Chroniques Du Cheptel - Ch. 09

BÊTA PUBLIQUE

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— « Alors Clotilde, dis-moi ! Quel effet ça fait de devenir une pute-à-démon? » Demanda le diablotin avec un plaisir sadique.

Victor regardait le diablotin enfiler celle que les gens considéraient comme sa petite amie. Il ne ressentait plus rien pour elle, à part la joie perverse de la voir malmener par le petit démon. Du haut de ses soixante-dix centimètres, Mord-fesses, même s'il était un grand pour son espèce, ne payait pas de mine, mais sa bite valait celle de n'importe quel homme.

— « J'avais remarqué depuis quelques jours, qu'elle ne portait plus le collier de protection que Sonny lui avait offert. J'avais le pressentiment que je la baiserai bientôt, alors je trainais invisible autour d'elle attendant le bon moment. Finalement, je n'ai pas eu trop longtemps à attendre. » Expliqua le diablotin en donnant de vicieux coups de reins.

Clotilde ne s'était jamais pris une bite aussi dure que celle de Mord-fesse. Elle avait l'impression de se faire défoncer par une bite taillée dans de la pierre chaude. Son vagin se réchauffait et s'adaptait à cette sensation, elle mouillait, la douleur s'estompait rapidement.

— « Tu as fait un cristal de la scène dans le restaurant? »

— « Bien sûr que j'en ai fait un, il est dans ma besace, j'ai tout cadré sur elle et sur les réactions des clients ! J'ai hâte de le montrer aux copains. » Répondit le petit monstre sans perdre la cadence.

Victor nota que les cris de douleur de Clotilde devenaient plus rauques, plus longs, elle commençait à prendre du plaisir. Quelques coups de bites plus tard, elle avait la chatte en feu et donnait des coups de reins en retour pour mieux venir s'empaler sur la bite de Mord-fesses.

— « Ah putain, elle est bonne cette salope ! » Tonna le diablotin.

Incapable de se contrôler, Clotilde gémissait maintenant comme chienne en chaleur sous les assauts du diablotin, Sans s'en rendre compte, elle avait avancé vers le baquet malodorant au point que sa tête s'appuyait contre ce dernier. Soudain, elle lâcha une plainte plus longue et plus forte que les autres. Elle venait de jouir une première fois.

Mord-fesses continua à la baiser, la faisant jouir une seconde fois quelques minutes plus tard. Peu de temps après, il devint plus frénétique avant d'éjaculer, la bite profondément fiché dans le vagin de la belle, la remplissant copieusement de son foutre chaud et épicé.

Une fois son plaisir prit, le petit diable se retira de la fille d'un air particulièrement satisfait, pour aller trifouiller dans sa besace. Il en sorti un joint qu'il alluma avec un briquet d'amadou. Il tira longuement sur le petit cigare brun avant de le passer à Victor.

Clotilde s'était affaissée contre la poubelle, hagarde, elle passait ses doigts sur sa chatte rougie. Elle était en feu, elle gémissait encore sourdement. Cette sensation de chaleur dans son vagin, ne diminuait pas, au contraire. Le foutre chaud du diablotin fuyait de sa chatte, pour couler sur ses cuisses.

Elle ne pouvait s'empêcher de caresser son sexe, étalant sur ses lèvres les fluides qui s'en écoulait, aggravant encore la sensation de chaleur, elle se répandait comme un incendie. Ce fut pire quand ses doigts passèrent sur son clitoris, elle gémit en se mordant les lèvres. Elle savait qu'Estelle avait eu du plaisir longtemps après avoir couché avec des diablotins, elle se demandait confusément si ce serait aussi son cas.

Victor rejeta la fumée dans l'air de l'étrange joint que partageait avec lui Mord-fesses. Face à eux, Clotilde se masturbait en poussant de petits gémissements.

— « Ca va durer longtemps? » demanda Victor en montrant Clotilde du menton.

— « Ca dépends des filles, plus elles sont salopes, plus ça dure. Mais avec le temps, elles finissent par s'habituer. J'en baise une depuis quelques mois, ça ne lui fait presque plus rien. » Répondit Mord-fesses lui reprenant le joint pour tirer une tafe.

— « Ce n'est pas mauvais, c'est quoi comme tabac? » Demanda Victor en reprenant en main le joint.

— « C'est pas du tabac, c'est du mariké. Je le fais pousser et sécher moi-même. Dis-moi Victor, je me disais... »

— « oui? »

— « J'ai encore un cristal vierge dans ma besace, on pourrait profiter des bonnes dispositions de cette salope pour lui présenter quelques bites de plus, qu'en pense-tu? »

La proposition du diablotin était tentante...

— « D'accord, faisons-ça ! » Acquiesça Victor, alors que le mariké commençait à lui monter à la tête. « Il est costaud ton joint... »

— « Oui c'est à cause des crottes de troll séchées que je mets dedans, avec mes plantes, ça fait un effet vraiment sympa... » Répondit le diablotin en rejetant un rond de fumée dans l'air.

*****

Sous-sols de la Cave-du-fort :

La nuit était déjà bien avancée quand Sélanor conduisit une Estelle fraichement douchée, maquillée et parfumée dans les sous-sols de la Cave-du-fort. Elle marchait pied nus, seulement vêtue d'une longue cape noire recouvrant son corps à la façon d'un manteau ouvert, laissant entrapercevoir à chacun de ses pas sa nudité. Sélanor ne lui avait pas dit où elle l'emmenait, mais elle comprenait à la direction qu'elles prenaient que ça n'augurait rien de bon pour elle.

Elle avait passé sa soirée à baiser, elle était fatiguée et n'aspirait qu'à s'effondrer dans son lit, au lieu de ça, elle se retrouvait fardée comme une pute à errer dans les couloirs. L'inquiétude grandissait dans son ventre au fur et à mesure que ses craintes se confirmaient.

Sélanor s'arrêta devant la lourde porte en chêne massif de la tanière des démons gardiens. Estelle eut un mouvement de recul.

— « Non s'il te plait, pas eux... » Murmura Estelle, la gorge nouée, apeurée par les rumeurs de ce que faisaient subir ces démons aux prostituées du cheptel.

— « Ne soit pas ridicule, ils ne te feront rien de plus que ce que Pizarda t'a déjà fait. Soit une bonne putain et tout se passera bien. » Répondit Sélanor en la regardant dans les yeux. Elle cogna à la porte.

Quelques secondes plus tard, la lourde porte en chêne massif s'ouvrit sur un grand démon au teint bilieux. Sélanor poussa une Estelle hésitante dans la tanière avant d'y pénétrer elle-même.

La favorite reconnu à son crane curieusement allongé, le démon qui l'avait douloureusement tripotée le soir où Pizarda l'avait enlevée, il avait la réputation d'être un sodomite brutal. Mais ce n'était pas lui qui l'inquiétait le plus, c'était l'autre...

La tanière n'était éclairée que par les bougies d'un imposant candélabre. L'autre l'attendait assis dans un fauteuil. Le même ton bilieux que son congénère, tout de cuir noir vêtu. Estelle avala péniblement sa salive quand elle remarqua le fouet posé sur ses genoux. Il la regardait avec ses petits yeux jaunes remplis de malveillance et de lubricité.

— « Comme promis, je vous amène Estelle-la-pute, vous pouvez l'utiliser comme bon vous semble tant que vous ne l'abimez pas trop. N'oubliez pas qu'elle doit dormir pour être en forme demain. Alors si vous voulez la revoir, suivez mes consignes, c'est compris Nestor? » Dit l'elfette en agitant son index en direction du démon assis dans le fauteuil.

Nestor eut un petit rictus. Son vrai nom était difficile à prononcer, les humains trouvaient plus simple de l'appeler ainsi, ce qu'il trouvait vraiment très contrariant. Il déplia sa carcasse pour se planter en face de l'impertinente. Du haut de ses deux mètres vingt, la jolie petite elfe blonde paraissait aussi fragile qu'une brindille en face de lui. Il caressa un moment l'envie de jouer de son fouet sur elle avant de reporter son attention sur l'autre femelle, la favorite.

Estelle venait de décrocher l'agrafe de sa cape. Celle-ci tomba au sol dans un bruit de vêtement froissé, révélant son corps somptueux aux démons. Anxieuse, elle retenait sa respiration, attendant leurs réactions.

Sélanor avait décorée Estelle pour l'occasion. Elle portait un rouge à lèvre vermeil d'un rouge éclatant, mettant en valeur sa bouche pulpeuse, tout en faisant merveilleusement vulgaire. Elle avait utilisé le même rouge à lèvre pour écrire le mot 'PUTE' sur son corps. Il s'étalait en de larges lettres au-dessus de sa poitrine, soulignant de manière obscène ses seins, dont les aréoles étaient peintes du même rouge intense.

Estelle avait toujours été fière de son corps et de sa beauté, mais la manière dont elle était exhibée maintenant la remplissait de honte, elle baissa la tête. Sélanor avait poussé le vice jusqu'à poser ce rouge à lèvre vulgaire sur la crête des grandes lèvres de sa vulve ainsi que sur le capuchon de son clitoris, la transformant en une poupée obscène.

Les démons la regardaient avec convoitise. Le sodomite lui tournait autour pour apprécier ses charmes sous différents angles, avant de se planter face à elle. Il vira son pagne pour dévoiler une bite en demi-érection, proportionnée à sa taille.

Maintenant qu'elle voyait son chibre, Estelle se sentait étrangement plus sereine, presque excitée. Elle se mit à genou devant le démon et fit ce qu'ils attendaient d'elle. Elle le prit en bouche pour le sentir prendre de la vigueur.

Sélanor venait de s'éclipser discrètement laissant la favorite seule avec les démons. Elle souriait, tout se passait merveilleusement bien pour elle et Estelle s'enfonçait chaque jour un peu plus sur le chemin de la dépravation.

Sa déchéance était inéluctable, les aptitudes à la soumission d'Estelle étaient évidentes, elle n'avait pas été la seule à s'en apercevoir d'ailleurs. Sonny le premier, il n'avait jamais perdu une occasion d'exhiber les charmes de sa favorite comme un trophée, faisant d'elle une strip-teaseuse pour ses amis, attisant le désir de ceux qui la regardait. Beaucoup attendaient du patron qu'il se fatigue et fasse d'elle une putain comme il avait fait pour d'autres avant elle. D'ailleurs, il n'avait jamais caché à ses amis, que c'était le sort qu'il lui réservait si elle le trompait. Elle le soupçonnait même, depuis fort longtemps, de caresser l'idée de faire d'elle une pute-à-démons.

Sélanor n'avait fait qu'accélérer le processus par ses conseils, poussant l'innocente et insouciante Estelle à se montrer parfois insupportable, attisant la jalousie maladive de Clotilde contre elle.

Jouer les bonnes copines avec ces femmes aussi longtemps avait été un vrai calvaire, mais ses efforts avaient payé. Peu à peu, elle parvenait à dégager ces insupportables et stupides humaines du cheptel personnel de Sonny. Elle avait intrigué pour faire exiler Amandine, Estelle était hors-jeu et Victor s'occupait en ce moment même de Clotilde.

Clotilde était à ses yeux, la plus exaspérante de toute. Une pauvre fille à l'esprit étroit, avec des principes, désespérément amoureuse de Sonny, dont la seule ambition était de devenir sa favorite. Pathétique ! Sélanor avait surtout du mal à accepter que, même si Clotilde était belle, Sonny mette une simple roturière sans aucun talent véritable au même niveau qu'une elfe d'une lignée aussi pure qu'elle. Estelle était une moins que rien, mais au moins, elle savait chanter.

Sélanor s'était un peu inquiétée quand elle avait vu naitre une idylle entre Victor et cette péronnelle. Mais elle n'était pas dupe, Clotilde était bien trop prude pour avoir une aventure, elle qui voulait tant se préserver pour Sonny. Victor lui avait forcément fait quelque chose. Confondre le mage avait été facile, les hommes lui mangeaient dans la main et Victor ne faisait pas exception. Il lui avait avoué comme elle le supposait qu'il avait hypnotisé la fille pour son plaisir, mais qu'il n'éprouvait plus rien pour elle depuis qu'il l'avait baisée. Pour une raison qui lui échappait, Victor avait même l'air de la haïr maintenant. Sans doute avait-il réalisé qu'elle n'était qu'une idiote à gros nichons, somme toute banale.

Victor s'était avéré être un allié précieux, grâce à lui, elle avait pu étoffer son réseau d'influence en négociant les charmes d'Estelle. Et surtout elle allait pouvoir offrir à Sonny, non pas un, mais deux dressages pour son retour, ce qui lui vaudrait certainement une belle récompense. Peut-être qu'elle coucherait avec Victor finalement, il méritait lui aussi une belle récompense... Elle caressa cette idée, quand tout sera fini, peut-être...

Sélanor s'éloigna dans le couloir alors que résonnait derrière elle un hurlement. Elle sourit, la pute allait morfler...

*****

Une ruelle quelque part dans le quartier du marché :

Victor était assis, adossé au mur de la ruelle, complétement stone, il regardait avec un plaisir immense Clotilde se faire défoncer en levrette par un mendiant. L'homme, qui avait bien plus du double de l'âge de la jeune femme, était habillé d'un manteau tellement vieux qu'il ressemblait à une serpillère usagée, les cheveux hirsutes, une barbe foisonnante, il était sale, vraiment sale. Victor était certain qu'il n'avait pas dû se laver la bite depuis des mois, sans doute plus.

Mord-fesses n'avait pas mis plus de cinq à six minutes pour ramener dans la ruelle, deux mendiants. Dieu sait dans quel trou, ils les avaient trouvés. Toujours sous l'emprise de l'orgasme qu'elle venait d'avoir avec le diablotin, Clotilde se masturbait frénétiquement, la chatte en feu, incapable de s'arrêter, elle gémissait comme une chienne en chaleur, le regard perdu. Quand les mendiants avaient vus, une aussi belle fille nue devant eux, ils n'en avaient pas crus leurs yeux.

Saisissant l'aubaine, l'homme-serpillère avait sorti sa bite toute crade et lui avait collé directement dans la fente. Victor savait à quel point Clotilde était bonne et étroite. Il imaginait sans peine ce que ressentait le gueux en baisant cette trainée. Il se mit à bander, fasciné par le spectacle des gros nichons de Clotilde qui ballotaient d'avant en arrière sous les assauts de son nouvel amant.

Mord-fesses immortalisait toute la scène depuis le début dans son cristal, capturant chaque expression de visage, prenant des gros plans sur le sexe et les nichons de la jeune femme.

Victor sorti sa queue trop à l'étroit dans son pantalon et commença à se branler en regardant le spectacle. Le premier mendiant n'avait pas tenu longtemps, il venait de juter dans la chatte de Clotilde. Il sorti sa bite avec un juron de satisfaction. Le mage sourit en remarquant que le pénis de l'homme-serpillère était devenu propre et luisant.

— « Amène-la moi ici, je veux qu'elle me suce la queue pendant que ton pote baise cette salope ! » Ordonna Victor.

L'homme-serpillère traina Clotilde devant Victor lui écorchant au passage les genoux.

Alors que la jeune femme ouvrait grand la bouche pour emboucher son gland, il remarqua les larmes sur son beau visage. Elle était dévastée. Cette vision le fit bander comme un cerf. Il fourra sa bite dans la bouche offerte de celle qui passait encore pour sa petite amie. Il aurait bien voulu défoncer sa belle petite gueule avec sa queue mais sa position assise ne lui permettait pas de le faire. Aussi il la laissa faire.

Le second mendiant colla à son tour sa bite dans la chatte serrée de la jeune femme. Celui-ci avait le visage grêlé de cicatrices, souvenir d'anciennes brulures. Il commença à la tringler faisant osciller le corps de la trainée.

Au loin, des bruits de pas ainsi que des rires se rapprochaient.

Pendant qu'il se faisait pomper, Victor réfléchissait. Il connaissait Clotilde, elle ne se remettrait jamais de ce qu'elle subissait cette nuit. Mais il voulait aller plus loin, la détruire et l'avilir complétement. Elle avait déjà admis ce soir qu'elle était une putain, il était peut-être temps d'en faire une pour de vrai.

Trois hommes, des pirates un peu éméchés arrivaient bruyamment dans la ruelle.

— « Hey les gars, venez voir ! Y'a d'la salope de premier choix ici ! » Dit l'un des hommes en découvrant Clotilde en pleine action.

— « Matez les loches ! » Renchérit un autre homme, n'en croyant pas ses yeux.

— « Approchez Messieurs ! Cette pute taille des pipes gratuitement, pour s'entrainer ! Par contre pour sa chatte ou son cul c'est une pièce d'argent ! » Annonça Victor.

— « Ouais, j'ai entendu parler d'elle... C'est la favorite, c'est ça? »

— « Non elle c'est une autre, elle débute, c'est pour ça qu'elle n'est pas chère. » Expliqua Victor en retirant sa queue de la bouche de la jeune femme. Il changeât de position pour empoigner les cheveux bouclés de Clotilde et lui relever la tête, la forçant à regarder les pirates autour d'elle.

— « Elle son nom c'est... » Victor laissa en suspend la suite de sa phrase, savourant le regard implorant de sa petite amie de ne pas révéler son prénom, avant de lâcher : « Son nom à elle, c'est Clotilde ! »

— « Elle a une sacrée paire de beaux nichons cette Clotilde ! T'es son mac? »

Libérée de la poigne de Victor, Clotilde courbait l'échine, elle soupirait et gémissait sous les assauts du mendiant qui la baisait si bien. En fait, un petit recoin de son cerveau savait qu'il ne la baisait pas si bien que ça, mais dans l'état d'excitation où elle était, n'importe quelle bite plantée dans sa chatte l'aurait amenée à l'extase.

*****

Place du palais de Sinistrevent :

Le sergent Anton Gusmer saluât les deux gardes noirs de faction en quittant le palais. Sa réunion avec Théodolinda et Razel s'était terminée bien plus tard que prévu. Il était particulièrement satisfait, sa mission était terminée, il devait juste s'assurer que la sécurité des cristaux diffusés dans le théâtre de Georgette serait bien assurée. Il avait informé la démone que Sélanor semblait désormais en charge du dressage de la favorite, ce qu'avait confirmé Stick. Le diablotin de Théodolinda avait rajouté que Clotilde semblait bien plus intéressée de s'envoyer en l'air avec Victor que de s'occuper d'Estelle. De plus, il avait noté un fort ressentiment à son égard, de la part des pirates de l'île.

Anton n'avait pas fait dix pas, qu'une rouquine se précipita à sa rencontre pour l'enlacer. « Tu en as mis du temps, ça fait une heure que je poirote, heureusement qu'il y a de charmants soldats pour me tenir compagnie... » Dit-elle avant de l'embrasser.

— « Hey doucement jeune fille... » Se défendit le sergent en la repoussant gentiment.

— « Alors? »

— « J'ai eu raison de lui en parler, on a sa bénédiction pour lui donner une leçon qu'elle n'oubliera pas de sitôt. On a même le droit d'abimer un peu cette pute. Pour commencer, tu vas me trouver tous les pirates et les clients avec qui elle s'est montrée désagréable... »

Plume embrassa Anton avec fougue. « J'ai envie de toi, tout de suite... » Lui souffla-t-elle à l'oreille...

*****

Ruelle de la place de marché :

A moins de deux kilomètres de là dans une ruelle faiblement éclairée. Victor appuyait méchamment son pied entre les omoplates de Clotilde, lui maintenant la tête plongée dans le baquet nauséabond. Le visage et les seins écrasés contre les ordures, elle sentait l'odeur de la pourriture lui retourner le cœur, quelque chose d'ignoble au goût horrible était entré dans sa bouche ouverte, étouffant ses cris. Heureusement qu'elle n'avait rien pu manger au restaurant, elle aurait certainement tout dégobillé.

Clotilde tenta de se redresser en vain, dans cette position, le cul en l'air, elle se faisait proprement enculer par un pirate ivre. Ce rustre lui défonçait la rondelle comme un soudard, sans se soucier le moins du monde de son inconfort. Il la sodomisait, l'écrasant un peu plus dans cette poubelle immonde. Chacun de ses coups de butoir lui cisaillait douloureusement le haut de son pubis, appuyant contre le rebord du baquet.

Il s'en fichait, pour lui, elle n'était qu'une putain comme une autre. Il avait payé une pièce d'argent le droit d'utiliser son corps. Et dire qu'avant cette nuit, elle n'avait jamais été sodomisée de sa vie.

Le chibre de Mord-fesses qui l'avait possédée tout à l'heure, continuait son œuvre démoniaque, ne lui laissant aucun répit. Malgré la douleur, malgré l'humiliation, malgré la honte, sa chatte échauffée avait besoin d'être baisée encore, de la cyprine et du sperme s'en écoulait pour venir souiller abondement ses cuisses. La souffrance de la sodomie brutale était compensée par les vibrations qui se communiquaient à chaque coup de rein dans sa chatte et son clitoris. Chaque soubresaut, lui envoyait des ondes de plaisir dans son corps, la maintenant dans un état proche de l'orgasme, mais sans l'atteindre à cause de la douleur dans son anus.

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