Susan la pute du bureau Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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C'est alors qu'il introduisit un doigt fureteur dans sa fentine la parcourant de long en large sans aucun mal, sa chatte était inondée de cyprine.

- Oui, je m'en occupe PERSONNELLMENT.. Couina Susan en sen-tant quelque chose de différent se presser contre sa grotte engor-gée de son propre jus.

Elle jeta un oeil dans son dos et vit que Gary avait son pantalon sur les chevilles, il pressait ses hanches contre son arrière train.

Exactement comme la nuit dernière une bite fut en elle avant tout mou-vement de refus.

- BORDEL! OHHHHHHH... Elle était très épaisse et la distendait fortement,, mais sa grotte était si lubrifiée qu'elle c'était à peine pé-nible.

- Je sais Phil, nous DEVRIONS être capables de résoudre ce pro-blème, cela demandera SEULEMENT une pair de coups de FIL!

Gary la courba sur le bureau la baisant à couilles rabattues en levrette. Jamais on ne l'avait prise de cette façon, ses sensations étaient toutes nouvelles.

Ses cuisses frappaient avec un bruit de chair sourd sa croupe, elle espé-rait que Phil n'entendait pas ces bruits de copulation, qu'il ne les remar-querait pas.

Gary empoigna ses nichons qui dansaient mollement et s'y agrippa.

- Laissez moi écrire ça Phil... Uhhhhhh... Vous dites donc vingt DEUX, d'accord... Je vais m'occuper de VOUUUUUUUUUUUUS!

Susan tendit la main pour déconnecter le téléphone, et poussa violem-ment ses hanches contre le pubis de Gary.

Son orgasme grimpait à une vitesse vertigineuse.

- OHHHHHHHHHH! Grogna Gary dans son oreille alors qu'il s'étendait sur elle lestement. Il tendit la main entre ses cuisses et et dénicha du majeur son clito dardé. Il le titilla tout de suite tout en la baisant en profondeur.

Susan grogna tout en se tortillant faisant tourner ses hanches.

- Uh! UH! UH! UH!

Elle se mordait les lèvres pour ne pas trop extérioriser son extase.

Cette femme habituellement si réservée explosait dans un orgasme aussi sauvage que violent, elle sentit son patron s'exonérer profondément enfoncé dans son utérus embrasé et s'effondra en avant sur le bureau pantelante et bavant sur le formica.

Chapitre 4 : la salle de conférence.

Lorsque son patron retira son épaisse mentule détrempée de sa cha-toune, Susan se releva et s'écroula sur une chaise proche.

Trop éreintée pour bouger elle regarda longuement Gary remonter son caleçon et son pantalon avant de se redresser.

Puis il lui sourit et entreprit d'inspecter chaque pièce de sa vêture.

Il posa sa jupe son chemisier et sa veste sur le dos d'une chaise et four-ra ses collants, son soutien-gorge et sa petite culotte dans un des tiroirs de son bureau.

Susan avait suffisamment repris son souffle pour se relever et s'habiller.

- Mes sous-vêtements! Réclama-t-elle paniquée.

- Je les garde dans mon bureau le reste de la journée, tu n'en as aucun besoin!

- J'ai besoin de mettre ma culotte! Du foutre me coule sur les cuis-ses!

- Très bien.. Répliqua-t-il hilare.

Il glissa la main dans son tiroir, mais au lieu de lui rendre sa petite culotte de coton blanc, il lui tendit un cache sexe bleu... Cette culotte appartenait à Marcia... Elle est propre!

Susan regardait la petite culotte qu'il lui tendait, il s'agissait d'un string bleu, elle n'avait jamais porté de string et n'avait jamais eu même l'inten-tion d'en acheter un.

Mais la malheureuse employée savait qu'il était inutile d'argumenter avec son employeur, c'est lui qui avait toutes les cartes en main.

De plus elle était pressée de réenfiler ses vêtements avant que quel-qu'un n'ait l'idée de pénétrer dans le bureau.

Elle enfila le string, il était trop petit pour elle, mais elle le remonta aussi haut qu'elle le put.

Son patron la reluquait alors qu'elle enfilait son corsage sur sa poitrine nue, et sa jupe sur ses fesses à l'air cachant la ficelle du string, puis elle enfila sa veste et la boutonna, avant de mettre ses chaussures à ses pieds nus.

- As-tu préparé ta présentation de cet après-midi?

- Oh oui! Répondit-elle encore toute étourdie.

- Très bien, je te reverrai donc cet après-midi... Lui rétorqua-t-il railleur.

Le reste de la matinée et le temps de déjeuner, Susan tenta de se concentrer sur la maquette de sa présentation pour la réunion mais elle avait bien du mal à le faire suite aux événements de ces dernières 24 heures.

Elle cherchait à ignorer les assauts qu'elle avait subis, espérant que Ga-ry se satisferait de l'avoir possédée. Cependant, il possédait des photos si compromettantes qu'elles ruineraient son mariage avec l'homme qu'elle aimait.

Elle avait l'intention de conduire cette présentation puis de réfléchir à ses problèmes chez elle le soir venu.

Susan se sentait toute chose de ne pas porter de soutien gorge et d'ar-borer un string.

Personne ne pouvait le remarquer aussi longtemps qu'elle tiendrait sa veste fermée, et elle espérait que personne ne remarquerait l'absence de collants sous sa meilleure tenue de travail.

Elle arriva dans la salle de conférence un bon quart d'heure en avance pour s'assurer que le projecteur de diapos fonctionnait, Gary et les parti-cipants arrivèrent quelques minutes plus tard.

Gary prit et une chaise et s'assit à la table de conférence ronde, Susan prit le parti de s'asseoir à son opposé.

Elle devait présenter son mémo à l'issue de la réunion.

Les six participants discutèrent entre eux pendant une bonne demi-heure de différents problèmes.

Elle se tenait le plus proche de la table de façon à cacher à tous le fait qu'elle ne portait pas de collants.

Elle sentit soudain quelque chose heurter ses genoux, elle réalisa rapi-dement qu'il s'agissait d'un pied. Elle jeta un oeil torve à Gary qui lui sou-riait ironiquement.

Il avait enlevé sa chaussure et jouait avec ses jambes sous la table.

Le pied juste couvert d'une chaussette se glissait entre ses jambes le long de la face interne de ses cuisses dénudées.

Elle jeta un regard affolé autour d'elle, personne ne semblait remarquer son assaut. Elle savait pertinemment qu'elle ferait mieux de le laisser agir sans protester, il lui écarta les cuisses en grand.

Le pied continua son voyage escaladant ses cuisses jusqu'à frôler sa fentine.

Elle ne pouvait que rester assise à endurer cette caresse indiscrète alors que les participants discutaient entre eux.

Lorsque le moment de présenter son mémo arriva, elle se leva se dirigea de l'autre coté de la salle de conférence et ajusta les lumières.

Elle obscurcit les lumières du plafond, seuls les spots directionnels gar-dant leur pleine luminosité.

Gary se leva et susurra

- Il fait très chaud dans cette pièce, vous feriez mieux d'enlever votre veste Susan!

Elle comprit tout de suite ses intentions. Il voulait qu'elle se tienne devant ces hommes torse nu

- Non ça va, je le garde...

- Enlevez votre veste! Lui intima-t-il sur un ton ne tolérant aucune désobéissance.

Susan se sentait mal, alors qu'elle regardait Gary droit dans les yeux, ses mains se mirent à trembler alors qu'elle déboutonnait sa veste pour la deuxième fois de la journée.

Elle savait qu'elle avait les projecteurs dans le dos, elle s'était déjà vue dans les toilettes plus tôt et savait que son chemisier était pratiquement transparent, elle savait qu'elle allait se retrouver virtuellement torse nu, que les larges aréoles brunes de ses nibards se verraient à trente mè-tres de distance, que ces hommes, dont elle essayait de gagner le res-pect, seraient à même de détailler ses mamelons dardés.

Susan s'efforçait de garder son calme et de parler d'une voix assurée.

Mais ses interlocuteurs, au lieu de se concentrer sur sa présentation, lorgnaient ses miches qui dansaient au gré de ses mouvements.

Elle se sentait comme une danseuse exotique se trémoussant devant un groupe d'amateurs.

La sensation de ces tétons raidis frottant contre le tissu de son corsage était toute nouvelle pour elle.

Elle était profondément humiliée mais elle s'efforçait de se comporter comme si tout était normal, qu'aucun des hommes ne détaillait lubrique-ment ses charmes, elle se focalisait sur sa présentation qu'elle voulait mener de son mieux.

Sa présentions terminée elle demanda :

- Des questions?

Il y eut un instant de profond silence, puis Byron, l'homme qu'elle crai-gnait le plus sachant son irratibilité s'esclaffa :

- Moi j'ai une question!

Il attendit quelques secondes et poursuivit :

- Nous avons parfaitement compris que vous dédaignez de porter un soutien-gorge au travail... Mais portez-vous une petite culotte ou vous promenez vous les fesses à l'air?

Plusieurs collègues pouffèrent, Susan était effondrée.

Elle s'était tant efforcée de faire une bonne présentation pour prouver qu'elle avait bien le nouveau requis pour son poste.

Et le chef des ventes ne trouvait rien de mieux que de faire une remar-que concernant son absence de soutien-gorge et de lui poser une ques-tion extrêmement crue, l'humiliant face à cet aréopage de vendeurs.

Il lui sembla que sa mâchoire se décrochait, son visage vira au cramoisi et ses genoux faiblirent.

Ses spectateurs éclatèrent de rire alors qu'elle se tenait face à eux silen-cieuse, humiliée jusqu'à la moelle. Elle se sentait au ord des larmes. Elle se tourna pour regagner sa chaise.

- Susan! L'interpella alors Gary

- Tu n'as pas répondu à la question posée!

- Que portes-tu sous ta jupe?

Susan se figea, se retourna vers l'assistance et marmotta :

- Je porte des sous-vêtements...

- Prouvez-le! S'esclaffa Joe un des vendeurs.

- Allez Susan! L'encouragea Gary.

- Prouve-le! Montre leur ce que tu portes!

Susan ne parvenait pas à croire que, de nos jours, on puisse traiter une femme de façon aussi ignominieuse.

Elle qui pensait que l'époque des collègues libidineux était disparue, mais ces 24 dernières heures elle avait compris qu'il restait encore plein de porcs libidineux dans l'entreprise.

- Allez, monte sur la table et dévoile-nous tes sous-vêtements!

Les spectateurs lui murmuraient des encouragements enthousiastes.

Susan ne bougeait toujours pas, elle ne le pouvait pas.

Alors Gary reprit :

- C'est sûrement mieux qu'en PHOTOS!

Elle savait qu'il faisait allusion aux photos d'elle en train de copuler avec Chuck, de nouveau il la faisait chanter avec ces photos, elle savait qu'elle ne pouvait le laisser diffuser ces clichés, quoi qu'il puisse lui en coûter, elle devait l'en dissuader.

Joe l'empoigna par le bras, elle se débarrassa de ses hauts talons, Joe l'aida à monter sur sa chaise pour escala der la table de conférence.

La tête touchant presque le plafond elle se tenait à l'une des extrémités de la table les projecteurs muraux braqués sur ses jambes.

- Retrousse ta jupe! Lui intima Gary.

Elle saisit l'ourlet de sa jupe et la remonta sur ses hanches. Elle tenait sa jupe troussée sur ses hanches exposant le fond en dentelle de sa petite culotte bleue sous les yeux avides de ses spectateurs pervers.

Il lui semblait être une gogo girl exhibant sa petite culotte à un groupe de clients.

Byron intervint :

- Enlevez votre jupe, qu'on puisse mieux voir!

Susan jeta un coup d'œil désespéré vers Gary, son expression lui inti-mait de s'exécuter.

Ses mains tremblaient encore plus que ce matin dans le bureau de Gary, elles tremblaient tant qu'elle eut bien du mal à dégrafer le clip sur le coté de sa jupe.

Elle tâtonnait silencieusement sous les projecteurs, les yeux baissés vers les six hommes qui reluquaient ses charmes avec concupiscence, on aurait dit qu'elle se trouvait sur une scène de boite à strip-tease.

Elle parvint finalement à baisser la fermeture éclair, ils entendirent tous le crissement de la fermeture éclair qu'elle descendait sur sa cuisse.

Elle laissa tomber sa jupe sur ses chevilles et l'enjamba ses miches dan-sant sur son torse alors qu'elle levait une jambe puis l'autre.

Les hommes sifflaient et grommelaient alors que la jeune trentenaire se tenait devant eux exposant son string en satin bleu. Le petit triangle soyeux était étroitement tiré au-dessus de la bosse proéminente de son mont de Vénus alors que le cordon mordait sa foufoune, révélant une bonne partie de sa toison.

Son ventre n'était pas parfaitement plat, au contraire quelques rondeurs appétissantes renforçaient encore son impact érotique.

Comme le lui avait ordonné Gary, elle tenait son ourlet de rjupe relevé de façon à ménager un meilleur point de vue à ses mateurs.

- Enlève ta robe, de toute manière il ne cache plus grand chose! Lui demanda Mick un homme de son âge.

Gary hocha la tête en signe d'approbation, elle croisa les bras et se dé-pouilla lestement de son vêtement.

Elle se tenait devant eux torse nu, juste vêtue de son string bleu, ils se livraient maintenant à des commentaires graveleux concernant ses appas.

Leurs commentaires révélaient leur enthousiasme.

- Tes seins sont délicieux ma chérie!

- Et ton corps!

- Tu dois être drôlement chaude Susan!

Elle dut tourner lentement sur elle-même pour montrer son cul, les com-mentaires furent une fois de plus enflammés.

Joe désigna du doigt une tache grossissante sur le tissu couvrant sa fen-tine.

- On dirait que tout cela l'excita drôlement! Hennit-il hilare.

- Ne serait-elle pas un brin exhibitionniste?

- Elle ne s'habillerait pas comme ça si ce n'était pas le cas!

Une question de plus concernant votre présentation et les multiples choix qu'elle entraîne... Intervint soudain Byron.

Comme d'habitude lorsqu'il parlait, tout le monde se tut.

- Avez-vous la chatte rasée, toilettée ou broussailleuse? Cela prit quelques instants avant que l'innocente jeune femme comprenne sa question.

- Comment pouvait-il lui poser une question aussi intime?

Mais bien sur sa chatte était nature, broussailleuse, seuls son mari et son médecin avaient vu cet endroit si intime de sa personne.

- Montrez-nous ça! Lui intima Gary autoritairement, craignant ses représailles, elle s'exécuta, elle glissa ses pouces dans la ceinture de son string et le roula sur ses cuisses.

- Je le savais bien! beugla Mick

- Il est en broussaille! Je l'aurai juré.

Susan dut aller et venir comme l'aurait fait un mannequin, cependant c'est son corps et ses charmes qu'elle exposait sous les yeux des spec-tateurs ravis de l'aubaine.

Susan était sur le point de défaillir, et sans attendre la permission de qui que ce soit, elle s'agenouilla sur la table de conférence et rampa vers le bord.

- Merci Susan, une excellente présentation! La félicita Byron, en re-poussant sa chaise.

- Venez ici et asseyez vous entre mes chevilles!

Susan s'approcha de Byron, et se posta entièrement nue face à lui...

Elle se pencha en arrière ses fesses nues posées sur l'arête de la froide table quelques pas de Byron.

Ce dernier avança son siège.

- Pose tes pieds sur les accoudoirs de mon fauteuil et penche-toi plus en arrière sur la table! Lui enjoignit-il autoritairement.

Susan s'exécuta, elle posa ses pieds de chaque coté de son torse et se pencha en arrière jusqu'à reposer sur ses coudes. Byron détaillait avec soin son intimité, il lui semblait se trouver en consultation gynécologique.

Il se pencha sur elle et entreprit de lui palper la chair tendre des cuisses.

- Mmmmmm... Que c'est doux! La complimenta-t-il railleusement, il plongea alors entre ses cuises grandes ouvertes et pressa ses lè-vres sur sa chatoune embrasée.

- Oooooh! Couina-t-elle de surprise alors qu'il entreprenait de lécher l'intérieur de ses cuisses et sa fourche intime.

Il fouilla du groin dans sa toison broussailleuse pour trouver sa fentine qu'il se mit à léchotter de bas en haut sur toute sa surface.

Susan leva les yeux et vit les 4 autres autres hommes les entourer les yeux rivés sur ses charmes dénudés, regardant leur patron lui bouffer avidement le gazon.

Susan ne savait que faire. Comme tous les employés elle avait peur de Byron et ne se sentait pas capable de repousser de quelque façon que ce soit à son assaut libidineux.

Ses jambes nues grandes ouvertes, sa croupe dénudée posée sur l'arête de la table, en appui arrière sur les coudes, ses mamelons dar-daient sous les léchouilles de son suborneur.

C'était déjà horrible lorsqu'elle avait subi Chuck puis Gary en privé, mais c'était pire encore de subir Byron sous les yeux concupiscents de ses quatre collègues.

Elle vivait le moment le plus haïssable de sa vie, et pourtant cette situa-tion s'avérait d'un érotisme sulfureux, les yeux des spectateurs couraient sur ses charmes allant de ses nichons à sa chatoune pour revenir en-suite à ses nibards.

La langue de Byron l'émouvait follement alors qu'elle s'enfonçait de plus en plus profondément dans sa caverne enflammée.

- Ooooooh! Ohhhhhhhhhhh! Susan s'arquait violemment refermant ses cuisses musclées sur la tête de Byron.

- S'il vous plait... Pensait-elle égarée

- Faite que personne d'autre n'entre dans la pièce!

Joe qui se tenait sur la gauche de Susan tandis la main et empoigna son nibard gauche. Sa main charnue palpait avidement son nichon.

A cette vue Mick tendit la main droite et s'empara de son nibard droit.

Personne ne voulait perturber les agissements de Byron, mais puisque ses miches ils saisissaient l'opportunité de s'en régaler.

Bien entendu Susan n'avait jamais fait l'amour avec plus d'un homme en même temps et les sensations de ses deux mains pinçant et palpant ses nichons alors que la langue d'un troisième titillait sa chatoune la ren-daient folle, elle ne cessait plus de soupirer et de gémir.

Susan se mordit les lèvres, cherchant à garder le contrôle de ses sens, consciente que de nombreuses personnes travaillaient dans les environs de la pièce de conférence.

Mais, les yeux levés vers ses cinq spectateurs enthousiastes puis bais-sés sur les mains peloteuses qui pétrissaient ses miches, et la tête en-fouie entre ses cuisses elle frémit perdant tout contrôle.

- UnnnnGGGG... MmmmmmmmGGGGH... La langue de Byron ve-nait de dénicher son clito gorgé de sang, elle pressa fermement ses cuisses sur sa tête plaquant la tête chauve contre son sexe asservi.

Son orgasme dura de longues minutes et elle retomba sur le dos sur la table de bois son avant-bras couvrant ses yeux.

Elle entendait les spectateurs glousser en commentant son intense or-gasme, les mains de Byron quittèrent ses miches pour descendre vers sa fourche intime puis repousser sa chaise laissant ses pieds tomber au sol.

Elle ne remarqua le bruit de sa ceinture qu'il débouclait et le "zip" de sa fermeture éclaire de braguette qu'il descendait.

Ce n'est que lorsqu'il empoigna ses chevilles qu'elle releva les yeux.

Byron était posté entre ses cuisses le pantalon sur les chevilles la bite sortie, il posa ses jambes sur ses épaules.

Elle avala sa salive, écarquilla ses yeux, son corps frémit de toutes ses fibres alors qu'elle agrippait fermement le rebord de la table, mais elle ne se déroba pas et ne protesta pas alors qu'il posait ses pieds sur ses lar-ges épaules et qu'il avança brutalement son torse sur son popotin.

Elle sentit de suite sa bite s'engouffrer dans sa caverne bien lubrifiée, elle n'était pas très grosse mais elle frémit tout de suite en la sentant pé-nétrer au fin fond de son utérus.

Il n'entendait pas perdre de temps et il la bourra rapidement de violents coups de rein imitant un chien grimpant une chienne en chaleur.

On entendait distinctement le bruit de chair de son ventre cognant ses fesses, ses jambes relevées dans les airs, Byron bénéficiait d'un très bon angle de pénétration.

Susan jeta un coup d'œil circulaire sur les quatre spectateurs qui la re-gardaient se faire baiser comme une chienne en chaleur.

Ses nichons libres de toutes entraves ballottaient au rythme des coups de boutoir de son suborneur, presque immédiatement elle succomba à un premier orgasme.

Cela faisait bien longtemps qu'elle avait perdu le décompte des orgas-mes inattendus et inespérés qu'elle avait enduré au cours de ces derniè-res 24 heures.

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