Susan la pute du bureau Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Susan s'efforçait de demeurer impavide tout en endurant leurs caresses osées, son état l'empêchait de réagir

rapidement et efficacement à leurs caresses pour se tirer d'affaire.

Alors qu'ils continuaient imperturbablement de lui palper la chaire tendre de ses cuisses, elle se résignait à manger en se servant de ses deux mains alors que leurs mains s'approchaient dangereusement de son en-trecuisse.

Lorsque le petit doigt de Chuck atteignit subrepticement le rebord de son fond de culotte, Susan le laissa faire un peu trop longtemps avant de tendre la main sous la table pour le repousser.

Elle chercha à serrer ses cuisses l'une contre l'autre Mais déjà la main de Chuck palpait son fond de culotte.

Cette fois il alla plus haut empoignant son mont de Venus au travers de sa petite culotte en coton.

Gary et Terry commandèrent une nouvelle tournée, ils mangeaient len-tement et ils commandèrent le dessert lorsqu'ils en eurent terminé le plat principal en lorgnant, hilares, les réactions de moins en moins vives de Susan.

La main de Frank était revenue sous son aisselle pétrissant à pleine main son nibard alors que Chuck lui pelotait sans vergogne la chatoune.

Ils s'installèrent plus confortablement pour mieux profiter de ses avanta-ges.

La main de Chuck s'était introduite dans sa petite culotte alors que celle de Frank se promenait sous son chandail.

Elle cherchait alternativement à arrêter la main de l'un puis celle de l'autre tout en demeurant discrète pour ne pas se faire remarquer par ses voisins et par le personnel.

Elle devait repousser leurs caresses sans se montrer discourtoise, mais ils continuaient inexorablement à pétrir ses charmes.

Frank glissait maintenant ses doigts dans ses bonnets de soutien-gorge, tandis que Susan combattait set envahissement, Chuck entreprit de fouiller sa chatte d'un doigt expert.

Elle eut une pensée rapide pour son mari, se demandant ce qu'il ferait s'il venait à savoir que sa femme se faisait peloter intimement par deux vieillards dans une salle de restaurant.

Elle se sentait honteuse sachant qu'en fait, elle ne pourrait jamais lui par-ler de cela!

Susan réalisa soudain que son minet était trempé, et le doigt de Chuck coulissait aisément dans sa cramouille lubrifiée.

Bien qu'elle continua à se défendre de façon inadéquate, Chuck avait déniché son clitoris qu'il mignota rudement.

Susan sursauta sous cette brusque caresse envoûtante.

Elle pensa tout d'abord que son égarement était du à son tau d'alcoolisa-tion avant de comprendre qu'elle était sur le point de succomber à un in-tense orgasme.

Elle ferma les yeux essayant d'ignorer ses sensations grandissantes, mais cela ne fit qu'accroître son émoi.

Elle raidit la nuque et crispas ses mains sur le rebord de la table.

Gary et Terry ne semblaient pas remarquer son trouble, mais les deux autres hommes la regardaient droit dans ses yeux qui roulaient dan leurs orbites, elle frissonna longuement, se mordit les lèvres, et succomba à un violent orgasme.

Elle se pencha quelques instants en avant puis leur dit :

- Excusez-moi, je dois me rendre aux toilettes! Et elle repoussa Frank pour se libérer de ses caresses.

Elle se dirigea d'une démarche incertaine vers les toilettes, trouva le petit salon où se refaire une toilette et s'effondra sur le siège.

Elle pleurait silencieusement, incapable, pendant de longues minutes, de refréner ses sanglots.

Il lui semblait que le plafond deu petit salon tournait, indéniablement l'effet de l'alcool ingurgité, elle empoigna finalement une poignée de papier toilette et entreprit d'essuyer sa chatoune et le fond détrempé de sa petite culotte.

Cela fait, elle se releva, ouvrit la porte du petit boudoir et contempla son reflet dans le miroir en pied. Son maquillage était gâché. Elle fit couler de l'eau dans le lavabo, se pencha en avant et se rinça soigneusement le visage.

C'est alors qu'elle entendit la porte du petit salon s'ouvrir, bordel elle ne l'avait pas verrouillée.

Et ses yeux se focalisèrent sur la figure cramoisie du petit et chauve Chuck. Elle avala sa salive en se retournant vers lui. Il franchit rapide-ment les quelques pas qui les séparaient, la repoussa dos collé au à la coiffeuse, encercla sa taille de ses mains et lui roula une pelle passion-née.

Elle se trouvait dans un tel état de choc qu'elle ne réagit pas, ses mains se promenèrent rapidement sur ses formes aguichantes, remonta son chandail au-dessus de sa poitrine, relevant les bonnets de son soutien-gorge pour exposer ses nibards à l'air libre. Ses lèvres se posèrent im-médiatement sur son téton droit, il la pressait contre lui tout cela en un rapide instant.

Pour Susan, cela semblait se dérouler dans un brouillard diffus et, en dépit de son ivresse elle notait tous les détails, mais quelque chose semblait la paralyser lui interdisant de réagir de quelque façon que ce soit.

Elle posa ses mains sur ses épaules et tenta mollement de le repousser, sans effet bien sur.

En moins de dix secondes, il ouvrit sa braguette, la troussa jusqu'à la taille et roula sa petite culotte sur ses genoux, et avant même que Susan ait l'idée de ce qui allait arriver, le vieillard enfouit la totalité de son pénis dans sa chatoune accueillante.

Elle tomba à la renverse, le cul reposant sur le rebord de la coiffeuse.

Elle tendit les bras en arrière et se posta sur les coudes pour éviter de s'affaler à plat dos, Chuck se tenait entre ses cuisses écartées de force, la baisant à couilles rabattues comme un chien en rut.

Susan se comportait comme une biche hypnotisée par les phares d'une voiture, elle se tortillait son popotin, trop choquée pour offrir une quel-conque résistance qu'elle soit physique ou verbale.

Il se passa peut-être trois minutes et elle le sentit jaillir dans sa cramouille, elle comprit que Chuck venait de jouir dans son utérus non protégé.

Il se retira lentement s'extirpant de ses entrecuisses.

Susan demeura cuisses grandes écartées, haletant, elle regardait Chuck remonter son pantalon et refermer sa fermeture éclair.

Sans un mot il lui sourit, se retourna et quitta les toilettes pour femmes.

CHAPITRE 3 : montre-moi tes nichons.

Susan se préparait à se rendre à son boulot le lendemain en dépit d'un sérieux mal d'estomac et un violent mal de tête.

Elle avait une importante présentation à faire à plusieurs vendeurs de la boite, elle devait les préparer sérieusement pour se montrer la meilleure.

En fait, elle s'était levée quelques minutes plus tôt, avait enfilé pour enfi-ler sa tenue de travail avant de se coiffer et de se maquiller soigneuse-ment.

La fin de la nuit précédente s'était terminée sans heurt.

Sans rien trahir de ce qui lui était arrivé, elle s'était débrouillée, pour s'asseoir à l'avant de la voiture lors du retour avant de récupérer sa voi-ture.

Avec bien du mal elle parvint à retourner chez elle et à prendre une dou-che rapide pour effacer les dernières traces du sperme de Chuck, et s'était glissée dans son lit à coté de son mari endormi.

Depuis 4 heures du matin, elle s'était tournée et retournée revivant la séance dans les toilettes pour femmes.

Un inconnu l'avait baisée!

Il l'avait forcée à baiser avec lui!

Mais avait-elle résisté?

Elle s'était laissé faire passivement sans s'enfuir!

Elle n'avait pas crié, et ne s'était pas débattu alors que les eux hommes la pelotaient sans vergogne pendant toute la soirée, puis dans les toilet-tes elle n'avait me^me pas dit "non" alors qu'un pénis étranger pénétrait au plus profond de son intimité.

Etait-ce vraiment un viol!

Viol, pas viol?

Susan savait que son explication ne tiendrait pas?

Elle savait que si elle l'avouait à son mari, il jugerait sa défense insatis-faisante, il ne la croirait pas!

Elle décida de laisser courir et de s'efforcer d'oublier l'incident.

Si Chuck se taisait de son coté, personne n'en saurait jamais rien!

Mais, lorsqu'elle ouvrit sa messagerie sur son ordinateur à son bureau, elle y trouva un mémo de Gary dans aucun titre.

Elle l'ouvrit, il comportait une pièce jointe, et un texte qu'elle lut tout d'abord.

- J'ai pris ce cliché hier soir avec mon portable, il faut qu'on se rencontre pour en discuter!

Elle cliqua sur la pièce jointe, à sa grande horreur elle tomba sur une photo d'elle et Chuck forniquant dans les toilettes pour femmes.

Ils étaient photographiés de profil, de leur gauche on y voyait Susan as-sise sur la coiffeuse, Chuck était posté entre ses cuisses, son pantalon sur les chevilles son gros cul à l'air, il était visible qu'il lui pilonnait la chatte.

Les jambes nues de Susan étaient verrouillées dans son dos, elle avait les yeux fermés et la tête basse.

Cette photo n'était pas vraiment pornographique, mais elle ne laissait aucun doute sur ce qu'ils faisaient.

Elle sentit ses bras se couvrir de chair de poule.

Devait-elle préparer ses affaires en attente d'être virée?

Qu'allait faire Gary, la sermonner, la sanctionner?

Elle avait peur de le voir.

Elle passa une heure entière à policer sa présentation de l'après-midi.

Finalement, ne pouvant repousser plus longtemps l'instant fatidique, elle se rendit au bureau de Gary.

La porte de son bureau était ouverte.

Il était au téléphone, mais il me fit signe d'entrer.

Susan prit sur elle de refermer la porte dans son dos, Gary termina sa conversation et reposa le téléphone.

- Ah voila ma nénette aux beaux nichons!

Mon dieu, je le HAISSAIS quand il disait cela!

- J'ai vraiment eu un sacré coup de pot avec cette photo! J'ai en-trouvert la porte des toilettes juste au bon moment, et, en dépit des conditions, cette photo est particulièrement réussie! Une bonne photo d'une action vécue, ne penses-tu pas?

Susan resta interloquée pendant une bonne minute, elle ne savait pas quoi lui dire.

Elle lui répondit finalement la tête basse :

- Il... IL m'a forcée à...

- Je ne t'aie pas entendu crier ni vu te débattre! Tu te tortillais bien un peu en fait...

- Je ne savais pas quoi faire, j'étais interdite! Tu ne me crois pas, n'est ce pas...

- Cela ne fait rien... Le contrat est reconduit pour l'année à venir!

Pourquoi Gary lui disait-il cela?

- Il ne m'a rien dit en fait, mais je lui ai envoyé cette photo... C'est un homme marié... Il connaît les règles du jeu... Il sait que je détiens cette photo très compromettante... Et il a immédiatement reconduit les contrats!

- C'est du chantage!!!!

- Implicitement oui... Je t'ai dit que ce sont les règles du jeu... Je me salis les mains et j'obtiens ce que je veux... Et maintenant je veux que tu me donnes du plaisir...

Susan releva la tête.

- Quoi?

- Mmmmmm... Je détiens là une photo explosive... As-tu raconté à ton mari ce que tu as fait la nuit dernière?

- Non, non... Il ne comprendrait pas...

- D'autant plus s'il voyait cette photo! Je sais où il travaille, je peux lui envoyer la photo à l'instant...

- Nonnnnnnnnnnn... Que me voulez-vous?

Gary gardait les yeux baissés et se tut quelques secondes

- Tout d'abord, et pour commencer, je meurs d'envie de voir tes splendides nichons!

Elle avala sa salive à cette ignoble proposition.

- NON...

Elle croisa instinctivement ses bras sur son veston pour couvrir sa poi-trine.

- T'as laissé Chuck et Frank te peloter toute la soirée les nibards, et tu ne voudras pas me les montrer? Puisque c'est ainsi, je vais en-voyer cette foutue photo à ton mari!

- NON, NON...

- Alors déboutonne ton veston!

Susan se tenait face à lui, d'une main tremblante elle commença à dé-boutonner sa veste.

Lorsqu'elle ouvrit son blazer, Gary vit ce que personne n'était supposé voir : un chemisier blanc en forme de camisole, très décolleté et sans manches, quasi-transparent, on distinguait clairement son soutien-gorge de dentelle blanc au travers du fin matériau.

- Remonte ta camisole!

- Gary, s'il vous plait!

- Cesse de regimber et montre-moi la marchandise!

- D'accord sale bâtard! Cracha Susan d'une voix incertaine.

Mais tout en disant ces mots, elle avait déjà entrepris de remonter son débardeur.

Elle croisa ses bras, et lentement remonta son débardeur au-dessus de sa tête le passa au-dessus de sa chevelure et le tint dans sa main gau-che.

Gary regardait fixement sa nouvelle employée se tenant devant lui en petit soutien-gorge blanc les yeux rivés sur ses miches.

- Continue, je ne veux pas attendre plus longtemps!

Susan descendit les fines bretelles de ses épaules, chez elle, elle aurait fait tourner le soutien-gorge plaçant le clip entre ses seins pour le dégra-fer à son aise.

Mais ne voulant pas faire plaisir à Gary en lui offrant un spectacle hau-tement en érotique, elle choisit de tendre la main et de le dégrafer dans son dos.

Mais cette fois elle dut bel et bien enlever son soutien gorge laissant sa poitrine se dresser fièrement à l'air libre.

- Hey be.. Gloussa Gary

- Quels jolis tétons!

Il se pencha en avant examinant de plus prêt les deux parfaites collines charnues de Susan.

Elle projetait son buste en avant ses nibards se tenaient bien droits, ils étaient coiffés de larges aréoles bruns clairs.

Les bras le long du corps elle restait passive son soutien gorge dans une main, elle avait posé son chemisier sur la chaise à coté d'elle, elle se voulait impassible de façon à ce que Gary ignore à quel point cette situa-tion l'humiliait.

Gary se leva à son tour, contourna son bureau et s'approcha d'elle, ins-tinctivement elle recula d'un pas, butant sur la chaise à coté d'elle, puis elle se retourna.

- Non! Je veux les palper...

- Oh non... Répliqua Susan reculant encore d'un pas.

- Je veux me régaler de ces mamelles!

- Non... Soupira Susan mais elle se retrouvait le dos bloqué contre le bureau de Gary, il tendit sa main droite qu'il posa sur son nibard gauche.

Haletante Susan tenta de repousser son patron pour toute réponse il po-sa sa deuxième main sur son deuxième nichon et entreprit de les pétrir avidement.

Ses adorables nibards se balançaient mollement alors qu'elle se tortillait et se débattait contre ses entreprises avant que Gary ne les empoigne à pleines mains.

Finalement Susan abandonna.

Elle se retourna et s'appuya sur le bureau, alors que son patron lui ca-ressait sa poitrine dénudée.

Il cherchait à l'embrasser, elle lança sa tête en arrière mais il parvint ce-pendant à enfouir son épaisse langue dans sa bouche alors qu'il palpait ses nibards.

Gary l'embrassa ensuite dans le cou, puis laissa ses lèvres courir sur ses nibards.

Il suçait et léchait ses tétons qui s'érigeaient sous ses caresses diffusant des frissons dans tout son buste, il la tenait étroitement serrée contre le bureau.

Il ramena sa main droite sur sa taille et descendit le long de sa jupe.

Il posa la main sur sa cuisse juste au-dessus du genou, elle sentit alors sa main palper sur son collant soyeux.

Lorsqu'il voulut glisser sa main sous sa jupe, elle se remit à se débattre.

- Non... Grommela-t-elle en tentant de repousser sa main.

Elle se redressa et s'éloigna du bureau.

Gary la laissa lui échapper, ses nichons dansant mollement sur son torse, puis il chercha rapidement à la maîtriser de nouveau.

Il l'enlaça, et la serra de nouveau contre le bureau, posa sa main droite sur la face interne de sa cuisse et la glissa en dessous forçant sa jupe à suivre le mouvement.

Lorsqu'il parvint à son entrejambe, elle couina misérablement, avant que Gary la repoussa sur le bureau.

Le dos de Susan s'étala sur le formica du bureau alors que ses jambes s'écartaient.

Sa petite culotte blanche était largement exposée, sous la luisance de l'acrylique de son collant.

Il saisit son fond de culotte et la caressa rudement.

Il frotta rudement la fentine de Susan au travers de son collant et de sa petite culotte tout en l'embrassant à pleine bouche alors qu'elle gisait étendue sur le dos ses pieds brassant l'air.

En dépit du chantage de son employeur, qui la menaçait d'envoyer les photos compromettantes à son mari, elle se débattait instinctivement pour sauvegarder son honneur;

Ce n'était pas une défense bien convaincante, mais elle était pas encore prête à s'étendre sur le dos en attendant son assaut sans rien faire pour y échapper.

Mais pour l'instant la bataille était terminée, elle était étendue sur le dos sur le bureau de son patron, les nichons à l'air, il lui roulait une pelle ba-veuse et comme la nuit dernière, elle se contentait de le subir.

Son téléphone sonna à cet instant.

Au grand soulagement de Susan Gary se redressa et tendit la main pour appuyer sur le bouton de conversation mains libres.

- Oui...

La voix de Carole la standardiste retentit.

- Gary, j'ai Phil Levin en ligne! Il cherche Susan... Il dit que c'est urgent...

- Bon d'accord, passe-le-moi!

Phil faisait aussi partie des quelques client les plus importants de la mai-son Susan avait déjà travaillé avec lui de temps à autre.

Il était d'un pénible, mais son problème devait être réglé rapidement.

Gary se releva, son assistante aux seins nus fit de même, clignant des yeux elle cherchait à reprendre une certaine consistance.

Le téléphone sonna à nouveau et Gary appuya sur le bouton main libre à l'usage de Susan.

- Hello Phil.. Dit-elle d'une voix gazouillante.

Phil commença à babiller au sujet de son problème, Susan se mit à prendre des notes.

Elle se concentra momentanément sur son boulot et sur le problème de Phil, oubliant totalement qu'elle se trouvait seins nus dans le bureau de son patron.

Mais alors qu'elle prenait ses notes, tout en discutant avec Phil, elle sen-tit les mains de Gary se poser à nouveau sur ses nichons alors qu'il se tenait dans son dos.

Il pinçait lascivement ses tétons, alors qu'elle se penchait sur le bureau pour prendre ses notes.

Elle tenta de se redresser, et de repousser Gary. Mais ses doigts ser-raient fermement ses nichons les caressant rudement. Elle essaya de nouveau de repousser ses mains, elle devait se concentrer à nouveau sur les questions que lui posaient Phil à l'autre bout du fil.

Les mains de Gary empaumèrent sa croupe au travers de sa jupe, pé-trissant vigoureusement ses fesses. Elle tortilla son cul pour esquiver sa caresse, mais trop préoccupée par les propos de Phil elle ne poussa pas plus loin sa défense.

Gary glissa à nouveau ses mains sous sa jupe et palpa rudement sa chatoune. Elle referma ses cuisses sur l'envahisseur, mais Phil ne vou-lait toujours pas se contenter de ses réponses.

Gary dégrafa le clip sur le coté de la jupe de Susan et la fit glisser lente-ment au sol. Ce faisant, Il la tenait fermement par la taille.

Elle se retourna vers lui et lui jeta un coup d'œil glacial, mais déjà sa jupe chutait sur ses chevilles, elle se retrouvait torse nu, ne portant plus que sa petite culotte de dentelle blanche et ses collants.

Il promena ses mains sur ses cuisses s'approchant de plus en plus près de son entrejambe.

Puis il agrippa la ceinture de son collant et de sa petite culotte et les tira toutes deux vers le bas. Il bousculait sévèrement Susan, ce fai-sant, mais elle devait à tout prix continuer son aparté avec Phil.

- Oui Phil, je suis d'accord, vous auriez du tout recevoir hier... Je vais tenter de les retrouver... Avez-vous assez de renseignement pour aller de l'avant...

Il avait maintenant dénudé sa croupe et son patron s'accroupissait dans son dos!

Une fois le cul de son assistante à l'air, Gary descendit rapidement sa culotte et ses collants. Comme absente Susan les enjamba et se figea entièrement nue, toujours penchée en avant pour écrire ses notes.

Lorsque Gary agrippa son cul nu, le ton de sa voix monta subitement.

Il lui palpa rudement les fesses pendant un bon moment puis il glissa une de ses mains entre ses cuisses et entreprit de lui palper la foufou-nette.

Elle se tortilla à nouveau, mais elle pensa alors qu'elle était toute proche de la résolution des problèmes de Phil, ce qui lui permettrait de reposer le téléphone et de contrer plus facilement les initiatives de son patron.

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