Susan la pute du bureau Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Elle espérait secrètement qu'il allait la chevaucher longuement, mais dé-jà il éjaculait quelques jets de foutre brûlant dans sa chatoune inassouvie avant d'extirper sa queue de sa grotte embrasée.

- C'est bon les gars, retournons au boulot, rhabille-toi Susan! Or-donna brusquement Byron.

Les spectateurs frustrés rassemblèrent leurs notes tout en gardant un oeil sur Susan qui s'était redressée prestement pour attraper sa veste, sa jupe et son string.

Une fois qu'elle eut repris une convenance raisonnable, ils ouvrirent la porte de la salle de conférence et les assistants la quittèrent.

Susan renfila ses chaussures, passa ses doigts dans ses cheveux se rendant aussi présentable que possible.

Elle quitta à son tour la salle de conférence et se pressa de réintégrer son bureau.

Peut-être bien qu'elle était le jouet de son imagination, mais pourtant il lui semblait que les employés travaillant à leurs bureaux la regardaient étrangement, exactement comme s'ils savaient pertinemment ce qu'elle venait de faire avec les cinq hommes dans la salle de conférence.

Chapitre 5) A la disposition de tous

Le reste l'après-midi, Susan demeura assise à son bureau, s'efforçant d'éviter tout contact avec ses collègues, elle était incapable de se concentrer sur son boulot.

Environ une heure après la fin de la "conférence" elle entendit quelqu'un s'approcher d'elle.

- Susan j'ai adoré votre présentation! C'était Emile, l'Arabe qui l'avait regardée se foutre à poil et parader sur la table de confé-rence, il posa sa main sur son épaule.

- Merci... Grommela Susan sans oser le regarder, au son de sa voix elle comprenait qu'il était sincère, mais elle savait qu'en fait de présentation, Emile parlait de la mise à nu de ses charmes et non pas de son travail.

Cependant il ne partait pas, elle leva donc les yeux pour voir ce qu'il vou-lait. Elle vit alors que son regard rampait sur ses appas mammaires lar-gement dévoilés par l'encolure de sa veste, du fait qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.

Calmement il tendit le bras et la glissa dans son encolure, posté derrière elle, il avait posé la main gauche sur son nichon droit.

Susan se raidit mais ne protesta même pas la bouche grande ouverte pour respirer à fond.

Il lui sourit gentiment tout en pétrissant son nibard avant d'étirer son mamelon raidi.

Susan endurait silencieusement ses caresses, Emile entendit soudain des pas s'approcher dans le hall, calmement il retira sa main de son en-colure et s'en alla discrètement.

Ce ne fut pas le dernier homme à voir ses nichons largement exposés ce jour là. Jon et Walter, deux jeunes collègues qui étudiaient de nouveaux marchés dans l'aire de réception, jouirent du même privilège.

Gary appela Susan la requérant pour aider ces deux jeunes de 22 ans.

Habituellement elle aurait été heureuse de les aider, mais dès qu'elle commença à les assister dans leurs démarches, elle passa beaucoup de temps à maintenir fermé sa veste pour l'empêcher de s'ouvrir dénudant ses miches.

En plus c'était en vain, elle ne pouvait empêcher les deux jeunes hom-mes de plonger leur regard dans son décolleté alors qu'elle se penchait sur eux pour trier leurs imprimés.

En dépit de tout ce qui lui était arrivé ces dernières 24 heures elle rougit comme une tomate.

Lorsque le facteur déposa un colis il s'arrêta devant elle pour reluquer lui aussi ses nibards.

A la fin du jour, elle trouva le courage de se rendre au bureau de Gary pour lui demander misérablement de lui rendre ses vêtements..

- D'accord... lui répondit-il fort civilement en ouvrant le tiroir de son bureau.

- Voyons... Ton chemisier... Il posa la liasse de vêtements sur son bureau.

- Tes collants... Ton retrousse-têtes... C'est bien tout ma chérie?

- Et ma petite culotte murmura-t-elle misérablement.

- Ah oui, la voilà, une pitoyable culotte de coton blanc, mais tu dois trouver mieux que celà à te mettre sur le cul, tu dois porter des sous-vêtements bien plus sexy et excitant, commence donc avec ceci! La sermonna-t-il en lui tendant un minuscule cache-sexe rouge.

Il s'agissait d'un délicieux petit string qui n'avait rien à voir avec les pudi-ques petites culottes qu'elle avait coutume de porter, effarée elle regar-dait l'affriolant cache sexe.

- C'est une petite culotte de Marcia, tu la porteras demain avec ta petite jupe blanche, tu vois laquelle je veux dire! Elle révèle ton cul à chacun de tes pas, et les gars adorent ça! Tu tortilles agréa-blement ton cul quand tu marches, au cas où tu l'ignorerais!

Susan n'y faisait pas attention, elle rougit jusqu'aux oreilles.

- Tu vas te débarrasser des ces sous-vêtements désuets, tu porte-ras dorénavant des petites culottes froufroutantes, des strings extrêmement minis qui mètreront bien tes fesses en relief! A de-main ma petite Susan.

Sur ces mots il se leva et passa rapidement sa main dans sa veste pour pétrir avidement ses nichons.

- Mes collègues m'ont reluqué toute la journée et m'ont même peloté sans vergogne.. Se plaignit-elle alors qu'il pétrissait ses charmes mammaires.

- Qu'ils te reluquent et te pelote en paix! Ils ne font que démontrer leur admiration! Dorénavant tu t'habilleras de plus en plus sexy, je t'achèterais quelques tenues excitantes! Et tu apprendras rapide-ment ce que j'aime, je te donnerai une carte de crédit pour que tu achètes toi-même des tenues provocantes!

Sur ces mots il retira sa main et congédia Susan.

Elle empoigna ses vêtements et les fourra dans son sac avant de les remettre dans les toilettes pour retourner retrouver son petit mari.

Le lendemain matin, comme elle remontait le hall, elle entendit des pas résonner derrière elle.

- Bordel quel beau cul! Ca c'est vraiment un beau cul!

Susan jeta un coup d'œil par-dessus son épaule et vit Mick, un des par-ticipants à la conférence de la veille, accompagné de Randy un quaran-tenaire texan, qui la suivaient.

Elle savait qu'ils avaient les yeux rivés sur sa courte jupe blanche.

Elle s'était regardée dans un miroir un peu plus tôt et savait pertinem-ment que son string rouge transparaissait clairement au travers du fin tissu de sa jupe.

- Boom... Boom... Boom... Mick scandait les mouvements chalou-pés de la croupe de Susan. Randy hennit de plaisir.

- Aimerais-tu t'approcher d'elle pour lui palper les fesses?

- Bien sur!

En dépit de cette alarme sonore, Susan fut surprise de sentir la grande main de Mick empoigner un de ses globes charnus alors que déjà Randy pétrissait son autre fesse.

Elle avala sa salive mais ne protesta pas.

Elle leur jeta un coup d'œil affolé à l'instant me^me ou Randy empoignait son autre fesse.

- Uh... Grogna-t-elle éperdue de honte, ils éclatèrent tous deux de rire à cette faible manifestation.

Elle pressa le pas, le rire des deux hommes résonnant toujours derrière elle.

Plus tard, repensant à ce pelotage inopiné, elle ne se sentait pas sur-prise que Mick la traita en Bimbo, il l'avait vue se faire baiser dans la salle de conférence.

Mais Randy lui, n'avait pas assisté à cette scène infâme. Est-ce Mick ou quelqu'un d'autre qui lui avait raconté ce qui s'était passé.

Qui d'autre savait quel endurait cette forme de harcèlement sexuel?

Elle l'apprit bien assez tôt, alors qu'elle rinçait sa tasse à thé dans l'évier du réfectoire, elle sentit un corps se frotter contre elle, dans son dos.

Elle jeta un oeil en arrière pour voir Darnell, un des rares noirs qui tra-vaillait dans les bureaux. Il lui dit :

- Bonjour, vous êtes très jolie ce matin.

- Merci... Souffla-t-elle embarrassée.

Il pressait étroitement son corps contre ses formes rebondies, ses mains se posèrent sur sa taille au-dessus de son chemisier, puis il les remonta sur son buste.

Il empauma ses deux nibards au travers de son chemisier et de son sou-tien-gorge, parallèlement elle sentait sa grosse bite se frotter dans sa raie culière au travers de sa jupe.

Elle respira difficilement sortant involontairement la poitrine.

Darnell lui pétrit les nibards pendant un bon moment, puis il sirota une tasse de café et partit sans un mot de plus.

Plus tard dans la matinée, Susan relisait une proposition dans le bureau de Graig.

Lorsque Graig prit place dans son fauteuil, il chercha à regarder sous la jupe de Susan qui se tenait à sa droite penchée sur le bureau pour lire son document.

Il posa soudain la main sur son jarret gauche.

Comme elle ne protestait pas, la main remonta sous sa jupe, déjà elle remontait vers ses fesses.

Susan s'efforça de lui dire d'arrêter, mais elle balbutia et perdit toute vo-lonté.

La main de Graig se promenait maintenant sur ses fesses nues et se permettait de les pincer avant de les pétrir sans vergogne.

Susan se tenait toujours debout laissant Graig pétrir à loisir ses deux globes fessiers.

Lorsqu'il en eut terminé, elle reprit suffisamment contenance pour com-prendre ce qu'elle lisait et sortit du bureau.

Chapitre 6 : Susan suce son patron.

Après le repas de midi, Gary la convoqua dans son bureau, assis der-rière son bureau il lui intima de fermer la porte.

- Viens ici.. Lui indiqua-t-il lui faisant signe de contourner le bureau.

- Il est temps de prendre un peu de bon temps!

Susan se sentait mal, et encore plus mal lorsqu'elle le vit descendre sa braguette.

- A genoux ici! Montre -moi ce que tu sais faire!

- Uggh... Pensa Susan affolée.

- Il veut que je lui taille une pipe!

Elle se laissa tomber à genoux entre ses cuisses, elle avait les yeux ri-vés sur la grosse bite qui avait visité sa chatoune la veille.

Résignée à exécuter sa corvée, elle referma les lèvres autour du gland turgescent de son patron.

Cette mentule était plus grosse que celle de son mari, la seule bite qu'elle ait sucée jusqu'ici.

Son mari s'était jamais plaint de sa technique fellatoire, mais ce n'était pas quelque chose qu'elle aimait faire, et elle ne lui taillait des pipes qu'en de rares occasions.

Elle avait refermé les lèvres sur le sommet de sa bite et se penchait en avant avalant la hampe dans sa totalité, quelques secondes plus tard son patron se mit à critiquer son manque de savoir-faire.

- Avale en plus! Aussi profondément que tu puisses le faire! Ser-res plus fortement tes lèvres sur la hampe! Attention à tes dents!

Susan tenait compte de chacune de ses observations, elle voulait en finir le plus rapidement possible avec cette corvée, mais Gary semblait décider à la garder entre ses cuisses jusqu'à ce qu'elle lui donne entière satisfaction.

Le téléphone sonna.

- Merde! S'esclaffa Gary

- Met en route le haut-parleur.

Susan reconnut la voix de Thom, l'un de leurs hommes de loi.

- Gary... Demanda Thom

- Je suis dans vos murs avec Miles, on doit rédiger la version défini-tive de votre déposition de cet après-midi.

- Oui, venez me rejoindre dans mon bureau, je ne suis pas en posi-tion de quitter mon bureau à cet instant!

- C'est d'accord on arrive.. Lui rétorqua Thom compréhensif.

Susan présumait qu'il la congédierait avant la fin de sa corvée sexuelle, mais lorsqu'elle releva la tête Gary lui enjoignit :

- Continue à me sucer la bite!

Elle lui prodiguait toujours une savoureuse fellation lorsque Thom et Mi-les entrèrent dans le bureau.

Elle ne pouvait pas lever les yeux sur les arrivants, aussi ne pouvait-elle qu'imaginer leur tête en la voyant tailler une pipe à son patron.

- Bonjour messieurs, qu'attendez-vous de moi? Les interrogea Ga-ry.

Les deux avocats lui luirent un bordereau puis invitèrent Gary à préparer la rédaction finale.

Susan jeta un coup d'œil rapide sur les deux hommes de lois.

Ils semblaient légèrement embarrassés et surtout surpris de ce specta-cle graveleux, mais ils ne semblaient ni perturbés ni choqués de la voir sucer la mentule de son patron.

Pensaient-ils que c'était une tâche normale pour une collaboratrice?

Susan tâchait de se rappeler toutes les instructions de Gary concernant la façon de lui sucer la bite, elle lui taillait une vigoureuse pipe avec de multiples "slurp, slurp, slurp" que les deux spectateurs devaient entendre clairement.

Elle s'efforçait d'avaler sa bite aussi profondément que possible dans son arrière-gorge, au risque de s'étouffer, elle émit même un "gugucc-ckkk" étranglé alors qu'il obstruait ses voies respiratoires.

Elle était très gênée, inconsciemment elle ne voulait pas que ces deux hommes croient qu'elle lui prodiguait habituellement ces fellations!

La bite de Gary était totalement déployée dans la bouche de Susan, mais elle craignait qu'il n'entende pas jouir dans sa bouche. Elle com-mençait à avoir mal aux mâchoires, enfin Gary lui intima d'arrêter.

- Tu reprendras ta fellation plus tard!

Susan se releva et s'essuya la bouche, elle se préparait à quitter le bu-reau.

Mais Gary empoigna son poignet et lui enjoignit :

- Enfourche-moi!

Et il la manœuvra pour la poster face à lui, jambes grandes écartées de chaque coté de ses genoux.

Sa bite velue pointait entre ses cuisses, il avait toujours son pantalon sur les chevilles.

- Allez Susan installe-toi sur moi!

Susan ne parvenait pas à croire que Gary exigeait de se la faire devant ces deux avocats. Il posa ses mains sur ses hanches et pesa de toute sa force pour l'obliger à s'accroupir sur sa bite, sa jupe était relevée sur ses hanches, il coinça l'ourlet dans la ceinture et repoussa la ficelle du string exposant sa fente sous les yeux ravis des deux assistants.

Il pointa son chibre sur sa caverne, elle continua à s'accroupir sur Gary, sa bite glissa bientôt avec aisance en elle.

Elle se sentit chanceler en s'asseyant sur sa bite s'efforçant de trouver une position confortable. Sa robe tirebouchonnait sur ses hanches, ses cuisses étaient grandes ouvertes.

Elle jeta un oeil sur les deux spectateurs assis face à elle.

Ils avaient les yeux braqués sur sa foufoune observant attentivement la bite de Gary qui disparaissait dans sa grotte embrasée.

Gary avait adopté un rythme de croisière, Susan dansait sur lui, alors qu'il continuait à discuter avec ses deux interlocuteurs.

Mais bientôt il revint à Susan.

Il tendit la main sur son buste et déboutonna son corsage jusqu'à la taille, puis il entreprit de malaxer ses nibards au travers de son soutien-gorge, remonta les deux bonnets les empaumant à même la peau.

- Aimez-vous ces merveilleux nichons? Demanda-t-il à aux hommes de loi.

- Oh oui... Eructèrent-ils en chœur tout en regardant ses miches que Gary secouait en rythme.

En dépit de sa colère et son humiliation, Susan se sentait perforée par cette grosse bite comme jamais une bite ne l'avait comblée précédem-ment, son excitation grandissait et elle ne pouvait nier cette montée d'excitation.

Ce n'est qu'à cet instant qu'elle réalisa à quel point sa chatte était trem-pée de cyprine quand Gary l'avait pénétrée.

Elle s'arc-boutait pour mieux profiter de la grosse bite bien qui coulissait avec aisance dans sa grotte bien lubrifiée.

- Huuuuuuhhhhhhhhhh... Soupira-t-elle à sa grande gêne, malgré son contrôle de soi.

Gary discutait toujours avec les deux avocats, mais il y avait de plus en plus souvent de temps morts dans leurs échanges, chacun gardant les yeux braqués sur Susan qui se faisait baiser somptueusement.

- Whooooooooo... Roucoulait-elle.

Elle haletait lourdement, oubliant où elle se trouvait, elle ne parvenait pas à détacher son esprit de la grosse bite qui l'embrochait.

- Ugghhhhh... Grognait-elle subjuguée.

Gary coulissait allégrement dans sa chatoune accueillante, sa hampe venait frotter contre son clito à chaque coup de boutoir.

C'est à cet instant que Susan explosa en poussant des miaulements aigus tout en sautant sur les genoux de son suborneur.

Ses cuisses s'ouvraient et se refermaient spasmodiquement, son buste dansait, elle grimaçait son extase.

- OwwwwWWWWWWWWWEEEEEEEEOOOOOO!

Susan retomba mollement sur Gary, elle haletait lourdement yeux fer-més, alors que son orgasme perdurait.

Gary, Thom et Miles discutaient toujours entre eux.

Lorsqu'ils arrivèrent à la conclusion Thom et Miles se levèrent et quittè-rent le bureau de Gary, refermant la porte dans leur dos.

Susan se releva en chancelant.

- C'est bon Susan, et maintenant reprenons ta leçon de fellation! C'est à cet instant qu'elle réalisa que Gary n'avait toujours pas éja-culé. Il voulait qu'elle se remette à lui tailler une pipe.

Elle se remit à genoux et reprit la bite de son patron en bouche.

Le goût salé et l'odeur de rut émanant de sa chatte engorgée de cyprine les excitait tous deux.

Susan le suçait de son mieux suivant toujours les instructions de son pa-tron.

- Lèche un peu la hampe... Et maintenant mes burnes... Susan s'exécutait docilement, suçant les bourses velues de son patron, c'était un acte auquel elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Elle lécha sa hampe comme ordonné et mignotait le gland, puis elle le reprit profondément en gorge.

- Quand je jouirai, avale tout mon foutre! Je ne veux pas que laisses une goutte de semence souiller la carpette. Cet ordre la révulsait.

Elle n'avait jamais avalé le sperme de son mari, les rares fois où il avait éjaculé dans sa bouche, elle s'était empressée de tout recracher dans la poubelle.

- Ca vient ma chérie, prépare-toi!

Grâce à son avertissement elle était prête lorsqu'il gicla à de puissants geysers de foutre dans son arrière-gorge.

Elle s'étouffa, mais fit ce qu'il lui ordonnait, cherchant à avaler son foutre au rythme de ses éjaculations.

Elle toussa un peu, et quelques larmes de semence débordèrent de sa bouche s'écoulant sur son menton, mais d'un coup de langue habile elle empêcha le trop plein de s'égoutter sur la carpette.

- Pas mal, tu seras une véritable experte dans peu de temps!

Susan sentit son cœur s'affoler en comprenant que Gary avait l'intention de se faire sucer la bite régulièrement.

Il se montra assez gentil pour lui tendre un kleenex pris dans on tiroir de bureau, pour s'essuyer la bouche, puis un second pour se sécher la chatte.

Il la regardait en silence alors qu'elle replaçait ses nichons dans leurs bonnets, reboutonnait son corsage, ajustait son string et lissait sa jupe.

28 avril 2008

Couluybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Georges VI

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