hommes ou les démons de Sonny qu'elle adoptait instinctivement la bonne attitude.

Victor lâcha la favorite, il était impressionné par la détermination froide de Clotilde, il ne connaissait pas cette facette de la jeune femme. Il aimait bien ce qu'il voyait.

Estelle prit la position demandée et tendit ses fesses tremblantes vers Clotilde. « Tu as eu raison, de me remettre à ma place, je suis une salope... Je... Je mérite ce qui m'arrive. Je te demande pardon... Je ferais ce que tu veux... » Dit la jeune femme en baissant la tête, se préparant à recevoir son premier coup de cravache.

— « Je ne te demandais pas la permission, connasse ! » Clotilde abattis la cravache de toutes ses forces sur le cul de sa victime. Estelle serra les dents sous la morsure du cuir, alors qu'une douloureuse décharge électrique parcourait son corps, la faisant gémir sourdement.

Les deux coups suivants sur son postérieur furent très rapprochés, la faisant glapir à chaque fois.

Au quatrième coup, Estelle senti ses jambes vaciller, alors que l'électricité parcourait douloureusement son corps. Elle se rattrapa à la commode en lâchant un sanglot.

Le cinquième coup frappa son dos, elle cria encore plus fort. Elle se tortilla en vain en gémissant pour échapper au sixième coup.

— « Je t'en prie, ça fait vraiment mal. » Chevrota Estelle en pleurnichant. Chaque endroit qu'avait frappé la cravache, la brulait, sa peau la picotait, comme si on lui enfonçait dans le corps des centaines de petites aiguilles.

— « Tu es pathétique ma pauvre. » Lâcha froidement Clotilde, réfléchissant à l'endroit du corps de sa victime qu'elle allait martyriser.

Le septième coup sur ses fesses fit hurler Estelle de douleur, elle se tortilla un instant en gémissant et sanglotant, espérant diminuer l'intensité du feu qui la dévorait.

Clotilde caressa les fesses rougies de sa rivale avec l'extrémité de la cravache de dressage, promenant le cuir rouge sur les zébrures qu'elle venait de lui infliger. La favorite lui offrait un pur spectacle de soumission. Elle ne pouvait s'empêcher de penser que cette pute avait vraiment un beau cul. Pour la première fois, elle se sentit à la fois jalouse et sexuellement excitée par le pouvoir qu'elle détenait sur son ennemie. Elle eut soudain envie de lui faire mal, vraiment mal.

— « S'il te plait, Clotilde... pitié... » Sanglota Estelle.

— « Ta gueule poufiasse ! » Gronda Clotilde agacé par les pleurs de la jeune femme. Elle savait parfaitement ce que subissait sa victime pour l'avoir expérimenté elle-même. Elle avait espéré plus de résistance de la part de la grande Estelle.

— « En fait, tu vas me dire : S'il te plait Clotilde, punie moi. Allez vas-y et soit convaincante ! »

— « Je... d'accord... S'il te plait Clotilde... punie moi... Je le mérite... Frappe-moi, je suis une poufiasse... » Dit Estelle avec veulerie. Elle se rabaissait, espérant obtenir une sorte de clémence de sa rivale. « ...S'il te plait Clotilde, punie moi... Je ferais tout ce que tu voudras... Je te promet...»

Apparemment satisfaite de la supplique, Clotilde frappa une huitième fois, visant ce cul parfait qui l'agaçait, arrachant un nouveau cri suivis des habituels sanglots de sa victime.

Estelle avait l'impression que son fessier était en feu, elle souhaita s'évanouir pour que la punition et la douleur s'arrête, mais non, elle restait consciente.

— « Penche toi plus en avant et cambre ton cul, sale truie! » Entendit Estelle à travers un brouillard, elle obéit comme un automate et adopta la position demandée.

— « C'est bien, écarte les cuisses le plus que tu peux. Je veux voir ta chatte de pute lubrique ! » Ordonna Clotilde en tapotant de sa cravache l'intérieur des cuisses de la favorite.

— « Je vais te punir par là où tu as péché ! » Clotilde asséna un violent coup de cravache directement sur la vulve d'Estelle, faisant hurler comme jamais la jeune femme.

Elle avait l'impression que des milliers d'aiguilles chauffées à blanc lui déchiraient le sexe, la sensation était atroce. La favorite s'affaissa lourdement, à genou devant la commode, alors qu'elle lâchait un jet d'urine. Elle se pissait littéralement dessus souillant ses cuisses et ses genoux de son urine sans pouvoir s'arrêter, inondant le petit tapis en dessous d'elle.

— « Tu es vraiment une truie répugnante ! » Constata Clotilde avec un regard de dégoût. Elle attendit que sa rivale finisse de se vider.

Victor jeta au visage d'Estelle son peignoir pour qu'elle s'essuie avec, ce qu'elle fit consciencieusement en calmant peu à peu sa respiration saccadée, alors que la douleur refluait lentement.

Mortifiée et toujours en pleurs, la favorite reprit péniblement la position. La tête baissée, son visage était caché par sa chevelure tombante. Cambrée à l'extrême, elle ferma les yeux se préparant au dernier impact.

Clotilde hésita entre frapper à nouveau la chatte de sa rivale ou son cul de salope. Après une concertation muette avec Victor, elle punie à nouveau son sexe. Estelle lâcha un dernier un cri strident. Ses jambes ne pouvant plus la soutenir, la favorite se laissa tomber sur le tapis imbibé de son urine. Elle offrait un spectacle pathétique, sanglotant incontrôlablement.

La punition était terminée mais Clotilde n'en avait pas fini avec elle. Victor frotta les cristaux les uns après les autres pour arrêter leur diffusion. Le calme revint dans la chambre. Clotilde et Victor laissèrent un peu de temps à la favorite pour se reprendre et discutèrent en aparté.

Estelle sécha ses larmes d'un revers de la main et se releva péniblement pour s'assoir sur son lit. Elle grimaça à cause de son fessier douloureux et tenta de retrouver une position plus confortable ainsi qu'un semblant de dignité.

— « Si ça n'avait dépendu que de moi, je t'aurais balancé dans la fosse à merde sous les latrines de la taverne en attendant le retour de Sonny. Mais on m'a convaincue que tu pouvais avoir encore un peu de valeur comme putain ! » Annonça Clotilde en jaugeant d'un air septique la favorite.

Les yeux d'Estelle redevinrent humides et de nouvelles larmes coulèrent sur ses joues. Le cauchemar continuait.

— « Très bien, à partir de maintenant, tu t'habilles comme une pute, tu te maquille comme une pute et tu penses comme une pute ! Ta seule préoccupation sera de plaire à tout ce qui a une bite ou autre chose. » Déclara Clotilde, insensible au désarroi de sa victime.

— « Ca ne devrait pas être trop dur pour elle. Elle s'habille déjà comme une pute ! » Renchérit Smordif d'un air péremptoire, faisant claquer sa langue. Victor acquiesça, la détresse palpable de cette salope de favorite le mettait en joie, il commençait à bander dans son pantalon.

— « Sauf ordre contraire, tu resteras consignée dans ta chambre le matin. Tu y recevras les gardes du bordel, ceux qui ne sont pas de service et qui souhaitent passer un moment en ta compagnie. Ne soit pas timide, tous ont déjà profités de tes charmes au moins une fois. Mais maintenant tu t'en souviendras. » Annonça Clotilde avec une malveillance jouissive.

Estelle encaissa l'horrible nouvelle en se tassant un peu plus sur elle-même, elle regardait le sol. Incapable de réagir, sidérée par l'ampleur de sa déchéance. Il y peu de temps, elle était une favorite respectée... et maintenant, qu'est-ce qui lui arrivait?

— « Tu traiteras avec respect les gens que tu rencontres. Tu donneras du Monsieur ou du Madame aux gens à qui tu parles, et même aux esclaves qui te sont inférieurs. Pour moi, tu as désormais moins de valeur qu'un chien galeux. C'est compris la pute? »

— « Oui, j'ai compris... madame Clotilde. » Répondit Estelle, reniflant et séchant ses larmes avec le dos de sa main. Il n'était pas naturel pour elle d'appeler Clotilde, madame. Sa position de favorite auprès de Sonny, faisait qu'elle s'était toujours sentie supérieure aux gens et à sa rivale en particulier. Elle était à la fois horrifiée et fascinée par sa soudaine déchéance. Incapable de réfléchir clairement, elle se sentait presque soulagée d'être dominée par sa rivale.

— « Tous les matin, tu tâteras du cuir de cette cravache. Si la veille tu m'as déçue, je rajouterais un ou plusieurs coups supplémentaires. Si à l'inverse tu t'es bien comportée, tu en auras un de moins. Cette règle est simple, même une débile comme toi devrait la comprendre. »

Estelle avala péniblement sa salive à la perspective d'être cravachée tous les jours et hocha la tête en signe de compréhension.

— « Bien évidemment, je me réserve le droit de t'infliger des punitions supplémentaires si tu me déplait d'une manière ou d'une autre. »

— « Tu as gagné, je ferais ce que tu voudras... » Dit Estelle dans un souffle.

— « Je sais que tu feras tout ce que je veux, si tu ne veux pas finir sous les latrines... Maintenant Estelle-la-pute, je veux que tu réfléchisses, que tu trouves des façons pour décrire les différentes parties de ton anatomie vulgaire avec des mots appropriés à ce que tu es vraiment, une putain bas de gamme. Tu peux faire ça pour moi? » Demanda Clotilde en se rapprochant de la commode pour l'inspecter.

— « Oui madame. » Répondit Estelle, effrayée par les menaces.

— « Parfait salope, tu me feras la présentation de ton corps ce soir. Entraine-toi à prononcer ces mots pour que tu sois à l'aise avec. Assure-toi que ce soit suffisamment humiliant pour décrire la trainée que tu es. Et ne me déçoit pas ! » Prévint Clotilde sur un ton qui ne laissait aucun doute quant à la punition qui l'attendait si elle la décevait.

— « Ce sera fait, madame. » Dit Estelle en reniflant.

Clotilde s'empara des deux pièces d'argents posées sur la commode et les montra à Estelle. « C'est l'argent de tes passes? » Demanda-t-elle avec un ton méprisant.

— « ... Oui madame. » Murmura la favorite d'une voix à peine audible.

— « Je récupère les pièces, je les ferais encadrer pour les exposer. Maintenant je vais te laisser avec Victor, je pense qu'il a deux mots à te dire. On se voit ce soir sale truie, ne me déçoit pas ! » Conclu Clotilde en tournant les talons, quittant la chambre sans un regard pour sa victime. Une bourrasque de vent s'engouffra dans l'appartement quand elle ouvrit la porte. Le temps n'avait pas l'air de s'arranger dehors.

Une fois Clotilde partie, Victor s'installa confortablement dans un fauteuil et regarda intensément la favorite. Le mage sortit de la poche de son veston sa chaînette en or, ornementée d'une tourmaline jaune taillée en forme de goutte d'eau. Il commença à jouer distraitement avec son pendule sans quitter des yeux la fille en face de lui.

Estelle ne savait pas très bien quelle contenance adopter face au mage, l'homme la scrutait comme si elle était une pièce de viande. Son fessier toujours douloureux, elle se tortillait doucement assise sur le matelas, essayant de calmer le feu qui la dévorait. La tourmaline renvoyait de petits éclats de lumières jaune autour d'elle.

— « C'est quoi la fiole sur ta commode, on dirait une potion? » Demanda-t-il curieux.

— « Ce... c'est un remède pour soigner mes maux de ventre le matin. » Répondit-elle d'une voix pâteuse, elle ne pouvait détacher les yeux de cette maudite pierre jaune.

Estelle dû perdre la notion du temps, quand elle revint à elle, elle n'avait plus mal aux fesses. Le mage rangeait son pendule dans la poche de son veston et Vasseur était devant la cheminée en train de se réchauffer. Elle cligna des yeux, la jeune femme ne se souvenait pas l'avoir vu rentrer dans sa chambre.

— « Putain, il commence à faire vraiment froid dehors, la tempête ne va pas tarder à frapper l'île. » Maugréa le garde.

Estelle regarda avec méfiance Vasseur. Elle avait encore à l'esprit le cristal que Victor lui avait montré : elle, enculée et fessée par cet homme qu'elle savait violent avec les femmes et les prostituées en particulier. Dans un réflexe puéril, elle pressa son avant-bras contre ses seins, cherchant à masquer une partie de sa nudité à cet homme dangereux.

— « Tsik tsik ! N'y penses même pas, tu ne dois jamais tenter de cacher ton corps aux regards des autres. » Réprimanda Victor.

— « Pardon, monsieur. » S'excusa Estelle. Le regard sévère de Victor l'avait dissuadée de toute velléité de résistance. Elle laissa retomber son bras en rougissant légèrement, libérant sa magnifique poitrine.

— « Clotilde m'a dit pour la pute. » Dit Vasseur en désignant Estelle du menton.

— « Oui elle sera à la disposition des gardes qui le souhaitent le matin. N'est-ce pas Estelle? » Demanda Victor.

Dans un éphémère sursaut de lucidité, une partie d'elle lui cria de se révolter, d'envoyer paître ces malotrus, mais tout ce qu'elle put dire d'une petite voix c'était : « Oui monsieur. »

— « C'est bien, on va pouvoir passer un peu de temps avec cette pimbêche ! » Dit Vasseur en se raclant la gorge avant de cracher un mollard dans le feu. « En service, on a que vingt minutes de pause, on gagnerait du temps, si la pute nous attendait nue dans sa chambre. » Dit-il en matant les seins de la favorite, avec ces tétons qui pointaient avec arrogance, elle avait une très belle poitrine, à rendre jalouse bien des femmes.

— « Qu'en penses-tu ma belle? » Demanda Victor.

— « Je... d'accord... j'attendrais le matin nue dans ma chambre... monsieur. » Accepta la favorite, gênée de prendre conscience que la situation commençait à l'exciter.

A ce moment-là, la porte de l'appartement s'ouvrit à nouveau et Mord-fesses fit son entrée quelques secondes plus tard dans la chambre de la favorite.

— « J'ai raté quelque chose? » Demanda le nouveau venu en s'installant sur le lit de la fille, à côté de son copain diablotin.

— « Non, ils n'ont pas encore commencé à baiser. Ça traine ! » Se plaignit Smordif en soupirant.

— « Vous voulez voir de l'action, les petits monstres? » Demanda Victor aux diablotins qui firent tous les deux oui de la tête.

Vasseur se dirigeât vers la fenêtre de la chambre qui donnait sur la place devant la taverne pour ouvrir les rideaux en grand. Au loin la tempête avait effectivement l'air de vouloir se rapprocher et de lourds nuages noirs s'accumulaient à l'horizon. « J'ai deux hommes qui montent la garde dans la tour de ce côté, alors autant qu'ils se rincent l'œil ! »

— « Tu n'es pas contre? » Demanda Victor sur un ton étonnement poli, en s'adressant à la favorite.

La jeune femme fit non de la tête, avant de dire à haute voix : « Non monsieur. »

— « Très bien, tu vas t'allonger sur le matelas et te masturber devant nous, je veux voir comment tu fais quand tu te donnes du plaisir. » Exigeât Victor d'une voix polie qui tranchait avec la dureté de son regard.

Estelle hésita, jeta un coup d'œil inquiet sur Victor puis sur Vasseur, avant de répondre avec fatalisme. « Comme il vous plaira monsieur. » Que pouvait-elle faire d'autre?

Smordif et Mord-fesses lui firent aussitôt une place pour qu'elle puisse s'allonger au centre du lit. Estelle suréleva son buste à l'aide de deux oreillers posés sur un traversin. Les deux diablotins s'étaient réinstallés de part et d'autres de sa tête pour lui murmurer des cochonneries à l'oreille. Elle tenta de les ignorer. Bien calée, elle releva les genoux et écarta largement ses cuisses devant les deux hommes pour leur montrer sa chatte parfaitement entretenue.

C'était terriblement gênant, elle ne comptait plus les fois où elle avait dansé nue ou fait un strip-tease pour Sonny et ses hommes à l'occasion de fêtes. Mais jamais encore, elle ne s'était exhibée ainsi devant quelqu'un. Enfin si on exceptait la fois où Pizarda l'avait tripotée dans la taverne. Elle frissonna à l'évocation de ce souvenir encore très frais dans sa mémoire. Elle glissa une main entre ses cuisses pour caresser son sexe. Elle se faisait l'effet d'être une salope en s'attardant sur sa vulve, tirant sur ses lèvres pour ouvrir son sexe, l'offrir aux regards des hommes... pour leur plaire. Sa chatte s'humidifiait rapidement, elle s'attaqua à son clitoris si sensible en le caressant.

Elle essaya de penser à autre chose, mais elle n'y arrivait pas, les obscénités que lui susurraient à l'oreille les diablotins lui faisaient de l'effet. En soupirant, elle passa à la vitesse supérieure en introduisant un doigt puis un second dans son vagin. Estelle réprima un gémissement en les faisant coulisser en elle.

— « Combien de fois par semaine te masturbes-tu? Je suis mage, si tu mens, je le saurais, alors ne le fait pas ! Enfin sauf si tu veux tâter de la cravache... » Demanda Victor en exagérant ses talents de magiciens.

— « Je... je me donne du plaisir tous les jours monsieur. » Répondit la favorite en frissonnant à l'évocation de la cravache. Elle rougit, cet aveu était terriblement humiliant pour elle, mais elle ne voulait pas risquer de mentir et d'être à nouveau punie.

— « Combien de fois par jour? » Questionna Vasseur, piquée par une curiosité malsaine. Il n'arrivait pas à détacher son regard des doigts de la jeune femme, qui s'activaient contre sa chatte humide.

— « ... Ca dépend, souvent le matin au réveil. Parfois en journée, il m'arrive d'espionner l'une des filles avec un client et de me caresser après. » Révéla Estelle. Pourquoi leur donnait-elle des détails aussi sordides sur sa vie? Se blâma-t-elle.

Les diablotins commencèrent chacun de leur côté à s'attaquer à la poitrine de la favorite, incrustant leurs doigts sinueux dans les seins souples et fermes offerts à leur lubricité, les malmenant. Smordif murmura quelque chose à l'oreille de la favorite.

— « C'est vrai... Je me caresse aussi dans mon bain. Je sais que dans ses moments-là, Smordif me regarde... J'ai l'habitude qu'il me regarde... Oooh... » Mortifiée, elle ne pouvait s'empêcher de parler, d'en révéler plus qu'elle ne le souhaitait.

Les petits diables pétrissaient ses seins, jouaient avec ses mamelons tendus, lui faisant mal, lui faisant du bien aussi. Estelle se branlait la chatte sans retenue, sa respiration s'accélérait, elle gémissait. A ce rythme-là, elle n'allait pas tarder à jouir devant eux, pensa-t-elle.

— « Certains soirs après mon tour de chant... hum... Quand je me couche j'ai envie... Oooh... j'ai envie de sexe... alors je me fais du bien... Oooh... »

— « Tu as envie de sexe sale pute? Tu vas être servie ! Je prends sa chatte, tu prends son cul ! » Annonça Victor en commençant à se déshabiller.

— « Avec plaisir, j'ai adoré enculer cette salope, mais là elle va s'en souvenir ! » Rajouta Vasseur en dénouant sa ceinture.